Hello les beaux-parents.

Oh oui Summer Wingfield était un ange… surtout lorsqu’elle dormait car quand elle le regardait de cette manière, elle avait tout du démon ou de la tigresse. Paris n’en avait que plus envie d’elle et il n’hésita pas longtemps à s’agenouiller entre ses cuisses écartées, profitant que l’un de ses pieds continuait à prendre appui sur la coiffeuse. Elle était diablement sexy dans cette position qui ne pouvait s’empêcher d’imaginer toutes les choses qu’il pourrait lui faire subir à cet instant précis. Les lèvres contre son ventre, le Dunster l’interrogea sur ses fantasmes d’adolescente et sa réaction piqua sa curiosité. « Non dis-moi… je ne vais pas te lâcher tant que tu ne m’en auras rien dit » rigola-t-il en se laissant écarter. Summer n’imaginait tout de même pas qu’elle allait réussir à s’en sortir aussi facilement ? Bon sang, elle était trop sexy lorsqu’elle rougissait et Paris sentait que cela devait bien corsée pour qu’elle ne veuille rien lui dire… « Allez bébé, dis-moi tout… » continua-t-il de la pousser en la déshabillant du regard comme elle, elle s’évertuait à vouloir lui enlever sa chemise. Il céda de bon cœur, ne voulant pas expliquer pourquoi sa chemise avait perdu quelques boutons dans sa sieste. Un à un, il fit sauter la chemise des boutons pour mieux s’en débarrasser en la lançant sur le dossier de la chaise qu’elle avait occupé quelques instants plus tôt et cela sans perdre un instant le contact de ses lèvres sur les siennes. « Dis-moi tes fantasmes où je t’attache à ce lit avec ma ceinture pour te faire parler » la menaça-t-il gentiment. Il était prêt à le faire, elle le savait très bien. « alors bébé dis-moi tout » la poussa-t-il à craquer avant de l’embrasser langoureusement. Ses lèvres… Il ne pouvait pas s’en passer plus d’une minute surtout dans ce genre de situations.

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Je ne voulais pas céder à la question de Paris et lui avouer des fantasmes idiots dignes d’une gamine qui n’avait pas beaucoup d’expérience à l’époque. C’est trop ridicule pour être considérés comme intéressant, mais Paris étant Paris, je savais qu’il n’allait pas vouloir lâcher le morceau. Le mieux étant d’occuper ses pensées à autre chose ; si bien que, en me redressant pour l’embrasser et le faire taire, je lui suppliais d’ôter sa chemise pour pouvoir le dévorer à ma manière. Ni lui ni moi ne perdions le contact de nos lèvres respectives, bien que très vite un sourire se dessinait sur mon visage en sentant Paris s’agiter pour déboutonner sa chemise et la retirer définitivement. Très vite, je posais mes mains sur son torse puissant, ayant le besoin de sentir ses pectoraux sous mes paumes et de ressentir la chaleur qui émanait de son corps. Mes doigts caressaient sa peau et descendait sur ses côtés, dessinant au passage les courbes inférieures formées par ses pectoraux ; mais Paris revenait à la charge, me menaçant gentiment de m’attacher au lit pour me faire parler. Là forcément, je me mis à rougir à nouveau, parce que Monsieur avait sans le savoir, trouver l’un des fantasme en question. « Pas besoin de te le dire… » Murmurais-je contre ses lèvres, avant de descendre mon visage plus bas, embrassant au passage son menton, et suçotant brièvement la peau de son cou, pour mieux terminer ma route sur le torse de Paris, que je parsemais de baiser ci-et-là en ajoutant « Tu viens d’en trouver un tout seul…comme un grand. » Je poussais ensuite le Dunster d’un doigt pour le forcer à s’incliner un peu plus en arrière, afin que je puisse continuer de l’embrasser partout de son torse à son abdomen, jouant parfois du bout de la langue sur sa peau, alors que mes lèvres embrassait un à un chaque abdos dessinés du Dunster. Mes mains quant à elles, avaient pris place sur la taille de mon fiancé, l’empoignant sans pudeur, parce qu’il était clair que cette zone-là de son corps, et celle un peu plus bas, je voulais la posséder coûte que coûte.

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Sentir les mains de Summer sur son torse puis ses lèvres, il n’y avait rien de tel pour lui arracher des soupirs de plaisir. Il aimait ce contact qui précédait souvent quelque chose de bien plus intime, de plus sensuel. Ses mains ramassèrent ses cheveux pour en faire une rapide queue de cheval qu’il retenait dans son poing, comme s’il ne voulait que rien ne vienne la déranger durant son avancée. Un petit rire de gorge le secoua lorsqu’elle lui avoua qu’il avait trouvé tout seul comme un grand, l’un de ses fantasmes. « Intéressant… » commenta-t-il avant de se débarrasser de ses chaussures pour mieux l’entrainer vers le lit où il se laissa tomber assis pour mieux s’allonger de tout son long afin de lui permettre d’avoir un meilleur accès à son torse, ses abdos. Il avait tellement envie qu’elle en vienne à le titiller qu’il se retenait de ne pas exercer une pression sur le sommet de son crâne pour la conduire exactement à l’endroit où il souhaitait ses lèvres avec tant d’ardeurs. « En même temps, je ne peux m’empêcher d’y songer quand je vois les barreaux à la tête de ton lit… Tu as du en passer des nuits à fantasmer qu’un bel inconnu t’attacher. Dis-moi, quel effet cela te ferait que je t’attache ? » lui demanda-t-il ayant envie de voir à nouveau ses joues se teinter de ce rouge carmin qu’il trouvait juste adorable. « Après tout, je n’ai découvert que l’un de tes fantasmes… il y en a encore d’autres que je dois mettre à nu… Dis-moi ? Ou plutôt laisse-moi deviner : coucher dans le lit de tes parents ? » tenta-t-il de percer les mystères tout en soupirant à chacun de ses baisers. Parler pour ne pas perdre la raison, quelle bonne tactique quoique… Si Summer lui annonçait de but en blanc ses fantasmes, il risquait de vouloir la prendre dans la foulée car il ne pourrait pas s’empêcher de la désirer.

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Je me sentais déjà bien émoustiller par mes propres actes sur mon fiancé, mais entendre ce dernier me parler de mes fantasmes, de me demander ce que ça me ferait si c’était lui qui m’attachait ?...c’était presque bien trop pour mon petit cœur, qui explosa dans ma poitrine à la suite de sa première question. Je me désintéressais de ses abdos un instant pour fixer Paris, allongé de tout son long dans mon lit d’adolescente. D’un coup d’œil très bref, mes yeux se posèrent sur les barreaux du lit au-dessus de sa tête, et je revenais planter mon regard dans celui de Paris en me mordant la lèvre inférieure, un plaisir non dissimulée dans le regard « Eh bien maintenant que tu en parles, je pense qu’on sera obligé d’en passer par là avant la fin du séjour » avouais-je d’une voix légèrement plus grave qu’à l’accoutumée, tant le désir était présent. Je reprenais mon attention, un peu plus bas, embrassant à nouveau les parcelles de peau de l’abdomen du Dunster, mais mes mains se chargeaient quant à elle de défaire la boucle de ceinture du pantalon de Paris et de le soulager d’une pression en moins sur son bas ventre. Je gloussais contre sa peau au moment où il évoquait le lit des parents avant de répondre « Nan !! Pas ça...jamais de la vie…et pareil pour le lit de ma sœur ou de mon frère… » Quoiqu’en y réfléchissant bien… « J’ai quand même une certaine revanche à prendre sur ma sœur, mais je suis moins perverse qu’elle à mon avis » déclarais-je alors que j’avais enfin ouvert les pans du pantalon de Paris pour apercevoir son boxer. Je me penchais pour déposer un baiser par-dessus le morceau de tissu, et laissais ensuite ma main se balader sur la zone, massant le membre déjà réveillé de Paris, par-dessus le boxer, juste à son extrémité. « Bon tu sais déjà un fantasme...à toi de m’en dire un des tiens » proposais-je alors que je proposais à Paris d’un mouvement de tête de m’aider à soulever son bassin pour que je puisse tirer sur son pantalon et laisser apparaître tout son sous-vêtement. Je fixais ensuite Paris du regard, attendant patiemment qu’il joue le jeu et m’avouant un fantasme…patiemment…c’est vite dit : j’avais repris mon massage par-dessus son boxer, mais n’hésitait plus vraiment dans mes gestes, puisque ma main avait déjà repéré l’objet de mon désir et l’empoignait sensuellement par-dessus le tissu de coton.

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