Hello les beaux-parents
Paris et sa connerie…ça ne fait pas deux !! C’est une seule et même entité ! Et clairement là, il l’assumait à 3000%. Je secouais la tête, dépitée d’entendre un tel débit d’idiotie que j’avais presque envie d’épargner Ashlynn et quittant la pièce avec elle
« petite moule juvénile…tu appelles la nénette de ta fille « petite moule juvénile »…mon dieu, t’es indécrottable » soupirais-je non sans sourire parce que j’avoue que les mots de Paris était bien souvent risibles !
En parlant d’indécrottable, il fallait lui rappeler combien les couches pleine de sa fille sentait bon le petit pot digéré ! Il le méritait, vu la lâcheté dont il faisait preuve en cet instant en cherchant à se recoucher. Paris s’agitait bien vite après avoir senti le doux parfum de sa fille au caca d’or, et éclatait de rire ensuite en me renversant sur le lit. Je tenais toujours Ashlynn dans mes bras et riais également de bon cœur tandis que la petite blondinette criait d’enthousiasme dans nos oreilles ! Je suppliais très vite Paris d’arrêter ses chatouilles
« Stop, arrête ça, j’suis déjà à bout de force ». Je n’étais pas encore remise de nos précédents ébats, et dieu sait que se crisper sous les chatouilles est un exercice en soit ! Je soupirais alors, soulagée de ne plus sentir le Dunster me torturer sous ses doigts, et l’entendait me demander à nouveau d’aller changer Ash’, me rappelant à sa façon que maintenant, j’étais SA mère et que j’avais des responsabilités à tenir
« Même avant de l’être, je le faisais ! Tu parles d’une nouveauté » argumentais-je en pouffant légèrement avant de me relever et d’emmener le petit monstre des couches avec moi.
« C’est bon t’as gagné, on s’en va ! » lançais en soulevant Ashlynn dans les airs un petit instant pour mieux la serrer dans mes bras ensuite
« vient ma puce, je vais faire en sorte que tu aies les fesses à nouveau toutes propres, pendant que monsieur ton père écrasera sa bulle ici ! » On quittait alors la pièce pour nous diriger dans la chambre d’amie, là ou résiderait temporairement Ash’ pendant le séjour
Une fois à l’intérieure, je posais Ash sur le lit d’adulte dans la pièce, l’allongeant sur le matelas à langer de voyage ! Je m’assurais qu’elle soit bien placée au milieu du lit et calée, avant de m’affairer à préparer une couche propre qui empilée non loin, et de prendre des lingettes, du liniment, et du coton. Je me croyais seule avec Ashlynn au point d’oublier que le baby phone était encore actif. Et c’est entre filles, que je commençais mes confidences.
« Bon, enfin seule, crevette ! On va pouvoir causer toi et moi… » Lançais-je avant d’hausser les épaules,
« enfin…j’ai plus l’impression que c’est moi qui vais faire tout le boulot en parlant et toi qui vas écouter » je détachais alors les attaches de la couche d’Ash et soulevait le pan du devant pour découvrir l’ampleur des dégâts
« Bon sang, t’y vas vraiment pas de main morte ma belle ! » Ashlynn se mit à rire – ou à se moquer allez savoir – et je ne pu m’empêcher de m’écarter un peu pour prendre un peu d’air.
« Va falloir qu’on passe un deal toi et moi. A partir de maintenant, je te demanderais d'être indulgente avec moi… » mon ton au départ faussement autoritaire, se changeait en appréhension et avec douceur, tout en procédant au nettoyage des fesses de Ash, je me confiais
« Tu vas me dire que j’ai l’habitude maintenant, que je me suis occupée de toi depuis quelques mois déjà et que ça changera pas grand-chose, mais…crois-moi, c’est pourtant bien différent. Je…Je ne serais pas toujours parfaite. A vrai dire, je ne crois pas que je le serais un jour, c’est assez dur à atteindre la perfection dans le domaine de la parentalité… » je retirais la couche sale de la petite de dessous ses fesses en soulevant le bassin d’Ash puis remplissait la couche sale des lingettes utilisées et autre coton, pour fermer une bonne fois pour toute le sac à caca. C’est une petite cul nue et en train de se prendre les pieds qui se présentait devant moi pendant que je m’emparais d’un coton imbibé de liniment pour procéder au nettoyage et continuer mon monologue
« Je te demande pardon par avance pour les fois où je serais maladroite avec toi…où je serais complètement à côté de la plaque. Il y aura des fois, où, en grandissant, tu te diras que je suis vraiment pas douée et que je comprends jamais rien à ce que tu ressens…s’il te plait, crois-moi quand je te dis aujourd’hui que je ferais pourtant tous les efforts du monde pour tenter de t’aider, et de te comprendre au mieux. » Les fesses rosies d’Ashlynn semblait bien propres maintenant, il était donc temps de passer à la nouvelle couche. Je soulevais à nouveau le bassin de la petite, et plaçais stratégiquement la couche déployée sous ses fesses
« J’espère que…plus tard, quand tu seras en mesure de comprendre, tu ne m’en voudras pas d’avoir pris la place d'une autre, de celle qui t’as mise au monde. J’espère que tu comprendras à quel point je t’aime et que ma décision de t’adopter n’avait rien à voir avec un égoïsme de ma part de vouloir être mère ou de jouer à la poupée. Je veux juste… » je m’arrêtais dans mes gestes, et me redressais un instant, prenant mesure de mes mots, et après m’être pincée les lèvres, je déclarais
« Je veux juste pouvoir t’offrir tout l’amour que tu mérites, et l’équilibre qu’il te faut pour grandir dans les meilleurs conditions » Je fermais alors la couche en collant les bandes adhésive sur la face avant de la couche et posait ma main sur le petit ventre d’Ashlynn en concluant
« Et si ton père n’a pas dit que des conneries ; si tu développes de la même façon que lui une mémoire sans faille, alors…j’espère que tu te souviendras au fond de toi de cette conversation. Je ne suis pas ta vraie mère, mais je ferais tout pour que tu en es pourtant l’illusion et…si un jour, ça te ne suffit plus, si tu ne veux plus de moi et bah… » je laissais passé un silence en réfléchissant avant de sourire et rajoutais
« eh bah tant pis pour toi, parce que je ne lâcherais pas l’affaire: Tu m’auras sur le dos jusqu’à la fin de tes jours que tu le veuilles ou non parce que…parce que je suis ta mère. POINT ! » Ashlynn n’avait rien compris, c’est sûr !! Mais moi, j’étais contente d’avoir pu lui parler de lui dire ma façon de penser plutôt que de garder ça pour moi.
Je soulevais la petite pour la prendre dans mes bras et l’embrassait sur le front et le haut du crâne.
« Allez terreur !! On va maintenant aller réveiller PAPA marmotte ! tu sens bon le propre, il n’aura plus d’excuse ! »On revenait alors dans ma chambre d’adolescente, toute propre et sentant bon le bébé tout frais !