Hello les beaux-parents
Je jouais faussement les fières quant Paris me qualifiais d’actrice, mais je rougissais tout de même honteuse à cause de méfaits
« J’ai eu l’impression d’avoir à nouveau 15 ans, c’est dingue. J’avais le cœur qui palpitait… » Avouais-je avant d’ajouter après mure réflexion :
« mais je pense que c’est aussi à cause de toi que je m’agitais comme ça ». Tout en demandant à Paris s’il s’en sortait, je vis qu’il avait tout préparé sur le lit et allait changer la petite pour sa sieste
« Nan, ça ira je te remercie » déclarais-je en commençant par déshabiller Ashlynn, jusqu’à lui retirer que la partie basse de son body pour m’affairer sur la couche. Je retirais les scotchs et préparais non loin une nouvelle couche, quand je sentis Paris me prendre par les hanches. Ma position lui donnait sans doute des idées, et j’avoue qu’il venait de faire naître les miennes également. Je me pinçais les lèvres, me bloquant dans mes gestes au moment où le Dunster me parlait
« avec ou sans la petite, tes idées sont perverses… » Le taquinais-je parce qu’il faut bien avouer que la présence d’Ashlynn ne changerait à ce qui se passait dans l’esprit mal placé de chacun. Paris s’éloigna, et j’avais déjà envie de râler en ne sentant plus sa présence derrière moi, mais cela me permettait néanmoins de me reconcentrer sur la petite. Coton, liniment, couche pleine de pipi contre nouvelle couche propre, et le tour était joué ! Je refermais le body au moment où Paris soufflais de soulagement après avoir retrouvé les doudous
« On aurait été bons pour la prendre avec nous dans le lit pendant ces 5 jours… » Déclarais-je en me redressant, la petite avec moi dans les bras. Je souriais alors à Paris en ajoutant
« on l’a échappé belle, hein ?! » je pouffais de rire, puis tendais la petite à son père, alors que ce dernier piquait ma curiosité en parlant d’un cadeau dans son sac…que je devais porté
« Rien que ça…je sens que cette « sieste » ne sera pas si reposante que ça, j’ai l’impression » murmurais-je avant d’embrasser Paris en me mettant sur la pointe des pieds.
« J’y cours alors…rejoins-moi vite, je suis en train de bouillir » avouais-je avant de quitter la pièce, non sans avoir embrassé Ashlynn au passage deux fois, pour lui souhaiter une bonne GROSSE sieste !
Je me faufilais ensuite dans mon ancienne chambre d’adolescente, et cherchait très vite le sac de Paris pour le mettre sur le lit et l’ouvrir à la hâte. Et je découvrais à la fois amusée et rougissante, le cadeau de Paris. Je me mordais la lèvre en détaillant la dentelle noire, émettant un
« Woaw » qui en disait long sur la beauté de cette lingerie.
« Ni trop vulgaire, ni trop innocent…. » Déclarais-je pour moi-même avant de me redresser, lingerie en main
« C’est tout bon pour moi ! » Je sortais discrètement de la chambre pour me rendre dans la salle de bain pas loin, et me préparais au plus vite pour revenir quelques minutes plus tard dans la chambre. Paris n’étant toujours pas là, j’en profitais pour dégager le lit de toutes les valises, et rangeais le tout dans un coin de la pièce, et une fois fait, je décidais de m’asseoir sur la chaise en face de ma petite coiffeuse – celle qui avait été témoin de mes premiers pas de coquetterie – prenant une position telle que je pouvais ajouter un petit jeu de jambe, tendant l’une d’entre elle vers la dite coiffeuse, le talon de ma cheville trouvant appui sur le meuble pour laisser entrevoir une jambe pliée, et une cuisse dénudée, prête à toutes les caresses. Et c’est ainsi que j’attendais Paris, bien adossée à ma chaise, et patiente en apparence alors qu’en moi, c’était une véritable tempête !