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Hello les beaux-parents.

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« Pourquoi ? Le chocolat est banni dans votre famille ? » demanda-t-il complétement paumé car il voyait pas le rapport entre la belle-mère, le piège et le chocolat. Maintenant, Paris n’allait plus voir le moindre carré de cette douceur sans suspicion. Si ce n’était pas malheureux tout ça ?! Ce qu’il y avait de plus malheureux, c’était très certainement le fait de laisser une Summer en mode totalement frustrée sexuellement. Le Dunster se voyait mal expliquer le lendemain pourquoi tel ou tel meuble était pété ou pourquoi c’était le foutoir dans une pièce. Il n’était pas fou… il connaissait juste trop bien sa fiancée. « Je suis pas certain que ton père apprécierait que je te tringle contre un mur de la maison bébé » rétorqua-t-il en retrouvant son franc parler habituel qui sentait bon le romantisme et l’amour. Paris n’en avait pas conscience mais il se donnait envie tout seul avec ce genre d’image en tête et Summer n’arrangeait rien en se comportant de la sorte. « Ouais mais moi j’ai pas trop envie qu’elle le voit junior ! Je voudrai pas foutre des complexes à ton père » rigola-t-il avant de gémir quand elle se lit à suçoter le lobe de son oreille. Bon sang, il allait la violer sur place surtout qu’à présent, junior se réveillait peu à peu. « Tu crois qu’il est l’heure de mettre la petite à la sieste ? Le temps de la changer, de préparer le lit, de lui raconter une histoire… » commença-t-il même si derrière les paroles pleines de bons sentiments d’un père inquiet, se cachaient les désirs d’un homme au bord du gouffre. « Tu auras ma perte sur la conscience » grommela-t-il en la plaquant contre son bassin pour qu’elle se rende bien compte de l’état dans lequel, elle le mettait.

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« Oh non, au contraire, c’est le pêché mignon de tout le monde ici… mais c’est aussi l’élément idéal pour y fourrer des laxatifs dedans ! » déclarais-je en accompagnant le tout d’un clin d’œil ! Et c’est peut-être ce début de comportement qui fut le point de départ d’une envie mutine de ma part de jouer un peu avec Paris. Entre mes mains qui voulaient le posséder et ma bouche qui souhaitait marquer son territoire, j’avoue que je donnais moi-même pas cher de mes capacités à résister à ce corps puissant, ce sourire ravageur, cette voix rauque et …. Ce bassin expressif qui se presse contre moi à l’instant même. Hmmmm, je ne sais pas qui aura la perte de l’autre en réalité. Mes lèvres reprenaient possession de la bouche de Paris parce que j’avais besoin de calmer mes ardeurs, mais entre deux baisers, j’avais l’esprit qui se laissait aller à d’autres projets que celui d’aller dans le salon pour un café. Dans un souffle, j’avouais que la proposition d’utiliser Ashlynn comme excuses étaient tentante « Non seulement il est l’heure pour elle mais…je crois bien que nous aussi, on aurait bien le droit d’invoquer une sieste à cause du voyage et du réveil à l’aube qui nous à plomber. Comme ça…. » Je mordais à mon tour la lèvre inférieure de Paris, l’humidifiant au passage du bout de la langue en ajoutant « …tu pourras me « tringler contre un mur », comme bon te semble ! » J’usais rarement du même vocabulaire que Paris, mais je savais que lorsque je jouais à cela, je ne laissais pas le Dunster indifférent. Mes mains redescendaient à nouveau jusqu’au fesses de Paris, exerçant une pression sur celles-ci pour coller un peu plus le bassin de Paris contre le bas de mon abdomen. Alors ? Code Marie Claire ou pas ?

« Bon qu’est-ce que vous faites là ?! On vous attend ! Le café va refroidir….et ton père risque de finir gaga si ça continue…il faut pas le laisser avec Ashley trop longtemps » Ma mère…meilleur STOP du monde ! « Ashlynn, maman » « Oui rho, tu m’as comprise… » me répondait-elle avant de repartir dans le salon en nous faisant signe de se dépêcher.


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« Non mais sérieusement, ta mère serait capable de me foutre un laxatif dans le café ? » lui demanda-t-il légèrement paniqué. Il n’avait pas prévu une belle-mère psychopathe. « Je te jure, elle le fait, je le dis à ma mère » bougonna-t-il comme un gamin qui a besoin que sa mère vienne le défendre -en même temps, quand on connaissait Grace Maconahey… Enfin le plus urgent peut-être était très certainement de gérer la sexualité débridée de sa fiancée qui, était gentiment mais sûrement en train de l’allumer. Paris n’en menait pas large surtout quand elle commença à reprendre ses propres termes. Il en lâcha une plainte gémissante. « Tu n’as pas le droit de me sortir un truc pareil… comment veux-tu que je reste sage… je t’ai dans la tête »râla-t-il avant de l’embrasser passionnément, soupirant en sentant son érection se frotter contre le ventre de sa fiancée. Dieu qu’il avait envie d’elle et même l’intervention de sa mère n’y changea rien. « Marie-Claire ! Je ne peux pas aller devant tes parents dans cet état ! » marmonna-t-il en tentant de penser à sa grand-mère en string en train de bouger ses fesses comme les danseuses de hip hop. Malheureusement son cerveau refusait de mettre l’image de sa défunte parente pour y afficher celle de sa fiancée. Génial ! « Marie-Claire définitivement… je vais installer le lit d’Ashlynn… tu m’excuseras auprès de ta mère et de ton père mais clairement, je suis pas visible » ricana-t-il à moins que Summer ne veuille que ses parents soient outrés de le voir avec une trique d’enfer. Paris l’embrassa une dernière fois avant de lui faire un petit clin d’œil et de grimper pour tout installer. Ashlynn devait tout de même faire sa sieste et eux… eux disons que ce serait une sieste plus que crapuleuse ! Une chose était certaine, le Dunster connaissait quelqu’un qui allait mordre l’oreiller dans peu de temps.

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Ce petit jeu que j’avais provoqué pour titiller Paris se retournait maintenant contre moi. Je perdais patience, mon envie de Paris se faisant plus présente, si bien qu’il devenait urgent de ne surtout plus parler de ma mère. Voilà pourquoi je me devais de rassurer Paris : « Je te taquine bébé, elle n’irait pas jusque-là…elle s’est très bien qu’elle serait la première soupçonnée de toute façon » Ceci étant dit, je pouvais revenir aux choses sérieuses, à savoir : me délecter de l’effet que je faisais à Paris, en me disant que l’effet qu’il me faisait était plus que comparable dans cette circonstance. Je sentais des fourmillements dans mon ventre, et je ne me parle même pas de la sensation ressentie au moment où Paris pressait son bassin contre mon ventre. « Tu emplois bien ces termes en provoquant un tsunami en moi, alors je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas en faire autant.. » argumentais-je alors que Paris râlait faussement contre mon comportement espiègle. Ma mère débarquait, signe qu’on allait devoir rendre des comptes, mais une fois qu’elle disparaissait à nouveau dans le salon, Paris m’assurait qu’il n’allait pas pouvoir faire acte de présence…Pas la peine d’en dire plus, son bassin parlait pour lui. Je grognais alors de plaisir à son oreille, le pressant une dernière fois contre moi « Je vais chercher Ashlynn et prétexter une sieste pour tout le monde…t’endors pas avant mon retour par contre » lui soufflais-je en embrassant son lobe une nouvelle fois et m’écartant de lui par la suite, à contre cœur. Paris grimpait alors les escaliers quatre par quatre, ce qui me fit doucement rire. Seulement voilà, hors de question d’avoir l’air amusée en retournant au salon. C’est partie pour une comédie que je n’avais pas faite depuis mon adolescence : mentir à mes parents pour pouvoir leur fausser compagnie. Je pris un air exténuée, et débarquait dans le salon pour voir mon père babiller avec Ashlynn, tandis que ma mère se servait une tasse de café. « Désolée, mais…on va devoir vous faire faux bond » « qu’est-ce qu’il se passe Chloé ? Un problème ? » Je me retenais de ne pas encore gueuler parce que le prénom « Summer » ne voulait pas rentrer dans la tête de ma mère, et ravalait mon agacement pour jouer la comédie à fond. « C’est l’heure de la sieste pour Ashlynn, et …j’avoue que Paris et moi, on s’est levée super tôt ce matin, et que le vol plus la route en voiture, ça nous a un peu claqué » Je m’étonnais moi-même d’être capable de bailler en cet instant, mais ça m’aidait bien pour la suite, je dois bien l’admettre. Je fis quelques parts vers mon père pour récupérer la petite et la prendre dans mes bras, et instinctivement je déposais un baiser sur le front de ce petit amour, en la serrant ensuite contre moi. « Paris est parti lui monter son lit parapluie et on doit encore vider les valises alors…je pense qu’on va faire tout ça et se reposer un peu. » « Oh d’accord ma chérie, allez-vous reposer…de toute façon, on a tout le temps de profiter de ce séjour avec vous, n’est-ce pas ?! » Je souriais à mon père et marchais à reculons jusqu’à l’alcôve du salon, tentant au mieux de ne pas me précipiter et griller mes plans «oui papa, on aura tout le temps. » Ma mère me regardait perplexe, mais moi je ne me démontais pas, quittant la pièce en saluant mes deux parents. Et une fois à l’abri des regards, je tenant fermement Ashlynn avec moi et montait les marches deux à deux pour ma part, par précaution, tandis que la petite se marrait. Je débarquais enfin à l’étage et ouvrait la porte de la chambre d’amis pour voir Paris s’affairer avec le lit parapluie « Tu t’en sors ? »  


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Summer et Paris avaient tout de même le chic pour s’allumer bien comme il faut songea ce dernier non sans sourire. Au départ, il était resté pas loin de la porte pour l’écouter mentir à ses parents, trouvant qu’elle était une excellente comédienne mais bien vite l’urgence de la situation le rattrapa et il se dépêcha de grimper les escaliers pour pouvoir tout préparer : le matelas à langer, les couches, le produit pour les fesses etc. Puis, il s’occupa de monter le lit parapluie. Il en était là quand sa belle revint vers lui. « Voici mon actrice préférée… tu sais que tu mérites de belles fessées pour oser mentir à tes parents vilaine fille ? » lui dit-il avec un petit sourire canaille tandis qu’un double clac résonnait dans la pièce. « Ouep, le lit est prêt. J’ai sorti tout le nécessaire pour la changer. J’ai posé ça sur le lit… tu as besoin d’un coup de main ? » demanda-t-il en s’approchant d’elle. Un peu taquin, il profita du fait qu’elle était baissée vers la petite pour la saisir par les hanches et coller son bassin à son adorable fessier. « S’il y avait pas la petite, j’aurais eu des idées perverses » rigola-t-il avant de se détacher pour mieux terminer de préparer le lit de la petite en sortant la turbulette, les deux tétines qu’il accrocha à l’encolure de l’espèce de sac de couchage pour bébé. « Oh bon sang, j’ai cru qu’on avait oublié ses doudous » soupira-t-il de soulagement en trouvant les fameux doudous dans le fond du sac. Tout était fin prêt pour accueillir la sieste de la petite. Paris veilla tout de même à enclencher le baby phone juste au cas où qu’Ashlynn ait des difficultés à s’endormir dans ce lieu inconnu. Il lui tardait de pouvoir se retrouver seul avec sa fiancée. « Je vais la coucher, tu peux m’attendre dans la chambre, j’en ai pas pour longtemps » lui proposa-t-il une fois qu’elle lui eut changé la couche. « Y a un petit cadeau pour toi dans mon sac… j’aimerai beaucoup que tu le portes » la taquina-t-il en prenant la petite.

Le fameux cadeau

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Je jouais faussement les fières quant Paris me qualifiais d’actrice, mais je rougissais tout de même honteuse à cause de méfaits « J’ai eu l’impression d’avoir à nouveau 15 ans, c’est dingue. J’avais le cœur qui palpitait… » Avouais-je avant d’ajouter après mure réflexion : « mais je pense que c’est aussi à cause de toi que je m’agitais comme ça ». Tout en demandant à Paris s’il s’en sortait, je vis qu’il avait tout préparé sur le lit et allait changer la petite pour sa sieste « Nan, ça ira je te remercie » déclarais-je en commençant par déshabiller Ashlynn, jusqu’à lui retirer que la partie basse de son body pour m’affairer sur la couche. Je retirais les scotchs et préparais non loin une nouvelle couche, quand je sentis Paris me prendre par les hanches. Ma position lui donnait sans doute des idées, et j’avoue qu’il venait de faire naître les miennes également. Je me pinçais les lèvres, me bloquant dans mes gestes au moment où le Dunster me parlait « avec ou sans la petite, tes idées sont perverses… » Le taquinais-je parce qu’il faut bien avouer que la présence d’Ashlynn ne changerait à ce qui se passait dans l’esprit mal placé de chacun. Paris s’éloigna, et j’avais déjà envie de râler en ne sentant plus sa présence derrière moi, mais cela me permettait néanmoins de me reconcentrer sur la petite. Coton, liniment, couche pleine de pipi contre nouvelle couche propre, et le tour était joué ! Je refermais le body au moment où Paris soufflais de soulagement après avoir retrouvé les doudous « On aurait été bons pour la prendre avec nous dans le lit pendant ces 5 jours… » Déclarais-je en me redressant, la petite avec moi dans les bras. Je souriais alors à Paris en ajoutant « on l’a échappé belle, hein ?! » je pouffais de rire, puis tendais la petite à son père, alors que ce dernier piquait ma curiosité en parlant d’un cadeau dans son sac…que je devais porté « Rien que ça…je sens que cette « sieste » ne sera pas si reposante que ça, j’ai l’impression » murmurais-je avant d’embrasser Paris en me mettant sur la pointe des pieds. « J’y cours alors…rejoins-moi vite, je suis en train de bouillir » avouais-je avant de quitter la pièce, non sans avoir embrassé Ashlynn au passage deux fois, pour lui souhaiter une bonne GROSSE sieste !

Je me faufilais ensuite dans mon ancienne chambre d’adolescente, et cherchait très vite le sac de Paris pour le mettre sur le lit et l’ouvrir à la hâte. Et je découvrais à la fois amusée et rougissante, le cadeau de Paris. Je me mordais la lèvre en détaillant la dentelle noire, émettant un « Woaw » qui en disait long sur la beauté de cette lingerie. « Ni trop vulgaire, ni trop innocent…. » Déclarais-je pour moi-même avant de me redresser, lingerie en main « C’est tout bon pour moi ! » Je sortais discrètement de la chambre pour me rendre dans la salle de bain pas loin, et me préparais au plus vite pour revenir quelques minutes plus tard dans la chambre. Paris n’étant toujours pas là, j’en profitais pour dégager le lit de toutes les valises, et rangeais le tout dans un coin de la pièce, et une fois fait, je décidais de m’asseoir sur la chaise en face de ma petite coiffeuse – celle qui avait été témoin de mes premiers pas de coquetterie – prenant une position telle que je pouvais ajouter un petit jeu de jambe, tendant l’une d’entre elle vers la dite coiffeuse, le talon de ma cheville trouvant appui sur le meuble pour laisser entrevoir une jambe pliée, et une cuisse dénudée, prête à toutes les caresses. Et c’est ainsi que j’attendais Paris, bien adossée à ma chaise, et patiente en apparence alors qu’en moi, c’était une véritable tempête !


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Il était vraiment amusant de la voir rougir pour un simple mensonge. « Laisse moi deviner, tu n’aimes pas mentir à tes parents ? » la taquina-t-il de bon cœur. Paris lui, ne comptait même plus le nombre de fois où il avait menti à sa mère ni même le nombre de fois où il s’était fait prendre en plein mensonge. Grace avait beau être stone la moitié du temps -du moins quand il était adolescent, elle le connaissait par cœur pour se rendre compte qu’il la faisait tourner en bourrique. « Par contre j’avoue que j’aime quand tu t’agites rien qu’en pensant à moi… cela me donne encore bien plus envie de te croquer » lui avoua-t-il tout en se rapprochant d’elle pour mieux la saisir par les hanches. Un petit rire secoua ses larges épaules quand Summer émit que ses idées étaient toujours perverses malgré la petite. « Tu as pas tort » lui dit-il avant de reprendre la préparation pour la sieste d’Ashlynn. « Ouais… non mais là, j’allais dans le premier magasin et je lui en rachetais des doudous » grimaça Paris qui même s’il adorait sa fille, ne se voyait pas la garder avec lui, toutes les nuits. Bonsoir l’intimité du couple !

« Je fais vite ne t’inquiète pas » soupira-t-il en la voyant partir. Paris avait déjà hâte de la voir dans ce petit ensemble noir. Au départ, il n’avait pas prévu de l’acheter et encore moins de l’embarquer dans son sac mais cela avait été plus fort que lui. Il adorait lorsque Summer portait de la lingerie, cela avait le don de déclencher en lui des pensées franchement pas catholiques. « Allez ma puce, c’est l’heure de faire une grosse sieste » dit-il en commençant à la border. « Fais dodo, Ashlynn ma petite fille… fais dodo, papa veut pécho maman » chantonna-t-il de sa voix grave tout en marchant dans la chambre. Au bout de dix minutes, la petite dormait à poings fermés dans ses bras et c’est avec délicatesse qu’il la reposa dans son lit. « A toute à l’heure.. » dit-il avant de quitter la chambre pour mieux traverser le couloir et avoir la plus belle vision du monde. « On vous a déjà dit mademoiselle que vous êtes merveilleusement belle et sexy ? » dit-il avec un sourire séducteur tout en s’approchant d’elle. Summer était réellement belle et attirante si bien que ses doigts s’égarèrent sur cette cuisse dénudée sans la lâcher du regard. « Je ne pensais pas que cela t’irait à ce point-là… Elle te plait ? » lui demanda-t-il en prenant appui sur la coiffeuse pour mieux masser son mollet avec ses mains, remontant vers le creux de son genou.

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A peine Paris était rentré dans la chambre, que mon cœur fit un bond dans ma poitrine, tellement j’étais excitée et impatiente de le retrouver. Il arborait ce sourire charmeur, celui qui me faisait fondre, et ses premiers compliments me fit rougir ; non pas parce qu’il jouait à un jeu de séduction mais bel et bien parce que je prenais chacune de ses paroles au premier degré et de ce fait, ses compliments m’allaient toujours droit au cœur. « Oh vraiment ?! Eh bien…j’en ferais part à mon fiancé, parce que c’est clairement grâce à lui que je suis à ce point épanouie ! » Répondais-je tout en penchant la tête sur le côté tout en le suivant du regard alors qu’il s’approchait de moi. Ses doigts effleuraient alors ma cuisse, et je venais y ajouter les miens, plaçant ma main au-dessus de la sienne pour la caresser et remonter à son avant-bras. Ce n’est qu’au moment où Paris prit appui sur la coiffeuse que j’abandonnais temporairement son bras, et m’intéressais plutôt à ce qui venait de se poser en face de moi. J’arborais un sourire espiègle tandis que Paris me demandait si la lingerie me plaisait : « Hmmmm….elle me donne l’impression d’être élégante, et audacieuse à la fois » répondais-je non sans feinter la réflexion « En gros, garce sexy, mais pas trop !! » je riais alors à ma remarque et ajoutais pour rassurer Paris « J’adooorrre ça ! » j’hochais la tête en même temps, et souriais toujours mais mes yeux descendaient soudain vers un point en particulier : Paris me massait le mollet et remontais jusqu’à mon genou, et je profitais alors de cette position pour venir caler mon pied entre ses jambes. Pile au niveau de Junior, ne serait-ce que pour m’amuser à le froler du bout du pieds et de le caresser comme je pouvais « Mais le but principale, c’est qu’elle te plaise à toi mon cœur… » déclarais-je pour rester dans le sujet de la lingerie, bien que mon esprit était déjà partie ailleurs ! Puis, avec un air faussement innocemment et un ton détachée, je questionnais le Dunster « Ashlynn s’est endormie ? T'as pas eu trop de mal ?... » comment dévier une conversation pour donner le change, alors qu’en ce moment même on est en train de faire les choses les plus viles, en titillant son mec à l’entrejambe…c’est typique MOI, ça !


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Paris avait eu la plus belle des visions en entrant dans la chambre d’adolescente de sa fiancée. Summer l’attendait dans cet ensemble de lingerie qu’il avait eu la bonne idée de lui offrir. Il pouvait sentir son impatience, il le lisait dans son regard aussi qui suivait le moindre de ses mouvements. « A vraiment ? Votre fiancé en a bien de la chance… Homme chanceux et heureux, je n’en doute pas un seul instant » rétorqua-t-il avec son sourire toujours aussi séducteur. Sa peau était toujours aussi douce et soyeuse au toucher. Paris pourrait passer des heures à la caresser tant il aimait sentir sa chaleur contre ses mains. Un petit rire secoua ses larges épaules alors qu’elle lui confiait se sentir comme une garce sexy mais pas trop. « Tu es très sexy et elle me plait bien plus maintenant que tu la portes » lui dit-il avant de déglutir difficilement quand il sentit son pied s’amuser à titiller son entre-jambe. Il n’en fallait pas plus pour que junior ne s’éveille et essaie de se faire la malle de son jean. « Oui, elle dort… S’il y a le moindre problème, j’ai activé le babyphone » soupira-t-il en attrapant sa cheville. « On t’a jamais dit que tu étais une vilaine fille ? » lui demanda-t-il en écartant son pied pour mieux venir s’agenouiller entre ses jambes. « Tout comme t’aies-je déjà dit combien tu me donnes envie à chaque fois que je croise ton regard, de te dévorer tout cru ? » lui demanda-t-il en caressant ses cuisses pour mieux remonter vers son ventre plat. Ses doigts glissèrent sous le voile de son haut pour dessiner des demi-cercles sur sa peau à l’aide de ses pouces. « Par contre, je me pose une question… Quels ont pu être les fantasmes d’une Summer adolescente ? » demanda-t-il avant de se pencher vers elle pour soulever ce fameux voile et déposer une série de baiser sur son ventre plat.
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Ce petit jeu-là ? Paris et moi, on s’y adonnait souvent. Prendre le temps, mais pas trop ! S’exciter, mais pas trop ! Enfin…pour ce dernier cas, on n’arrive pas encore très bien à cerner la limite du « pas trop ». Il n’est pas rare que l’un de nos finisse par craquer et sauter sur l’autre avant l’heure ! « Alors ma mission est accomplie » fis-je remarquer en parlant de la lingerie et du faite que cette dernière soit au goût de mon amant. Mais mon petite numéro de la petite innocente après ça, fit chou blanc ! Paris ne marchait pas dans mon jeu, attrapant ma cheville en me signalant que j’étais une vilaine fille. Je gloussais d’amusement tout en posant mes mains sur mes cuisses, et secouais faussement la tête par la négative « Nan, jamais…on m’a toujours dit que j’étais un ange » répondais-je effrontément à la première remarque du Dunster jusqu’à ce qu’il m’avoue vouloir me dévorer toute crue. Là je souriais timidement et me pinçais les lèvres pour cacher un potentiellement rougissement, mais c’était peine perdue : premièrement, les mains baladeuses de Paris ne m’aidait en rien : deuxièmement sa question sur mes fantasmes, fut la question de trop. Les joues teintées pourpre, mes mains qui avaient quitté mes cuisses pour laisser Paris s’y aventurer, se posèrent sur mon visage, alors que je secouais la tête « Nan, pas ça…me demande pas ça. C’est idiot en plus comme fantasmes » Je retirais mes mains et fit mine de changer le sujet, en changeant de cible justement. Il fallait que Paris ne s’intéresse pas à moi, mais il fallait au contraire que ce soit à moi de m’intéresser à lui. Je me redressais un peu de ma chaise, forçant Parsi à lâcher retirer ses mains temporairement de mon corps, et je me levais de ma chaise pour me planter debout devant le Dunster, prenant son visage en coupe entre mes mains. Lui volant un baiser, puis deux, je lui proposais autre choses : « Tu voudrais pas plutôt enlever ta chemise là, maintenant, que je puisse baver sur ton corps d’athlète un instant ? » Baver oui, mais surtout, que je puisse poser mes lèvres partout sur son corps, parce que j’étais plus qu’en manque. Il n’y a qu’à voir, comment j’étais déjà en train de tirer sur encolure de sa chemise tout en l'embrassant pour le forcer à ouvrir les boutons avant que je ne les fasse péter.

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