TOPIC DE GROUPE ► soirée de donations

Tu étais tranquillement dans ton petit coin, un peu au milieu de tout le monde, à siroter ton champagne bas de gamme comme un paumé de la vie, quand on te rentrais dedans d'un coup – t'ouvrais ta bouche pour parler quand tes yeux se posaient sur le visage de @J. Sage Lewis, qui semblait décomposée, comme précipitée dans une action entraînée par un mal ou une tristesse bouleversante. Elle s'excusait, et tu n'eues pas le loisir de lui demander comment elle allait qu'elle détournait le regard puis après quelques secondes, elle se dirigeait vers un petit groupe de personnes. Tes sourcils se fronçaient, et ce qu'il se passait ensuite fut plutôt très rapide – ou peut-être était-ce parce que je ne peux pas aller au boulot une journée et revenir pour constater 15 pages que je ne peux commenter. Des engueulades, des coupes de champagne qui s'envoient sur l'un, sur l'autre – quel irrespect, ok, ils n'avaient pas choisi le plus cher clairement, mais c'était du champagne merde, qu'ils aillent s'envoyer de la bière dégueulasse à la gueule si a leur faisait plaisir, mais pas ça – des mots, beaucoup de mots blessants, des remarques justes, et des sorties de diva, suivit par des retours pour que l'autre puisse répondre et une nouvelle sortie de diva, et ainsi de suite. T'étais un peu perdu – tu n'connaissais pas toute la vie de Sage non plus, mais de loin, ça ressemblait à une histoire de mec qui dérivait mal. Mais tu restais dans ton coin cette fois-ci, parce que t'avais pas eu le temps de faire autre chose. Puis quelques minutes plus tard, tu recroisais Sage, et elle t'attrapait cette fois-ci le bras sans te laisser répondre, t'attirant dehors, dont le vent frais sur ton visage faisait du bien. « ..Ça va ? » Furent tes premiers mots, hésitants, parce qu'après tout, demander à quelqu'un comment il allait après le peu de choses que tu avais observé était comme tabou dans la société. Ou peut-être simplement débile. Vous venez vous asseoir en compagnie d'@Athena V. Campbell, que tu saluais d'un petit sourire avant qu'elle ne s'éclipse, avant de regarder sur le côté, à quelques mètres qui sortait de la soirée de donations @Charline J. Granger, suites aux paroles de Sage sur le fait qu'elle l'a suivait partout. Tes lèvres s'étiraient en un grand sourire fermé malgré toi, arquant un petit sourcil en regardant la mather. « Décidément, tu nous attires comme des aimants. C'est p'têtre de ta faute en fait. Une histoire de phéromones bizarre. » Tu te moquais puisque lorsque vous vous êtes rencontrés la seconde fois avant qu'elle fuit le spring break, elle s'indignait déjà, te retrouvant dans le même ascenseur, que tu l'a suivais. Tu dérivais peut-être le sujet Sloan un instant, mais tant pis.

Tu étais vraiment loin dans tes pensées après ce qu'il venait de se passer.. Tu trouvais le réconfort dont t'avais besoin auprès d'Athéna et Nemo en te retrouvant dehors histoire de te vider l'esprit. Tu aurais préférais que Sloan vienne te courir après avec une bonne excuse pour arranger le tout mais, nan, t'étais pas une célèbre actrice de film hollywoodien malheureusement. Rien de tout ça. Tant pis. Tu feras avec. En sortant tu remarques rapidement la présence de Charline juste à quelques mètres de toi, Athena te calme rapidement en remarquant ton visage se décomposer. Tu hoches la tête sans quitter Charline du regard. Tu fouilles dans ta pochette pour partir à la rencontre de ton paquet de cigarette. Tu sors une clope pour la passer entre tes lèvres. Deux amies d'Athena vient à sa rencontre, tu la regardes les saluer. - Te sens pas obligé de rester avec moi surtout.. Je vais bien ! Tu poses ta main sur son bras avec un sourire sympathique accroché aux lèvres. Tu voulais pas lui gâcher sa soirée non plus. Ton regard se pose ensuite sur Nemo il te demande si ça va.. Quoi répondre ? Tu pouvais pas te défiler ce soir avec tout ce scénario. - Ça peut aller comme tu peux le voir.. Tu grimaces avant de recracher la fumée de ta bouche. Tu rigoles à sa remarque, c'est le premier rire sincère que tu lâches depuis le début de la soirée ! YOUHOU ! Magnifique. - T'as vu ça.. C'est mon grand pouvoir de séduction en fait ! Je vous attire comme des mouches Ahah ! Ironie bien sur.

#Nemo @Athena V. Campbell @Charline J. Granger

The eyes are the miror of the heart ★★★

Le verre de champagne dans la main, je ne pouvais pas m'empêcher de regarder le Mather au loin (Jules.) Je m'étais assise sur l'une des chaises qui venaient de se libérer. Son regard croisa la mienne et d'un léger mouvement. Il tourna sa coupe de champagne vers moi et me souria. Me narguant comme je l'avais fait. Mes yeux se révulsèrent. Quel connard. Un connard charmant cependant. Je secouais doucement la tête décidant d'ignorer ce petit affront. Jules avait de la repartie et s'était bien sa qui me plaisait chez lui. Une main se porta à mon épaule et mon regard se releva sur Adam. Eh bien, il avait fait assez vite. « Désolé de te faire attendre alors dis-moi, c'est combien pour un repas aux chandelles avec toi ? Je donnerai n'importe quoi mais si en retour tu aides les rouges. » je plissais les yeux. Il était intelligent et les éliots n'étaient pas les seuls à avoir besoin d'argent les Winthrop étaient de loi ceux qui en avaient le plus besoin. « ahah... mon diner aux chandelles te donne envie hein. » je me mis à rire et lui fis : « et bien pourquoi pas... voyons comment les donations se déroulent... » ouaiiii par ce qu'à vrai dire, je ne savais même pas s'il était possible de donner ton argent à une autre confrérie. Seuls les students, les citizens et les professeurs étaient au centre de l'attention. « Alors il a compris le message tu crois ? Te faire désirée c'est un bon plan. » je me mis à rire avant de reporter mon regard sur le Mather. Il était intrigant. Je ne pouvais rien dire là-dessus. « c'est un connard... un connard plutôt intriguant cependant » je me mis à grimacer avant de lui dire. « Et toi ? ... tu devrais aller rejoindre cette demoiselle. » je regardais sienna et lui fis : « Elle t'aime bien sa se voit. »

Ma Rolls me manquait et même si j’avais largement les moyens d’investir dans un nouveau véhicule du genre, l’affront de m’être fait piquer mon véhicule par une petite minette n’en était pas pour autant atténué. Oui, ce vol me restait en travers de la gorge, même si les récents évènements qui avaient agité mon spring break avaient quelque peu fait s’effacer cette mésaventure de ma tête. C’était lorsqu’il me fallut me rendre à la soirée de donation avec la voiture et le chauffeur de ma sœur que l’absence de ma précieuse automobile se fit sentir. J’aurais bien séché ce gala, n’aimait pas jouer les mendiants parce que c’était clairement l’exercice auquel on allait s’adonner ce soir non ? Essayer de récolter l’argent, défendre les couleurs de notre belle confrérie. J’estimais qu’en tant qu’Eliot, nous n’avions rien à prouver, que c’était une évidence que c’était dans notre maison que tous devaient investir… Mais Victoria n’était pas sûre de pouvoir se libérer, et surtout mon cher ami Alan m’avait demandé de jouer les chaperons auprès de sa chère fiancée. Si il y a encore peu, ce rôle d’espion, parce que ce n’était pas juste pour jouer son cavalier qu’il m’avait sollicité mais clairement pour que je l’aie à l’œil, cela m’aurait amusé, y voyant là une belle occasion d’enquiquiner un peu plus la belle brune, aujourd’hui, cette mission, même si je l’avais accepté, me répugnait un peu plus. Peut être parce que j’étais désormais moi même fiancé, que j’imaginais déjà que dans quelques temps, ça serait à moi qu’on imposerait comme cavalière une amie d’Ombeline chargée de me surveiller… Oui peut être qu’à présent, les sous tenants d’un mariage imposé me touchaient un peu plus, que j’étais davantage en mesure de me mettre à la place d’Annalynne… C’est dans un trois pièces impeccable que je m’approchai de la demoiselle. « T’étais pas obligée d’en faire autant pour moi… » commentai-je en constatant qu’elle avait sortie le grand jeu, robe noire, cheveux joliment arrangés et tout le touin touin. Peut être que c’était pas pour moi d’ailleurs, qu’elle était aussi élégante, peut être même qu’il était tout proche, celui à qui elle voulait plaire. Je saisis  galamment son bras ensuite pour me diriger vers la réception.

@Annalynne Malcolm

HJ : désolée pour le retard, mais hier c'était repas à rallonge

En bonne égoïste, j'aimerai pouvoir me dire qu'il va passer le reste de la soirée à mes côtés, mais ces airs bougons et nos dernières discussions, elles, me rappellent que ce n'est plus franchement l'amour fou entre nous. Alors je réprime l'envie de le regarder, aussi bien que la volonté qu'à ma langue de le piquer, pour ne laisser mon attention qu'à celui auquel je dois – de force – m'accoutumer. Cole s'approche, costume cintré, pour l'occasion, mais pour le détailler je ne prends pas le temps, c'est furtif et gênant, surtout quand lui amorce de notre échange, son commencement. « T’étais pas obligée d’en faire autant pour moi… » J'en soupire, tout en regardant ce bras qu'il tend vers moi. Que je prends, évidemment, toujours une question d'apparence, et dans le fond j'espère que Clay le sait, même s'il semblerait qu'ensemble on ne sache plus danser. On avance tous les deux, se fraie un chemin, jusqu'à ce que je lui dise, moqueuse. « Champagne ? Je n'ai pas encore eu l'occasion de fêter tes fiançailles. » Il est vrai que de sa condition à présent, je me délecte, comme quoi, il ne faut jamais dire jamais. Tout peut arriver.

@cole s.-wildingham

(Invité)