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Sweet Holidays (Pammer)

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– SWEET HOLIDAYS –

PARIS & SUMMER.

Alors que mes doigts couraient toujours sur le biceps de Paris, ce dernier se redressait brusquement pour se positionner de côté et me faire face. Sa main vint caresser ma joue et instinctivement, je fermais les yeux pour apprécier le contact, laissant ma joue s’appuyer un peu plus contre sa paume. Ma main venait même se poser sur celle de Paris pour la maintenir en place sur mon visage tandis que j’écoutais le Dunster me parler sérieusement. Je riais timidement à s remarque qui le plaçait comme un mec intelligent qui trouve son élue du premier coup, mais dans le fond, j’avais juste envie de lui sauter dans les bras en lui disant qu’il était l’amour de ma vie et que j’étais la première comblée qu’il se soit trouvé sur ma route. Kil était bien loin le temps où je résistais à mes sentiments, que je niais le fait que Paris m’avait touché en plein cœur dès la première seconde où il est apparu devant moi. Aujourd’hui, j’aurais pu passer des heures à lui dire à quel point j’étais folle de lui, à quel point il me rendait dingue et que j’étais heureuse et fière dans ses bras. Alors quand il me répétait un nouveau « Je t’aime » qu’il rappelait comme n’étant pas des mots à la légère, je tenais sa main dans la mienne mais décalais mon visage pour venir déposer un baiser dans sa paume de main, entremêlant nos doigts au passage. Je regardais ensuite nos moins jointes avec admiration et reconnaissance, me laissant bercer par les paroles de mon petit-ami. Je dis bercer, mais dans le fond, c’est un véritable tsunami qu’il provoquait en moi ! Il me faisait une promesse d’avenir à sa façon, et pour la première fois depuis longtemps, j’avais envie de croire à ces paroles. D’autres avant lui m’avait fait des promesses : pour certaines d’entre elles, je les avais cru et m’étais fourvoyé, pour d’autres…j’avais préféré faire comme si elles n’avaient pas existé au risque d’être déçue dans le cas contraire…et j’avais bien fait. Tyler, Chloé, Raven, Derek, Morgan, Gabin….tous avaient tenu des promesses Et seul celle de Paris avait aujourd’hui toute leur valeur à mes yeux. Je ne sais pas : peut-être était-ce effectivement, son passé, ce que je savais de lui qui me permettait de me dire que ces paroles n’était pas dites à la légère ? A moins que ce ne soit simplement le regard qu’il avait en cet instant, en me promettant un futur heureux, amoureux et pour la vie, qui réussissait à me convaincre ? …je penchais pour une combinaison des deux. Ca et l’emploi des mots…il avait des mots que les autres n’avaient pas eu. Comme par exemple le fait qu’il nous qualifiait de « soudé » et qu’il avouait vouloir participer à mes rêves, et m’aider à les réaliser. Une équipe…voilà comme il nous voyait, et ça…ça…c’était la définition parfaite selon pour un couple parfait ! Faire équipe, ne pas en laisser un de côté, se soutenir, s’entraider…communiquer. Et franchement, en 3 mois, question communication, on avait fait fort !

Je rapprochais nos mains jointes de mon visage et venait maintenant embrasser le revers de la main de Paris et chacune de ses phalanges repliées sur ma main en imaginant ce que serait notre vie dans 10 ans. « A la vie à la mort, Maconahey for life ». Je répétais les mots de Paris avec calme mais conviction ajoutant les miens en prime « C'est un concept qui me plait bien ça, mon cœur ! J'ai hâte d'y être ! » Je souriais de mon plus beau sourire tandis qu’une pensée me traversait l’esprit. Quelle place aurait chacun des enfants de la fratrie dans notre vie, d’ici 10ans…est-ce que les choses seraient comme aujourd’hui ? est-ce que Danika Kaleigh et Aaron serait toujours avec nous ? Je ne me posais pas vraiment la question pour Matthew : à mon avis le jeune homme suivrait l’exemple de Paris et déciderait de se prendre en main assez tôt, et ferait sa vie d’homme adulte et responsable. Mais dans 10ans Danika en aurait 18, tout comme Aaron. Kaleigh les suivrait juste derrière et surtout, Ashlynn…Ashlynn aurait 10ans…Tout cette fratrie seraient-elles encore sous la coupe de Paris, à égayer nos journées ? à moins que…dans 10 ans….tout peut arriver, et la mère de Paris pourrait refaire surface.

Tout en repensant à cela, je répondais tranquillement à Paris : « Y’a intérêt qu’on soit toujours actif et inventifs sexuellement ! J’ai pas envie qu’on devienne un de ces couples mariés qui ne font de l’amour que pendant les fêtes d’anniversaire et les fêtes nationales ! » Je ne pus m’empêcher de rigoler en disant cela, mais j’en pensais pas moins ! et en relevant la tête pour fixer Paris, j’osais demander innocemment « Et euhm…pour ce qui est des enfants ?....tu penses qu’ils seront encore avec nous encore ou ?...avec ta mère ? »


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Summer & Paris
Paris n’avait jamais aimé se projeter dans l’avenir pour la simple et unique raison qu’il n’avait jamais su si oui ou non, il aurait été capable d’en avoir un. Lorsqu’il était enfant, l’idée même du lendemain le terrifiait car il savait trop bien ce que cela signifiait : d’autres sévices, d’autres souffrances, d’autres brimades, un autre jour en enfer en somme. Puis, adolescent, cela avait la même chose : en échec scolaire, en perdition totale, toujours en mouvement, il ne savait de quoi était fait le lendemain si ce n’est une autre déception, une autre perte, une autre errance. Adulte, les choses n’avaient guère évolué mais là, c’était lui qui n’avait plus voulu se donner de futur. Pas d’espoir, pas de déception. Pas de but, pas d’échec. Il vivait au jour le jour, visant malgré tout, cet unique et seul rêve : devenir astronaute et partir dans l’espace. Ce simple rêve avait été le moteur de toute sa vie mais là encore, si sa vie professionnelle avait été toute tracée depuis son entrée à Harvard, sa vie personnelle, elle, était restée au point mort. Un peu comme si, il refusait toujours et contre tous de vivre, de se dire qu’il avait le droit à un futur comme tout à chacun.

Les choses avaient changé dès l’instant où Summer était entrée dans sa vie. Elle avait apporté avec elle la lumière, l’espoir, l’amour. Elle lui avait tout donné en exigeant si peu de lui qu’il lui avait au final, tout donné également. Auprès d’elle, il s’était éveillé lentement mais sûrement à une envie de « davantage ». Cette même envie qui vous prend aux tripes, qui vous donne la volonté et le besoin de voir plus loin que le lendemain. Cet avenir à deux, cette nécessité de faire des projets communs, de voir plus loin, plus grand. Paris rêvait de ce futur avec elle et c’est pour cela qu’il lui disait fréquemment qu’elle n’imaginait pas combien elle lui apportait car sans même le savoir, elle l’avait réconcilié avec la vie non… Elle l’avait amené à la vie. « Tu veux ma mort ? J’ai besoin de sexe ! Mon corps sera toujours en pleine croissance !! Non mais hors de question qu’on devienne ce genre de couple… bébé, à 80 ans, je te ferais encore l’amour comme en quarante… en prime, tu auras plus de dent, ça sera encore mieux pour ce que tu sais » éclata-t-il de rire, fier comme un con de sa propre connerie. Toutefois, sa question suivante le fit redescendre sur terre. « J’en ai aucune idée… dans dix ans, Matt’ en aura 24 ! J’espère bien qu’il sera plus dans mes pattes… les autres auront l’âge auquel je suis rentré à Harvard… mais Ash’… Je ne sais pas. Je me bats pour leur offrir une vie, une famille mais je me demande si je ne suis pas en train de me battre plutôt contre ma mère, de chercher à nouveau à la faire réagir, à attirer son attention. Lors de l’audience préliminaire, quand je parlais d’elle, quand je la démontais en tant que mère devant des inconnus… Je me suis senti mal et je n’ai pas arrêté de me souvenirs de tous ses moments où nous avions été heureux tous les deux. J’ai beau la décrier comme un monstre, comme une femme superficielle, gamine et irresponsable… Je ne sais pas… J’arrive pas à la haïr. Je lui en veux, ça c’est sûr mais quelque part au fond de moi, je suis juste triste. Je sais qu’il est trop tard pour moi, qu’elle ne pourra jamais m’offrir ce dont j’ai manqué mais les petits… Je suis leur frangin pas leur père tout comme tu n’es pas leur mère. Ce n’est pas notre rôle et je me demande si ce que je fais est bien. Si justement je ne fais pas plus de mal que de bien en m’imposant dans ce rôle »


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– SWEET HOLIDAYS –

PARIS & SUMMER.

Paris Maconahey dans toute sa splendeur : Comment faire d’un instant romantique, chargée en émotions du à toute ces révélation et promesse d’avenir, une connerie sans nom ! Alors que j’étais en train de dire à sa réaction à propos du sexe après des années de mariage, j’ouvrais soudain grand les yeux et la bouche, l’air complètement outrée par ses propos avant de rougir et de me mettre à rire nerveusement. « Oh mon dieu, t’as pas le droit de me mettre cette image là en tête » lui disais-je tout en imitant une fausse claque, ma main venant simplement se poser gentiment sur sa joue au final et venir la caresser. Je secouais alors la tête en fermant les yeux, pour montrer que j’essayais de chasser ma vision d’un Paris vieux de 80ans qui était en train de kiffer une « petite douceur » sans dentier de mon côté. Non franchement, il valait mieux recentrer la discussion avant que ça ne dégénère.

Et c’est justement en essayant d’imaginer un futur que la question des enfants et de la mère de Paris s’était présentée. Forcément j’avais posé la question à Paris, mais j’appréhendais un peu sa réaction. Je restais convaincue au fond de moi que les choses étaient bien plus compliquée qu’elles n’y paraissaient, et j’en eus confirmation quand Paris m’expliquais cette sensation contradictoire qu’il avait ressenti le jour de son audience au tribunal. Je me souviens encore de sa tête quand il était rentré ce jour-là. Il semblait tiraillé entre le fait d’avoir fait ce qu’il fallait et une culpabilité qu’il n’avait pas vraiment osé exprimer ce jour-là. Aujourd’hui j’en apprenais plus et écoutait attentivement Paris, en le remerciant intérieurement d’être à ce point transparent avec moi. Sa confidence concernant sa mère qu’il me faisait, était un signe de la confiance qu’il me portait. Et même sans vivre ou connaitre ce qu’il avait vécu plus jeune, je comprenais le contraste entre le fait de lui en vouloir et celui de ne pas pouvoir la haïr. Le pire, c’est que là il se pensait incohérent dans sa façon de faire, moi je le trouvais simplement humain !

Sans plus attendre, je portais un doigt à son épaule et la poussait pour forcer gentiment Paris à se rallonger sur le dos. Et une fois fait, je l’enjambais pour venir me placer au-dessus de lui en m’asseyant sous son abdomen... J’attrapais la couverture non loin et me recouvrait le dos avec, et me baissais pour que la couette vienne nous couvrir tous les deux et nous mettre dans un cocon; seuls nos épaules et nos têtes étaient découvertes. Je venais ensuite placer mes deux mains sur le visage de Paris juste au niveau de ses tempes, et les glissaient vers le haut pour venir caresser ses cheveux et les rejeter en arrière en les plaquant contre le haut de son crâne. Et j’admirais enfin le visage de cet homme que j’admirais tant pour sa force, que pour son humanité sans égale. Quand on le regarde pour la première fois comme ça, il donne l’air d’être aussi fort qu’un chêne de 150 ans…mais en allant en profondeur, sous l’écorce, on découvre une fragilité, un corps animé par un mélange de sentiments qui venait contraster avec l’image forte qu’il renvoyait. Je restais contemplative, me doutant bien que je devenais trop silencieuse en faisant ça alors que Paris venait de me parler, de me confier un doute. J’allais lui répondre…j’allais vraiment y venir, mais j’avais ce besoin, avant toute chose, de plonger dans cette profondeur d’âme, de m’imprégner de ses doutes qu’il exposait, de me lier à lui mentalement, par la force d’un regard, et la contemplation du sien….

« Paris….Tu as raison, tu n’es pas leur père. Mais tu n’es pas leur frère non plus. En tout cas, pas « uniquement ». Tu es bien plus que cela pour eux. Tu ne devrais même pas te demander si ce que tu fais pour eux est bien ! Parce que TU FAIS BIEN…Tu ne fais pas que te battre pour les garder avec toi : tu leur montre ce qu’est la solidarité, l’esprit de famille, la persévérance ; tu leur montre bien plus que ça même…tu leur montre ceux à quoi ils ont droit : respect, amour, foyer, éducation…Chaque jours, ils apprennent de nouvelle valeurs. Sincèrement, crois-tu que des frères et sœurs avec des âges aussi différents qu’eux, et élevés dans un schéma familial dit normal, serait aussi solidaire et aimant entre eux ?! Crois-tu vraiment que ces frères et sœurs là, s’entendraient comme Danika Aaron, Kaleigh et Matthew s’entendent ?! ….et jusqu’à preuve du contraire, tu n’as jamais dépeint leur mère devant eux, comme une femme irresponsable et superficielle….Tu leur a toujours dit qu’elle était malade et devait guérir avant de revenir les chercher. Tu as su leur épargné une vision bien terne de leur situation. Tu as réussi à leur faire croire que tout allait pour le mieux, et tu ne leur a jamais dit quand les choses devenait dur financièrement, et tu ne leur a jamais laissé ressentir tes moments de doute, ou de peur… C’est bien plus que ce qu’UN FRERE, ou un PERE ferait Paris…Tu es bien plus que cela pour eux. Tu es MODELE : celui à qui ils voudront ressembler, celui qu’ils voudront imiter. Celui qui leur a tout apprit. Alors ne doute pas une seule seconde si ce que tu es fait, est bien ! Tu ne fais de mal à personne en leur montrant qu’est une famille unie dans l’adversité, en leur montrant cette loyauté sans borne… »

Je laissais finalement mes mains quitter ses cheveux pour venir se loger sur son cou et la naissance d’une épaule, prenant légèrement appui sur cette dernière pour approcher mon visage du sien et lui murmurer « C’est que ce que tu leur montre tous les jours, c’est ce modèle que tu es sans le savoir, qui m’a séduite…et qui fait que je tombe amoureuse de toi un peu plus chaque jour. » et pour conclure mes dires, j’approchais encore mon visage et déposais mes lèvres sur celle du Dunster pour une baiser léger, tendre, mais plein d’amour … .............................. Bon, j’avoue : ce n’était pas le seul baiser. Non parce qu’après je n’ai pas pu m’empêcher de vouloir encore l’embrasser partout, déposant mes lèvres sur ses joues, ses tempes, le bout de son nez, et finir dans son cou. Paris, c’est comme une addiction : une fois que t’y goutte, tu veux toujours en reprendre !



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Summer & Paris
Paris entendait parfaitement ce que lui disait sa petite-amie mais une part de lui refuser de vraiment y croire. Lui, un modèle ? Il avait l’impression par moment que Summer le voyait bien plus beau qu’il ne l’était vraiment. Le jeune homme avait fait des choses dont il n’était pas fier et on ne pouvait pas dire non plus qu’il était un modèle de vertu. Il commençait simplement à se conduire autrement grâce à l’influence de sa petite-amie. « Le problème c’est que par moment, je me dis que j’aimerai qu’ils ne soit jamais venus frapper à ma porte. Par moment, je me dis que j’aimerai qu’ils soient placés pour retrouver ma vie » osa-t-il enfin avouer ce qu’il cachait depuis des mois à tout le monde, à ses frères et sœurs en premier. Egoïstement, Paris voulait retrouver sa vie : pouvoir sortir jusqu’à pas d’heure sans se préoccuper de la baby-sitter, pouvoir boire avec les potes après une bonne journée de cours sans se dire qu’il y avait les devoirs à assurer. Toutes les responsabilités qu’incombait d’être le chef de famille lui pesait parfois. « Je les aime et je sais que je serais incapable de les abandonner à leur sort mais par moment… j’aimerai pouvoir simplement être Paris. Ni le frère, ni le père et encore moins le modèle. J’aimerai pouvoir me promener à poil dans mon appart en me grattant le cul si ça me chante parce que c’est ce que je veux faire sur l’instant T. J’aimerai pouvoir te faire l’amour quand l’envie nous prend ! Je veux pouvoir sortir avec toi, t’emmener au ciné et qu’on parle d’autres choses que du manque de couches ou des courses » poursuivit-il avant de soupirer. Il avait conscience que l’image idyllique qu’elle se faisait de lui allait en prendre un sacré coup dans la gueule mais tant pis, il fallait que ça sorte.

Le Dunster était un homme comme les autres. Il n’avait pas demandé à être père de cinq enfants. Il était encore un étudiant et depuis quelques mois, c’était limite s’il oubliait. « Je me souviens même pas la dernière fois que j’ai pu réviser au calme sans avoir à faire la police ou tout simplement me poser dans le canapé sans qu’un lego me rentre dans le cul » continua-t-il à râler comme si le robinet de ses paroles n’arrivait plus à se fermer. Paris se savait parfaitement égoïste mais quelque part, il savait que poussé par son sens du devoir, il continuerait de se battre coûte que coûte pour sa tribu. Un Maconahey n’abandonne même pas. « Tu vois… si je n’arrive pas à la haïr, c’est parce que quelque part je l’envie. Je l’envie d’avoir la faculté de se tirer, de mettre les voiles sans un regard en arrière, de vivre ses envies, ses folies…. Si je la haïssais, ce serait comme si je reniais une partie de ma vie car je suis comme elle… Je ne voulais dépendre de personne parce que j’avais toujours eu peur que cela m’enferme dans une vie que je n’aurais pas choisi. Est-ce mal de vouloir vivre sa vie, sa jeunesse ? » lui demanda-t-il en la serrant davantage dans ses bras. Il ne voulait pas croiser son regard, il ne voulait pas y lire sa déception.


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– SWEET HOLIDAYS –

PARIS & SUMMER.

Quand je disais qu’il n’y avait pas plus humain que Paris !! J’avais beau lui démontrer tous le bien qu’il apportait à sa famille, il osait avouer honnêtement – difficilement peut-être – qu’il aurait préféré ne pas en arriver à toute cette situation. Mais franchement, qui pouvait le blâmer ? PERSONNE ! Parce que n’importe qui dans ce contexte ressentirait la même chose que lui en cet instant. Le problème, c’est qu’au ton qu’employait Paris et à la manière dont il me gardait serrer contre lui, je comprenais très vite qu’il ne voulait pas que j’affronte son regard parce qu’il se sentait coupable de ses sentiments. Il suffisait de l’écouter, ça coulait de source.

Mais en quoi le fait d’apporter un équilibre à ses enfants et le fait de se sentir coupable de vouloir une autre vie était-il incompatible ? Bien que Paris me serrait un peu plus dans ses bras, j’aurais voulu pouvoir lui dire ce que je pensais en face. Alors à défaut de pouvoir le faire, je restais coller contre lui, je m’installais un peu mieux au-dessus de lui en m’allongeant et posais ma tête contre son torse, me faisant bercer par les battements de son cœur et le rythme de sa respiration. Dieu que cette mélodie était douce à mon oreille… Je décalais mon visage le temps de déposer un baiser au milieu de son thorax et décidais de rassurer Paris « Ne te sens pas coupable de vouloir vivre ta vie comme n’importe quel étudiant de ton âge…c’est tout à fait normal. Et cette sensation que tu éprouves ne remet pas en question ce que tu es pour eux…Et tu sais, même si tu ne le montre pas, je crois qu’ils le savent. Pourquoi ce sont-ils entêtés à vouloir te trouver une petite amie sinon ? » Déclarais en pouffant de rire à la dernière question. « C’est vrai quoi ? Tu étais en train de te lancer dans une aventure ou tu t’occupais d’eux mais pas de toi…le fait de vouloir te trouver une femme c’était dans le but que tu puisses avoir ta vie de ton côté aussi, non ?! Cette historie de « maman pour papa », ça faisait simplement partie du rôle qu’ils jouaient tous pour se protéger…mais ils pensaient à toi avant tout. »

Je laissais passer un moment de silence en remettant en boucles les paroles de Paris, quand un sourire se dessinait sur mes lèvres « Je suis ravie de savoir que je suis pas la seule à m’être pris un lego dans le cul…surtout que c’était pas le plus agréable des légo ! C’était un légo vicelard ! » Je riais gentiment, mon corps se secouant légèrement dans l’entrain, et finalement je redressais la tête, en posant mon menton contre mes mains que j’appuyais sur le torse du Dunster. « Tu sais ? Si toi, tu envies ta mère pour sa « facilité » de se distancer de ses enfants…moi je crois qu’elle, elle t’envie pour la place que tu prends dans la vie de ses gosses…C’est une mère, et qu’elle soit instable ou non, je pense qu’une part d’elle aimerait pouvoir aimer ses enfants comme il se doit…. »



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Summer & Paris
Ne pas se sentir coupable ? C’était plus facile à dire qu’à faire. Paris avait l’impression d’être le pire des hommes, d’être un profond connard et un égoïste de première. Seulement, voilà, Summer arrivait toujours au final à lui donner une image bien plus flatteuse de sa personne. Comment faisait-elle pour adoucir son cœur aussi facilement ? Pour lui donner toujours envie de sourire même quand il avait envie de tout démonter dans sa vie ? Cette femme était une perle rare, il en avait bien conscience. « Tu penses vraiment qu’ils ont compris ? » lui demanda-t-il après quelques instants d’un silence méditatif. « Je n’ai pas envie qu’ils s’imaginent que je veux les abandonner, que si j’avais mieux à faire, cela ferait belle lurette qu’ils seraient dans des foyers pour orphelins ou abandonnés de la vie… mais par moment je me demande vraiment si être placés ne seraient pas mieux pour eux mais je sais qu’aucune famille ne prendrait cinq enfants de la même fratrie » soupire-t-il en déposant un baiser sur le sommet de son crâne. « Par moment, je me demande ce qu’est d’avoir une famille normale… Un père et une mère, d’être uniquement le frère ainé et non le seul adulte sain d’esprit de sa famille » avoue-t-il. Oui, il aurait aimé connaitre cela mais il ne pourrait jamais. Pourquoi ? Il avait témoigné contre son propre père pour l’envoyer croupir en prison pour le meurtre qu’il avait commis ; Et aujourd’hui, il témoignait contre sa propre mère pour défaut d’éducation et abandon du domicile conjugal. Il faut croire qu’il était condamné à traduire ses géniteurs devant la justice.

La remarque de Summer sur le logo le fit sourire. Il aurait aimé pouvoir rigoler mais il était tellement embourbé dans ses pensées les plus sombres que la légèreté dont elle faisait preuve, ne l’atteignait que partiellement. « Je ne sais pas… J’aimerai la comprendre, savoir pourquoi elle est comme ça… Pourquoi elle m’a abandonné quand j’avais le plus besoin d’elle, pourquoi elle nous a soumis à tous ses déménagements, à cette fuite en avant. Je crois que j’aimerai pouvoir lui parler à cœur ouvert mais je me connais, à la minute où je vais la voir, je vais avoir envie de l’étranger et de lui beugler dessus comme un âne bâté » répondit-il en croisant le regard de sa petite-amie. Elle semblait si confiante en lui qu’il en était ébranlé. Oui, il était ému de constater combien elle avait foi en lui, combien elle le soutenait également. « Comment tu fais ? Hein ? Comment tu fais pour toujours avoir confiance en moi à ce point ? Le pire, c’est que tu arrives à me convaincre que je suis un homme bon » lui dit-il en caressant délicatement sa joue, du bout des doigts en la couvant d’un regard de pure adoration.


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– SWEET HOLIDAYS –

PARIS & SUMMER.

Je comprenais la peur qu’avait Paris à l’idée de ne pas donner les bons messages ou les bons traitements pour les enfants. Est-ce que je le fait de se battre pour en avoir la garde était une bonne chose ? est-ce que le fait que les enfants savaient que Paris avait envie de sa propre vie étaient synonymes de corvée quand il s’agissait de s’occuper de la famille ? N’importe qui à la place du Dunster serait animé par tous ces questionnements, et au final aucune réponse ne serait LA seule et UNIQUE réponse possible. Restant bien blottie contre mon homme, j’écoutai ce dernier en essayant de trouver les mots qui pourraient apaiser ses doutes. Je savais bien que je n’avais pas la science infuse sur le sujet, mais je savais qui était Paris, ce qu’il représentait pour les enfants, et la bonté d’âme qu’il avait. Alors forcément, je trouverais de mon côté toutes les bonnes raisons de lui rappeler qu’il fait le bien ! Avant toute autre chose ! « T’inquiète pas : ils savent que tu aspires à une autre vie, mais ils savent aussi que tu as l’esprit de famille et que tu ne les laisseras jamais tombé. Tu leur a prouvé maintes fois ! Rien ne t’obligeait à les prendre alors qu’ils ont frappé à ta porte il y a quelques mois ! Rien ne t’obligeait à aller batailler pour que l’école accepte de prendre tes frères et sœurs sans que personne ne vienne remettre en cause ton tutorat dans cette situation, et malgré un jugement encore non prononcé en ta faveur à l’époque ! Personne ne t’obligeais de déménager pour le offrir un cadre de vie plus sain, avec au moins une chambre pour deux…Tu les a accompagné tout au long de leur éducation alors que TOUS savaient que tu pouvais prétendre à mieux. Ils savent qu’ils sont prioritaires à tes yeux parce que tu veux leur bonheur…..mais tu ne peux pas leur empêcher de vouloir le tiens en échange non ?! Alors oui, ils aimeraient que tu retrouves ta vie, tout autant que toi, je pense. » Et alors que Paris était en train de dire tout haut qu’il aimerait savoir ce que ça faisait de faire partie d’une famille normale, je me mettais à rire contre son torse avant de lui répondre avec légèreté. « Les familles normales Paris, ça n’existe pas ! Regarde ma famille : Un père, une mère, une sœur et un frère….schéma dit « idéal ». Et au final, qu’est-ce qu’on a ? Une mère hystérique du contrôle, un père qui se laisse guider par les sauts d’humeur de sa femme, et qui préfère jouer les absents parce qu’au moins il n’est responsable d’aucun dégâts – et je dis ça alors que j’ADORE mon père – Un frère qui n’ose pas dire à ses parents qu’il est peut-être gay de peur d’être le nouveau mouton noir de la famille ; Et une sœur qui a tout pour réussir, mais qui aime détruire sur son passage….et je t »épargne bien sûr l’image que je me fais de moi, mais elle est pas plus glorieuse que les autres. Tout ça pour dire qu’il n’y pas de famille normal….mais qu’on essaye tous de trouver un équilibre dans ce qu’on a. »

Mon manque de connaissance concernant la mère de Paris cependant, ne m’aidait peut-être pas à trouver les bons mots pour soulager Paris. Il se disait encore en colère contre sa mère, mais….quand on voit le Paris du début, qui ne voulait surtout pas qu’on l’évoque, et le Paris d’aujourd’hui qui reconnaissait des circonstances atténuantes à sa mère…il y en avait eu du chemin. Alors même si Paris avait beau dire que s’il venait à lui parler, il aurait envie de lui rentrer dedans, une chose me dit que le Paris d’aujourd’hui serait prêt à communiquer. « Peut-être que c’est ce qu’il te faut justement, mon cœur : Il faut peut-être que tu l’affrontes, que tu lui dises tout haut ce que tu lui reproche et que vous perciez l’abcès. Après tout, je vais te dire ce que tu me dis – ainsi que d’autres – concernant ma sœur : Affronte-là ! Et puis, je suis persuadée a 200% que tu sauras te tenir devant elle. Tu sais pourquoi ? » En lui demandant ça, je relevais la tête de son torse pour me caler et affronter son regard. Et c’est avec un sourire convaincu que je continuais mon raisonnement : « Parce qu’au fond de toi, tu as envie de lui prouver qu’elle n’a pas d’emprise sur toi…que tu as le contrôle de la situation là où elle a toujours été instable. Tu auras tellement envie de lui prouver que tu t’es reconstruit tout seul, que l’idée de péter un câble et te montrer fragile sera insupportable ». Bon dis comme ça, peut-être que ça pouvait passer pour de la prétention que je voyais en Paris mais c’était justement tout le contraire. C’était SA FORCE ! Celle que j’admirais en lui, celle que j’aimerais avoir si je devais un jour affronter ma sœur ! J’avais foi en Paris, en ce qu’il était, en sa force intérieure. Je le savais capable de beaucoup de chose par amour et…par amour pour ses frères et sœurs, il ferait tout pour être l’homme de la situation, et ne pas se montrer faible…même devant sa propre mère. Après, si dans le fond il était fragilisé – ce que je ne doutais pas plus que je le pensais fort – il n’était pas obligé de le dévoilé….ce sera notre petit secret à tous les deux.

Je souriais fièrement au propos de Paris, puis amoureusement lorsqu’il se demandait comment je pouvais avoir à ce point confiance en lui, et c’est avec une conviction naturelle que je lui murmurais tendrement : « Mais mon cœur….tu as toujours été un homme bon. Au fond de toi, tu l’as toujours été. Tu te caches derrière cette facette de gros ours que j’adore mais….tu as toujours été ce que tu es aujourd’hui. Il fallait juste, t’aider à « réveiller » cette partie de toi. Quant à la confiance que je te porte, elle n’est que reflet de toute la tendresse et l'amour que tu as pour moi... » concluais-je en fermant doucement les yeux pour apprécier la légère caresse de ses doigts sur ma joue.

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Summer & Paris
Religieusement, Paris écoutait sa petite-amie lui montrer les choses sous un angle bien moins négatif que le siens. Summer avait cette magie en elle, celle de lui faire paraitre la vie moins noire, moins désespérante. Auprès d’elle, il commençait peu à peu à s’accorder du crédit, à se dire qu’il avait le droit au bonheur, qu’il n’était pas qu’un carriériste. Paris ne l’était pas tant que ça dans le fond. S’il reconsidérait les choses, il vous dirait simplement que s’accrocher à son rêve était tout ce qu’il s’autorisait car en dehors de sa vie professionnelle, il n’avait rien. Du moins, c’était le cas avant que cette jolie blonde n’appelle son nom, un beau jour, dans une salle d’attente. Depuis, les couleurs avaient commencé à peindre un quotidien moins triste, moins solitaire. Summer le rendait tout simplement heureux et à ses côtés, tout ce qu’il avait caché, enterré, nié, remontait à la surface et lorsqu’une telle chose se produisait, elle était toujours à ses côtés pour l’écouter, le conseiller, l’aimer. Alors non, jamais il ne pourrait prétendre à mieux que cette femme parce que Summer était justement sa perfection. Le jeune homme ne cherchait pas plus pas moins. Il avait tout simplement trouvé celle que son cœur réclamait sans qu’il n’ose y prêter attention. « Je sais bien qu’aucune famille n’est vraiment normale…mais… Tu sais que mon père est en prison n’est-ce pas ? » commença-t-il par dire en prenant son ton qui voulait clairement dire « attention voici une nouvelle anecdote dans la vie Maconahey ». Un ton qui ne présageait jamais rien de bon mais plutôt une nouvelle facette de son enfance malheureuse. « J’ai témoigné contre lui à son procès… en fait, j’ai été témoin du meurtre qu’il a commis et je n’ai pas hésité une seule seconde à témoigner contre malgré toutes les menaces de mort qu’il m’a hurlé au visage le jour du procès… A nouveau, je témoigne contre un de mes parents. Alors tu vois, j’aimerai bien même ne serait-ce un seul instant connaitre ta famille car même si elle te semble pas idéale, à mes yeux, elle me paraitra des plus banales et ça serait vraiment pour moi un honneur que de les rencontrer. J’ai envie de leur dire combien justement ils se trompent au sujet de leur fille » osa-t-il dire. Paris n’était pas le genre à réclamer quelque chose mais il insistait beaucoup pour rencontrer sa famille. Pourquoi ? Parce qu’il était certain qu’avec Summer, les choses dureraient. Il ne se voyait pas vivre sans cette femme.

En parlant de famille, il lui confia tout ce qu’il avait sur le cœur concernant sa propre mère. Il était hallucinant de voir combien sa petite-amie pouvait se montrer rassurante et confiante en ses capacités à garder son calme. Auprès d’elle, il avait vraiment l’impression d’être quelqu’un de bien, chose qu’il lui confia aussitôt car il n’y avait rien de plus qu’il n’aimait partager avec elle que ses pensées. « Tu es quand même ma petite fée du bonheur… Quant à ma mère, de tout de manière, il faudra bien que je l’affronte pour les petits car je sais qu’elle voudra se battre. C’est idiot mais elle n’a jamais supporté qu’on la défie… Sur ce point, nous sommes pareils, de vraies têtes de mules mais assez parlé de choses qui fâchent. Je veux profiter de chaque seconde avec toi car une fois de retour à la maison, on va être harcelés » rigola-t-il doucement avant de l’embrasser tendrement. « Mise à part faire l’amour toute la nuit, programme plus qu’alléchant, as-tu envie de quoique ce soit ? Dis moi et je m’exécuterai. N’empêche, y a bien qu’avec toi que je fais preuve d’autant d’abnégation, si ce n’est pas le signe d’un grand amour, je vois pas ce que c’est »


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– SWEET HOLIDAYS –

PARIS & SUMMER.

Est-ce que je savais que son père était en prison ? Oui…je le savais. Déduit au départ, confirmé par la suite… Et à mesure qu’il expliquait par rapport à son témoignage contre père parce qu’il était témoin du meurtre qu’il avait commis, et son témoignage contre sa mère, je réalisais ce qu’il ne cherchait pas « normal » ! « Ce que tu veux en fait, c’est une famille qui donne l’air d’être saine d’esprit ? Pas de meurtre, pas de dépendance à la drogue, pas violence gratuite…Je comprends. Mais crois-moi, tu as bien mieux que ma famille pour te donner l’illusion d’une famille plus « équilibrée » » répondais-je innocemment, bien que je comprenais également le sens caché de sa demande. Ma famille semblerait certes plus banale, mais ce n’était pas uniquement ce que Paris recherchait dans cette rencontre. Et au-delà de son envie de dire à mes parents que ces derniers se sont trompés sur moi et ma valeur…je ne pouvais m’empêcher de croire qu’il y avait aussi une envie pour Paris de passé à une étape plus sérieuse…et je réalisais : l’épreuve – la phase test dont j’avais parlé à mon meilleur ami Bona – commençait à sonner. Il y eut un petit moment de silence après cette remarque entre Paris et moi, et puis finalement, je finissais par reprendre la parole pour ASSUMER ENFIN ce que j’étais, et surtout que j’étais avec Paris : « Tu veux vraiment rencontrer ma famille ?! » lui demandais-je bien que je n’attendais pas vraiment de réponse à cette question. « Très bien…A notre retour, toi et moi, on mettra à plat nos budget respectifs et….on verra pour s’organiser un séjour en Floride. Et tu rencontras mes parents…. » Déclarais non sans un brin d’hésitation avant de dire ce que je redoutais le plus « …et ma sœur. »

Quelques instants plus tard, après que Paris avait naturellement avoué qu’il avait un point commun indéniable avec sa mère – ce qui me faisait gentiment sourire – il me demandait finalement ce que je voulais pour conclure cette soirée. Je le regardais amoureusement en arborant mon plus beau sourire « Ah parce que tu crois vraiment que l’idée de faire l’amour toute la nuit n’est pas déjà une envie que j’aimerais que tu exécute ?! C’est LA PREMIERE de toute » déclarais en riant avant de gesticuler pour faire en sorte de remonter un peu plus haut sur le corps de Paris et faire face à son visage que j’aimais tant. Et avec un peu plus de sérieux, je lui murmurais tendrement : « Tout ça là, Paris…c’est tout ce que je voulais. Le lever du soleil, toi et moi sous les couettes…Toi aussi libre de parler et de penser….c’est tout ce que je veux. » et pour conclure mes dire, je déposais mes lèvres sur celles du Dunster pour l’embrasser, pressant sa bouche une fois, deux fois, trois fois, avant d’ajouter dans un souffle « Et je veux plus t’entendre douter sur le bien que tu fais aux autres, d’accord ?! » J’attendais qu’il opine du chef et d’un ton plus mutin, j’avouais : « parce que…si je devais parler pour moi, je dirais : BON DIEU Ce que tu me fais du bien ! Mais alors, un de ces BIEN !!! C’est limite SCANDALEUX tellement TU ME FAIS DU BIEN » je m’amusais clairement en disant tout ça : j’appuyais sur certains mots – voire même les criais de manière suggestive et sulfureuse, pour bien faire comprendre à Paris, que le bien dont je parlais, avait tout à voir avec cette histoire de faire l’amour toute la nuit, aussi !!!


©Pando
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Summer & Paris
« Je ne connais pas d’autres familles que la tienne alors qu’importe le tableau que tu me peigneras, il sera toujours bien plus idyllique que celui de ma propre famille » rétorqua-t-il car Summer avait beau avoir des soucis avec sa mère, elle ne pourrait jamais rivaliser avec ceux qu’il avait avec sa mère. Bon, ce n’était pas une compétition non plus et il ne lui souhaitait pas non plus qu’elle connaisse les mêmes déboires que lui. Tout ça pour en venir au fait qu’il voulait rencontrer ses parents, faire connaissance et surtout mettre un visage sur des anecdotes. « Oui, j’ai vraiment envie de les rencontrer. J’aimerai pouvoir en dire autant mais bon, je n’ai pas été voir mon père depuis qu’il a été enfermé et je ne sais pas non plus où est ma mère » répondit-il avec une grimace. Cela lui faisait penser à toutes les lettres qu’il avait reçu du centre pénitencier où se trouvait son père. Ce dernier, en fin de vie à cause d’un cancer, voulait absolument lui parler mais pour l’heure, Paris était resté sourd à ses appels. « Tu sais, ta sœur, je m’en bats les couilles, je veux voir tes parents… après si elle est là, tant mieux, elle pourra voir combien ton homme est sexy et combien elle va se prendre un vent si jamais elle s’amuse à vouloir me foutre dans son pieux » répliqua le jeune homme avec un sourire effronté. Il n’avait aucun doute sur le fait que la frangine le laisserait de glace. Summer l’excitait bien trop pour qu’il ait envie d’aller voir ailleurs.

« Femme perverse ! Mais j’avoue que j’adore quand tu réclames mon corps » rigola-t-il de bon cœur non sans lui lancer une œillade suggestive car il n’y avait rien de plus excitant pour lui qu’une femme -la sienne, voulant faire l’amour toute une nuit. Il était tout de même heureux qu’elle lui dise qu’il l’avait comblé avec cette sortie. Rien que pour cela, il allait en être fier durant au moins une bonne semaine car rien de plus satisfaisant que le bonheur de son ange et chacun de ses baisers le plongeait dans son propre bonheur. « Tu es complétement dingue mon ange » rigola-t-il en la renversant sur le dos pour mieux la surplomber et l’embrasser tendrement. « N’empêche, tu me fais du bien toi aussi…surtout avec cette jolie petite bouche si tu vois ce que je veux dire » ajouta-t-il avec un sourire ravageur car il ne pouvait s’agir que d’une chose -cet homme était un pervers patenté. Il l’embrassa à nouveau avec bien plus de passion, faisant ainsi comprendre à sa petite-amie qu’il allait visiblement mettre « faire l’amour toute la nuit » au programme de leur nuit.



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