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If I Could Turn Back The Hands Of Time

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If I Could Turn Back [...]
Paris en était arrivé à un carrefour de son couple où il allait devoir prendre une décision : continuer ou s’arrêter. Son cœur lui criait de continuer, de s’entêter mais sa raison lui soufflait que Summer malgré tout l’amour qu’elle lui portait, ne serait finalement jamais totalement sienne. Sur le plan sexuel, elle lui appartenait, il en avait conscience mais il ne pourrait plus se satisfaire de cela. Ce soir, en perdant tout ce qui lui était cher, il avait pris conscience du côté bancal de son couple et ça, il ne pouvait ni l’accepter, ni se le permettre. Bien sûr, Summer était la petite-amie idéale, elle l’épaulait, le réconforter mais c’était tout. Elle s’oubliait, elle en devenait presque transparente dans l’unique but de lui plaire. Paris s’en sentait coupable, affreusement coupable. Sa petite-amie faisait passer ses désirs, ses besoins avant les siens et si cela plaisait à beaucoup d’hommes, ce n’était pas son cas. Au contraire, il avait l’impression d’être un gros connard profiteur et le pire, c’est qu’il savait pertinemment que c’était uniquement par peur qu’elle le faisait.

Pourquoi avait-elle si peur qu’il s’en aille ? Il l’aimait elle, pas une autre. Il lui avait tout donné, il lui avait ouvert son cœur mais également son passé. Auprès d’elle, il avait tout donné alors pourquoi continuait-elle d’avoir peur ? Que devait-il faire pour qu’elle comprenne que justement, en continuant de la sorte, elle ne faisait que les précipiter vers le mur ? Oh il n’était pas tout blanc non plus, il avait trop laissé faire, la laissant se complaire dans cet état de fait comme si c’était la solution miracle. Le Dunster avait mis trop de temps à comprendre, à voir la vérité en face car il avait été bien plus agréable de se faire chouchouter, lui qui ne l’avait jamais été. Le retour de sa mère avait été un électrochoc car Grace Maconahey, malgré toutes les erreurs qu’elle commettait, continuait de lui tenir tête au lieu de s’effacer. Alors voir Summer faire le dos rond après qu’il ait merdé lui avait fait comprendre combien sa petite-amie pouvait souffrir en silence et loin de lui. « Justement je t’en veux de croire que je puisse te quitter pour des futilités ou parce que tu t’affirmes Summer. Je t’ai tout donné Summer, je me suis mis à nu pour toi, je t’ai laissé entrer dans ma vie et pourtant, tu continues de trembler comme une feuille dès qu’il est question de te donner comme si je pourrais avoir honte de toi » soupira-t-il, essayant de ne pas faiblir face à son regard implorant. Non, pour leur bien, il devait tenir quitte à passer pour le méchant de cette histoire. Paris savait que s’il la prenait dans ses bras maintenant, il craquerait et lui dirait de tout oublier et fatalement, le problème persisterait voire s’accentuerait. Il devait lui tenir tête quitte à la bousculer un peu trop fort mais il fallait que ce blocage saute. « C’est juste quoi alors ? » l’encouragea-t-il à lui parler et c’est ce qu’elle fit.

Plus elle parlait et plus il avait envie de la secouer. Sous prétexte qu’il la rendait heureuse, il avait le droit de la blesser, de se comporter comme un crétin ? Bon sang, pour quel genre de couple les prenait-elle ? Il n’y avait pas marqué sadomasochiste sur son front… Paris avait un côté dominateur, il ne pouvait le nier mais pas à ce point-là. « Cela suffit Summer ! J’en peux plus de cette situation… Tu t’entends quand tu parles ? Je te rends heureuse alors j’ai quartier libre pour faire des conneries qui pourraient te blesser ? Tu veux peut-être que je t’en colle une comme mon géniteur le faisait avec ma mère ? Après tout, je te rends heureuse alors que je te batte ou que je sais pas… tiens, et si j’allais coucher ailleurs, tu me pardonnerais parce que ce n’est pas grave, tu ne veux pas faire de vague ou me décevoir ? C’est des conneries ! » s’emporta-t-il légèrement avant de faire les cent pas dans le salon pour essayer de garder son calme. La colère ne lui rendrait pas service et il avait besoin de parler avec elle et non de l’agresser. « Un couple, ce n’est pas ça pour moi… Je n’ai pas besoin que tu t’écrases devant moi à la moindre occasion sous prétexte que tu as peur de me perdre. Bon sang, je ne suis pas un tortionnaire et là, c’est l’effet que tu me donnes. Je ne suis pas Dieu, j’ai des torts aussi comme tout à l’heure quand tu as essayé de t’exprimer. Si mes réactions ne te plaisent pas alors dis-moi ! Exprime-toi ! Ce n’est pas parce qu’on va s’engueuler un bon coup que ce serait la fin du monde. Un couple ce n’est pas voguer sur un nuage rose 24h/24 ! Il y a des hauts et il y a des bas » commença-t-il par lui répondre avant de s’arrêter de tourner en rond pour la regarder. Elle pleurait et il aurait tant aimé la prendre dans ses bras mais ils devaient d’abord se comprendre.

« Summer, regarde-moi bon sang ! Je fais des conneries, je râle tout le temps, je te blesse très souvent bien malgré moi et pourtant, tu es toujours avec moi ? Il m’arrive aussi de te décevoir et pourtant, tu es toujours là n’est-ce pas ? Parce que tu m’aimes… Alors putain pourquoi la réciprocité se fait pas dans ton crâne ?! Pourquoi tu ne veux pas comprendre que je puisse répondre présent malgré une embrouille ? Je n’ai pas besoin d’être materné ! Okay je suis un puceau de la relation sentimentale, je ne connais peut-être strictement rien aux femmes mais c’est pas pour autant que tu dois me traiter de la sorte. Merde si j’avais été totalement puceau, tu me condamnerais au missionnaire toute ma vie sous prétexte que je n’ai rien exploré d’autre avant ?! Arrête de me materner, de croire que parce que je suis au plus bas, j’ai le droit de réagir connement. Tu es un être humain, tu as tes propres pensées, tes propres sentiments… Tu as des défauts et des qualités ! Tu sais quoi moi aussi et très certainement, il y aura des défauts chez moi qui te gonfleront et alors ? Ce n’est pas la fin du monde. Pourquoi tu dois être parfaite pour moi ? Quel est l’intérêt ? Si je voulais ce genre de chose, je prendrais un chien ! Moi ce que je veux, c’est toi, que tu cesses ce putain de rôle de la petite-amie parfaite, que tu assumes tes coups de gueule… Putain t’a jamais entendu parler des réconciliations sur l’oreiller ? Arrête de stériliser notre couple comme dans une salle d’opération… On a le droit de se rouler dans la boue, de faire des conneries… »

AVENGEDINCHAINS
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If I Could Turn Back [...]
Certains diront que c’est peut-être exagéré de faire ce genre de comparaison, mais : J’ai l’impression d’être poignardée en plein cœur à plusieurs reprises, à tel point que je ne peux plus du tout respirer. Chaque parole de Paris m’anéantie et je ne sais pas quoi faire pour régler le problème. J’aimerais tellement fermer les yeux très fort et en les rouvrant, découvrir que tout ceci n’était qu’un simple cauchemar ; que je suis encore dans le lit d’Amanda et que ma fatigue a eu raison de moi. Mais non, j’avais beau fermer les yeux, je restais dans ce salon, avec un homme qui ne me supportait plus…et je ne savais pas quoi faire pour sauver la situation.

J’écoutais Paris, dieu que j’écoutais ! Mais comment voulait-il que j’arrive à croire que je ne le perdrais pas, quand pourtant il est là à me gueuler dessus en me disant qu’il ne supporte plus cette relation. Si ce n’est pas me donner une raison d’avoir peur ça, qu’est-ce que c’est ?! Bien sûr, il ne fait que m’alarmer en me disant que si je continue dans ce sens, j’allais droit dans le mur. Mais que voulait-il que je fasse exactement ? Que je lui réponde quoi ? « Je vais changer, je te promets ! » Alors que je ne sais pas comment faire ?

** il ne veut pas que tu changes, il veut que tu parles, que tu gueules, que tu vives…**
MAIS BON SANG, C’EST PAS CE QUE JE FAIS, LA ?! JE NE SUIS PAS EN TRAIN DE LUI DIRE CE QUE JE RESSENS ???
** Si…mais tu lui donne pas vraiment les raisons qui te pousse à ressentir ça **

SI ! C’est parce que j’ai peur de le perdre.
** Pourquoi tu as peur de le perdre ? Qu’est-ce qui te dit que tu vas le perdre ? **

PARCE QUE C’EST-CE QU’ILS ONT TOUS FAIT !

Dans ma tête ce jouait un combat entre moi et ma conscience, et en même temps Paris continuait de me pousser à bout, à me prouver que mes propos étaient ridicules ! Et là, je n’arrivais plus à rien. Entre mon manque de souffle, mon cœur douloureux, et ma tête qui me donnait l’impression qu’elle allait exploser, je perdais toute raison. Je posais alors mes mains sur les oreilles et me mit à crier : « ARRÊTES !!! Arrêtes, arrêtes, ARRÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊTTTEEEES !!!!! » Et ce sont mes dernière forces qui se manifestaient de ces hurlements : Mes jambes me lâchèrent et je me laissais alors glisser contre le comptoir, pour m’asseoir sur le sol en me bouchant les oreilles et en secouant la tête, murmurant « stop, stop, s’il te plait, …stop…. » La seule chose qui me laissait encore penser que j’étais en vie en cet instant, c’est les larmes chaudes qui coulaient sur mes joues. « je veux pas refaire ça…je peux pas refaire l’erreur » chuchotais-je pour moi-même, les yeux fermés, les oreilles bouchées, me pensant dans ma bulle alors que Paris assistait à tout. J’essayais d’inspirer, mais rien ne se faisait correctement….crise d’angoisse. Voilà ce que j’étais en train de faire : une crise d’angoisse.

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If I Could Turn Back [...]
Paris s’était juré de ne pas craquer mais en la voyant ainsi, il ne pouvait pas faire autrement. Il aimait cette femme plus que sa vie et la voir souffrir ainsi ne faisait pas partie du plan. Il aurait aimé que tout se passe mieux, qu’elle comprenne où il voulait en venir mais ce n’était pas le cas. Elle semblait être aux prises de ses propres démons et cela lui faisait mal de la voir ainsi. Alors, il se rapprocha d’elle jusqu’à s’accroupir en face, posant une main chaude et réconfortante sur l’un de ses genoux. « Bébé… calme toi s’il te plait, ne te mets pas dans un état pareil, je t’en prie » murmura-t-il sur un ton suppliant. Paris s’était toujours imaginé qu’il était le plus brisé des deux mais aujourd’hui, il comprenait que Summer avait réellement souffert par le passé et que tout ce qui se passait actuellement n’en était que le résultat. Lui, il se barricadait derrière sa violence, son côté bourru, elle, c’était derrière sa gentillesse, sa soumission. Malheureusement, il l’avait poussé à bout et si dans un certain sens, il ne le regrettait pas, dans l’autre, il s’en voulait. Le Dunster espérait faire bouger les choses, la sortir de ce travers comme elle l’avait sorti de ses nombreux cauchemars. Sa petite-amie avait su l’apaiser, lui apporter l’amour dont il avait besoin pour panser ses blessures. La seule chose qu’il désirait à présent, c’était de pouvoir en faire de même. « Viens là mon ange » murmura-t-il toujours en l’attrapant pour mieux la faire basculer dans ses bras et la bercer contre son torse, déposant des baiser sur le sommet de son crâne. « Tout va bien, je ne te quitterai jamais mais il faut que je sache… laisse-moi te réparer comme tu as su le faire avec moi… C’est tout ce que je te demande bébé, que tu me laisses te soigner mais si tu ne me parles pas, comment je peux faire ? »lui demanda-t-il d’un ton doux avant de se relever en la soulevant dans ses bras pour grimper jusqu’à leur chambre. Il espérait que dans l’intimité de leur chambre, elle s’y sente suffisamment en sécurité.

Avec tendresse, il l’allongea sur le lit pour mieux lui ôter ses chaussures puis ses chaussettes. Ensuite, il s’en alla vers la salle de bain pour mieux revenir avec un gant de toilette humide qu’il passa sur son visage pour la calmer mais aussi effacer ses traces de larmes. Une fois fait, il ôta son propre T-shirt pour mieux l’attirer à nouveau contre son torse nu, espérant que le contact avec sa peau la détendrait. « Je suis là et je ne bougerai jamais… Quoique tu dises, quoique tu fasses. Je te le jure sur la tête de mes frères et sœurs »


AVENGEDINCHAINS
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If I Could Turn Back [...]
J’étais paniquée, incapable de sortir de cet étau qui se refermait sur moi, qui me compressait le cœur et la tête. Je ne savais plus ou j’en étais…Et pourtant une main posé sur mon genou me rappelait qu’une présence n’était pas loin, et des paroles résonnaient autour de moi. Rassurantes, bien plus calmes que celles que j’ai entendu tout à l’heure. Le problème, c’est que j’étais encore prisonnière de ma crise, de ces hurlements à l’intérieur de moi qui me sommait de toute dire, de crier les raisons qui m’avait devenir ce que j’étais…mais bizarrement, j’étais persuadée que Paris savait mes raisons.

Je me sentis soulevée du sol, et je n’étais maître de rien : comme spectatrice de ce qu’il m’arrivait, je me laissais les choses se faire jusqu’à ce que l’ambiance autour de moi change, et que je me sente un peu moins oppressée. Paris…il recréait cette bulle de sécurité, qui avait éclaté quelques heures plus tôt. Allongée sur le lit, j’essayais de revenir à moi, mais mon cerveau était déconnecté de tout le reste. Ce n’est qu’en sentant Paris revenir et me poser un gant humide sur le visage que les sensations physique revenait petit à petit. Je tentais de calmer ma respiration, et ce n’est qu’au moment où mon visage se colla au torse du Dunster, que j’avais l’impression de respirer à nouveau. Comme si le contact de sa peau avait été le défibrillateur qui permettait de faire battre mon cœur à nouveau.

Je restais silencieuse, bien trop occupée à « revenir sur terre » petit à petit, écoutant Paris me rassurer et me dire qu’il ne me quitterait pas, qu’il voulait juste m’aider à panser mes blessures….Et je savais maintenant ce qu’il attendait de moi pour ça. Mais ce qu’il n’avait pas compris jusqu’ici, c’est pourquoi j’avais fini par devenir si docile avec lui. Oui parce que j’avais peur de le perdre, mais pourquoi j’avais cette peur ?!

« Je les ai tous perdu… » Murmurais-je en me faisant peur tout seule d’entendre à nouveau ma voix. Je sursautais brièvement dans les bras de Paris, puis au bout de quelques secondes, rouvrait la bouche « c’est parce que je me suis plaint. Ils m’ont tous quitté parce que je me suis plaint, parce que j’en ai trop demandé… » Je serrais fort Paris en l’entourant de mes bras, comme pour me donner de la force et relâchais la pression avant de relever la tête pour fixer Paris dans les yeux, les miens traduisant sans doute ma fatigue. « Tyler, Chloé, Gabin…j’ai trop demandé, j’ai trop souvent dit ce que je reprochais….et quel en a été le résultat ?! Trompée, ou quittée… » Pour la première fois depuis de longues minutes, je pouvais inspirer et expirer à nouveau en soupirant fortement pour évacuer le trop pleins d’émotions. Mon cœur se sentait moins compressée et ma langue se déliait sans effort : « Les dernières semaines de notre relation, j’ai reproché à Tyler de ne pas s’investir dans l’organisation de mariage. Je lui prenais la tête parce que je voulais qu’il vienne avec moi pour tel ou tel rendez-vous, et il avait beau me dire qu’il me laissait faire ce que je voulais parce qu’il voulait un mariage qui me ressemble, je lui reprochais son manque de présence….et il a courir dans les bras de ma sœur. Quand j’ai été me plaindre de lui à mes parents, exprimant ma douleur, ma mère m’a clairement fait comprendre qu’elle m’avait prévenu ; que je me précipitais dans cette relation…et que finalement ce qui était arrivé était prévisible et logique. Et elle ne m’a pas soutenu, elle m’a laissé tomber….Chloé pareil : Je voulais une relation plus stable avec elle, et lui est reproche de me voir comme un amusement. Elle m’a trompée…Et Gabin : tant que je ne réclamais rien, tout allait bien. Dès que j’ai commencé à vouloir plus, à lui reproché de me mettre de côté. Il m’a fait comprendre que je pouvais partir... Alors non ! Non je ne voulais pas que ça se reproduise avec toi : Je me suis vu te gueuler dessus au début de notre relation, quand tu as pété un câble par rapport à Bona, ou quand j’ai sur pour ton boulot au clud….et je me suis dit "fais pas ça. Ne redeviens pas cette femme. Tu vas te faire jeter…". »


AVENGEDINCHAINS
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Silencieusement, il l’écoutait lui confier les raisons de cette docilité qui lui passait par-dessus la tête. Il l’écoutait même religieusement, comme si le simple fait qu’il puisse faire entendre sa voix l’arrêterait dans son élan. Aussi poursuivit-il ses caresses réconfortantes tout le long de sa confession jusqu’à ce qu’elle ne s’arrête. « Est-ce que je suis parti quand tu m’as gueulé dessus ? Non parce que dans ma tête, je me rappelle très bien de cette fameuse scène lorsque tu as appris que j’étais stripteaseur. Si mes souvenirs sont bons et on sait tous les deux combien ils sont fiables, cela s’est terminé par une retenue sur salaire pour je cite : saccage d’une loge. » lui dit-il avec un léger rire dans la voix car il se souvenait de combien cela avait été passionné entre eux. Aussi, il l’éloigna légèrement de lui pour pouvoir lever son visage afin qu’elle puisse lire dans ses yeux. « Summer, ton ex-fiancé était un crétin doublé d’un connard. Ta mère, je vais éviter de l’insulter parce qu’au fond, elle a tout de même réussi à mettre la plus belle femme au monde mais elle n’en reste pas moins conne à mes yeux. Ta Chloé, je n’en parle même pas et Gabin… Bah tu connais déjà mon point de vue sur la question… Tout ce que je veux te dire, c’est que je ne suis pas eux et que tu pourras gueuler autant que tu veux que cela m’énervera pas ou me fera partir. Hey, je te l’ai dit, tu as été adoptée par le clan Maconahey… Râler, gueuler, se plaindre, c’est notre marque de fabrique. Et puis si jamais ça me cassait les couilles, je t’embrasserai comme la première fois que tu m’as fait une crise… Bon si tu pouvais éviter de me gifler derrière, ce serait cool mais ce que je veux te dire, c’est qu’avec moi, tu n’as pas besoin d’avoir peur. Au contraire, j’ai envie de découvrir cette Summer que tu caches en toi. Bébé, t’es une tigresse au lit, tu me feras pas croire que tu es lisse le restant du temps » lui dit-il en déposant un baiser sur le bout de son nez.

Un second baiser arriva très vite sur ses lèvres mais Paris veillait à ce que cela n’aille pas plus loin. Summer n’avait pas besoin de sexe pour le moment, elle avait surtout besoin d’être rassurée, d’être dans un cocon de tendresse. « Tout ira bien, tu n’as plus à avoir peur… Je t’ai promis de te protéger et c’est ce que je ferais. Je n’ai franchement pas envie d’aller voir ailleurs ni même de te laisser sur le bord de la route. On vit ensemble, on meurt ensemble. Pammer for life » lâcha-t-il non sans amusement pour lui arracher un sourire car rien ne lui ferait plus plaisir que de la voir reprendre vie à nouveau.

AVENGEDINCHAINS
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Paris marquait un point…enfin non, plusieurs ! Ca faisait un moment d’ailleurs qu’il argumentait avec justesse et me faisait réaliser que mon comportement n’avait pas été le meilleur jusqu’ici. Bon il ne me reprochait pas d’être gentille, mais il me reprochait de l’être TROP. Et c’était cela que je n’avais pas su mesurer jusqu’ici. Bien trop persuadée que j’étais la source de mon malheur en amour, j’avais cru bêtement que la solution était de donner raison à l’autre, et d’arrondir les angles pour améliorer le quotidien. Et sincèrement, jusqu’ici cela ne me dérangeait vraiment pas ! Comme j’avais tenté de dire à Paris tout à l’heure que j’ai sans doute mal exprimée, ce fameux contraste blessure/bonheur. Mais Paris me rappelait avec justesse que le fait de gueuler après lui ne l’avait jamais fait fuir. Je riais timidement en me rappelant le constat final de notre fois dans la loge, avant de répondre plus sérieusement : « C’est vrai…mais je sais pas ce qu’il s’est passé dans ma tête. Je me suis juste vu faire, et j’ai paniqué. Et puis je t’ai giflée, et j’ai…enfin j’ai eu une image de moi, qui ne m’a pas plus. Je ne voulais pas être comme ça avec toi. Alors je sais, c’est bête…enfin, maintenant je le sais. Alors oui, ce qu’il s’est passé après, ça prouvait que rien n’était cassé mais…c’est le contrecoup. Je me suis revue en train de me plaindre, et je me suis interdite toute seule de le faire à nouveau. Et puis il y’a eu le problème Sienna aussi après coup. Là aussi, je me suis vu te reprocher cette partie-là de ton passé, A TORT ! et quand j’ai réalisé mon erreur, là encore, je me suis dit « tu vois, tu te plaint encore et tu vas au clash….c’est pas ce qu’il faut faire si tu veux le garder. » » Je secouais la tête en posant ma main sur le côté de mon visage, comme pour me cacher : un peu honteuse de mon comportement, je réalisais l’ampleur de ma connerie. Et alors que Paris m’avait dit sa façon de penser par rapport à tous mes ex, et sur le fait qu’il n’y avait aucune raison pour qu’il me laisse tomber sous prétexte que je pétais de temps en temps un câble, je riais gentiment à ses propos au moment il parlait de mon côté tigresse au lit qui contrastait avec le reste et j’avouais innocemment « je crois que c’est parce qu’au lit, je réfléchis pas…du coup, je suis juste…là. A vivre le moment » ** Finalement, ce n’était pas si difficile de dire les choses, non ?! T’es quand même ENFIN, en train de lui révéler ce que tu caches ? Comment tu vis et ressent les choses ? ** Oui bon, ça va, j’ai compris là. Je sais que j’ai merdé depuis le début…mais j’apprends de mes erreurs. Enfin du moins j’essaye.

Paris déposait un baiser sur mes lèvres puis un deuxième et je l’enlaçais à nouveau le plus fort que je le pouvais en me collant à son torse. « Sérieusement Paris. Je suis sincèrement désolée….j’étais persuadée bien faire. Et je n’avais pas l’impression d’être à l’écart, ou de te laisser à l’écart. Je t’assure que ça n’a jamais été mon intention. Et je suis vraiment mal à l’idée que tu aies pu croire un instant que je te faisais payer les pots cassés. » Je détachais mon visage de son torse et relevant la tête après l’avoir entendu du nous surnommé Pammer, je me mis à rire franchement « Pammer ?! Tu formes un ship ? » Je me laissais aller à rire, me sentant soudain soulagée, mais pourtant exténuée. Contraste assez bizarre je l’avoue. Mais le poids quittant mes épaules, la fatigue reprenait sa place, je me mis à bailler un instant avant de recoller mon visage contre le torse du Dunster. « Pendant qu’on est dans ma phase, je te dis tout ce que je pense….Ta mère….. » déclarais-je en laissant un suspens volontaire. « Il va falloir que tu lui parles. Que vous preniez un moment pour discuter ensemble tous les deux….Parce que….selon moi, s’il y a bien une personne qui peut t’aider à récupérer les gosses, c’est elle ». Je n’en disais pas plus sur le sujet, sachant pertinemment où moi je voulais en venir : Grace pourrait, étant la mère légalement, demander à l’assistante sociale à ce que les enfants soit restituer à Paris. Le temps pour chacun de se mettre d’accord sur leur garde finale.


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Paris espérait vraiment que Summer allait entendre raison car il ne voulait pas la perdre. Dans le fond, il serait bien incapable de rompre avec elle mais il ne souhaitait pas se rendre malheureux pour autant. Elle lui avait appris ce que c’était le bonheur et depuis, il en était devenu véritablement accro, un vrai addict tout en sachant que seul un bonheur avec elle serait possible. Or, Paris voulait s’y accrocher, il voulait se battre pour leur couple. Il était hors de question pour lui qu’elle continue à se mettre de côté ainsi, à oublier ses propres désirs, ses propres sentiments comme si c’était la recette miracle. « Bébé, fais machine arrière, rappelle-toi ce qu’il s’est passé à chaque fois que tu t’es plainte. A chaque fois, cela a ouvert une discussion et même si cela me contrarié de te voir penser ainsi -surtout vis-à-vis de Sienna, cela nous a permis de crever l’abcès, de nous rapprocher. Et c’est ce que je veux, me rapprocher davantage de toi mais comment je peux le faire si tu me caches ce que tu ressens, si tu ne me dis pas ce qui t’agace ou au contraire ce qui te rend heureuse ? Tu as le droit de te confier à moi car je ne suis pas là uniquement pour les bons moments. J’ai signé aussi pour les emmerdes… c’est à mon sens ce que doit être un petit-ami, ne pas être uniquement là pour sauter sa nana ou s’entendre dire qu’on est le plus sexy et le meilleur. Tu n’es pas parfaite et alors ? Tu crois que je le suis ?! Je joue les pros en matière de relation mais c’est une illusion… Marie-Claire reste toujours mon coach » plaisanta-t-il face à cette passion pour le magazine féminin qui lui permettait d’appréhender sous un autre angle les problèmes de couple. Paris avait bossé la question comme le scientifique qu’il était tout simplement.

« Bah réfléchis moins au quotidien… quoique, j’aime aussi ton côté angélique, va pas croire le contraire. J’aime ta douceur, j’aime ta gentillesse et ta générosité. Je serais fou de prétendre le contraire car je sais que ta personnalité compense la mienne » lui dit-il en déposant un baiser sur son front, comme à chaque fois qu’il voulait se montrer tendre avec elle mais il ne put résister à la tentation de l’embrasser tendrement. Un simple baiser comme pour lui dire que rien ne changeait entre eux. « Excuses acceptées bébé mais te tracasse pas pour autant okay ? Dis toi que nous avons franchi le cap de notre première dispute… Attends, on est des boss now » rigola-t-il légèrement en haussant les épaules, un sourire qui lui conférait une véritable tête à connerie. « Bien sûr, c’est à la mode d’après la dernière enquête de Marie-Claire. Brangelina etc. ben nous, c’est Pammer ! » lâcha-t-il fier de sa connerie.

Paris grimaça néanmoins quand elle aborda le sujet de sa mère mais il soupira au lieu de s’énerver. « Je sais… mais pour ce soir, si tu veux bien, je veux me concentrer uniquement sur notre couple… On aura tout le temps demain de s’inquiéter pour les petits… Allonge-toi, je vais aller te faire une tisane de mon cru » lui dit-il en l’allongeant pour mieux lui ôter ses vêtements, la laissant toute aussi nue que le jour de sa naissance sous la couette. « Ce matin, c’est moi qui prendrais soin de toi ! »

AVENGEDINCHAINS
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If I Could Turn Back [...]
Les choses s’apaisaient petit à petit et reprenaient leur court normale, mais j’avoue qu’il y’a à peine quelques minutes, je n’étais pas rassurée. J’avais vu tout un tas de scénario dans ma tête, et avait imaginé le pire de ceux-ci se produire : il allait me quitter. Il en avait marre, la perte de la garde des enfants avaient eu raison de son ras le bol et il faisait le vide autour de lui…dieu sait que s’il l’avait fait, j’aurais été à ramassée à la petite cuillère ; et la crise de panique que je venais de faire à l’instant aurait paru tellement minime par rapport à ce que j’aurais vécu s’il avait décidé de me larguer. Mais je ne devais plus penser à tout ça. Je devais apprendre de mon erreur et ne plus la reproduire…et c’est justement en voulant prouver ma bonne fois que j’étais en train d’expliquer ce qu’il s’était passé en moi à Paris, et que je traduisais ce contraste entre mon côté fermée et mon côté relâchée au lit, par le fait que dans le cas premier, je réfléchissais beaucoup à ce que je devais faire et ne pas faire….Le Dunster me rassurait très vite en me rappelant qu’il appréciait mon côté angélique, et je lui souriais timidement tout en me sentant fatiguée par la pression que je m’étais mise toute seule « J’espère bien que tu n’es pas lassée de cette partie de moi, parce que…je peux pas changer ça Paris. Je sais pas être autrement…mais je comprends que être gentille ne veut pas non plus dire « se la fermer et rester dans l’ombre ». Je ne voulais pas vraiment agir comme ça. Je voulais juste plaire et arrondir les angles pour faciliter les choses. » Et c’est finalement peu de temps après que je m’excusais pour mon comportement que Paris acceptaient sans rechigner. « C’est vrai…et j’avoue que c’est la première fois que je me sens grandie après une dispute. D’habitude, j’ai plus l’impression de reculer. » Je me recalais alors un instant dans les bras de Paris, et posait un baiser sur son torse avant de coller ma joue sur ce même endroit après ça. J’inspirais profondément pour m’imprégner de son odeur et reformer cette bulle qui avait éclaté…Puis je ne pouvais m’empêcher de rire en réentendant Paris parlé de Marie-Claire ! « Il va peut-être falloir que je m’y mette également à ce magazine. J’ai bien l’impression qu’il me serait utile. » Répondais-je en me disant que si Paris s’amusait à me parler de ces tendances à la mode, il devait aussi s’intéresser à des choses bien plus importante sur les relations de couple. « J’aime bien, Pammer. Ça sonne bien en plus ! Bien mieux que Sumis ! » Et sans vraiment le vouloir, je me mis à nouveau à bailler. Mon corps me rappelait la fatigue accumulé par la mauvaise nuit et la douleur musculaire ressentie à me crisper ainsi par l’angoisse.

Voulant cependant rappeler à mon petit-ami que le problème principal qui lui était tombé dessus n’était pas oublié, j’avais forcément fini par évoquer sa mère et lui donner mon avis sur la question. Mais étonnement, Paris voulait mettre tout ceci de côté. Je le regardais d’un air interrogateur avant de l’entendre me dire qu’il voulait se concentrer sur notre couple, et s’inquiéter plus tard. J’avais pour ma part un peu peur de lui accaparer son temps alors qu’il avait besoin de toute sa concentration pour gérer le problème avec l’assistante sociale « Paris ? T’es sûr ? Je veux dire, tout va bien maintenant, donc…tu peux. Enfin, je le prendrais pas mal si tu avais besoin de te centrer sur les enfants et le problème avec ta mère ?! » Alors que Paris me déshabillait pour me mettre toute nue dans le lit. Je me laissais faire sans rien dire, tandis qu’il montrait une certaine détermination. A peine la couette entrait en contact avec ma peau que je m’emmitouflais dedans et fermait les yeux de contentement. Je remerciais alors intérieurement Paris d’avoir compris que j’avais besoin de me calmer et de revenir dans mon élément, dans mon petit confort de zone.

AVENGEDINCHAINS
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If I Could Turn Back [...]
Etre lassé d’une partie de Summer ? Etait-ce seulement possible ?! « C’est impensable ce que tu dis. Je ne t’aime pas seulement pour tes qualités mais également pour tes imperfections et je ne cherche absolument pas à te les faire gommer. La seule chose que je souhaite, c’est que tu puisses être totalement heureuse et surtout pleinement à l’aise avec moi, que tu ne sois pas obligée de te censurer en pensant que c’est la meilleure solution pour que notre couple puisse durer » lui dit-il en caressant son front du bout des doigts, ramenant de temps en temps, une mèche de cheveux derrière son oreille. C’était important pour lui qu’elle comprenne qu’il ne voulait absolument pas la changer mais simplement la libérer de ses chaines qu’elle se forçait à porter comme si c’était la solution miracle pour leur histoire. « Tu sais, tu me plais telle que tu es, tu n’as pas à te mettre la pression ou même à paraitre parfaite à mes yeux. Je ne suis pas du genre à me réveiller un matin en me disant : quelle casse-couille, allez hop, je la débarque et je vais visiter un autre cul que le siens, ça me changera » lui dit-il en lui pinçant le bout de son nez entre son pouce et son index. Au moins, leur dispute avait eu du bon et c’était tout ce qui lui importait. Pour la première fois de sa vie, Paris avait su gérer un conflit sans hausser le ton et surtout sans tout casser autour de lui. Une belle progression qu’il devait à Summer car cette femme le calmait. « Mouais, je verrais si je te prête mes magazines, faudra être vraiment sage pour cela… mais tu as raison, gardons Sumis pour les moments où j’aime te soumettre à mon bon plaisir » rigola-t-il de bon cœur avant de l’embrasser puis de constater combien elle était fatiguée.

Pourtant, Summer n’en perdait pas le nord, s’inquiétant aussitôt pour sa situation et surtout sa mère et les petits. « Je suis sûr de moi mon ange… Ma mère est peut-être réapparue dans ma vie mais ce n’est pas pour autant qu’elle peut claquer des doigts et me voir débouler. Les petits… On ne peut rien faire pour le moment, je dois attendre pour un rendez-vous avec l’assistante sociale alors tu vois, j’ai tout le loisir de prendre soin de toi » lui dit-il tout en la déshabillant pour mieux la border avec la couette et se diriger vers ensuite vers la cuisine où il lui prépara une bonne tisane apaisante qui allait lui faire faire de beaux rêves. « Et voilà ma puce, une bonne boisson chaude pour achever de te détendre » murmura-t-il sur un ton doux en approchant la tasse de ses lèvres.

AVENGEDINCHAINS
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Le fait que Paris me dise que je lui plaisais telle que j’étais me rassurait : il ne cherchait pas vraiment à me changer, mais bel et bien à me libérer d’une pression que je mettais mise toute seule. Je le regardais en souriant en me disant que j’avais décidément bien de la chance d’avoir un petit-ami pareil…être soi-même, sans artifice ni compromis, n’était-ce pas ce que chacun souhaite devenir finalement ? Et Paris me rappelait que je pouvais l’être, qu’il n’allait pas fuir de sitôt. Bon bien sûr, je me connaissais : le chemin allait être long avant d’être capable de me libérer totalement ! Mais il valait mieux faire petits pas par petits pas et arriver à destination, plutôt que de courir, mais de se rétamer à mi-chemin. En attendant, j’allais simplement devoir apprendre à lâcher prise, à me confier sur mes états d’âmes…

Bien emmitouflée sous les couettes, je me laissais bercer par le silence et le confort du lit, mon corps se faisant soudain bien plus léger. Heureusement pour moi Amanda avait été mon choix de retranchement pour la nuit, et je ne la remercierais jamais assez pour cela…mais ce lit m’avait manqué. Ainsi que mon oreiller, et surtout l’odeur de Paris sur l’oreiller d’à côté. Finalement, si j’avais passé une sale nuit, c’était à se demander si c’était à cause de la dispute et de la douleur…ou bien de l’absence de Paris à mes côtés ?! Le Dunster revenait dans la pièce et je lui souriais amoureusement. J’aimais ses petites attentions, bien plus encore, j’aimais sa présence rassurante, l’effet qu’il faisait à mon cœur dès qu’il apparaissait dans une pièce, et la chaleur réconfortante qui m’envahissait dès que mes yeux se posaient sur lui. Je me redressais un peu à l’aide de mes coudes et ajustait la couette pour qu’elle me couvre encore le corps, au moment où Paris s’approchait de moi avec la Tisane « Merci, t’es un amour ! » déclarais-je tout en prenant la tasse chaude entre mes mains. « J’ai l’impression de ne pas avoir dormi depuis 3 jours tellement…enfin tu sais. » Je ne voulais pas revenir sur ce qu’il s’était passé. Il en avait été témoin de toute façon…Je soufflais sur la surface de la tasse et regardais ensuite Paris par-dessus cette dernière : « Tu ne voudrais pas… finir de te déshabiller, et venir me rejoindre dans le lit ?! Je crois que j’ai vraiment besoin de te sentir à côté de moi. » Puis je laissais passer quelques minutes, avec sérénité et réflexion en regardant ma tasse, avant de partager le fond de ma pensée avec Paris. « Quand on aura réglé tout ça… » Amorçais-je, le « tout ça » étant les enfants, la garde, et la mère. «…On ira voir mes parents. Je veux te les présenter…..Enfin non, je veux TE présenter. » J’avais déjà exprimé à Paris au moment du Spring Break, que OUI, un jour, on irait voir mes parents…mais là, je prenais LA décision. Bon, je ne donnais pas de date précise, mais du moi, j’annonçais les événements. Dès que notre soucis principal serait réglé, rencontre officielle avec les parents il y aurait !

AVENGEDINCHAINS
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