Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityMême nom de famille pas le même exemplaire (Mel) - Page 2
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Même nom de famille pas le même exemplaire (Mel)

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   « C’est pas un exercice si simple que ça attends… » Et puis j’avais une petite pression supplémentaire due au fait qu’elle, elle avait tapé dans le mille direct. J’hésitais oui, au final je ne la connaissais que depuis ce soir, et je savais très peu de choses sur elle : elle était jolie, elle était drôle, elle connaissait Priape, elle avait trop picolé lors d’une soirée avec lui ce qui lui avait valu ses remontrances… C’est d’ailleurs sur ce point que je me fis à mon tour taquin, sous entendant d’hypothétiques problèmes de boissons qui la pousseraient à la dunster. Elle en rigola avant de se défendre. « Si tu en savais un peu plus sur Priape, tu aurais pu lui répondre que c’était l’hôpital qui se foutait de la charité… » Enfin, mon aîné avait ce petit côté –Pascal le grand frère-, un peu paternaliste, dans sa tête il se voulait protecteur et empêcher les autres de commettre les mêmes erreurs que celles qu’il avait commise dans sa jeunesse. J’étais plutôt partisan pour ma part de laisser les autres se tromper, que c’était de ses propres erreurs qu’on apprenait le mieux. Bref, je poursuivis mon argumentaire avec d’autre hypothèse de frat’, et c’est finalement entre Cabot, Dunster et Eliot que son cœur balançait. « T’es dans aucune confrérie alors si je comprends bien ? » Mais finalement, bien que je n’avais pas l’impression d’être très intrusif dans mes questions, elle me soufflait en avoir déjà trop dit sur elle, s’éloignant vers l’eau. « Tu cultives ton côté mystérieux… » Sauf que manque de bol, j’étais typiquement le genre de garçon attirait par les énigmes, beaucoup trop curieux pour me tenir en retrait. Et puis, la voir avancer dans l’eau était trop tentant, surtout avec l’idée d’un baptême qui germait déjà dans ma tête. C’est donc les pieds dans l’eau que je m’avançai également, me rapprochant d’elle, essuyant quelques éclaboussures qu’elle m’envoya. Elle voulait jouer ? Elle ne savait pas sur qui elle était tombée. Un gosse de 5 ans dans le corps d’un jeune homme de 22. Je fondis sur elle, la soulevant, m’avançant pour m’enfoncer un peu plus dans les vagues avant de l’envoyer, malgré sa tentative vaine pour se débattre. Elle se redressa, dégoulinante et un rire franc s’échappa de mes lèvres.  Amusée, elle reprit sur le débat des confréries, soufflant qu’ainsi, trempée, elle pouvait rayer les Cabot de la liste. « Ou pas… Le look T shirt mouillé ça a son charme aussi… » Mon regard vrilla un instant sur ses courbes que le tissu de ses vêtements imbibé d’eau mettait particulièrement en valeur pour le coup, un instant troublé, surtout lorsque la sirène effarouchée et désireuse de vengeance vint m’enlacer de ses mains… Surement pour ça aussi que je me laissais entraîner dans l’eau par elle, parce que j’avais bien besoin d’un peu d’eau fraiche sur la figure pour me remettre quelques idées en place. Je finis donc dans l’eau, avec elle, sortant ma tête, me redressant en essuyant mon visage des mains pour en chasser l’eau salée. « J’suis censé dire "merci pour le bizutage" là c'est ça ? » demandai-je avec un large sourire, loin de lui en vouloir malgré tout pour sa mini prise de karaté… C’était de bonne guerre après tout.
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Elle apprécie qu'il ne veuille pas jouer à la cataloguer sur un coup d'oeil, parce que dans un sens elle sait qu'il pourrait la vexer, ça ne serait pas la première fois qu'un Zacharias gagne à ce genre de jeu. Mais il tente quand même et c'est avec une subtilité déconcertante qu'il part dans les clissés extrêmes. Là il peut être sûr qu'il va se planter... Mais pas tellement. Même si ce n'est surement pas pour les bonnes raisons qu'il cite la cabot et la dunster, elles sont dans les choix de la brunette, du moins, elle ne les a pas encore éliminés alors c'est qu'il n'a pas tout à fait tort. « Moins je croise ton frère, mieux c'est petit Zacharias ! » Si lui il lui fait plutôt bonne impression malgré ses premiers doutes, l'autre elle ne l'aime tout simplement pas trop. « T'as tout compris, je suis libre comme l'air, on verra à la rentrée ! Et toi alors ? » Est ce qu'il va se décider pendant le summer camp ou pas ? Elle n'en sait rien, elle ne sait déjà même pas si ça va être son cas à elle... Quelle bande d'indécis ils font tous les deux. Mais c'est les vacances et pour le moment ils ont d'autres inquiétudes à avoir : la première se trouver un nom d'équipe pour écraser les cinq autres équipes. Ca ne devrait pas être trop compliqué, il y a de drôles de personnages au sein de l'équipe orange qui ont l'air d'avoir des idées à revendre. Quand il soulève le fait qu'elle cultive son côté mystérieux, elle lève un doigt pour lui faire signe que non : « Ou alors je n'aime juste pas les gens qui veulent trop en savoir sur moi ! » Qui dit trop en savoir dit connaitre les faiblesses, qui dit connaitre les faiblesses dit savoir comment détruire une personne et je n'ai pas envie qu'on détruise la muraille de Chine qu'elle a construite et enroulée autour d'elle. S'il veut s'y tenter, il le peut, ça peut être drôle, sauf s'il est trop direct et persévérant, là il ne va réussir à faire face qu'à une huitre complètement refermée. A lui d'apprendre à la connaitre et à savoir comment la faire s'ouvrir mais jusqu'à présent, personne n'a trouvé le bon couteau ! Bien vite, ils finissent tout deux à l'eau comme des enfants. Heureusement qu'elle n'est pas froide parce que sinon ils commenceraient leur summer camp avec une belle crève. « Tu peux simplement applaudir ma réussite dans cette toute petite vengeance ! » Elle lui lance un clin d'oeil avant de lui envoyer de l'eau à nouveau, elle a pied mais ils sont tout de même assez loin dans la mer alors elle n'a pas besoin de faire trop d'efforts pour viser son visage. « Mais je te pensais plus résistant avec tous ces muscles... » Manière de lui faire comprendre qu'elle a compris qu'il la laisser gagner mais aussi de souligner discrètement que ses yeux se sont perdus sur son corps musclés, merci la lune d'être là pour éclairer ce genre de détails.
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  A ses mots sur son envie d'éviter mon frère au maximum, je compris qu'elle ignorait qu'il n'était plus à dunster, enfin plus à Harvard, et même carrément plus sur le sol américain si on voyez large. "A moins que tu te aies prévu un petit séjour à Sidney prochainement, tu ne risques pas vraiment de croiser mon frère..." lui confiai-je alors avant d'expliquer. "Il a eu un poste de pédiatre là bas, une offre qui se refuse pas apparement." M'en demandez pas plus, moi en médecine, c'est doctissimo ma référence, surtout depuis que Priape était loin de moi. Bref, suite au petit débat sur la confrérie de la demoiselle, je conclus qu'elle n'en avait pas, ce qu'elle confirma, ajoutant qu'elle verrait à la rentrée. Et l'expression qu'elle utilisa m'amusa un peu. Libre comme l'air, c'était ce qu'on répondait aussi quand on demandait à quelqu'un s'il était célibataire non ? "Libre comme l'air aussi..." répétai-je avant d'ajouter, comme ça, l'air de rien, sait-on jamais que ça l'intéresserait : "Sur tous les plans..." Juste une allusion rapide, comme ça, glissée au milieu de notre conversation sur les fraternités, sur lesquelles je revins ensuite : "Je pense choisir aussi à la rentrée... " WH ou une autre maison, telle était la question. Pour l'heure je voulais juste passer un bon été à m'amuser, la question se poserait en septembre. Et peut être que je signerais nul part d'ailleurs. "Ou je resterais libre comme l'air. C'est bien comme ça aussi." Un petit rire s'échappa de mes lèvres. Mais déjà Meleya s'éloignait, mes questions l'avaient poussée vers l'eau et ça tombait bien vu ce que j'avais en tête. Elle ne voulait plus qu'on parle d'elle ? Et bien très bien, plus de parlotte, voilà de l'action. Et très vite ça dérailla en nous deux trempés riant dans l'eau... Elle me renvoya de nouveaux jets d'eau, me taquinant sur mon manque de résistance. Je tournai la tête pour échapper à sa nouvelle attaque et ne pas recevoir d'eau salée dans les yeux, mais j'entendis très bien le compliment caché sous ses taquineries...  En quelques brasses, je me retrouvais près d'elle, attrapant ses mains et les lui maintenant dans le dos pour l'empêcher de m'envoyer de nouvelles trombes d'eau. "Hey mademoiselle, on ne se comporte pas comme ça avec son capitaine, c'est interdit. Nouvelle règle que je viens te décréter à l'instant." déclarai-je alors avec un large sourire avant d'expliquer ma faiblesse un peu plus tôt et la facilité avec laquelle elle m'avait mis à l'eau : "Et pour info, j'ai jamais été très résistant avec les jolies filles... Et ce n'est pas une question de muscles..."
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« Sur tous les plans. » Elle répète ces quelques mots avec aplomb pour lui indiquer qu'elle l'a bien noté dans un petit coin de sa tête mais aussi pour lui faire comprendre que c'est aussi son cas. Elle ne veut pas de quelqu'un qui lui mettra une corde au cou, qui l'empêchera de profiter de sa vie et elle ne veut pas non plus s'attacher à quelqu'un, c'est trop douloureux. « Ca nous fait deux points communs, je n'aurais jamais cru qu'on en ait autant il y a encore cinq minutes. » Et toc. Elle ne se défie pas, elle continue de dire ce qu'elle pense, de jouer la carte de la sincérité et se vanter de dire qu'elle ne l'aimait pas juste à cause de son nom avant qu'il ne vienne lui parler. Mais maintenant c'est autre chose, son côté plus plaisantin et joueur que son frère l'amuse, elle se reconnait un peu en lui dans son côté léger et elle doit dire que ça ne lui déplait pas. Elle aime jouer et ne pas se prendre la tête, elle aime être sûr de rien et quand il ajoute que peut être il n'ira nul part il ne fait que marquer un point de plus. Pour le moment, il s'en fiche de tout ça, comme elle et une fois dans l'eau cette discussion parait encore plus lointaine et sans sens à l'heure actuelle. Elle le charrie à nouveau, le cherche encore et toujours pour se venger d'avoir fini trempée jusqu'aux os mais sa tête, ses cheveux qui partent surement dans tous les sens et son maquillage qui coule peut être un petit peu bien que ce soit du waterproof tout ça, elle s'en fiche. Elle aime profiter des choses simples, poser les armes et juste profiter parfois. Meleya renvoie un projectile dans la direction de Denys mais celui ci bouge assez vite pour ne rien recevoir dans la figure, ce n'est pas du jeu. Elle, elle est bien moins rapide face à la mer et à son faible courant, alors lorsqu'il nage vers elle, il la rattrape assez vite pour la maitriser complètement. Maintenant ses mains dans son dos et lui faisant face, elle ne peut pas être plus près de lui pour planter son regard dans le sien lorsqu'elle répond aux quelques mots qu'il vient de prononcer : « Dois je comprendre que je mets votre résistance à mal capitaine ? » Elle se mordille légèrement la lèvre inférieure avant de lui glisser à l'oreille : « Vous avez commencé capitaine, je n'ai fait que riposter... La règle ne fonctionne pas ! » Elle a le sourire aux lèvres. Oui c'est lui qui a commencé à la jeter à l'eau et à profiter de la vue offerte par son tee shirt mouillé, il fallait bien qu'elle fasse quelque chose, d'une pour qu'il soit à égalité avec elle, de deux, pour qu'il retombe sur terre avant de se noyer devant telle beauté. Ironie, bien sûr, elle aime bien son corps, elle sait qu'il n'est pas parfait mais loin d'être moche mais jamais elle ne ferait preuve d'autant d'assurance.
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   Elle répéta la précision, me signifiant ainsi que c'était aussi son cas. Et elle souffla alors qu'elle était étonnée du nombre de points communs que l'on venait de se trouver en si peu de temps. "Comme quoi, il ne faut jamais se fier au nom de famille." La leçon du jour. Ca m'amusait de devoir la faire changer d'avis sur les Zacharias, de devoir faire tomber ses à priori. Et je me prenais au jeu, séduit par l'humour de la jeune femme et son franc parler. C'était peut être pour cela aussi que j'avais glissé l'air de rien, l'absence de corde à mon cou... Et mon sourire ne fit que s'accentuer plus en apprenant donc qu'elle était tout aussi libre que moi, sur tous les plans. C'était une invitation mutuelle à aller plus loin ça non ? Je n'avais jamais été très doué pour interpréter les signaux de toute façon... Une fois dans l'eau, ce n'est pas ses vêtements mouillés rendus quelque peu transparents qui allaient briser ce début de coup de cœur pour la demoiselle... Ni même ses nouvelles attaques contre moi d'ailleurs. Il fallait plus que quelques coups d'eau salée dans ma direction pour me calmer. J'inventai une règle, bidon, selon laquelle le capitaine de l'équipe était inattaquable, venant bloquer ses mains dans son dos, me retrouvant face à elle, bien trop proche. Surtout que je venais de lâcher n'être doué d'aucune résistance avec les jolies filles. Elle me demanda clairement si cela s'appliquait à elle, son regard planté dans le main, avec un petit mordillement sensuel de ses lèvres qui ne fit qu'accentuer mon trouble. Et c'est au creux de mon oreille qu'elle se défendit : elle n'avait fait que riposter, la règle n'était donc pas applicable dans notre cas. Son souffle contre ma peau, la proximité entre nous, les rires des autres au loin maintenant qu'on s'était quelque peu éloigné du rivage, à l'abri de leur regard, cela suffit à m'électriser, à me donner l'envie de tenter ma chance. Mes mains relâchèrent alors leur prise dans son dos, remontant jusqu'à son visage, mes doigts venant replacer une de ses mèches humides, doucement... Et c'est mon tour de venir lui murmurer : "Montre moi comment tu ripostes à ça..." Et sans lui laisser le temps de réagir, illustrant ce -ça- dont je venais de parler, cette nouvelle attaque que je lui réservais, je réduisis à néant les quelques centimètres qui séparaient encore nos visages, venant capturer ses lèvres de miennes...
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Elle se contente de hocher la tête et lui faire une petite grimace lorsqu'il la sermonne légèrement d'être rester sur un apriori idiot concernant son nom de famille. C'est vrai qu'il lui paraît presque très lointain déjà le temps où elle se disait avec sérieux que son équipe allait être ennuyante avec un Zacharias à sa tête. Il lui a montré en quelques minutes qu'il n'est pas comme son frère mais elle ne veut pas le reconnaître. C'est trop tôt pour qu'elle avoue qu'elle a eut tort. C'est son petit côté fier et elle n'est pas prête à le perdre pas face à un homme qu'elle ne connaît que depuis quelques dizaines de minutes même s'il met légèrement à mal ses barrières déjà. Enfin dans sa tête tout va bien elle ne se sent pas attaquée mais physiquement elle l'est clairement. Après quelques compliments bien placés et une manière de se rapprocher corporellement qui leur est propre, les lèvres du jeune Zacharias viennent trouver celles de la New Yorkaise. Tout d'abord surprise par ce baiser la jeune femme ne bougea pas et ses lèvres ne sais entrouvrirent pas puis doucement elle le laissa s'infiltrer pour partager ce baisers avec lui ses mains glissant dans l'eau sur les avant-bras du bel ancien winthrop pour finalement décoller ses mains de son dos et leurs lèvres. Elle restaurant cependant tout près si bien que les quelques mots qu'elle prononça permirent à ses lèvres de caresser celles du jeune homme : « Tu ne sais pas dans quoi tu t'aventures jeune Zacharias. Je serai toi je ferais demi-tour tant qu'il en est encore temps... » Mais la brunette lui laisse le choix parce que elle, elle reste la toute proche de lui. Ce baiser ne l'a pas dérangé et elle n'a rien à perdre. « Mais cette fois ce n'est pas les règles que vous ne suivez pas capitaine, c'est carrément de la triche que vous employez !» Oh oui si elle doit partir dans des clichés comme elle sait si bien le faire elle se dit actuellement qu'il va embrasser toutes les filles de l'équipe pour les motiver.





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   Dans l'eau, loin des regards et des rires des autres, et plutôt encouragé par ce début de discussion possitif avec Meleya, je me laissais emporter, risquant de lui voler un baiser... Une autre forme d'attaque en somme, et qui cette fois, ne me valut aucune riposte de la demoiselle. Elle ne me repoussa pas, ne bougeant pas, probablement surprise dans les premières secondes par mon audace... Puis ses lèvres s'entrouvrirent, me laissant l'opportunité d'approfondir un peu notre baiser, ses mains glissant sur moi avant qu'elle ne se détache finalement. Nos lèvres n'étaient plus liées, mais restaient malgré tout très proche. Aucun recul de la part de la jeune femme que je ne semblais pas l'avoir fait fuir malgré mon culot. Elle me confia alors avec amusement que je ne savais pas dans quoi je m'embarquais. "Ca tombe bien j'aime l'aventure..." répondis-je, regard rieur, plutôt engaillardi par le fait qu'elle ne m'ait pas envoyé sur les roses. Elle m'avertis même que je pouvais encore faire demi tour... "J'ai l'air de vouloir m'en aller? J'suis plutôt bien ici, si on fait abstraction des fringues imbibées d'eau." Et mes mains s'ancrèrent d'ailleurs sur ses hanches, comme pour illustrer le fait que je n'avais pas envie de la voir s'éloigner, que je n'avais nullement l'intention de le faire moi même, sauf si elle me le demandait. Mel reprit ensuite, objectant que c'était de la triche... "T'as vu inscrit quelque part qu'un capitaine n'avait pas le droit d'embrasser une membre de son équipe ? Non parce que sinon, on a qu'à dire encore un peu que je ne suis qu'un simple summer camper tu vois..." proposai-je avant de m'emparer une nouvelle fois de ses lèvres, savourant ce nouveau baiser, ne me détachant ensuite d'elle que pour lui souffler : "Ou alors je suis un tricheur..." J'acceptais ce titre si elle m'accordait les baisers qui allaient avec...
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Meleya aimait l'audace qu'elle lisait dans ses yeux cet air de défi complet. Il n'avait pas peur d'elle ou de s'aventurer sur un chemin glissant avec elle. Elle ne s'y attendait pas du tout elle devait bien le dire mais après tout... elle n'allait pas cracher sur une marchandise de cette qualité la petite brune. Ce n'était pas son genre. « Bon courage alors... » Elle lui adresse un petit clin d'oeil qu'elle ne savait même pas s'il le voyait tellement elle était proche de lui. Cherchait elle à lui faire peur réellement ? Oui c'était bel et bien le cas mais rien n'avait l air de le faire fuir même pas l'eau qui pouvait commencer à lui paraître froide - alors qu'elle ne l'était pas du tout elle cherchait simplement des excuses - comme lui avec leurs vêtements mouillés mais ce n'était pas réellement recevable... « Je peux tout te retirer ici si tu veux mais tu vas devoir retourner nu comme un ver voir les autres... » Cette perspective la tentait bien. Elle rigolerait bien pour le coup s'il la laissait le déshabiller complètement laissant partir chacun des bouts de tissu qui le recouvrait à la dérive... ça servirait peut être à quelqu'un après tout. C'était pour la bonne cause ! Oui Meleya aime se trouver de bonnes actions pour justifier ses actes, au moins pour se les justifier à elle même parce qu'elle n'a de comptes à rendre à personnes d'autres. « Une membre ? Je pensais peut être que toutes les filles avaient eu le droit à ce genre de motivation... tu triches peut être qu'avec moi finalement pour que je change d'avis rapidement...» Il allait avoir un sérieux problème de maladies de bouche s'il embrassait tout le monde mais elle était en médecine elle pourrait le soigner. Cette possibilité l'amusa et un petit rire s afficha sur son visage en même temps il était rare de voir ce beau visage terne, éteint de toutes expressions. Elle devait bien s'avouer légèrement déstabilisée face à ce Zacharias qu'elle n'était pas censée apprécier surtout que lui il affichait une assurance déconcertante alors elle se tenta à le faire vaciller légèrement mettant ses paroles de il y a quelques secondes à exécution en lui retirant son tee shirt et le coinçant dans une passe de ceinture de son short pour qu'il ne parte pas a la dérive afin de pouvoir maintenant contempler et toucher les muscles qu'elle avait souligné tout à l'heure.




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  J’aimais l’aventure certes, et puis surtout, le fait de ne pas m’être pris un vent complet pour ce premier baiser volé, ça avait le don de me pousser à plus. Il m’en fallait pas davantage pour que je me sente pousser des ailes, et ce n’était pas ses avertissements, son –bon courage alors- qui allaient m’effrayer… Détaillant chacun de ses traits, comme nos visages tout proches le permettaient, j’affirmais que j’étais très bien là où je me trouvais, soulignant juste l’inconfort de ma tenue trempée. Joueuse, elle se proposa alors de tout me retirer, un rire s’échappa de mes lèvres alors. « Retourner dévêtu là bas ça sera pas mon plus gros soucis si tu commences à me déshabiller… » A mon tour de l’avertir, si elle commençait sur ce terrain glissant là, ça risquait de déraper, collés comme nous étions dans l’eau. En tout cas mon statut de capitaine allait bien m’embêter si cela voulait dire interdiction d’embrasser la demoiselle, j’étais près à redevenir qu’un simple summer camper le temps de notre baignade si il fallait. Elle revint sur mes propos, sur le –une membre- que j’avais employé pour la désigner. Et elle ajouta alors qu’elle avait cru que je réservais ce genre de motivations à toutes les demoiselles de l’équipe. « Parce que mes baisers sont motivants ? » Denys où l’art de ne retenir que les compliments cachés dans les phrases. Oui parce qu’au final, le contenu vrai de ses paroles, c’était qu’elle m’avait pris pour un embrasseur de série. Et en même temps… Je n’étais pas le garçon ne plus sage qu’on connaisse sur ce plan là. Après tous mes aléas amoureux, c’était dans le papillonnage que j’avais décidé de passer mon été. Mais pas de là à goûter toutes les lèvres féminines présentes sur cette plage ce soir… Juste celles de Meleya m’avaient attiré, et m’attiraient encore d’ailleurs puisque je lui volais un nouveau baiser. Et comme elle l’avait évoqué, la demoiselle mit ses paroles à exécution et ses doigts s’activèrent sur le tissu de mon T shirt, me le retirant, prenant le soin néanmoins de l’accrocher à mon short pour l’empêcher d’être emporté par le courant. « Tu ne sais pas dans quelle aventure tu te lances, jeune Meleya… » m’amusai-je à lui souffler, reprenant ses propres mots, sourire amusé et séduit aux lèvres, sentant déjà la peau de mon torse frissonner. Et rien à voir avec la température de l’eau ou le thermostat ambiant non… « J’imagine que tes vêtements mouillés te gênent également… » fis-je, mes doigts venant agripper les pans de son propre haut, prêts à lui faire subir le même sort que le mien…
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« Pas sûr que je te laisse retourner là bas tant que tu seras nu...» Elle ne veut pas dire qu'elle ne veut pas le partager même si elle n'a forcément envie de partager son petit trésor du jour, elle lui dit juste qu'elle va profiter de lui s'il est nu... C'est l'aventure, elle l'avait prévenu, Meleya est vraiment imprévisible il ne pourra pas dire qu'il n'avait pas été mis en garde. Elle peut bien commencer à le déshabiller et rentrer dans son jeu comme l'envoyer promener dans quelques minutes s'il fait quelque chose qui ne lui plait pas... « Agréables plutôt... Motivants c'est si tu embrassais tout le monde pour gagner !! » Il prit ses lèvres à nouveau et elle ne manqua pas de garder sa lèvre inférieure entre ses dents pour le taquiner un peu, pour faire monter un peu plus la chaleur entre eux et ce n'est que lorsqu'elle retira son haut qu'elle rompit cette étreinte. Lorsque ses mains se baladèrent sur le corps du jeune homme, elle vit celui-ci réagir et un sourire ne put s'empêcher de sourire... Elle aimait faire ce genre d'effets sur les hommes, sur un Zacharias moralisateur c'était encore mieux même si celui là dérogeait un peu trop à la règle. « Ils me gênent ou ils te gênent ? » Elle hausse les sourcils plusieurs fois de suite assez rapidement, elle le cherche. Ses lèvres meurent d'envie de fondre dans son cou pour le dévorer et le faire complètement lui céder, mais elle a envie de se faire désirer, elle a envie qu'il soit celui qui craque en repoussant toujours un peu plus loin les barrières du raisonnable entre eux. Enfin entre deux inconnus on peut peut être dire que les limites du raisonnable sont déjà largement dépassées... « Et sache que je ne suis pas une enfant ! » Jeune, jeune qui a dit qu'elle était jeune ? Quel âge avait il lui ? Enfin clairement elle était majeure et vaccinée, elle faisait ce qu'elle voulait et s'il avait peur d'un manque d'expérience en quelconque matière avec son envie de ne pas s'attacher et de butiner de ses dernières années, elle pouvait dire qu'elle avait plutôt fait le tour, qu'elle en connaissait un rayon...
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