Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHello les beaux-parents. - Page 3
Le Deal du moment : -19%
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H ...
Voir le deal
1299 €


Hello les beaux-parents.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Hello les beaux-parents
Paris avait suivi John dans son bureau ayant l’impression de passer dans celui du principal ou d’être à nouveau confronté au jury d’Harvard. C’était une sensation désagréable surtout pour lui qui ne supportait que rarement la critique. Alors peut-être se montrait-il un peu trop dur envers la frangine mais le Dunster ne la portait pas dans son cœur. « Justement, le fait que vous ne preniez pas position a fait beaucoup souffrir Summer ! Il y a plein de choses qui la font souffrir dans cette famille. Ecoutez, je ne suis pas là pour vous donner des leçons car ma propre famille est complétement timbrée et dysfonctionnelle… Je dis juste qu’avant de me demander patte blanche, vous feriez mieux d’en faire de même » commença-t-il avec son aplomb habituel. On aurait pu croire que Paris allait se montrer sage, qu’il allait bien se tenir mais c’était sans compter sur sa grande gueule et son amour pour sa fiancée. « Je vis avec Summer au quotidien, elle manque cruellement de confiance en elle et faut pas chercher midi à quatorze heures… Je ne suis pas parfait comme vous ne l’êtes pas non plus. On est jamais parfait dans le rôle de père ou de mère mais la seule chose que je sais et qu’Ashlynn ne supportera jamais, ce sont les critiques non constructives qui peuvent vous détruire une vie. Si vous voulez protéger votre fille autant que je le vois dans votre attitude alors commencez déjà par crever l’abcès qui ronge les rapports entre sa mère et elle voire entre les trois femmes de votre vie » continua-t-il avec son culot et son manque de tact habituel. Paris espérait que John ne prendrait pas mal ses propos mais il était hors de question qu’il reste assis sur ce fauteuil à se faire passer aux rayons x sans pointer les sources de souffrance de sa fiancée. Summer ne le ferait jamais alors il le ferait pour elle.

« En ce qui concerne Cynthia, je ne la connais pas mais si elle tente ne serait-ce que de jouer de ses charmes avec moi pour faire un Tyler bis… Je crains fort que me connaissant, je la pourrirai sur place. Je tiens simplement à vous mettre au courant. Je vous l’ai dit, j’ai rien de l’homme parfait ni même de l’enfant de bonne famille. Je suis simplement un homme qui souhaite protéger sa famille et quand je dis famille, je parle de Summer… mais je comprends combien elle peut attendrir les autres. Summer est une femme extraordinaire, elle a le cœur sur la main et a tendance à s’oublier pour aider les autres » termine-t-il par dire avant de se passer une main dans les cheveux. Il n’avait aucune idée de la manière dont s’y prendre pour rendre heureuse cette femme. Il y allait étape par étape. « Elle, j’espère qu’elle réalisera ses rêves et s’épanouira dans la profession qu’elle aura choisi. Je ne compte pas lui demander de se sacrifier pour réaliser mes rêves. Je veux qu’elle puisse s’épanouir. Summer connait mon ambition, je ne m’en suis jamais caché. Je n’y renoncerai pas même pour elle car si je le faisais alors je suis certain que je ne serais plus l’homme dont elle est tombée amoureuse tout comme si elle renonçait à ses rêves, elle ne serait plus ma Summer »

AVENGEDINCHAINS
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Hello les beaux-parents
Les paroles du Dunster étaient dures….mais justes. John le savait. Il avait payé le prix de son silence en voyant sa fille partir loin de lui, loin de cette famille ; et aujourd’hui il se prenait la deuxième fournée de culpabilité par un homme qui lui était totalement étranger. Là où un autre mec aurait été dans le sens de John, Paris lui restait fidèle à lui-même et lâchait ses reproches…reproches que lui avait sans doute faire part Summer elle-même à l’égard de son père. Et c’est bien cela que John n’aimait pas : il n’aimait pas avoir été responsable de la tristesse de sa fille. « Tu as raison…tu y vas fort, mais…tu as raison. J’ai cru bien faire en ne voulant pas intervenir au moment des faits. Je pensais qu’en restant en retrait les choses allaient se tasser, que chacun reprendrait le cours de sa vie. J’ai cru également à tort que Summer aurait reconnu d’elle-même que Tyler ne méritait pas ses larmes, cette souffrance qu’elle avait vécue. Et J’ai cru à tort également qu’elle reviendrait à la maison….et la distance s’est creusée. Et il n’y a pas un jour où je ne regrette pas mon comportement. » Avouait le père Wingfield, vaincu. « C’est sans doute pour cela que j’attends de mon futur gendre qu’il soit là pour ma fille. Qu’il puisse réussir là où moi j’ai échoué. »

Paris exprimait ses intentions quant à son avenir, ses projets professionnels qu’il ne voulait pas lâcher pour tout l’or du monde. John pouvait comprendre cette ambition : il se reconnaissait dedans, mais c’est justement parce qu’il se reconnaissait, qu’il avait peur. « Je sais ce que c’est que de vouloir accomplir son rêve, avoir des ambitions. Et je ne peux que t’encourager dans cette voie…mais il faut aussi que tu saches que même si l’on pense agir de la bonne façon, la limite entre le bon et le mauvais choix est mince. J’ai accomplie mon rêve, et qu’est-ce que j’y ai gagné ?! Un manque de présence à la maison, des enfants qui ne voient leur père que très peu parce que tout le temps au travail. Une femme avec qui la communication devient impossible…et des enfants qui se déchirent par la jalousie…Je suis passé à côté de plein de chose. Mais…si c’était à refaire ? Je reviendrais en arrière, sans pour autant perdre mon ambition, sans mettre une croix à mon rêve. Mais…je pense que pour certains choix, je procéderais autrement » Un nouveau silence de la part de John, avant qu’il ne revienne sur un détail « Je dois avouer : je trouve la bague parfaite pour elle » John avait été discret mais il avait scruté les mains de sa fille pour prendre connaissance de la bague offerte par Paris. « Elle correspond tout à fait à Summer » concédait-il avant d’ajouter avec sincérité « Tu as très bien cerné la personnalité de ma fille…et pour cela, tu as tout mon respect. Mais j’aimerais savoir quelque chose : Quand tu as évoqué ton envie de faire d’elle la mère de ta fille…j’ai bien compris que ce n’était pas la première fois que tu en parlais avec elle. Alors ma question est : pourquoi elle ne l’est toujours pas ?! qu’est-ce qui bloque ? » John avait besoin de comprendre pourquoi sa fille était prête à s’engager avec cet homme, mais qu’elle hésitait encore à devenir la mère de sa fille ?

AVENGEDINCHAINS
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Hello les beaux-parents
Paris se serait bien baffé de temps en temps mais il partait du principe que cela ne servait à rien de jouer un rôle devant le père de Summer car il savait combien chasser le naturel et il revenait au galop. Combien de fois avait-il tenté de changer ? De croire qu’il était autre chose que lui ? Trop de fois et au final, il était revenu au même point, peut-être un peu plus désillusionné. « Votre fille vous aime et je pense que vous devriez lui dire tout ce que vous venez de me dire John. Summer a besoin d’entendre tout ça car je crois qu’elle a l’impression de vous avoir déçu avec ce connard de Tyler.. Désolé fallait que ça sorte » marmonna-t-il car il aurait aimé faire preuve de moins de grossièreté mais quand il songeait à l’ex fiancée de son ange, il avait surtout tendance à vouloir lui encastrer la gueule dans un mur. Toutefois, c’est religieusement qu’il écoutait son futur beau-père lui donner des conseils sur la manière de gérer la réalisation de leurs rêves communs mais aussi de leur couple. Il avait beau ne pas supporter la critique, le Dunster savait reconnaitre l’expérience d’autrui. « Je n’ai pas envie que ma fille souffre de mon absence et Summer encore moins. Je sais aussi que la profession dans laquelle je souhaite m’engager m’entrainera loin de ma famille par moment mais j’ai confiance également en notre couple. On ne peut pas vivre uniquement dans la peur de perdre l’être aimé. La communication, c’est la clé de bien des problèmes de couples. J’ai besoin de me réaliser en tant qu’homme et pas seulement en tant que mari ou père de famille tout comme votre fille a besoin d’en faire de même. Je ne sais pas ce que l’avenir nous réserve et je ne suis pas vraiment le genre de personne à faire des plans sur la comète mais Summer m’a appris à me reposer également sur elle tout comme j’essaie également de faire en sorte qu’elle ne passe pas son temps à s’écraser pour faire que tout le monde soit heureux autour d’elle alors qu’elle ne l’est pas » poursuivit-il en frottant les mains contre son jean. Il avait l’impression d’être réellement dans un tribunal et l’envie de rejoindre Summer le gagnait de minutes en minutes.

Néanmoins le compliment sur la bague le rassura. « C’est mon ange » murmura-t-il avant de grimacer quand John parla de la petite. « Summer craint que dans quelques années, Ashlynn ne la reconnaisse pas en tant que mère, de ne pas être réellement sa mère tout comme le fait qu’elle n’ait pas pu me donner un enfant en premier la travaille. J’ai beau lui affirmer qu’elle est la seule à pouvoir faire de moi un père… ça coince » soupira-t-il avant de tout simplement lui dire toute l’histoire entourant sa paternité et le fait qu’il avait cru durant onze mois qu’Ashlynn était sa sœur -autant être honnête. « Je suis père sur le papier, j’aime ma fille autant que vous aimez Summer mais j’ai pas la sensation d’être devenu père… C’est pour cela que seule Summer pourra véritablement faire de moi un père mais votre fille est une foutue tête de mule quand elle s’y met »

AVENGEDINCHAINS
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Hello les beaux-parents
John n’avait pas de doute quant à l’amour qu’avait sa fille. Summer était une fille pleine d’amour qui ne demandait qu’à en revendre. Mais c’est juste qu’à l’heure actuelle, il n’avait pas l’impression de le mériter. « Je comprends ton mépris pour Tyler. Je n’en pense pas moins. Et je me suis chargée de son cas bien plus tard… » Avouait à demi-mot John, en se rappelant très bien des barrières professionnel qu’il avait mis dans les roues de ce jeune gamin pervers et prétentieux. Harvard lui avait d’ailleurs fermé ses portes, et les stages en entreprises qu’il avait sollicité lui avait été refusé. Les joies d’être PDG d’une chaîne de distribution…
Paris semblait sûr de ses choix, et de ses intentions et bien que John voulait l’avertir des risques, il avait un profond respect pour l’assurance de cet homme. Et puis, monsieur Wingfield pouvait reconnaître que Paris avait de quoi impressionner : sa taille imposante, sa chemise impeccable, mais qui laissait entrevoir des muscles saillants (je vous assure que c’est John qui pense ça hein ^^)…une tête bien pleine, un caractère bien trempé…Et surtout, une volonté de faire s’affirmer Summer. Et pour cela, John ne pouvait qu’être d’accord. Il voulait que sa fille comprenne sa valeur, qu’elle sache qu’elle ne déméritait en rien du tout ! « Je comprends très bien ce que tu veux dire : qu’elle pense avant tout à elle avant de penser aux autres….mais ça, je ne suis pas sûre que tu pourras vraiment l’en empêcher ! » riait gentiment John avant de se lever de son siège pour faire le tour de son bureau, et venir s’asseoir sur le fauteuil à côté de celui de Paris, pour mieux parler de la bague, et de cette histoire d’adoption. Il ne s’agissait plus de passer un interrogatoire pour John, mais bel et bien d’avoir une conversation digne d’une confidence, et d’une inquiétude réelle. John hochait la tête à mesure que Paris expliquait les réticences de Summer « Je vois…pour une femme, être à l’origine d’une descendance, c’est tout un symbole. Mais je connais ma fille, et je sais que si elle ne se sent pas concerné par quelqu’un ou quelque chose –aussi rare que ce soit – elle n’y prête aucune attention. Hors pour ta fille, il n’y a pas de doute possible : elle agit comme une mère… » Et lorsque Paris expliquait qu’il ne se sentait pas père encore, John posait une main confiante sur l’épaule de son futur gendre « Tu seras père d’une autre façon. Disons que tu n’as pas vécu tout le processus, mais tu auras la même réaction quand elle fera ses premières grosses chutes, quand elle pleurera pour un cauchemar, quand elle pleurera pour une mauvaise note, ou des problèmes à l’école…Mais effectivement, tu ne te sens complètement PÈRE que si la mère n’est pas loin. C’est elle qui donne la vie, et qui t’accorde ce RÔLE. » mais le père Wingfield s’était mise à rire quand Paris avait qualifié Summer de tête de mûle « Elle tient ça de sa mère ! Mais faut pas le lui dire…ni à sa mère d’ailleurs ! Tu deviendrais l’ennemi public n°1 » il riait à nouveau avant de revenir à une conclusion plus sérieuse « Laisse lui le temps. Bien que, je connais ma fille : Quelque chose me dit qu’elle n’est pas loin de céder…Je l’ai observé pendant le déjeuner. Elle a un regard qui en dit long quand elle pose ses yeux sur Ashlynn »


AVENGEDINCHAINS
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Hello les beaux-parents
Paris se sentait en confiance avec John, c’était rare qu’il fasse confiance à un homme aussi rapidement surtout à un père de famille mais il y avait quelque chose chez lui… Soyons honnête, Summer tenait beaucoup de lui et il n’avait jamais su lui résister donc au père… Même pas en rêve. « Je lui accorderai tout le temps qu’elle le souhaite mais vous avez raison, j’ai toujours traité Ashlynn différemment de mes frères et sœurs. Au départ, j’avais mis cela sur le fait que ce n’était qu’un bébé mais à présent… je crois qu’au fond de moi, j’ai toujours su qu’elle était ma fille sans me l’avouer » soupira-t-il. Il était vraiment facile de parler à cet homme et cela le ramena malgré lui devant ses propres difficultés à parler avec sa mère sans que cela ne finisse en guerre ouverte. « Vous devriez réellement parler avec Summer, elle a besoin de votre discussion… Vous êtes un chouette père John, croyez-moi, j’aurais bien aimé avoir le même quand j’étais gosse ! Vous avez la chance que Summer pardonne facilement alors n’attendez trop longtemps… Cela fait des années qu’elle vit avec l’échec de sa relation avec Tyler mais également avec sa culpabilité de vous avoir déçu. Vous ne pensez pas qu’il faudrait arrêter de jouer à l’autruche chacun de votre côté ? » l’encouragea-t-il à nouveau à parler à son bébé car Paris n’avait aucune envie que le père et la fille se réveillent trop tard, comme lui, avec sa mère. Par moment, le Dunster songeait que le fossé entre lui et sa parente était trop important pour être comblé mais il comprenait que ce n’était pas facile non plus pour un parent d’accepter l’idée d’avoir déçu ou blessé son enfant. « Pour ce qui est d’Ashlynn, je sais qu’elle aura la meilleure des mères avec Summer. A votre avis, pourquoi je cherche à l’épouser, j’ai pas envie qu’on me la pique » rigola-t-il doucement avant de se relever.

« On ferait mieux de les rejoindre car je vous aime bien mais j’aime encore davantage votre fille ! » lui dit-il avec une certaine effronterie -et puis, son ange lui manquait déjà. « Par contre, ça serait avec plaisir que je vous aiderai pour votre potager ! » ajouta-t-il car leur discussion durant le repas n’était pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Finalement le père et le « gendre » retournèrent auprès des femmes et Paris enlaça Summer pour l’embrasser. « Je t’ai pas trop manqué bébé ? Non parce que toi, tu m’as affreusement manqué » lui dit-il avec un sourire séducteur avant de se tourner vers Ashlynn. « Et ma princesse aussi ! » dit-il en déposant un baiser sur le front de sa fille. Paris savait que Summer allait avoir beaucoup de questions à lui poser mais il avait envie de la faire mariner un tout petit peu.

AVENGEDINCHAINS
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Hello les beaux-parents
John comprenait parfaitement le ressenti de Paris face à Ashlynn. Bon, lui n’avait pas eu à élever son frère et sa sœur, mais il avait eu trois enfants…et il n’avait eu l’impression d’être père que lorsque Summer est venue au monde. Tout simplement parce que c’était la plus fragile des trois. Cynthia avait été une enfant débrouillarde très vite ! Tout le monde l’avait remarqué et tous les proches de la famille n’avaient eu de cesse de qualifier cette petite de prodige. Dans un sens, elle l’était oui : toujours de bonne note, de très bonnes compétences, première de sa promo, future avocate de renom…elle ne devait rien à personne pour cela. Certains diraient qu’elle doit quand même l’aspect financier de ses parents, mais ni John ni Laura n’avait vu les choses sous cet angle. L’argent n’était pas un problème pour eux, alors s’il pouvait offrir à leurs enfants le meilleur, ils n’hésiteraient pas ! Alors oui, Cynthia avait fréquenté les meilleures écoles, mais elle y était restée par la force de son ambition et de son acharnement. Mais elle en avait perdu le gout des choses simples, de la vie à côté…elle avait fini par prendre le monde qui l’entourait comme acquis. Et ce qui en découlait avait réussi à causer le déchirement d’une famille, une tension entre sœurs, et des rancœurs.

Summer, elle, c’était le petit oisillon fragile. Elle avait eu besoin de ses parents…mais surtout, besoin de leur affection. Et John avait tout de suite perçu qu’il allait être plus « père » avec elle qu’avec la première. « On dit souvent qu’une mère sait reconnaître son enfant, qu’elle a l’instinct, et que c’est à cause du lien qui les unit depuis le début de la grosses que cette reconnaissance existe…mais c’est des foutaises ça : un père est capable de reconnaître son enfant avec la même force. Et t’as bien raison de croire qu’inconsciemment tu devais savoir le lien qui t’unissait à Ashlynn. Etre père, ça ne s’invente pas ! » John prenait alors conscience que l’homme en face de lui n’était pas si différent de lui. Bon il avait certes moins de contenance, il était plus bourru et manquait parfois de tact. Mais le père Wingfield se reconnaissait en Paris : une envie de vivre un rêve tout en apprenant à se connaitre soi-même ; se rendre compte que bien qu’on pensait pouvoir faire les choses tout seul, l’amour frappait soudain à la porte pour changer la donne…Pendant qu’il réalisait tout ça, John entendait Paris lui rappeler qu’il devait vraiment parler avec sa fille. Que Summer vivait avec le sentiment d’avoir déçu son père et à ces mots, John secoua la tête : « C’est idiot…elle ne me décevra jamais…je pensais qu’avec le temps elle avait compris cela…. » Le vieil homme inspira alors profondément et tapotait l’épaule de Paris avant de retirer sa main « Je lui parlerais…Pas aujourd’hui, mais je tâcherais de lui en toucher mot pendant votre petit séjour chez nous ! » Il se leva ensuite de son siège et jetait un coup d’œil à son futur gendre avant de rire au propos du Dunster « Bah n’attends pas trop longtemps pour fixer une date ! Histoire que les gens n’oublient pas trop vite que vous êtes fiancés ! » C’était sa manière à lui de dire avec légèreté qu’il avait émis son approbation. Si Summer et Paris venait à lui demander sa bénédiction, il la donnerait volontiers. Reste encore à convaincre Laura Wingfield.

John rouvrait la porte de son bureau, libérant ainsi Paris qui commençait à être en manque « Je te comprends, fiston, je te comprends ! » concédait-il avant de montrer un vif enthousiasme pour le potager « Oh mais je compte bien sur ton aide ! On aura qu’à voir tout ça demain : j’avais l’intention de passer au magasin de jardinage dans la matinée, on pourrait sans doute y aller ensemble ? Tu me seras sans doute de bon conseil pour les équipements indispensable ». Et quelques secondes plus tard, les hommes regagnèrent le grand salon là où les femmes avaient installé de quoi prendre un café….

[...]

L’écho de voix masculines se faisaient entendre, et bizarrement la boule au ventre que j’avais depuis un moment disparaissait à l’instant même où je vis mon père passé et des bras m’entourer. Je tournais la tête vers Paris et répondait volontiers à son baiser, bien que ses propos m’intriguait « Affreusement ?! …Bon sang, qu’est-ce qu’il t’a dit ? Qu’est-ce qu’il t’a fait ?! » Demandais-je nerveusement en fixant Paris avec attention. Ce dernier s’intéressait maintenant à Ashlynn et moi je paniquais à nouveau de ce qu’il s’était passé dans ce bureau….pourtant, Paris ne semblait pas blanc comme un linge, ou stressé…nan il semblait détendu. Alors pourquoi ses dires me faisaient à ce point stressé ?

Ma mère passait devant nous avec un plateau de tasse vide et s’exclamait « Le café est prêt !...vous en prendrez Paris ?! Avec le voyage, vous avez sans doute besoin d’un petit remontant ?! » C’était quoi ce ton doux, voire mielleux là ?! Elle trafique quoi ma mère ? Elle prépare son piège ?

AVENGEDINCHAINS
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Hello les beaux-parents
Paris était heureux de voir qu’il arrivait à s’entendre avec son futur beau-père car c’était important pour lui que Summer n’ait pas à faire de choix entre sa famille et lui. Il connaissait trop la douleur des familles brisées pour être à l’origine d’une pareille souffrance en sa fiancée. Le Dunster préférait se sacrifier plutôt que de séparer un père aimant de sa fille. Ce serait un sacrifice énorme mais il était prêt à le faire à chaque instant car le bonheur de Summer valait toutes les souffrances du monde. Alors, faire en sorte que le père parle à la fille, qu’ils crèvent tous les deux un vieux non-dit, c’était déjà une petite victoire en soit pour Paris qui ressortait de cet échange avec John, détendu et ragaillardi. « Pas de souci ! J’adore faire ce genre de shopping… non parce qu’amener votre fille dans une boutique de fringues et vous êtes bons pour patienter des heures et des heures. Je vous raconte même pas quand elle est avec sa meilleure amie Amanda » soupira Paris, faussement dépité. Il se plaignait mais dans le fond, il adorait emmagasiner ce genre de souvenirs car c’étaient eux à présent qui venaient gentiment le tourmenter une fois ses paupières closes.

Les deux hommes retrouvèrent alors leurs femmes respectives et Paris ne put s’empêcher de paniquer et de le noyer sous le flot de ses questions. « Calme toi bébé, tout s’est bien passé avec ton père » lui dit-il au creux de l’oreille avant que Laura Wingfield ne vienne interrompre leur échange. Elle semblait toute gentille et mielleuse. « Euh tu crois qu’elle a foutu un laxatif dans mon café ? » demanda-t-il lorsqu’ils furent seuls à nouveau. « Tu sais que je t’aime toi ? » reprit-il pour mieux l’embrasser à nouveau. Le café pouvait bien attendre quelques instants n’est-ce pas ? Il avait trop envie de ses lèvres et de la douceur de ses bras autour de lui.

AVENGEDINCHAINS
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Hello les beaux-parents
Je ricanais comme une gamine quand Paris évoquait les laxatifs, parce que ça aurait été tellement pu être le cas en plus ! « Je ne sais pas...même moi j’avoue que ce ton ne me dis rien qui vaille » je fis une moue perplexe en réfléchissant à ce qui avait pu faire changer ma mère de comportement, mais Paris avait fini par me distraire en m’embrassant à nouveau en me prenant dans ses bras. Je me lovais très vite contre lui en passant mes bras autour de sa taille, mes mains se calant dans le bas de son dos et le creux de ses reins. Je souriais en rougissant à la remarque de Paris avant de lui répondre avec tendresse et tout l’amour que j’avais pour le Dunster « Je t’aime encore plus… » je me mettais alors sur la pointe des pieds pour venir lui voler un baiser avant d’avouer avec soulagement « Je suis ravie de savoir que ça s’est bien passé avec mon père…je t’avoue que j’avais la boule au ventre depuis tout à l’heure, c’était atroce » Je descendais mon visage dans son cou pour venir butiner ce dernier avant de murmurer à son oreille « mais j’avoue que je suis curieuse de savoir ce que vous vous êtes dits tous les deux… » Profitant que personne ne pouvait voir ce que mes mains trafiquaient dans le dos de Paris, je laissais ces dernières descendre dangereusement sur le postérieur du Dunster, caressant son fessiers par-dessus son pantalon. « Ca…c’est pour répondre à ta question de toute à l’heure : Toi aussi tu m’as affreusement manqué. »

AVENGEDINCHAINS
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Hello les beaux-parents
« Tu crois que je peux réussir à faire appel à un goûter ? J’ai pas envie de passer le reste de mon séjour avec une tourista ou un truc ignoble du genre » rétorqua un Paris en mode conneries. Il faut dire que la discussion avec John lui avait fait le plus grand bien surtout que cela lui avait permis également de glisser quelques mots sur le mal être de sa petite-amie à l’égard de sa famille. Avec le recul, son beau-père aurait pu l’envoyer paitre méchamment mais non, il avait essuyé la critique sans broncher, allant même dans son sens. Summer pouvait se vanter d’avoir le meilleur des pères. « Encore plus ? Hum non je crois pas que ce soit possible d’aimer plus que ce que je ne fais » la taquina-t-il bien volontiers en déposant un baiser sur le bout de son nez alors qu’elle lui confiait avoir eu peur. « Je ne parlerai même pas sous la torture » rigola-t-il gentiment tout en frissonnant. Les mains de sa fiancée avaient toujours eu cet effet. « Bébé, tiens-toi bien ! Je n’ai pas trop envie d’avoir la trique devant ta mère… t’imagine la confusion ?! » râla-t-il gentiment sans se dégager. « J’essaie d’être sage et toi, tu ne m’aides pas vraiment » marmonna-t-il en se penchant vers elle pour mordiller sa lèvre inférieure tandis qu’une de ses mains venaient déposer une petite claque sur une fesse rebondie. S’il n’avait tenu qu’à lui, il l’aurait déjà entrainé dans leur chambre pour lui faire l’amour mais quelque part, il voulait bien se tenir. Paris ne voulait pas manquer de respect envers John et faire crier sa fille de plaisir était le meilleur moyen pour faire tout le contraire de ses intentions. « Allez, allons voir ce que belle-maman nous prépare » l’encouragea-t-il malgré lui car si cela n’avait tenu qu’à lui… comment dire… CF plus haut sur ses intentions peu catholiques.

AVENGEDINCHAINS
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Hello les beaux-parents
« Tu fais ce que tu veux, mais si elle te propose du chocolat….refuse catégoriquement » Ça n’allait pas rassurer Paris, mais au moins ça nous permettais de rire de la situation. Ma mère qui se montrait soudain gentille, c’était signe de mauvais temps !...futur tornade peut-être ? Ou éruption volcanique qui sait ! Oh tiens, en parlant de volcan : j’ose à peine parler de celui qui se fait en créé en moi ! Entre la tension ressentie pendant que mon père menait son interrogatoire sur mon fiancé, et le retour en mode boule d’amour de Paris ?! Mon cœur s’irradiait ! Alors oui, je ne me montrais plus si sage qu’au départ, troquant ma nervosité pour un peu de malice et de viles tentations. Paris râlait alors que j’avais les mains baladeuses, mais cela ne m’arrêtait pas pour autant, au contraire : j’empoignais les fesses de mon fiancé tandis que lui s’était permis de me donner la fessée « Pourquoi être sage…T’as plus besoin d’être exemplaire, tu viens de dire que ça s’était bien passé avec mon père » argumentais-je avant de lâcher les fesses de Paris pour remonter mes mains dans son dos, le grattant sensuellement de mes ongles au passage pour m’arrêter à ses omoplate, me collant un peu plus à lui par la force des choses… « Et puis je suis sûre que ma mère aurait encore deux fois plus de respect pour toi, si elle voyait Junior » Nan, là, c’était même trop pour moi ! Je me mettais à rire avant de venir embrasser le cou de Paris, à la naissance de son oreille, puis emprisonnais son lobe entre mes lèvres pour le suçoter gentiment. Mais je râlais bien vite quand Paris me rappelait à l’ordre pour qu’on aille au salon, rejoindre mes parents. « PPffffff…t’es vraiment pas drôle mon cœur ! Je t’assure, que c’est vraiment, vraiment pas cool ce que tu fais… »

AVENGEDINCHAINS
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)