Athena, lâche ce verre. (Bonathena)

Ils étaient finalement entrés dans le club échangiste. A l’intérieur, l’ambiance était enfumée et chaleureuse dans le sens où plusieurs couples s’embrassaient, se toucher. Rien de bien choquant en soi. Il y avait également des pôles dance où des femmes en petites tenues dansaient. La sensualité régnait en maitre mais Bonaventure n’y prêta aucune attention. Il était en mission et puis, la sexualité à outrance l’avait toujours laissé de glace comme les films pornographiques. Ce n’était pas son truc. Il préférait de loin les ambiances intimistes comme derrière les rideaux où des couples faisaient l’amour. On pouvait entendre leurs gémissements. Dans ce club, l’intimité était illusoire car tout le monde observait tout le monde. Les couples changeaient soit de partenaires, soit venaient simplement regarder d’autres faire l’amour ou se faire observer. Main dans la main, Athena et lui progressaient difficilement parmi les clients du club, Bonaventure essuyant plusieurs mains sur ses fesses au passage aussi bien venant d’hommes que de femmes. Il espérait juste que son amie soit épargnée mais autant demander à un aveugle s’il veut voir. Cette femme était bien trop belle pour ne pas représenter une tentation.

Repérant sa cible, Bonaventure n’eut que le temps de plaquer gentiment Athena contre un mur et de l’embrasser pour camoufler son visage sans paraitre suspect. Il ne s’était pas attendu à ce qu’elle lui rende son baiser avec autant de fougue ni même de prendre autant de plaisir à torturer ses lèvres délicieuses. Son bras s’était par réflexe, enroulé autour de sa taille fine pour la plaquer contre lui, approfondissant leur baiser. Jouait-il ? Bonne question. C’est le manque d’air qui les fit se séparer et le Quincy détourna légèrement le visage pour voir si sa cible ne s’était pas fait la malle. Non, ce dernier était en train de parler au gérant du club : il cherchait visiblement à privatiser un espace discret. Du moins était-ce ce qu’il supposait mais les baisers qu’Athena déposait dans son cou avaient tendance à le perturber. Pour preuve, ses doigts s’étaient machinalement glisser sur sa nuque comme pour l’inciter à continuer. « Il faut que j’arrive à placer la caméra dans cette pièce avant qu’il rentre » murmura-t-il au creux de son oreille avant de l’embrasser à nouveau d’un baiser langoureux, sa langue venant chercher la sienne pour mieux l’entrainer dans un ballet vieux comme le monde. C’est l’arrivée d’une serveuse qui le fit se reculer légèrement. « Offert par la maison mes tous beaux » susurra-t-elle non sans se pencher pour embrasser Athena. Machinalement, le Quincy porta la boisson à ses lèvres pour en boire quelques gorgées sans se douter que la boisson au goùt si sucré était fortement alcoolisé (et bien aphrodisiaque). « Je finis mon service dans une heure… faites moi signe les chéris » leur dit-elle avant de cette fois-ci, l’embrasser à son tour. Ouah… la soirée était vraiment spéciale ! Comment allait-il faire croire à Athena qu’être détective privé était un boulot parfois ennuyant ?!

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On est entré dans le club je dois dire que j'étais assez étonnée, je n'avais jamais vu un endroit pareil ou la sexualité régnait en maître. Il y avait des couples partout certains se touchaient alors qu'il y avait du monde autour, dans un tel lieu il ne faut pas être pudique. On entendait des gémissements autour. Mais je dois dire qu'en soit le lieu est magnifique, accueillant, chaleureux même chaud, ça les gens pouvaient se déssapés ils pourraient pas avoir froid. Plus loin des filles qui font du pole danse, personnellement je trouve que c'est une danse magnifique, la sensualité et tous ça même si je n'en ai jamais fais j'aimerais essayer un jour je dois le dire ça ne me gênerais pas enfin pas devant tous le monde comme ça. Enfin, on traverse la pièce, des femmes comme des hommes touchaient sans gêne les fesses de Bonaventure, heureusement que ce n'était pas mon copain parce que ça me ferais chier, même moi j'ai jamais testé en lui touchant ! Mais bon, j'ai déjà regardé à travers son jean et je pense que les gens ont raison de toucher après tous pourquoi se priver hein ? Les gens faisaient de même avec moi me touchant aussi la poitrine, j'étais gênée mais je gardais le sourire, je les connaissais pas quand même. Alors c'est comme ça dans ces lieux là, tout le monde couche avec tout le monde, tout le monde regarde tout le monde. Je savais que c'était comme ça mais bon, vivre ça en vraie est quand même quelque chose.

Rapidement mon compagnon m'a plaqué contre le mur avant de m'embrasser, au début surprise je me prêtais rapidement au jeu lui rendant son baiser avec fougue. La température montait un peu d'un coup et je sentais la main du jeune homme dans mon dos me rapprochant de lui en plus de continuer à prolonger le baiser et j'y prenais du plaisir je ne peux pas dire le contraire, c'était un jeu dangereux dans lequel on se lancait, ou est ce que c'était encore un jeu même ? A un moment en tous cas il a bien fallut que je reprenne mon souffle et Bonaventure regardait discrètement autour de nous alors que partie dans ma lancé pour rester crédible mes lèvres venaient à la rencontre de son cou pour y déposer des baisers assez langoureux et apparemment le jeune homme appréciait me laissant continuer avant de me dire qu'il devait aller dans la pièce avant le client. Il revient capturer mes lèvres alors que je lui rendais une fois encore son baiser plus langoureux que le premier. Une serveuse arrive et Bonaventure s'écarte alors que bon autant le dire cash je n'avais pas envie. Je souris à la serveuse qui s'approche pour m'embrasser, je suis choquée, c'est bien la première fois qu'une fille m'embrasse comme ça, je lui rend son baiser j'y met du mien même si clairement ils n'ont pas la même saveur que ceux de mon compagnon de cette nuit. Elle nous dit qu'elle fini bientôt son service et je prends le verre alors qu'elle embrasse Bonaventure à son tour, aller hop lui aussi mais ... je rêve ou elle nous propose un plan à 3 direct comme ça ? Je garde le sourire et reprends "D'ailleurs ... On aimerait bien faire le tour des lieux, vous nous emmener ? Oui je veux voir partout avant de décider dans quelle pièce on va prendre du bon temps, vous avez des lieux insolites ? Ou privés ?" autant être cash, là je suis sort que voilà, je veux coucher avec mon copain dans un lieu insolite et voilà bon on va pas passer par quatre chemin. En tous cas je le retiens, lui qui me disait que ce serait ennuyeux je ne m'ennuie pas du tous !

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Ce club pouvait faire tourner la tête de bien des personnes. Celle de Bonaventure lui tournait aussi à cause du cocktail et il se demandait bien s’ils ne rajoutaient pas quelque chose pour détendre les clients car il n’avait jamais été aussi chaud de toute sa vie. Ses sensations n’en étaient que plus développés et jamais il n’avait été aussi réceptif aux charmes d’Athéna. Le jeune détective en était presque à grogner en voyant cette femme faire des avances aussi ouvertes à son amie mais il se retrouva bien vite à l’embrasser sans trop comprendre pourquoi il lui rendait son baiser. C’était comme s’il ne contrôlait plus son corps ni même ses pensées. Son enquête se brouillait dans son esprit mais il réussit à comprendre les intentions de la cabot. Elle souhaitait pouvoir lui donner accès à cette fameuse pièce. Emoustillée, la serveuse s’amusa à glisser un doigt sur la couture du décolleté d’Athena. « J’aime les femmes qui n’ont pas froid aux yeux » minauda-t-elle avant de la prendre par la main pour lui faire la visite guidée des lieux. Bonaventure ne les quittait pas du regard -bien que ses yeux avaient du mal à aller au-dessus du sublime derrière de son amie. Qu’est-ce qui lui prenait bon sang ? Il devait garder la tête froide, agir en professionnel et tout ce qu’il arrivait à penser, c’était combien il serait bon de coucher avec Athena. Son regard se posa sur le verre à moitié vide. Il n’avait même pas eu conscience d’en avoir bu autant. « Athe.. » commença-t-il mais cette dernière était entrainée par la serveuse dans la fameuse pièce. Elle semblait d’ailleurs follement occupée avec cette dernière qui n’avait de cesse de ravir ses lèvres. Bonaventure en était presque jaloux mais il était loin de se douter qu’Athena venait d’avaler une petite gélule contenant un puissant aphrodisiaque.

La serveuse semblait ravie de sa nouvelle conquête car elle avait la tête nichée au creux de son cou et les mains furieusement baladeuses. Aussi Bonaventure s’empressa de planquer le micro le plus discrètement du monde avant de s’approcher des deux femmes. « Laisse-là moi… Tu n’as pas fini ton service alors dégage » joua-t-il les hommes autoritaires. Enfin… Il ne savait plus trop s’il jouait mais une chose était certaine, il avait envie de libérer Athena de son emprise. La serveuse eut un léger sourire amusé mais obtempéra. « A toute à l’heure… Oh… Cette pièce est réservée donc allez-vous amuser ailleurs mes petits » leur signala-t-elle et Bonaventure hocha la tête avant de conduire Athena dans une pièce attenante. Il avait chaud si bien qu’il commença à déboutonner sa chemise pour en écarter les pans. « Bon sang… j’ai jamais eu aussi chaud de ma vie » lâcha-t-il alors que son regard se posait sur elle. Son haut était un peu plus échancré, laissant la dentelle de son soutien-gorge apparaitre. Aussitôt, l’envie de s’approcher, de caresser cette peau satinée lui transperça le corps. « On devrait peut-être donner encore un peu le change… juste au cas où qu’on nous observe » murmura-t-il d’une voix rauque en se rapprochant d’elle. Sa main se porta à la joue de son amie pour mieux la faire se rapprocher. « C’est pour la couverture… » ajouta-t-il avant de l’embrasser à nouveau, fiévreusement.

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Ce club est vraiment spécial, j'ai bu le verre de la serveuse cul sec et j'étais avec la tête qui tournais un peu comme si j'étais encore là mais mon dieu j'avais chaud c'était assez fou. Mes sens étaient décuplés et je ne comprenais pas trop pourquoi mais je sais une chose c'est que mon envie montait encore plus en regardant le jeune homme qui m'accompagnait mais je me tenais. Y avait-il un aphrodisiaque dans mon verre ? J'avais envie de réfléchir et pourtant je n'y arrivais pas vraiment. Je demandais à la serveur un coin tranquille pour avoir un peu plus d'intimité. La serveuse roule une pelle à Bonaventure, ah après moi pas de jaloux c'est son tour lui aussi y met du sien au fond de moi ça me plais pas trop de partager mais je laisse faire. Mon esprit était brouillé avec tous ça et j'avais extrêmement chaud. Elle aime les femmes qui n'ont pas froid aux yeux ? Je réponds en souriant "Ah dans ce genre de lieux vous devez être servi au moins" quand on voit les gens autour ça c'est sure ! Elle me prend par la main pour m'emmener alors que je lache pas Bonaventure de mon autre main pour la suivre sans broncher. J'essayais de me concentrer mais c'était franchement compliqué dans une telle situation. Un gars en passant m'a une nouvelle fois touché les fesses, j'ai pris l'habitude après deux trois assauts comme ça et quand bien même après le verre je m'en fichais, ça me plaisais presque. Bonaventure m'appelle un peu mais la serveuse m'entraine dans la pièce avant qu'elle m'embrasse une nouvelle fois. Pour y mettre plus d'entrain j'imagine que c'est un mec, un canon et ... oh mon dieu j'imagine que c'est Bonaventure ! Je sens quelque chose partir dans ma gorge mais je n'y fais pas attention je rends son baiser à la jeune femme pour que Bonaventure ait le temps de mettre le micro dans la pièce.

La serveuse semblait ravie de sa conquête quand moi j'étais à sa merci, complètement stone par un aphrodisiaque ou quelque chose, incapable de dire non enfaite. Elle avait les mains baladeuses et moi je n'avais d'autres idées en tête que d'imaginer Bonaventure alors que je sentais les lèvres de la jeune femme dans mon cou. En parlant de lui il est arrivé reprenant la serveuse lui disant de partir parce qu'elle n'avait pas fini son service tandis que je reprenais mon souffle. Il prenait une voix autoritaire, j'aime beaucoup j'avoue. La serveuse part en nous disant que la pièce est occupée donc qu'on doit la laissé et je reprends légèrement mes esprits même si un truc reste dans ma tête, l'envie d'embrasser le jeune homme. Il me tire dans une pièce à coté et ouvre sa chemise dévoilant son torse musclé je reprends avec un sourire en regardant son torse "Tant mieux j'ai pas à me plaindre je pense" oui malgré ma libido qui grimpait je gardais mon humour, je me mordais la lèvre inférieur en le voyant regarder mon haut tandis que d'une main je descendais un peu la fermeture éclaire de ce dernier de quelques centimètres seulement avant de sentir le jeune homme s'approcher de moi. Sa main sur ma peau me fais frissonner et je me mords la lèvre inférieur en entendant ses paroles avant de reprendre "Oui, ce serait dommage de se faire épingler" je me rapproche de lui passant une main sur son torse et plongeant mon regard dans le sien, j'avais envie de lui, maintenant. Je ne me posais pas de questions sur comment c'était possible, l'ambiance sans doute et il faut le dire Bonaventure n'est pas moche loin de là. Il pose sa main sur mon visage et me sort quelques mots "Oui pour la couverture..." avais-je repris avant que ses lèvres ne capturent les miennes. Je lui rends son baiser avec envie comme si ça faisait une éternité qu'il ne m'avait pas embrassé tandis que je frissonnais en sentant mon corps contre le sien. Mes mains parcouraient son torse avant de remonter jusqu'à ses épaules pour lui enlever sa chemise la faisant glisser le long de ses bras.

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La serveuse avait joué son rôle à merveille et on ne pouvait pas le lui reprocher mais Bonaventure commençait à ne pas se sentir bien. En fait, c’était tout le contraire, il se sentait très bien, trop bien. Il nageait en pleine confusion, ses sens brouillés ou surtout obnubilés par une seule chose : le charme d’Athena. Il n’était pas insensible non plus aux arguments de la serveuse mais il y avait quelque chose chez son amie qui le troublait et l’attirait en même temps. Il n’avait jamais eu aussi chaud de sa vie et il ne lui fallut pas grand temps pour comprendre que la boisson avait été assaisonnée avec un bon aphrodisiaque. C’était monnaie courante dans ce genre d’établissement car cela permettait aux plus frileux de se laisser aller à leurs pulsions, de lâcher prise et de ne plus réfléchir -et le moins qu’on puisse dire, c’est que cela fonctionnait à merveille. Athena lui avait tout de même permis d’approcher la pièce qu’il visait et le détective en lui reprit un peu du poil de la bête juste le temps de placer cette fameuse petite caméra. La suite était plus brouillonne dans son esprit. Il se voyait s’approcher des deux jeunes femmes pour éconduire la serveuse. Il n’avait pas envie de partager ce soir, il souhaitait Athena pour lui seul. Bien sûr, ils ne pouvaient pas rester dans cette pièce et le jeune homme la conduisit dans celle à coté. Plus rien ne les retenait dans ce club mais ils restaient comme s’ils étaient attirés l’un vers l’autre sans possibilité de se dérober à cette attraction.

Bonaventure sous l’effet de l’aphrodisiaque avait déboutonné sa chemise et dévoilé son torse musclé. Vision qui semblait beaucoup plaire à sa comparse. « Je dois dire que je n’ai pas à me plaindre non plus » lui retourna-t-il ses propres mots en suivant le trajet de sa main qui peu à peu, tirait sur la fermeture éclair de son haut. Bon sang, il n’arrivait pas à se détacher de cette vision, rêvant même de remplacer sa main par la sienne. Incapable de résister plus longtemps, il s’était approché d’elle, sa main venant se lover contre l’une de ses joues pour la ramener près de lui. Bonaventure pouvait sentir sa main sur son torse. Ils devaient encore jouer le jeu pour ne pas attirer l’attention, telle était l’excuse donnée et à laquelle, elle donnait crédit. N’y résistant plus, il captura ses lèvres dans un baiser enflammé, sa main libre venant prendre possession du creux de ses reins pour la plaquer contre lui. Athena n’était pas en reste car il sentit bien vite sa chemise quitter ses épaules et ses bras. Il l’aida à s’en dégager pour mieux la reprendre dans ses bras. Bonaventure perdait de plus en plus le contrôle de ses pensées qui se dirigeaient toute vers Athena. Alors, lentement, il la fit reculer jusqu’à ce qu’elle bute sur le lit derrière elle, l’étendant sur les draps en satin. Tout dans la pièce donnait envie de se laisser aller : la lumière tamisée, les teintes sombres des murs qui vous donnaient l’impression d’être dans un cocon, dans un espace à l’abri des regards indiscrets.

Ses lèvres dans son cou, il mordilla sa peau satinée pour mieux la marquer en la suçotant quelques instants. Bonaventure se redressa légèrement pour prendre appui sur son avant-bras droit afin de pouvoir, de sa main libre, remonter le long de sa cuisse puis de sa hanche en une sensuelle caresse. Ses doigts arrivèrent bien vite sur l’attache de sa fermeture éclair qu’il acheva de baiser afin d’écarter les pans de son haut. Elle était divine songea-t-il en laissant une trainée de baiser de son cou à sa gorge pour mieux s’attarder sur la rondeur d’un sein. Sa raison le poussait à s’arrêter, à s’éloigner mais il n’y arrivait pas car tout le ramenait à Athena, à son corps tellement désirable.

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Ce club est sympa il n'y a pas a dire, je comprends pourquoi les gens y vont. L'aphrodisiaque dans mon verre me faisais un effet assez fou, j'avais envie de me lacher, j'avais chaud mais chaud c'était atroce. Je laissais la serveuse m'embrasser imaginant Bonaventure à la place d'elle parce que bon même avec un aphrodisiaque les filles ne m'attirent pas. Un instant dans ma tête je me disais que Bonaventure devait être content que ce soit une fille et pas un gars parce que j'aurais aimé voir sa tête si il avait du rouler une pelle à un mec je pense qu'il n'aurait pas trop rit. Enfin ma distraction fonctionnait le temps que mon compagnon pose le micro avec la caméra dont il a besoin pour son enquête, c'est une bonne chose de faite. Suite à cela il éconduit la serveuse et je peux enfin avoir Bonaventure pour moi. Il m'attire c'est atroce, je le veux maintenant, mon cerveau est embrouillé je n'ai pas les idées claires, tous me ramène vers lui là maintenant je ne veux pas attendre.

On change de pièce on va dans celle qui est juste à coté et je dois l'avouer j'ai pas spécialement envie de partir dès maintenant même si la mission est terminée. Je n'ai qu'un seul mot en tête, ou prénom plutôt, celui du beau Quincy. Il me dit qu'il a chaud et il retire sa chemise pour le plaisir de mes yeux et de mes mains qui partaient à la découverte de son torse musclé. Je souriais à sa réponse avant de me mordre doucement la lèvre inférieur en dégageant une de mes mains de son torse pour descendre la fermeture de mon haut de quelques centimètres histoire de dévoiler un peu le décolleté que je peux avoir. La chaleur était dans la pièce, il n'y avait qu'un rideau pour nous séparer de la salle principal mais c'était pas ma préoccupation pour le moment, je le voulais lui, je voulais ses lèvres, son corps près du mien. Mon corps frissonne dès qu'il pose la main sur moi, c'est une sensation étrange que je n'avais jamais vraiment ressenti auparavant. Ses lèvres allaient capturer les miennes m'entrainant dans un baiser enflammé que je lui rendais avec envie. Est-ce que c'était encore pour la couverture ? Non là j'avais envie de lui c'était aussi simple que ça rien de plus rien de moins. Sa main passait dans mon dos et je rapprochais mon corps du sien mes mains parcourant son torse avec envie avant de remonter pour retirer sa chemise alors qu'il m'aidait, ça il ne disait pas non lui non plus. Je ne contrôlais plus rien je ne pensais qu'au jeune homme présent avec moi et a son corps contre le mien. Je recule jusqu'au lit avant de me laisser tomber dessus il était confortable avec des draps en satin, tous pour se sentir bien en réalité on était à l'abris des regards même si bon, les gens pouvaient entrer comme ils voulaient en réalité mais je n'y pensais pas je me laissais aller sentant ma respiration s’accélérer un peu je laissais le jeune homme venir sur moi.

Ses lèvres dans mon cou m'arrachaient un léger soupir tandis que je plantais légèrement mes ongles dans son dos que je parcourais avec envie. Il finit par se redresser pour s'appuyer sur un de ses avant bras et passer sa main le long de mon corps de façon sensuel, mon corps répondais en frissonnant et un sourire venait entre mes lèvres. Il descends complètement la fermeture de mon haut et l'écarte pour mieux apprécier la vue qui s'offrait à lui. Il descendais ses baisers dans mon cou jusqu'à ma gorge tandis que l'une de mes mains venaient instinctivement jusqu'à son cou comme pour lui demander de continuer tandis que je lâchais un soupir.

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