will you be my husband ? (weaslacce)

Je le regarde et hausse les épaules. " Ça dépend de la maitresse " Si c'est une minette qui drague qui tout ce qui bouge, je ne crois pas non ! Enfin, je dis ça mais j'ai confiance en Bonaventure et c'est le plus important. Je sais qu'il peut se retrouver entre douze minettes prêtes à tout, il ne flanchera pas. Du moins, c'est ce que je me prête à croire, à espérer plus que tout au monde. Mais il ne devrait pas avoir de problèmes, je ne vois pas pourquoi il y en aurait après tout.. Avoir confiance l'un en l'autre est l'important. Je ris légèrement à sa remarque. " Non rien de trop pervers... De mon côté, même bandage des yeux c'est niet ! " Soufflais-je pour le prévenir s'il avait décidé de prévoir quelque chose ce soir... Je garde mes yeux grands ouverts et on était pas la lumière ! Je n'aime pas être dans le noir, c'est la vie. Je souris quand il me dit qu'il m'aime plus que tout et sers légèrement sa main dans la mienne. " Je ne me lacerais jamais de te l'entendre dire " Soufflais-je avec un petit sourire sur le visage. Ces mots sont tellement ... wow. Je n'arrive pas à décrire l'effet qu'ils ont sur moi. C'est comme si un plaid tout moelleux venait s'enrouler autour de moi, il n'y a rien de plus plaisant et je n'arrive pas à me dire que Bonaventure est littéralement le premier homme qui me dit ces mots dans ce sens. Et c'était flippant quand j'y pense. Pas que je veuille que le monde me dise je t'aime, loin de là, mais tout ça c'était complètement fou. Je souris légèrement. " Et bien heureusement que je t'ai embrassé alors ! " Soufflais-je en riant. On aurait pu louper le coche, on aurait littéralement pu se louper mais non... Parler de ma mère, de la relation qu'elle entretient avec le père de Talya, tout ça, ça me fait du bien. Parler me fait du bien, bien plus que je ne voudrais l'avouer. " Bien sûr qu'on l'invitera ! Je veux aussi que tu la rencontres, elle va t'adorer... Et puis, j'espère pouvoir passer du temps avec ta mère autrement qu'au poste de police et rencontrer ton père et ta grand-mère... " Surtout la grand-mère. Je dois avouer qu'elle me fait flipper mais ça peut être drôle comme tout. Nos plats arrivent bien rapidement et je souris à Bonaventure en prenant mon soda et le levant dans sa direction. " À nos fiançailles " Soufflais-je, sourire sur les lèvres, yeux dans les yeux, amoureuse comme jamais je ne l'ai été.

" C'est pourtant dans les vieux pots qu'on fait la meilleure confiture " Riais-je comme une gamine de cinq ans. Je ne fais surement rire que moi mais ce n'est pas bien grave. Bonaventure m'aime comme ça, mon humour de merde et moi et c'est vraiment tout ce qui compte à mes yeux. S'il ne rit pas, tant pis pour lui, il aura loupé une super blague ! Je le regarde, fronce le nez et secoue légèrement le visage de droit à gauche. " Ça ne me tente pas vraiment... On sait jamais, y a que les cons qui ne changent pas d'avis " Soufflais-je en un léger sourire. Dégustation à l'aveugle, pas trop mon truc, je dois bien l'avouer mais bon, sait-on jamais... Je le regarde et ouvre grand les yeux. " Euuuh... Ça dépend ce que t'appelles par ça... " J'ai une sexualité très... basique. Mais il n'y a rien de mal à ça non ? Pas la peine de faire des trucs de dingue juste pour essayer et faire comme les autres. Enfin, je n'avais rien contre ça pour autant, si c'était soft et que je pouvais y aller à mon rythme, aucun problème pour moi. " Pourquoi ? Tu as une petite idée en tête ? " Demandais-je au jeune homme avec un léger sourire sur le visage. Il ne valait peut être mieux pas qu'il m'en parle trop maintenant parce que j'avais faim, certes, mais je pouvais manger en moins de dix minutes et nous attirer vers l'hôtel en moins de temps qu'il en faut pour dire 'ouf', genre vraiment. " Je suis l'héroïne de ton coeur parce que t'es mon super héros... Tu sais que Russell ne parle que de toi ? " L'informais-je avec un léger sourire. Maxime n'avait pas fait mouche auprès du petit garçon mais alors là... " Oh, tu penses qu'elle ne pourra pas venir ? " J'avais eu peur de la rencontrer il y a quelques mois de ça et là, j'étais presque triste... Mais je savais à quel point cette femme comptait pour Bonaventure alors forcément. Je souris légèrement quand il parle d'adoption pour ses parents. " Tu vas avoir un petit frère ou une petite soeur ? " Demandais-je avec un large sourire sur le visage. " L'expulsion les a peut être rapprochée mais on aurait tous préféré que ça n'arrive pas " Lui le premier je pense bien... Nos verres tintent et je souris largement.
Le repas se passe calmement, on discute de tout et de rien. L'après-midi est plus ou moins calme et lorsque le soleil commence à se faire la malle, on mange en tête à tête après que j'ai annoncé la nouvelle à Leanne, Talya, Priape et Sienna. Main dans la main, nous nous dirigeons vers notre chambre. " Ça a été avec Summer alors ? J'ai oublié d'embarquer Paris mais il était pas avec vous ? " Demandais-je en mettant la carte dans son boitier afin d'allumer les lumières de la chambre. Je me suis changée entre temps et je secoue le tissu pour me faire un peu d'air. Je pose mais mains dans la nuque de Bonaventure et l'embrasse tendrement. " Ces lèvres m'ont manqué " Soufflais-je avant de l'embrasser à nouveau.

Je ris à ce qu'il me dit. Il part tout de suite dans les excès ! Je ne lui présenterais pas une grand-mère de quatre vingt dix balais et j'espère que nos enfants - si jamais il y a dans le futur - n'auront pas une maitresse de cette âge quand même... Enfin, si elle a toute sa tête et ne perds pas la boule en cours d'année, pourquoi pas après tout. Je le regarde et hausse les épaules. " Tu peux toujours faire tout ce que tu veux à manger tu sais... " Moi gourmande ? Non, jamais voyons... Et quand je pense qu'il y a un an et demi je n'étais pas fichue de me payer de la bouffe en fin de mois. Tout a bien changé maintenant et j'ai même un futur mari qui sait fait des tas de trucs de ses dix doigts. Et je ne parle pas seulement de ce qu'il fait - et peut faire - avec ses doigts sur mon corps, bien entendu. Sur le point de jeu coquin, je l'écoute avec un léger sourire sur le visage. Je vois le genre... Qu'il l'ait trouvé par hasard ou en y jouant réellement n'est pas bien grave, je m'en fiche pas mal. Je souffle un Merci quand il dit qu'il ne me forcerait en rien. " Et bien je pense que ce soir, nous jouons au jeu de l'oie " Riais-je en mordillant légèrement ma lèvre inférieure, m'imaginant déjà mille et une choses. C'était un bon moyen de se découvrir encore un peu plus. Et j'avais déjà hâte, je devais bien l'avouer. " Il va bien, il a eu du mal à se remettre du décalage horaire avec le Chili mais ça va là... " Et ça aurait du être à moi d'aller le chercher aujourd'hui si je n'avais pas été ici. Je n'imagine même pas encore la bombe qu'il va y avoir dans sa vie dans peu de temps. Je ris quand il parle du fait qu'elle serait bien capable d'aller dans la soute à bagage. " T'es gentil toi. Moi je suis sûre qu'elle est capable de se mettre dans ma valise pour venir ! " Je ris comme une gamine mais j'imagine bien la scène d'ici. Elle serait tellement capable.. " C'est tout ce que je leur souhaite... Et puis toi, tu seras un grand frère comme ça " C'est toujours quelque chose que j'ai voulu être, une grande soeur, et je l'ai plus ou moins été avec Safaa et Feryel... L'une est décédée et je viens de retrouver l'autre... Et la journée est pleine d'autres nouvelles. De retour à la chambre, je demande à Bonaventure comme ça s'est passé avec sa meilleure amie. Peut être qu'elle a eu la même réaction que Priape, ronchonner, me dire que j'étais folle et tout ce qui va avec. " Ah bah c'est bien... Et moi ça a été mais j'ai pas envie d'en parler " Non, je préfère profiter encore un peu de lui... Je souris et m'excuse, l'embrassant tendrement, nos langues se caressant, comme dans un jeu. Je me détache, ferme les volets, ouvre la fenêtre et lui souris. " Alors, c'était quoi ce jeu dont tu m'as parlé ? " Demandai-je rapidement.

J'embrasse Bonaventure quand il suit mon voeux : ne pas parler de mon après-midi avec Priape. Je n'ai pas envie de penser à tout ça, j'ai envie de profiter de mon cher et tendre parce que demain, je m'envole pour la Havane avec le reste des Dunster. On a déjà du mal à y aller nous alors lui qui est 'banni' des Etats-Unis, même pas la peine d'y penser. Mes lèvres sur les siennes, je fais courir mes doigts sur son cou et me colle à lui. Je pourrais me mettre nue en cinq minutes s'il le fallait mais le site dont il m'a parlé tout à l'heure m'intrigue... Et j'ai envie de plus, de beaucoup plus. J'ai envie de l'embrasser, de faire naitre le désir en lui comme il fait naitre le désir - et l'attise follement - en moi. " Je plaide coupable " Soufflais-je avec un léger sourire. " Il faut dire qu'un jeu érotique avec toi... Forcément ça donne envie " Soufflais-je en revenant rapidement vers lui, glissant mes mains sous son haut pour caresser sa peau du bout des doigts. Je regarde par dessus sous épaule sur la tablette et souris. " Joueur 1, femme, Andrea. Joueur 2, homme, Bonaventure. Température mini soft, maximum chaud... Oral, glaçons, lubrifiant " Voilà, je crois que tous les paramètres sont bons. Je mords légèrement le lobe de son oreille et souffle " Les glaçons sont dans le petit congélateur du bar et le lubrifiant dans ma valise, je vais chercher ça " Je me détache de lui et vais chercher ces deux accessoires. Il risque de me demander pourquoi j'ai du lubrifiant avec moi mais bon. Je pose ça sur le lit, me mets assise et l'invite à faire de même. Face à face, la tablette entre nous deux, j'appuie sur 'lance le dé' et attends le résultat. " Se faire embrasser sensuellement les hanches par le joueur le plus éloigné " Well, il n'y a que nous deux. Je souris légèrement. " Et je te laisse me déshabiller, bien entendu " Soufflais-je avec un léger sourire.

Mes mains sous son haut, je souris légèrement. " Non non non... Tu n'oublies rien du tout ! T'as mis cette idée dans la tête de la plus têtue des femmes du pays... " Soupirais-je légèrement, tendrement, regardant ce qu'il traficote sur sa tablette. Ça m'intéresse tout ça. Je dois dire que je ne savais même pas que ça existait et ça m'intéresse fortement. Ça peut mettre un peu d'ambiance, un peu de piment et c'est excitant. Y aller petit à petit, se découvrir encore un peu plus parce qu'on ne connait pas tout l'un de l'autre, bien évidemment. Je reste collée à lui, profitant de son corps, de cette chaleur qui émane de lui. J'ai déjà très chaud - à cause de la température extérieure - mais je reste collée à lui, c'est plus fort que moi. Profiter avant de devoir se détacher et repartir. J'étais une vraie sangsue avec lui et, visiblement, ça ne le gêne pas tant que ça. Mes lèvres s'écrasent dans son cou et je ris légèrement quand il me demande pourquoi j'ai du lubrifiant avec moi. " C'est le love connect, effet chaud et effet froid.. Je me suis dis que ça pourrait être sympa à utiliser " Soufflais-je avant de le quitter rapidement. Prête, assise face à lui, je lance le dé et souris quand je vois ce qu'il doit faire. Ça commence doucement et ça me rassure, vraiment. " Vraiment ? Il vaut mieux que je meurs de chaud sous ma robe c'est ça ? " Je ris légèrement, me laissant faire, soupirant légèrement lorsque je sens ses lèvres sur moi. Un large frisson me parcourt et j'en réclamerais presque plus, si c'était possible. Il se détache et je me redresse, la robe remontée sur mes hanches. Pas bien grave. Il lance le dé virtuel et je souris. Je m'approche de lui, lui vole un baiser et me glisse entre ses jambes. Sur les genoux, face à lui, je caresse ses épaules du bout des doigts avant d'appuyer légèrement mes doigts au niveau de ses omoplates. " Lance le dé pour moi " Soufflais-je en gardant mes mains sur ses épaules. Je glisse mes yeux sur la tablette et souris légèrement. " Je dois enlever ma robe moi même... " Un sourire coquin se dessine sur mon visage. Je prends ses mains pour défaire la fermeture que j'ai dans le dos et finis par me lever. Je fais glisser le tissu sur une épaule, sur l'autre et glisse mes mains sur mon corps pour accompagner le tissu tout en mordant ma lèvre inférieure... Je crois que la tablette a entendu mes nombreuses supplications.