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Hello les beaux-parents.

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Le couple reposait uni et essoufflé dans les bras l’un de l’autre. Paris ne s’était pas encore retiré, comme pour conserver encore la sensation de ne plus faire qu’un corps et âme avec celle qui partageait sa vie, ses emmerdes mais également ses échecs comme ses réussites. « Tout comme je ne suis rien qu’à toi… bordel, tu m’as tué » marmonna-t-il avant de se mettre à rigoler en songeant qu’ils avaient une nouvelle fois repoussé les limites de leur relation toujours un peu plus loin. « C’est à se demander comment le lit à fait pour tenir » ajouta-t-il sur un ton malicieux avant de se redresser pour mieux se retirer de sa compagne et la reprendre dans ses bras en les couvrant tous les deux de la couverture. Il avait encore bien chaud mais il sentait que l’un comme l’autre allait bientôt sombrer dans un sommeil réparateur. Paris n’en revenait pas de la manière dont Summer s’était offerte à lui et surtout combien il avait pu trouver cela excitant. « Je t’aime ma petite tigresse » souffla-t-il à moitié ravagé par la fatigue de leur voyage couplée à celle de leur ébat. Il n’avait qu’une envie, s’assoupir pendant une heure ou deux histoires de s’en remettre. Le Dunster n’avait jamais connu une pareille jouissance et il se demandait jusqu’à quel point, Summer allait explorer sa noirceur avec autant de soumission sans craindre d’être blessée. Il aurait pu partir en vrille, céder face à ses vieux démons mais non.

Paris ne se l’expliquait pas mais c’était comme si son ange arrivait à mettre de la lumière même dans son obscurité, comme si elle savait étreindre sa colère latente pour la calmer. Elle était sa sirène mais au lieu de l’attirer à sa perte, elle l’amenait à son salue. Putain qu’il l’aimait ! Il n’y aurait jamais aucun mot pour réellement décrire la force de ses sentiments songea-t-il avant de sombrer dans le sommeil. Ce n’est qu’une heure et demi après qu’il ouvrit les yeux, reposé. Summer reposait la tête contre son torse, un bras autour de son abdomen. Avec un sourire tendre, il caressa sa joue du bout des doigts, ramenant une mèche de cheveux blonds derrière son oreille. Elle était magnifique. Un petit bruit dans le babyphone lui signala que sa fille était réveillée et semblait attendre tranquillement qu’on vienne la tirer de son lit parapluie. Aussi, avec des gestes précautionneux, il se leva sans réveiller sa belle pour mieux enfiler son boxer et aller chercher la petite. A son retour, Summer se réveillait doucement. « Re bonjour la belle au bois dormant » dit-il en revenant dans le lit, la petite essayant de tenir debout sur le matelas, entre eux. « Reposée ? » lui demanda-t-il en se penchant vers elle pour l’embrasser tendrement.


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Je riais avec Paris quand ce dernier m’annonçait que je l’avais tué ! « Hey, j’y suis pour rien…Tu m’as tenté, je n’ai fait que répondre à tes ardeurs » lui répondais-je en faisant mine de ne pas être tenue pour responsable de notre débauche sexuelle. Mais je dois bien avouer que moi-même je m’étais fait la réflexion pour le lit « Autant se féliciter ! Pour une fois qu’on n’a rien casser ! Ça se fête ! » Déclarais-je. Ouais enfin, quand on a envie de fêter quelque chose lui et moi, c’est souvent sur l’oreiller. Hors là… « Enfin, oui mais nan, on ne va pas vraiment fêter ça comme d’habitude ! Là j’en peux plus ! » Paris se retirait à ce moment-là, et je venais très vite me réfugier dans ses bras lorsqu’il s’allongeait à son tour sur le matelas en nous couvrant avec les draps et la couette Lovée contre son torse, je fermais les yeux, prête à me laisser sombrer dans le sommeil quand j’entendis Paris me dire qu’il m’aimait. Je gloussais alors contre sa peau à cause du surnom, et ajoutait mon commentaire « je t’aime aussi, mon marteau piqueur » avant de rire bien plus clairement cette fois-ci ! Et j’ai bien l’impression que ce rire fut le dernier effort que j’avais pu faire : après cela, je me suis sentie partir, et ne me suis réveillée qu’une heure, une heure et demi après, avec la vision d’un Paris en boxer et d’une Ashlynn bien éveillée et déjà en plein entrainement d’équilibriste.

Je clignais des yeux à plusieurs reprises avant d’enfouir ma tête dans l’oreiller en chouinant un peu. « Pas du tout ! J’ai l’impression de pouvoir dormir encore jusqu’au lendemain matin !! » Avouais-je bien que je savais qu’on avait d’autre obligation, à commencer par ce petite être tout rose et gazouillant dans les bras de son père. Je rouvrais alors les yeux et observais ces deux-là en souriant, avant d’oser bouger un peu, tendant la main vers Ashlynn pour lui caresser son petit bras. J’inspirais profondément et profitais un instant du silence avant de prendre mon courage à deux mains et d’annoncer de but en blanc « Je vais signer les papiers…. » Sous-entendu : je vais adopter Ashlynn, c’est décidé. Je veux faire partie de sa vie plus officiellement. Je ne lâchais pas Ashlynn des yeux, continuant de lui caresser le bras, avant de prendre sa petite main et me pencher pour embrasser ses petits doigts.


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« Mais bien sûr et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d’alu ! C’est toi qui voulait que je te tire par les cheveux, je te signale » la taquina-t-il de bon cœur bien qu’il y avait tout de même un fond de tendresse dans sa voix. Le couple Pammer avait beau avoir une sexualité des plus débridée, il n’en restait pas moins que c’était bel et bien l’amour et la confiance qui régissaient leur duo. Paris savait très bien qu’il ne retrouverait jamais cette confiance ni même cette aisance à se donner de la sorte. Il n’y avait que Summer pour lui faire ressentir ce genre de chose ou qui arrivait à titiller la bête en lui tout en le tenant fermement par le collier. Elle était aussi soumise que dominante en réalité et cela lui plaisait énormément car au premier coup d’œil, on pouvait se dire : encore une qui se plie au bon vouloir d’un mâle. En réalité, elle le pliait à son bon vouloir. « Je t’avoue que tu m’aurais demandé un second round, je n’aurais pas assuré une cacahuète » rigola-t-il se fichant bien d’admettre qu’il était vidé… « Bordel, je t’en foutrai du marteau-piqueur » grommela-t-il tout en rigolant mais rapidement le sommeil le gagna et il sombra dans les bras de Morphée.

Ce n’est qu’une heure et demi plus tard que sa fille le réveilla. Paris ne le disait pas clairement mais il était heureux d’être père, de se dire qu’Ashlynn était sa fille. Il avait l’impression d’avoir réalisé un petit miracle mais il lui manquait quelque chose pour être parfaitement heureux dans ce rêve : Summer. Il n’arrivait pas à le vivre pleinement car il sentait qu’elle n’était pas à ses côtés. C’est fou comme il avait besoin de l’associer à sa vie, à ses réussites. Alors, quand elle lui annonça qu’elle allait signer les papiers, il la contempla avec surprise. La surprise céda sa place à l’émotion la plus pure et c’est la gorge nouée qu’il lui sourit. « Tu changeras le cul de ta fille alors car elle sent pas la rose » lui dit-il. Du Paris tout craché mais c’était sa façon bien personnelle de la remercier, de lui dire qu’il était heureux et surtout d’officiellement la considérer comme la mère de son petit trésor.

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J’avais mis du temps à me décider ? Nan...disons plutôt que j’avais mis du temps pour avouer ma décision. Le soir qui a suivis la demande de Paris d’adopter Ashlynn, j’avais attendu que le Dunster s’endorme et avait déserté le lit pour aller dans la chambre de la petite pour la regarder dormir. Et pendant toute ma contemplation, j’avais tenté de mesurer le pour et le contre de cette adoption. Résultat final : il n’avait pas beaucoup de contre. Deux en fait…le premier : « C’est le bébé d’une autre » et le deuxième : « Dans quelques années, Ashlynn elle-même me rappellera que je ne suis pas sa vraie mère… » Mais, concernant les pour, la liste avait été tellement longue que j’avais très vite compris ce qui m’attendrais dans les jours à venir. J’avais voulu simplement du temps pour être sûre de moi. Après tout, cette adoption serait encore MA propre décision et pas celle que l’on m’avait soumis. Et je me familiarisais que depuis peu à cette nouvelle responsabilité de faire mes propres choix de vie, que j’avais préféré faire attention à ma décision, à la prendre en tout état de cause.

J’aurais pu faire durer l’attente encore un peu, mais je ne sais pas : était-ce le fait que Paris venait encore de me prouver qu’il n’y avait qu’avec lui que je pouvais être épanouie et que devenir la mère de sa fille était la suite logique à notre histoire ? Ou était-ce la vision de cette petite blonde adorable, son regard innocent, cette pureté dans ses yeux, qui m’avait fait craquer au point de déballer ce que je gardais en moi depuis quelques jours ? Je ne saurais dire. Toujours est-il que j’avais donné ma réponse à Paris, et que ce dernier ne tardait pas pour me confronter à mes responsabilités de « mère » Je secouais la tête d’exaspération en souriant avant de lui dire « Tu as l’art et la manière de me faire envie toi, c’est dingue ! » Je tendais alors les bras pour prendre Ashlynn avec moi et vérifiais les dire de Paris en allant renifler la couche de la petite. Et là, je reculais la tête franchement en soufflant « Woaw, la vache, elle ne nous épargnera donc jamais ! » déclarais-je avant de m’adresser directement à Ash’ « Hein dis ? Tu ne pourrais pas y aller mollo quand tu te lâches dans tes couches ?! C’est pire qu’une arme nucléaire ça » La petite émettait alors un petit rire, et babillait comme si elle voulait tenir la conversation ! Et moi je jouais le jeu, feintant que je comprenais tout de ce qu’elle me disait « bah oui mais comment veux-tu que ton père accepte un jour de changer tes couches pleines de caca si tu n’allège pas un peu le paquet ?! » Je tendais Ashlynn à Paris pour pouvoir sortir du lit « Bon laisse-moi deux secondes que je me rhabille » Je soulevais alors les draps et posait les pieds à terre avant de me lever et de chercher de quoi me couvrir. La chemise de Paris à terre ferait très bien l’affaire !! Je l’enfilais et boutonnait les boutons les plus essentiels avant de revenir près du lit, un genou sur le matelas, rejoignant ce qui devenait en une phrase, ma nouvelle famille.

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Summer avait accepté d’être la mère d’Ashlynn et Paris avait limite envie d’ouvrir la porte et d’aller serrer ses beaux-parents dans les bras avant de danser la danse des canards, en boxer dans tout le lotissement. D’accord, c’était une envie complétement dingue mais il s’en foutait, il était heureux. « Je sais, c’est un don chez moi » ricana-t-il mais son regard laissait clairement exprimer toute sa fierté et surtout son amour. Il était si heureux que même sa remarque sur le cul merdeux de sa fille -ou plutôt leur fille ; lui arracha un sourire d’une tendresse inouïe. « Bah, elle mange bien…Donc elle chie bien ! C’est élémentaire ma chère bébé » reprit-il avec un grand sourire. « Tu sais que tu as une conversation passionnante avec notre fille ? Je m’en rappellerai toute ma vie et quand elle aura dix-huit ans et qu’elle me demandera : dis papa, quand est-ce que maman a décidé de m’adopter et qu’est-ce qui s’est passé ensuite, je lui dirais : Ecoute trésor, on venait de se réveiller d’une sieste après avoir fait sauvagement l’amour dans sa chambre d’adolescente… et puis, elle a longuement conversé avec toi sur ta manie de nous lâcher des couches merdeuses sur les bras ; Ouais c’est sûr que ça fera fureur » dit-il avant de partir dans un grand rire. « Le pire, ce serait qu’elle ait la même mémoire que moi… Elle pourra se rappeler de toutes les conneries que tu lui auras dit » continua-t-il tandis qu’elle s’habillait de sa chemise. « Babe… par contre, tu es très sexy dans ma chemise » murmura-t-il avec un œil appréciateur pour mieux se lover comme il faut sous la couette. « Faites pas trop de bruit, j’aimerai bien dormir encore un peu » lâcha-t-il en parfait crevard… Quoi, c’était le rôle du père d’être ainsi n’est-ce pas ?!
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Je m’étais levée après ma grande conversation avec Ashlynn et forcément Paris s’en était moqué. Tout en m’habillant je l’écoutais s’amuser de la situation et l’entendais rire aux éclats, me donnant presque envie de rire à mon tour « AH.AH.AH !! Tu lui explique un jour les choses comme ça, et je te promets la pire des vengeances possibles » D’ici les dix-huit ans de la petite, il s’en passerait des choses, et j’étais sûre que le moment venu, j’aurais la vengeance parfaite à lui infliger.

Je revenais vers le lit, tandis que Paris émettait l’hypothèse que sa fille puisse avoir la même mémoire que lui et à cela je répondais « Ah bah dans ce cas, elle se souviendra également de la lâcheté de son père à ne pas lui changer ses couches ! » Paris se lovait dans les couettes et s’installait de sorte qu’il aurait presque donné l’impression de se rendormir. Et moi, je le regardais faire en tenant la petite sous ses bras – vu que mademoiselle voulait vraiment s’essayer à marcher sur un sol aussi mou que ses guiboles – et j’ouvrais grand la bouche, outrée ! « Nan mais j’hallucine !! » m’exclamais-je alors qu’Ashlynn, soudain concernée, tournait la tête pour regarder son père. « regardes moi ce lâche, ma puce ! il mériterait qu’on lui mette la couche en pleine tête » Hey, mais ! En voilà une idée qu’elle est bonne ! Bon, pas littéralement mais…c’est un truc à faire !

Je fis alors semblant de me dégager du lit en emmenant Ashlynn avec moi pour laisser Paris s’endormir, et alors que ce dernier fermait les yeux, je posais un index sur ma bouche pour signifier à Ashlynn de jouer le jeu et de ne pas faire de bruit. Cette petite avait sans doute compris mon plan, parce qu’elle s’arrêta net de babiller et me regardait droit dans les yeux, avant de tourner la tête vers le lit ou dormait son papa. A pas de loup, je revenais vers le lit, et faisant léviter Ashlynn je tendais cette dernière au dessus de Paris, avant de descendre les fesses de la petite jusqu’aux narines de Paris en simulant soudain bruyamment une grosse respiration en disant « Allez Ashlynn, fais lui bien remarquer comme tu sens bon mon ptit ange ! » Et comme pour me donner satisfaction Ashlynn se mit à péter dans sa couche en bonus, avant de rire. Après tout c’était fun de « voler » au-dessus de Papa ! « Ne renies pas ta fille, mon cœur !! Tu en es le créateur !! Tout ça, c’est TON œuvre ! » lançais-je en riant !


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Ce moment familial lui faisait un bien fou. Il avait totalement zappé le lieu où ils se trouvaient. Il n’était plus chez ses beaux-parents mais simplement là où se trouvait sa famille. Les deux femmes de sa vie… Bon, sa mère hurlerait très certainement s’il ne l’incluait pas dans le calcul, idem pour ses petites sœurs. Tant pis, sa fiancée et leur fille valaient bien des petites engueulades de famille n’est-ce pas ?! « Tout de suite les menaces ! A peine elle accepte d’être maman qu’elle joue son rôle à fond en me menaçant… crois moi, ta vengeance tu l’auras à partir du moment où notre fille aura des seins » grommela-t-il. Dieu qu’il n’était pas pressé d’assister à la puberté d’Ashlynn. D’ailleurs, il fallait qu’il demande une autorisation de port d’arme juste par mesure de précaution.

Toujours aussi taquin, le couple s’échangeait des petites piques. « Elle se souviendra de combien je respectais son intimité. Attends, c’est pour son bien, tu sais, c’est traumatisant pour une fille de montrer sa petite moule juvénile… d’ailleurs, elle aura interdiction de la montrer à quiconque jusqu’à ce que je sois dans ma tombe » marmonna-t-il en nageant pleinement dans la connerie. Paris avait bien l’intention de se prélasser un maximum dans ce lit où le parfum de sa belle s’attardait sur les oreillers. En parlant de parfum, une odeur de rose effleura ses narines quelques minutes plus tard. « BORDEL !! Summer, dégage sa couche merdeuse de mon nez, tu vas me griller les narines » éclata-t-il de rire avant de chopper la jeune femme par la taille et de la renverser sur le lit pour mieux chatouiller les deux princesses de sa vie. « Sérieusement, va la changer… je supporte pas de la changer… déjà que je me suis farci des années et des années les couches merdeuses de mes frères et sœurs, c’est à ton tour. Après tout, t’es sa mère, assume ta décision bébé » lâcha-t-il avec un énorme sourire. Bon, il lui arrivait quand même de changer sa fille, il n’était pas un père indigne mais cela lui faisait plaisir de la laisser s’occuper d’Ashlynn surtout après sa décision. Summer était désormais sa mère et il avait à cœur de la laisser s’en occuper car à présent, ils étaient deux pour l’éducation de la petite.

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Paris et sa connerie…ça ne fait pas deux !! C’est une seule et même entité ! Et clairement là, il l’assumait à 3000%. Je secouais la tête, dépitée d’entendre un tel débit d’idiotie que j’avais presque envie d’épargner Ashlynn et quittant la pièce avec elle « petite moule juvénile…tu appelles la nénette de ta fille « petite moule juvénile »…mon dieu, t’es indécrottable » soupirais-je non sans sourire parce que j’avoue que les mots de Paris était bien souvent risibles !

En parlant d’indécrottable, il fallait lui rappeler combien les couches pleine de sa fille sentait bon le petit pot digéré ! Il le méritait, vu la lâcheté dont il faisait preuve en cet instant en cherchant à se recoucher. Paris s’agitait bien vite après avoir senti le doux parfum de sa fille au caca d’or, et éclatait de rire ensuite en me renversant sur le lit. Je tenais toujours Ashlynn dans mes bras et riais également de bon cœur tandis que la petite blondinette criait d’enthousiasme dans nos oreilles ! Je suppliais très vite Paris d’arrêter ses chatouilles « Stop, arrête ça, j’suis déjà à bout de force ». Je n’étais pas encore remise de nos précédents ébats, et dieu sait que se crisper sous les chatouilles est un exercice en soit ! Je soupirais alors, soulagée de ne plus sentir le Dunster me torturer sous ses doigts, et l’entendait me demander à nouveau d’aller changer Ash’, me rappelant à sa façon que maintenant, j’étais SA mère et que j’avais des responsabilités à tenir « Même avant de l’être, je le faisais ! Tu parles d’une nouveauté » argumentais-je en pouffant légèrement avant de me relever et d’emmener le petit monstre des couches avec moi. « C’est bon t’as gagné, on s’en va ! » lançais en soulevant Ashlynn dans les airs un petit instant pour mieux la serrer dans mes bras ensuite « vient ma puce, je vais faire en sorte que tu aies les fesses à nouveau toutes propres, pendant que monsieur ton père écrasera sa bulle ici ! » On quittait alors la pièce pour nous diriger dans la chambre d’amie, là ou résiderait temporairement Ash’ pendant le séjour

Une fois à l’intérieure, je posais Ash sur le lit d’adulte dans la pièce, l’allongeant sur le matelas à langer de voyage ! Je m’assurais qu’elle soit bien placée au milieu du lit et calée, avant de m’affairer à préparer une couche propre qui empilée non loin, et de prendre des lingettes, du liniment, et du coton. Je me croyais seule avec Ashlynn au point d’oublier que le baby phone était encore actif. Et c’est entre filles, que je commençais mes confidences. « Bon, enfin seule, crevette ! On va pouvoir causer toi et moi… » Lançais-je avant d’hausser les épaules, « enfin…j’ai plus l’impression que c’est moi qui vais faire tout le boulot en parlant et toi qui vas écouter » je détachais alors les attaches de la couche d’Ash et soulevait le pan du devant pour découvrir l’ampleur des dégâts « Bon sang, t’y vas vraiment pas de main morte ma belle ! » Ashlynn se mit à rire – ou à se moquer allez savoir – et je ne pu m’empêcher de m’écarter un peu pour prendre un peu d’air. « Va falloir qu’on passe un deal toi et moi. A partir de maintenant, je te demanderais d'être indulgente avec moi… » mon ton au départ faussement autoritaire, se changeait en appréhension et avec douceur, tout en procédant au nettoyage des fesses de Ash, je me confiais « Tu vas me dire que j’ai l’habitude maintenant, que je me suis occupée de toi depuis quelques mois déjà et que ça changera pas grand-chose, mais…crois-moi, c’est pourtant bien différent. Je…Je ne serais pas toujours parfaite. A vrai dire, je ne crois pas que je le serais un jour, c’est assez dur à atteindre la perfection dans le domaine de la parentalité… » je retirais la couche sale de la petite de dessous ses fesses en soulevant le bassin d’Ash puis remplissait la couche sale des lingettes utilisées et autre coton, pour fermer une bonne fois pour toute le sac à caca. C’est une petite cul nue et en train de se prendre les pieds qui se présentait devant moi pendant que je m’emparais d’un coton imbibé de liniment pour procéder au nettoyage et continuer mon monologue « Je te demande pardon par avance pour les fois où je serais maladroite avec toi…où je serais complètement à côté de la plaque. Il y aura des fois, où, en grandissant, tu te diras que je suis vraiment pas douée et que je comprends jamais rien à ce que tu ressens…s’il te plait, crois-moi quand je te dis aujourd’hui que je ferais pourtant tous les efforts du monde pour tenter de t’aider, et de te comprendre au mieux. » Les fesses rosies d’Ashlynn semblait bien propres maintenant, il était donc temps de passer à la nouvelle couche. Je soulevais à nouveau le bassin de la petite, et plaçais stratégiquement la couche déployée sous ses fesses « J’espère que…plus tard, quand tu seras en mesure de comprendre, tu ne m’en voudras pas d’avoir pris la place d'une autre, de celle qui t’as mise au monde. J’espère que tu comprendras à quel point je t’aime et que ma décision de t’adopter n’avait rien à voir avec un égoïsme de ma part de vouloir être mère ou de jouer à la poupée. Je veux juste… » je m’arrêtais dans mes gestes, et me redressais un instant, prenant mesure de mes mots, et après m’être pincée les lèvres, je déclarais « Je veux juste pouvoir t’offrir tout l’amour que tu mérites, et l’équilibre qu’il te faut pour grandir dans les meilleurs conditions » Je fermais alors la couche en collant les bandes adhésive sur la face avant de la couche et posait ma main sur le petit ventre d’Ashlynn en concluant « Et si ton père n’a pas dit que des conneries ; si tu développes de la même façon que lui une mémoire sans faille, alors…j’espère que tu te souviendras au fond de toi de cette conversation. Je ne suis pas ta vraie mère, mais je ferais tout pour que tu en es pourtant l’illusion et…si un jour, ça te ne suffit plus, si tu ne veux plus de moi et bah… » je laissais passé un silence en réfléchissant avant de sourire et rajoutais « eh bah tant pis pour toi, parce que je ne lâcherais pas l’affaire: Tu m’auras sur le dos jusqu’à la fin de tes jours que tu le veuilles ou non parce que…parce que je suis ta mère. POINT ! » Ashlynn n’avait rien compris, c’est sûr !! Mais moi, j’étais contente d’avoir pu lui parler de lui dire ma façon de penser plutôt que de garder ça pour moi.

Je soulevais la petite pour la prendre dans mes bras et l’embrassait sur le front et le haut du crâne. « Allez terreur !! On va maintenant aller réveiller PAPA marmotte ! tu sens bon le propre, il n’aura plus d’excuse ! »
On revenait alors dans ma chambre d’adolescente, toute propre et sentant bon le bébé tout frais !

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Summer avait fini par quitter la chambre avec Ashlynn aka la bombe humaine dans les bras. Le Dunster en avait encore le sourire aux lèvres tandis qu’il se remémorait la dernière scène. Cela avait eu du bon de les faire rire toutes les deux comme s’ils étaient enfin une famille unie et non trois êtres cohabitant par la force des choses. Il soupira de bien être, encore groggy par sa récente sieste mais également par tout ce bonheur qu’il ressentait. Paris n’avait jamais connu pareille félicité. C’était tout simplement génial et effrayant. Oui, effrayant car il se demandait quelle serait la prochaine épreuve à supporter. C’était du pessimisme à l’état brut mais il était ainsi. Le bonheur n’inaugurait jamais rien de bon dans sa vie mais cette fois-ci, il voulait y croire. Il souhaitait ardemment y croire. Tout le monde avait le droit au bonheur n’est-ce pas ? Alors pourquoi pas lui ?! Après tout ce qu’il avait enduré, après toutes les batailles qu’il avait livrées pour prouver au monde qu’il méritait à la fois la réussite et le respect. Paris voulait y croire, il en avait besoin tout simplement.

Jusqu’à présent, il s’était reposé uniquement sur lui-même mais les choses changeaient. Summer prenait de plus en plus d’importance dans sa vie, dans son cœur. Un petit grésillement sur sa gauche l’informa que le baby phone était en marche mais la confirmation vint à l’écoute de la douce voix de sa fiancée. Summer n’avait pas conscience qu’elle se livrait non pas seulement à sa fille mais également à son fiancé. Paris l’écouta avec attention, souriant de ses mots avec tendresse. Dieu qu’il aimait cette femme. Il serait capable de mourir pour elle. Son ange n’avait aucun doute à avoir sur l’avenir de leur famille. Ashlynn saurait qu’elle était aimée par sa mère et que même si le même sang ne coulait pas dans ses veines, Summer était sa mère. Et si ce n’était pas le cas, le Dunster ferait tout pour rattraper l’affaire car l’un comme l’autre, ils avaient une chance unique : elle. Summer lui avait tant donné depuis leur première rencontre. Il pouvait se remémorer chaque détail avec précision. Ils en avaient déjà vécu de belles aventures et leur histoire n’en était qu’au commencement. Diable, il était pressé de connaitre le prochain épisode car même si un drame les touchait, il avait la certitude que le sourire de Summer continuerait de le guider tout comme il en serait de même à son égard.

Paris se retourna, allongé sur le dos. Devait-il lui dire qu’il avait tout entendu ? Non. Cette conversation devait rester entre elles. Il ne voulait pas gâcher ce moment avec une blague pourrie ou il ne savait quelle repartie. Cette discussion était trop belle et pure pour qu’il la salisse ou la rabaisse même sans le vouloir. Aussi éteignit-il le babyphone avant de simuler une somnolence. « Quelle bonne odeur à mes oreilles… ma fille est à nouveau avec moi » s’exclama-t-il lorsqu’il entendit la porte s’ouvrir. Paris se releva, se frottant le visage avant de s’approcher pour les embrasser chacune à leur tour. « On ferait mieux de se rhabiller pour rejoindre tes parents non ? » lui dit-il avec un léger sourire.

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LE LENDEMAIN
Le matin avait été rythmé par quelques cours et un passage au magasin de jardinage. Apparemment mon père et Paris s’était mis d’accord pour s’organiser une journée jardinage, et au vu du temps, il aurait été dommage de ne pas en profiter. Mon père s’était mis dans la tête l’année dernière qu’il ferait enfin son potager à la mi-printemps et depuis, il s’était inventé apprenti jardinier…mais il lui fallait un pro en la matière. Qui mieux que son futur gendre pour ça ?!

Ashlynn jouait dans son parc dans le grand salon, les baies vitrés de ce dernier étant grande ouverte pour pouvoir circuler assez vite dans le cas où la petite aurait besoin de quoique ce soit et que chacun –dedans ou dehors – puisse avoir un œil sur la petite Maconahey. La chaleur avait eu raison de moi : j’avais demandé à ma mère de surveiller Ash’ le temps que je remonte me changer, et optait pour un mini short en jean et un t-shirt très fin blanc en col V, tellement fin que l’on pouvait légèrement apercevoir un soutien-gorge un peu plus foncé. Je redescendais ensuite tranquillement au rez de chaussée, croisant ma mère dans les escaliers en chemin avec la petite dans les bras. « Faut la changer » me dit-elle. J’allais tendre les bras pour la prendre mais elle m’expliquait qu’elle s’en chargeait. J’avoue que je l’avais suivis du regard, complètement dubitative : Elle allait s’occuper d’Ash’ ?! Il va pleuvoir ce n’est pas possible ! Qu’est-ce qu’il se passait dans la tête de ma mère pour qu’elle se décide à s’occuper de la fille « illégitime » de Paris, qui est de surcroit son futur gendre non désiré ? Je secouais la tête, le bruit de la porte d’entrée m’ayant sortie de mes songes, me permettant de descendre le reste des marches pour me rendre dans le jardin, en passant par la cuisine.

Je passais la baie vitrée, et reconnu cette silhouette plantée devant les marches en pierres du jardin, en train de contempler ce qu’il se passait devant elle : Cynthia. Elle venait apparemment de rentrer. Sans bruit, je marchais tranquillement derrière elle jusqu’à arriver à son niveau. « Salut » lançais-je d’un ton neutre. Cynthia tournait la tête et m’adressait un sourire de circonstance et fit semblant d’être contente de me voir « Hey, sœurette ! Ça fait un bail ! » J’haussais les épaules et répondais « Comme tu dis… » D’un geste de la tête je désignais papa et Paris et interrogeais ma sœur « Qu’est-ce que tu faisais ?! » Cynthia se reconcentrait alors sur ce qui se jouait en face de nous dans le fond du jardin : Paris torse nu et bermuda en jean, en train de s’occuper des mauvaises herbes en tirant sur les plants mort jusqu’aux racines pour les foutre dans la brouette non loin de lui, tandis que mon père en débardeur et bermuda, s’occupait des plants de tomates, suivant les instructions de mon fiancé à la lettre. « J’étais en train de mater le nouveau jardinier…je savais que papa avait envie de s’occuper plus sérieusement du jardin et de son potager, mais je ne pensais pas qu’il le ferait cette année » Je me mordais l’intérieur des joues pour me retenir de faire une remarque désobligeante : Cynthia pensait que Paris était le jardinier et venait de m’avouer clairement qu’elle le matait. Je lui arrache les cheveux tout de suite ou je m’amuse un peu à ses dépens « Je vois…Et du coup tu te sens soudain intéressée par le jardinage c’est ça ?! » « Bah écoute avec un jardinier pareil, moi je veux bien faire le potager ! » J’hochais lentement la tête, en enfonçant les mains dans les petits poches arrière de mon short, tandis que Cynthia repartait de plus belle « Nan mais matte-moi ce corps ! Cette masse de muscles. Ni trop, ni trop peu ! » « Oui, oui, je vois !!! T’as raison, il est canon ! » Confirmais-je avec l’envie de rire mais la peur au ventre. Voilà, je le savais que Paris serait à son goût « J’en ferais bien mon quatre heure moi !...avec ses petites gouttes de sueur là, qui lui coule sur le torse, c’est juste parfait ! » J’inspirais profondément pour garder mon calme. Quand ma mère arriva derrière nous « Qu’est-ce que vous faites ?! » j’ouvrais alors la bouche en premier et déclarais : « Oh bah moi j’écoute une Cynthia dans toute sa splendeur et..Cynthia, elle, est en train de baver sur mon fiancé pour changer ! » Je sentais la surprise de Cynthia, l’ayant perçue du coin de l’œil, mais je ne voulais pas prêter attention à elle, préférant descendre les marches en pierre et rejoindre mon père et l’homme de ma vie. Arrivée jusqu’à eux, Paris se tourna vers moi, et je lui adressais un petit signe de la main, en souriant timidement, le cœur n’y étant pas vraiment. « Hey… » je regardais le résultat de leur travail, et voyant bien que Paris se demandait ce qu’il se passait, je lui désignais discrètement Cynthia au loin, d’un petit mouvement de tête : « Ma sœur vient d’arriver…et tu fais déjà bonne impression » je souriais du coin de la bouche tandis que mon père se redressait parce qu’il m’avait entendu.  

AVENGEDINCHAINS
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