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If I Could Turn Back The Hands Of Time

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If I Could Turn Back [...]
Summer n’avait pas tort, auprès d’elle, il ne disait pas non à un rêve mais bel et bien un « bientôt ». Lorsque le moment serait venu pour le couple, sûrement songeraient-ils à faire un enfant, à s’engager concrètement dans une vie de couple. Pour l’heure, ils avaient fait un grand pas en décidant d’habiter ensemble et Paris était heureux de voir que malgré certains travers itinérants à son ancienne vie de célibataire (comme ne pas rabaisser la lunette des chiottes ou de laisser trainer ses boxers dans la chambre), ils arrivaient à cohabiter. « Oh je sais que je peux compter sur toi pour faire barrière… Tu sais, je suis vraiment heureux que tout se passe bien entre nous. Je veux dire, on arrive à vivre ensemble sans s’engueuler pour des conneries… et puis, tu m’as tellement été d’une grande aide après l’accident de voitures ou simplement avec les gosses. Franchement, je ne sais pas où j’en serais sans toi et je n’ai même pas envie d’y songer » lui dit-il en tournant la tête pour déposer un baiser sur ses lèvres.

Il tardait au jeune homme de concrétiser davantage leur relation en étant officiellement présenté à sa belle-famille. Il était important pour lui de passer ce cap non seulement vis-à-vis de la frangine libidineuse de Summer mais également pour sa propre sécurité émotionnelle. « J’attendrai que Marie-Claire fasse un sujet sur la question pour comprendre alors » plaisanta-t-il vis-à-vis de sa réponse concernant les raisons de sa crainte. Toutefois, Summer lui apporta un début de réponse. Elle ne craignait pas vraiment la présentation en elle-même mais surtout ce qui en découlerait : les critiques, la peur d’être jugée. Ses parents lui avaient vraiment causé du tort et il leur en voulait beaucoup. « Tu sais très bien que ta sœur me fera autant d’effet qu’une rediffusion de la messe dominicale à la télévision » commença-t-il pour écarter de suite ce sujet. « J’ai jamais été fan des nymphomanes et puis maintenant que je t’ai gouté toi… ma foi, faudrait qu’elle me verse toute une boite de viagra dans un verre à mon insu pour que je bande » continua-t-il dans toute sa splendeur romanesque. « Bébé, on sera deux à faire face et crois-moi, si ta mère commence à critiquer notre couple ou même ta façon d’aimer, je lui dirais au contraire combien tu es parfaite dans le rôle de ma compagne. Combien tu me rends heureux, combien tu me combles quitte à jouer les choqueurs et remercier ton père d’avoir enfanté une véritable tigresse avide de sexe » rigola-t-il pour la dérider. « Tu verras, nous serons tous les deux contre le reste du monde »

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Je riais de bon cœur aux remarques de Paris, bien que dans le fond, j’avais l’impression d’être vidée de toute énergie. J’entourais Paris de mes bras, et me penchait un peu plus sur lui, contre son dos, l’enveloppant de mon tout petit corps en comparaison de son envergure. « Tu vas voir, elle pourra pas t’approcher à moins de 10 mètres la Maxym » lui disait en plaisantant tout en collant un énorme bisous bien bruyant sur la joue du Dunster, avant de rire légèrement contre sa peau et de l’écouter me dire qu’il était ravis de voir qu’on arrive à s’entendre sans s’étriper, tout en me remerciant pour mon soutien « Hey, t’en aurais tout autant pour moi ! Si ce n’est pas déjà fait d’ailleurs ! C’est dans tes paroles que tu m’aides beaucoup… Et effectivement, il vaut mieux éviter de penser à ce qu’on ferait l’un sans l’autre. Personnellement, y’a pas un jour où je me félicite pas d’avoir débarqué chez toi un soir de janvier ! Je crois que c’est la meilleure décision que j’ai pu prendre de toute ma vie ! »

Et forcément, parler de passé, d’avenir, de présent, cela avait forcément amené à lui évoquer mon envie de le présenter à mes parents malgré mes craintes d’être jugée, surveillée, à attendre que je fasse une faute avec Paris pour me rappeler mon entêtement à me jeter sans réfléchir dans mes relations amoureuse. Bien sûr, personne n’avait encore idée à quel point je me sentais sûre de moi avec Paris, à quel point je n’imaginais plus ma vie sans lui ! Tout ce que j’espérais de cette rencontre au final, c’était que mon père apprenne à connaître Paris, sache que je me sentais heureuse avec lui et que le Dunster était là pour trèèèèès longtemps. « C’est peut-être sadique, mais j’ai trop hâte de voir la tête de ma sœur quand même !! Je suis pas idiote, je sais ce qu’elle pense : Que je n’ai pas d’ambition, et que je suis fade…alors je sais bien qu’elle doit se dire que je n’arrive à attirer que des hommes médiocres. Alors que là…. » Bon je sais, ce que je dis peut porter à confusion : je n’étais pas en train de considérer Paris comme un trophée, il fallait que je lui fasse savoir : « Attention hein ? Je ne dis pas que j’ai envie de te présenter à elle juste pour la narguer hein ?! Ou te considéré comme un trophée. C’est juste que…enfin…c’est idiot, je sais, et pardon d’avance mais : Je crois que j’ai vraiment besoin de lui en mettre plein la vue » Ouais enfin ça…c’est si j’arrive à l’affronter réellement, sans m’écraser dès la première réflexion ! Non parce que je me connais hein : Imaginer les choses à ma sauce, c’est facile ! Mais faire en sorte que ça se réaliser vraiment, que je tienne réellement tête à ma sœur, c’est une autre histoire. « Oh et puis, j’ai trop hâte de te présenter à mon père aussi !!! Je suis sûre qu’il va t’adorer ! Il ne peut que t’adorer de toute façon ! Je le sais, ce n’est pas possible autrement » lançais-je avec détermination. Je me sentais tellement sûre de ça, que j’avais même du mal à me contenir derrière Paris : je gesticulais dans le lit et le faisant tanguer avec moi en même temps que mes ptits bondissement à genoux sur le matelas. « Rien que pour ça, j’ai trop hâte ! Oh et puis, tu vas pouvoir discuter jardinage avec lui ! Il aimerait tellement s’y mettre. Ça vous ferait un bon point de départ à tous les deux.  »

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Qu’il était bon de voir Summer sourire et même rire. Le mieux fut tout de même lorsqu’elle s’imagina en mettre plein la vue à sa sœur. C’était pour lui quelque chose de naturel, il avait la même niaque au sujet de son père : lui montrer que quoiqu’il arrive, il n’était pas brisé, qu’il valait mieux que lui et surtout qu’il pouvait être heureux malgré tout ce qu’il lui avait fait endurer. « Ta sœur raconte toujours autant de connerie ? Non parce que le jour où tu seras fade, je crois que je serais plus en mesure de lever junior… » haussa-t-il les épaules. Pour Paris, il était impensable qu’un jour, Summer en devienne inintéressante. Elle était un véritable rayon de soleil dans sa vie ainsi que dans celle de ses proches. Il fallait avoir un doigt dans l’œil pour ne pas le remarquer – à moins que sa sœur ait la tête dans le cul continuellement. « Et puis c’est normal de vouloir lui en mettre plein la vue. Tu as bon fond d’essayer de mettre un peu de jugeote dans le courant d’air qu’elle a entre les oreilles » reprit-il. Oui il était méchant et irrespectueux mais si vous saviez combien il en avait rien à branler de la sœur. Néanmoins, c’est bien un Paris en plein éclat de rire qui poursuivit la conversation. « Sérieux ? Je veux bien jouer les trophées avec toi quand tu veux ! Tu peux même me faire empailler mais je te conseille de le faire quand je suis bien dispo pour t’honorer, je te servirai en prime de poupée gonflable. Je te promets de me trimballer au moins une fois torse nu devant ta sœur pour l’emmerder » lui répondit un Paris fier de sa connerie.

« Ce serait avec plaisir pour le jardinage tu sais… Tu penses que l’on pourrait y aller quand ? Pourquoi pas au mois de juin après le bal ? » lui proposa-t-il en essayant de se rappeler s’il avait prévu quelque chose. Il y avait bien ce fameux week-end entre potes avec Dante. D’ailleurs, il faudrait tet qu’il en parle à la principale intéressée mais il avait encore largement le temps devant lui. « Au fait, le retour à l'hopital n'a pas été trop dur avec ton crétin de titulaire? » lui demanda-t-il car il savait que c’était quelque chose qui la peinait et l'énervait.

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J’éclatais franchement de rire, en osant dire « oh t’es méchant » mais lui comme moi savait que je ne le pensais pas une seule secondes ! Au contraire, j’étais bien contente d’avoir enfin quelqu’un qui me comprenne par rapport à ma sœur, et qui ne me laisse pas tomber pour elle. C’était quelque chose d’important à mes yeux. Bien plus qu’un passage obligatoire, qu’un test pour évaluer la force de notre couple, c’était le point de départ à tout un tas de promesse d’avenir que je laissais enfin échapper de moi après cela. Jusqu’ici, bien que je me montrais optimiste sur l’avenir que Paris et moi avions, en lançant des « un jour, on fera ça. Un jour, on sera vivra ça ». Une fois cette rencontre avec mes parents, je savais que dans ma tête, dans mon cœur, il y aurait comme une sorte de déclic ! Une vanne ouverte à tous mes projets, à toutes mes envies avec Paris.

Pendant que Paris s’amusait à s’imaginer empailler, moi j’essayais d’imaginer le jour-J, devant mes parents, devant ma sœur. J’avais tellement d’espoir et de craintes, tout se mélangeait et pourtant, je n’arrivais pas à me défaire de ce sourire que j’affichais depuis tout à l’heure. Comme si le fait d’avoir parlé avec Paris avait permis de ne plus voir les choses en gris ou noir, mais bel et bien en couleur ! J’entendais soudain Paris me parler de poupée gonflable et je me mis à nouveau à rire aux éclats « Naaaaannnnn, je te préfère bien vivant ! Parce qu’au-delà d’un Junior tout érigé et super efficace, il me manquerait les râles et les gémissement excitant » répondais-je, concluant ma phrase dans un chuchotement dans l’oreille de Dunster avant de lui en mordiller gentiment le lobe. Paris me promettait ensuite de se balader fièrement torse nu devant ma sœur, et à nouveau je ricanais, presque encore plus excitée à l’idée de la narguer ! « Rhoooo ouaaiiisss, trop bien ! Par contre pas trop longtemps…elle risque de tomber aveugle devant tant de perfection la pauvre. Et je veux qu’il lui reste ses yeux pour pleurer ! » Mon dieu, mon envie de me venger de toutes ces réflexions que ce soit d’elle ou de ma mère, étaient tellement forte que ça me rendait soudain sournoise ! Heureusement que la pensée de mon père venait adoucir tout cela. J’imaginais déjà les deux grands hommes de ma vie partager quelque chose, discuter, apprendre à se connaître. Dans mon esprit se formait l’image de mon père, tapant dans le dos de mon petit-ami, et de lui tenir fièrement le haut l’épaule, alors qu’il lui souriait tel un père rassuré et satisfaire d’avoir un homme aussi droit que Paris pour sa fille. Alors forcément, il fallait effectivement prévoir une date pour que je puisse voir tout ceci en vrai ! « Ouais ! Juin, après le bal, ça serait parfait !...On aurait plus de temps pour souffler en plus ! » Surtout que ça me permettrait de prendre une décision quant à mon avenir professionnel, et sans doute profiter du séjour en Floride chez mes parents pour leur annoncé mon envie d’arrêter la médecine.

Et comme une sorte de connexion invisible, Paris évoquait l’hôpital et le Dr Cigare-Barbiche. Je grimaçais gentiment avant de relâcher Paris de mon étreinte pour aller au bout du lit, et me refaufiler sous les couettes en m’emmitouflant avec, tel un saucisson ! « Pour être honnête, j’en ai marre de le voir. Je pensais que le Spring Break au chili me permettrait de prendre du recul et de relativiser mais…franchement, j’ai hâte que ça se termine. Il me reste quoi….3 semaines avec lui ?! Après je passe à un autre service pour la fin de l’année. Mais…je crois que depuis qu’on a parlé de mon envie de changer de voix…j’ai l’impression que j’ai un peu plus de mal à supporter les choses à l’hôpital tu vois ? »


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Elle le trouvait méchant ? Paris aurait pu y croire si elle n’était pas aussi hilare dans ses bras. « Non pas méchant juste terriblement réaliste » rétorqua-t-il avec un sourire qui en disait long sur combien il allait prendre un malin plaisir à envoyer paitre sa plausible belle-sœur. Qui sait, si dans un avenir proche ou lointain, il ne finissait pas par épouser Summer car après tout, lorsque vous trouvez la perle rare, il faudrait être totalement barré pour la laisser s’en aller. Et puis, n’y avait-il pas une fameuse bague de planquée dans un recoin du bar ?! Il faudrait bien qu’un jour, elle serve n’est-ce pas ?!

« Espèce de tentatrice »grogna-t-il alors qu’elle s’amusait à détourner ses propos et lui mordiller le lobe de l’oreille. Pour la punir, il fit claquer l’une de ses mains sur sa fesse nue, le bruit résonnant dans toute la pièce -bon il y est tout de même allé mollo hein. « C’est fou comme tu marques vite, tu as la fesse toute rosie » la taquina-t-il en se redressant sur un coude pour voir son chef d’œuvre, n’hésitant pas à en remettre une petite louche au passage. « Trop tentant ! Pour ce qui est des râles et des gémissements, je peux toujours bidouiller la chose et qu’elle murmure des : Oh oui bébé, prends moi bien dans ta bouche » plaisanta-t-il avec un sourire canaille. Il n’y avait pas de mal à l’embêter un peu bien que très rapidement, il en revint à sa cible préférée à savoir la frangine. « Cela marche, elle ne va pas en revenir surtout quand je te plaquerai contre un mur pour t’embrasser devant elle » lui dit-il. Si Summer désirait se venger et narguer sa nympho de sœur, il serait son homme car il n’y a rien qui lui ferait plus plaisir que de l’aider à mettre fin à des années de piques en tout genre. Il était temps que la roue tourne du bon côté.

En tous les cas, juin fut le mois retenu pour aller rendre visite à sa famille. Qu’est-ce qu’il avait hâte mais en même temps, il ne pouvait s’empêcher d’être tout de même un peu nerveux. La seule chose qu’il espérait néanmoins, c’est que d’ici là, les enfants soient revenus à la maison. Qui sait, peut-être pourrait-il amener ses frères et sœurs avec eux mais bonjour le débarquement dans la famille Wingfield. De file en aiguille, le couple aborda le sujet de l’hôpital et surtout du titulaire de Summer. Cette dernière en avait décidément ras le bol de son supérieur et Paris grimaça avant de se débarrasser à nouveau de son boxer pour mieux se faufiler à son tour sous la couette et la reprendre dans ses bras. « Je vois complétement ce que tu veux dire.. Dis-toi que tu n’en as plus pour longtemps sinon je peux toujours aller lui parler avec ma douceur naturelle » lui proposa-t-il de bon cœur.

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Titiller Paris et me jouer un peu de ses ardeurs, c’était mon passe-temps favoris. En même faut pas m’en vouloir : n’importe quelle femme ferait la même chose à ma place si elle avait la chance de partager la vie du Dunster. Seulement, je savais qu’en le titillant de la sorte, je risquais de recevoir le même traitement, et je ne pouvais pas vraiment me sentir surprise de la fessée qu’il m’avait donné en réponse, bien que je marquais tout de même mon étonnement par un hoquet de surprise tout en regardant derrière moi en me pivotant un peu pour observer le résultat. « Nan, elle rougit de l’attention que lui portes ! Tu lui fait de l'effet tu comprends ?! » plaisantais-je bêtement tout en touchant ma fesse d’une rapide caresses, avant de grimacer alors que Paris ré argumentais sur son empaillement, se voyant même capable de robotiser celui-ci en ajoutant sa voix pré enregistrés. « Non plus sans façon ! Je te veux, vivant, présent, et surtout… » À nouveau, j’allais me jouer de la patience de mon petit-ami et souriais d’avance de mes paroles que je lui murmurais alors à l’oreille : « …je te veux VIF et DOMINANT ! J’aime bien te monter dessus, mais…j’aime surtout quand tu prends le contrôle.» avouais-je non sans rougir. J’avais beau n’avoir aucun secret pour Paris concernant notre vie sexuelle, il n’empêche qu’une partie de moi avait toujours un peu de pudeur et appréhendait la réaction de Paris à mes paroles. Et pourtant, je savais bien que je pouvais me libérer avec Paris de ce côté-là. La preuve en est avec les exemples de voix qu’il souhaitait préenregistrés ! Mais ce qu’il m’amusait le plus, c’était de voir Paris être tout aussi enthousiaste que moi à l’idée de faire chier ma sœur ! « Tu veux que je te dise, quoiqu’on fasse ce sera jamais pire que ce qu’ELLE a fait ! Dans MON lit en plus ! Alors tout ce qui est faisable de faire pour la faire chier, je sens que je serais la première à te dire « C’est parti, on le fait ! »…enfin je dis ça maintenant mais…une fois réellement devant elle ? Est-ce que j’en serais capable ? C’est une autre histoire. »

Je m’étais faufilée dans les couettes et Paris ne tardait pas à me rejoindre pour me reprendre dans ses bras, et je ne lovais contre lui sans rechigner une seule seconde, ma tête trouvant très vitre sa place contre son torse, et mon bras entourant du mieux que possible sa taille. Bien que l’on discutait maintenant d’un sujet qui me prenait bien souvent la tête ces derniers temps, Paris réussissait à me faire oublier par sa seule présence, la colère et le manque d’entrain que j’avais à aller travailler ces derniers temps. Je ne suis pas quelqu’un qui reste là à ne rien faire ! Et j’adore passer du temps avec les patients, et le service pédiatrie est quelque chose qui me plait, mais…il n’y a pas un jour où, soit seule à ma pause, où en pleine observations d’un cas difficile, je ne me mette à penser : « Ce n’est pas fait pour moi…Est-ce que je ne serais pas mieux, ailleurs ? Dans un autre environnement ? »…et automatiquement, je me laissais aussi très vite imaginer ce que serait ma vie si j’avais fait les études que je voulais au départ ; ce que ma vie serait si j’étais enseignante… Je pouffait de rire en entendant Paris me proposer d’aller parler à mon supérieur, et je secouais gentiment la tête contre son torse avant de répondre « Douceur naturelle…Tu sais quoi ? Ce type est tellement insensible, que je ne suis même pas sûre qu’il ressentirait quoique ce soit si tu venais lui parler, ou le menacer, ou autre chose du genre. Il est juste exaspérant…Et ce qui me rassure, c’est qu’il est comme ça avec tout le monde, donc que je n’y suis pour rien ! »


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Paris observa sa petite-amie reluquer son arrière train, un sourire aux lèvres. « L’attention que je lui porte ?! Rien que ça… Décidément, bébé, tu es un cas irrécupérable pour la société ! Je ne peux même pas te punir en te mettant des fessées… Je vais finir par me poser des questions » rigola-t-il avant de la regarder en arquant un sourcil. « Aurais-tu des tendances SM ? Genre, tu rêves de m’appeler maitre durant nos ébats et que je t’attache ? » la taquina-t-il, ravi de la voir à nouveau reprendre du poil de la bête. Il avait vraiment cru ne jamais revoir son sourire après sa crise d’angoisse. Au moins, il était quelque peu rassuré de la voir à nouveau le taquiner voire de le titiller. « Je savais que tu rêvais de m’appeler maitre au fond de toi » grogna-t-il en lui remettant une petite claque sur les fesses au passage -on a bien le droit de se faire plaisir n’est-ce pas ?! « Et moi j’aime quand tu fais preuve d’audace mais surtout lorsque tu rougis juste après… Tu es à croquer » souffla-t-il avant de l’embrasser et de parler de cette fameuse réunion de famille. Paris comprenait très bien que Summer veuille se venger de sa sœur et il était bien disposé à tout mettre en œuvre pour cela. « Bébé, on aura qu’à baptiser son lit ! Moi ça ne me gêne pas le moins du monde tant que je peux te faire l’amour ! Je suis comme les scouts, toujours prêt » commença-t-il avant de la voir se faufiler sous la couette. « Et puis, si tu ne t’en sens pas capable, crois-moi, je saurais te donner toute la motivation nécessaire pour le faire » ajouta-t-il en la rejoignant pour mieux la reprendre dans ses bras.

Tout cela se termina en évoquant le supérieur de sa petite-amie ; un homme qu’il aimerait bien voir disparaitre sous terre tant il l’agaçait. « Encore heureux qu’il ne fasse pas une fixette sur toi sinon crois-moi, j’allais lui en toucher deux mots sans tact et sans douceur. Il est hors de question que je reste les bras croisés dans ce genre de situations… Par contre, qu’est-ce que tu comptes faire pour la rentrée prochaine ? Tu vas valider ta prochaine année de médecine ou pas ? » lui demanda-t-il avec curiosité, ses doigts allant et venant le long de la colonne vertébrale de sa compagne afin de la détendre complétement.


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Paris n’arrivait toujours pas à se faire à l’idée que me mettre la fessée pouvait avoir quelque chose de plaisant pour moi, et quant à moi, je me marrais en le voyant se poser des questions sur ma tendance SM « N’importe quoi ! Je n’en suis pas à ce point-là non plus ! » me défendais-je « je vais finir par croire que j’suis cinglée…Et puis c’est toujours gentillet quand tu me claques la fesse ! Tu me fouetterais, là je ne dis pas : tu aurais le droit de te poser de sérieuses questions » et alors que je m’amusais à le titiller un peu, je gloussais comme une gamine tout en rougissant au moment même où il m’avouait que c’est justement mes rougissements après une bref audace qui le faisait fondre. « Ouuuuhhhh « à croquer » ? Et moi est-ce que moi je dois me poser des questions sur ton côté cannibale ? Ce n’est pas la première fois que tu parles de vouloir me dévorer ! » Je me pinçais les lèvres pour dissimuler mon sourire moqueur et une fois qu’il me rejoignait dans le lit pour me prendre dans ses bras, on s’était mis à discuter de ma famille, et plus précisément de mon intention de rendre la monnaie de sa pièce à ma sœur. Pour ma part, je me connais suffisamment pour savoir, que j’étais bourrée d’envie de vouloir me venger…mais je savais aussi qu’une fois devant ma sœur, ou ma mère, j’avais un peu tendance à redevenir la petite gamine qu’on écrase, et qui n’a pas assez de courage pour affronter les choses. Heureusement pour moi, j’avais la chance d’avoir un petit ami, plein d’entrain, plein d’idées et surtout, bourrée de soutien à mon égard. Pas étonnant du coup, que le Dunster me propose de me redonner la motivation suffisante pour faire affront. Je profitais alors de ce moment pour me redresser de passer une jambe par-dessus le corps de Paris pour pouvoir me mettre ensuite au-dessus de lui. Se faisant, je lui souriais chaleureusement et lui volait un baiser « J’ai de la chance de t’avoir. T’es un amour : Je suis là en train de te dire que j’ai un besoin de vengeance, et toi au lieu de te dire « elle est cinglée c’est pas possible », tu es prêt à m’aider. Si ce n’est pas être le meilleur petit-ami du monde ça ?! » Et à nouveau, je déposais mes lèvres sur les siennes, mais les gardaient un peu plus longtemps pour mon bon plaisir !

Et tout en continuant dans ce rôle de petit ami protecteur et prêt à me soutenir, Paris m’écoutait parler de mon supérieur à l’hosto, et c’est sans avoir peur de mes ressentis que je lui avouais ne plus être en accord avec ce qu’il se passait à l’hôpital. J’inspirais profondément en posant ma tête juste en dessous de la sienne, contre le haut de son torse, et réfléchissait à sa question concernant mon année prochaine à Harvard. « A vrai dire…je ne sais pas trop. Aujourd’hui, je suis encore un peu indécise. J’ai peur de me tromper, de me précipiter en arrêtant la médecine maintenant pour changer de voix…et en même temps, je me sens plus vraiment à ma place à l’hôpital. J’en suis même à me demander si j’ai déjà eu ma place un jour d’ailleurs. J’ai encore et toujours autant de mal avec la mort des patients aux services des urgences par exemple…je suis peut-être pas assez forte mentalement tu vois ?! » Je réfléchissais encore à ce que serait mon choix, quand je décidais de demander l’avis de mon petit-ami. « Tu ferais quoi toi, à ma place ?! Je veux dire….tu ferais quoi si l’astrophysique devenait du jour au lendemain un poids lourd ? Tu te dirais que c’est que l’envie n’est plus là ? Que c’est qu’une phase et qu’il faut se remotiver ? »


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« Tu sais, il y a fouetter et fouetter… Je pars du principe, en tant que scientifique qu’il faut toujours tester avant de statuer sur une chose. Du coup, la prochaine fois qu’on va faire les courses, on s’arrête dans un sexshop et j’achète tout le matériel… C’est que j’ai à cœur de te faire explorer l’immensité de ta sexualité bébé » lâcha-t-il l’air de rien, comme s’il lui affirmait qu’il allait lui préparer des pancakes au petit déjeuner du lendemain. « Et puis je ne cache pas mon intention de te croquer, tu as la peau si douce… on en redemanderait » ajouta-t-il avec un grand sourire. Si elle voulait l’attirer sur ce terrain, Paris sentait que la conversation allait rapidement tourner court pour un dialogue bien plus charnel qu’autre chose ; Et elle ne l’aidait pas à se concentrer en venant s’installer nue au-dessus de lui. « Bien sûr que je le sais.. Qu’est-ce que tu crois, je suis l’incarnation même de la perfection et puis j’adore remettre à leur place les nanas pourries gâtées. C’est même un réel plaisir… De nous deux, je ne sais pas lequel se vengera le plus » lui dit-il en prenant ses hanches entre ses mains.

Le couple n’avait visiblement pas fini de se parler, de mettre les choses clairement sur la table. Cette fois-ci, le sujet était l’avenir de Summer sur le plan estudiantin. Le Dunster écouta sa petite-amie lui parler, l’entourant de ses bras musclés comme pour lui offrir toute la protection et le soutien dont elle aurait besoin. « Je ne pense pas que ce soit une histoire d’être fort mentalement ou pas. Tu es surtout peut-être trop sensible pour ce boulot ?! » commença-t-il par répondre avant qu’elle ne lui demande son avis. « Dure question car je doute qu’un jour, une telle chose arrive mais si cela devait être le cas… je me connais suffisamment pour savoir que je trouverai une solution pour retomber sur mes pas. Après, il est vrai que c’est surtout le coup de se demander si tu as une baisse de motivation ou si c’est vraiment plus ton truc. Tu ne voulais pas devenir institutrice ? Tu pourrais peut-être faire une évaluation et demander à valider tes années pour pouvoir te réorienter en éducation scolaire ? Il y a ce cursus à Harvard » tenta-t-il de la conseiller mais dans le fond, seule Summer pourrait répondre à ses propres interrogations. « Tu sais, la seule chose que je puisse te conseiller, c’est de faire quelque chose qui te plait ! Si c’est pour t’enfermer dans un boulot que tu n’aimes pas, à quoi ça sert ? »

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Les jouets amusants, sex-toys et compagnie, je connaissais…même disons que jusqu’ici, j’avais plus opté pour ceux qui permettait les plaisirs solo, ou les simples petites folies dans un ébat en couple. Mais les fouets, menottes et autres accessoire à connotation dominant/dominé, j’avoue ne jamais y avoir pensé. Mais le pire, c’est qu’entendre Paris m’en parler ne me choquait même pas ! « Tu sais que, si cela avait été un autre de mes petits copains qui m’aurais fait cette suggestion, j’aurais détalée en courant ! » Et c’est vrai en plus ! Il n’y avait qu’avec Paris que je me sentais suffisamment à l’aise pour évoquer ce pan-là de ma sexualité, et la partager sans honte avec mon mec. Encore une preuve que Paris était l’homme idéal pour moi : il réussissait à me débloquer, à me sentir à l’aise, à entrevoir les choses sous un autre angle, à avoir confiance en moi et mes aptitudes…et puis, en sa compagnie, je me sentais importante, utile, fière…Alors le voir me soutenir pour la vengeance à entreprendre sur ma sœur, ça avait quelque chose de rassurant et d’excitant. Ainsi au-dessus de lui, coller contre son corps alors que je sentais ses mains sur mes hanches, je savais déjà que j’allais à voir du mal à me tenir et tenter de dormir. Mais chaque chose en son temps. Pour le moment, je pouvais me permettre de lui voler quelques baisers, et de me blottir contre lui.

Cette intimité et cet instant de confession que l’on avait depuis notre arrivée dans la chambre me permettait de lui parler de mon avenir à l’hôpital et de mes doutes. J’écoutais Paris me conseiller et j’hochais la tête contre son torse, avant de réagir à cette histoire de validation de cursus « J’y ai déjà un peu pensé mais…comment dire, ce n’est pas trop ça qui me bloque. Pour être honnête, si je devais changer de voix, je serais prêt à quitter Harvard s’il le faut mais… » Je relevais un peu la tête pour tenter d’observer le visage du Dunster et ajoutais : « En fait, ce serait un peu la première fois que je prends une décision qui m’appartient…et je ne suis même pas sûre qu’elle soit bonne cette décision. Et si le fait d’être enseignante ne me plaisait pas non plus ?! est-ce que j'aurais pas tout lâché pour rien ??» C’était bien là toute la question. Jamais je n’avais eu la garantie que médecine me plairait – et je ne peux pas dire que ça me déplaisait – mais comme il ne s’agissait pas de MON choix, je me cachais derrière l’éternel « Ce n’est pas mon choix à la base, alors je fais avec… »

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