This is war + Melon

THIS IS WAR
FEAT AARON ET MELINE

Ok, je l'avais clairement sous estimé parce que je ne m'étais pas du tout attendu à ce qu'il arrache soudainement mon sous vêtement inférieur. Non mais est ce qu'il imaginait le prix de la dentelle ? Fallait croire que non. Sauf que dans le feu de l'action, j'osais pas spécialement râler. Encore moins quand sa main venait s'poser à l'endroit intime. Un gémissement filtrait de mes lèvres et j'faisais glisser mes mains jusqu'à son jean défaisant le bouton de celui ci. Dis le que tu me veux. Ouais, j'voulais l'entendre le dire. J'voulais entendre qu'il me désirait maintenant.

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En fait, ça serait perdre du temps, d'enlever son bas. Donc, autant l'arracher. Plus rapide et plus pratique. Pour se rassurer, elle peut se dire qu'elle s'en achètera plein, quand elle aura l'argent. Je déteste parler dans ce genre de moment. Mais, il sourit. C'est vrai, il n'aime pas, c'est perdre du temps pour rien. Puis, de toute façon, il ne veut pas lui faire ce plaisir, ses actes en sont la preuve vivante. Donc, non, il continue à lui procurer du plaisir, embrassant son cou, la mordillant aussi enfin en faisant monter le plaisir. Lui ? Il arrive.

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FEAT AARON ET MELINE

Disons que c'était pour satisfaire mon égo surdimensionné en core une fois. Sauf que non, m'sieur avait l'esprit de contradiction et je venais lui mordre légèrement la lèvre pour montrer mon mécontentement. T'essais jamais d'être sympa en fait. Emmerdeur jusqu'au bout. Il pouvait être pire que moi quand il le voulait. M'enfin, peu importe. J'avais défait son jean et mes glissait à l'intérieur de son caleçon alors que j'esquissais un sourire. Moi je te veux. Et j'avais aucun problème à le dire contrairement à lui qui semblait faire légèrement le coincé sur ça.

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Il continue d'agir car c'est ce qu'il veut. Et oui, il la veut, il la désire mais pourquoi lui dire, alors qu'il peut le prouver autrement ? Il n'en voit pas l'intérêt. Il ne peut s'empêcher de sourire, secouant légèrement la tête. Petite grimace quand elle vient à le mordre. Mais bien surpris d'entendre ces paroles de la bouche de Méline. Très bien.. Nous sommes deux. Oui, il ne le dit pas concrètement mais il l'a dit. Point. Il retire sa main après lui avoir procuré ce genre de plaisir et remonte à ses cuisses qu'ils serrent légèrement. Ses lèvres reviennent dans son cou, qu'il effleure avant de déposer quelques baisers.

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Et au fond, est ce que c'était vraiment important ? Je pouvais sentir son envie, c'était probablement le plus important dans tout ça. Entendre les mots n'était pas une obligation même si je devais avouer que j'aimais quand on faisait ce que je demandais. Mettons ça sur le compte de mon envie de diriger tout et tout le monde. Et finalement, il l'avouait à demi mot ce qui était mieux que rien. Je souriais laissant ses lèvres s'balader sur ma peau, fermant les yeux pour accentuer le plaisir. Maintenant, faudrait qu'il pense à s'redresser un peu histoire que son jean puisse trouver sa place de la soirée, autrement dit le sol.

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Il l'a dit. Pas concrètement mais c'est quand même déjà ça. Il n'aime pas parler quand ce genre de choses commencent, voir même pendant. C'est vrai, ça lui arrive de dire : je te veux à la fille mais, pas qu'on lui demande de le dire. Non. Après lui avoir procuré du plaisir en dessous, il déboutonne davantage son pantalon pour ensuite le baisser. Enfin, le tout, quoi. Et c'est là qu'il vient entrer en elle, dans un profond soupir. Un soupir qui en dit long sur son envie. Cette fois, c'est sûr, il se rappellera de ce moment, pas comme au Chili où il n'a juste que quelques flash. Il lui enlève ensuite son soutien-gorge pour être plus à l'aise. Que se soit avec la vue ou le toucher.

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FEAT AARON ET MELINE

Est ce que j'allais regretter ce qu'on était en train de faire ? Sûrement. On était supposés se détester, pas rendre les armes et finir par coucher ensemble. C'était pas comme ça que ça devait s'passer entre nous puisque techniquement, on cherchait juste à faire péter les plombs à l'autre pour récupérer l'argent. Ouais. Alors pourquoi est ce que j'avais soudainement eu l'envie d'aller plus loin après un baiser de sa part ? C'était idiot. J'appréciais pas Aaron, même pas un peu. Et pourtant on en était là. Nu, l'un contre l'autre, consommant ce mariage non désiré. Des gémissements filtraient de mes lèvres alors que mes doigts s'accrochaient à ses épaules avec envie. Si notre première fois n'avait pas été mémorable, celle là, je ne pourrais pas l'oublier. Et le pire, c'est que je prenais mon pieds.

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À cet instant, il ne pense plus à rien. Plutôt concentré par le plaisir que lui procure ce moment. En elle, il vient à commencer quelques mouvements, lâchant quelques soupirs de plaisir. Ses mains se logent vers les fesses de la jeune femme, qu'il caresse mais qu'il finit par serrer sous le coup du plaisir, qui monte beaucoup trop vite, en lui. Ouais, il prend son pied, même si pour le moment, ça reste intense. Il tente d'aller un peu plus vite, pour quelques secondes mais gardant toujours cette intensité. Son regard se pose sur elle, ouais, il aime regarder. Il aime plonger son regard, dans ce moment.

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FEAT AARON ET MELINE

C'était pas normal. Je devais vraiment avoir des problèmes pour coucher avec lui et succomber comme ça alors que j'hurlais à longueur de temps le détester. Ouais, y avait sûrement un truc qui ne tournait pas rond chez moi et j'préférais ne pas y penser. Ses yeux dans les miens, j'sentais qu'on atteignait tout les deux le summum du plaisir et après un dernier râle de plaisir je venais récupérer ses lèvres pour le baiser final. T'avais raison en fait, le seul moment où je la ferma c'est dans ce genre de moment. Je souriais mordillant doucement sa lèvre inférieure avant de me laisser tomber à côté de lui récupérant ce dont j'avais besoin pour être de nouveau un minimum vêtu. Et maintenant quoi ? Parce que fallait dire que les choses ne fonctionnaient pas normalement entre nous.

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Et ça continue, sans jamais qu'il s'en lasse, sur le moment. Jusqu'à atteindre le plaisir. Il relâche tout en laissant échapper un petit soupir. La remarque de Méline le fit sourire, tout de même. C'est vrai que c'est beaucoup mieux. dit-il d'un sourire en coin, se laissant mordiller, la lèvre, ensuite. Puis, il remit son bas et ainsi rallumer son joint qui n'était pas tellement terminé. Tu trouveras tout ton stock, dans la boite aux lettres, en bas. Petite cachette. Il ne comptait ramener tout ceci, à l'université. Ne prendre aucun risque. On ne sait jamais ce qui peut arriver, puis il a tellement la gueule à avoir ça, dans son sac.

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