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Sweet Holidays (Pammer)

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– SWEET HOLIDAYS –

PARIS & SUMMER.

J’éclatais de rire alors que Paris me proposait de viser l’entrejambe quand un homme autre que mon mec se mettait à m’embrasser, tout en lui caressant la joue, je lui répondais « Je crois que si je t’avais fait un truc pareil tu m’aurais finalement détesté », et puis je me serais détesté aussi après ça ! Il n’y avait qu’à voir comment j’avais tout de suite regrettée mon geste, prêt à déposer un baiser sur sa joue comme one viendrait calmer le bobo d’un enfant ! « Et puis j’aurais fait bobo à quelque chose qui m’ait très chère maintenant, je dois bien l’avouer » ajoutais-je en plaisantant sur cette partie de son anatomie avant d’embrasser Paris, parce que le simple fait de parler de baiser me donnait tout simplement envie de lui en faire ! J’avais ensuite exprimer le fait que ma façon d’agir avec Gabin aurait dû le mettre sur la voix en ce qui concerne ma requête d’amitié entre lui et moi, mais les arguments de mon petit-ami sur le sujet me fit comprendre que déjà, à l’époque, il avait un profond respect pour moi « Tu veux dire que t’étais vraiment pas en mode dragueur ? Que tu ressentais réellement des trucs pour moi ? Pas seulement une attirance physique » lui demandais-je comme si ce fait m’étonnais, alors que de mon côté j’avais pourtant été dans ce cas-là : J’avais été charmé par son physique oui, qui ne le serait-pas ?!...mais j’avais également été séduite par sa prestance, son côté mature et responsable – que j’avais cru terni à cause d’un quiproquo, certes mais qui avait été réglé – et puis j’avais également été enivrée par cette sensation de bien-être qu’il m’avait fait ressentir après son baiser, et plus tard dans ses bras pour une étreinte…

Je me remémorais l’instant, les yeux dans le vague et un sourire rêveur et avouais en toute simplicité « Moi aussi, je n’ai plus arrêté de penser à toi après cela ». Et c’est vrai : mon couple avec Gabin battait de l’aile, mais je ne combattais plus avec vigueur, c’est limite si je n’étais pas l’initiatrice de nos disputes pour mieux évacuer ma frustration…ce qui me rappelait d’ailleurs à un autre souvenir qui me faisait soudain monté le rouge aux joues, tout en me faisant sourire un peu honteusement. Je levais alors les yeux vers Paris qui semblait curieux de mon changement de comportement et hésitant un instant, j’osais lui avouer « quand j’étais…Humm » Je me raclais la gorge et reprenais en essayant d’être moins rougissante « seule le soir…à la QH : Je me couchais et je pensais à toi…parfois tellement fort que…je finissais par me toucher, en pensant à toi. Il n’y avait que comme ça, que j’obtenais satisfaction » voilà, les choses étaient dites, et je pensais que j’aurais gardé ça pour moi pendant longtemps, mais c’est justement là où je souhaitais en venir depuis le début : Au-delà de l’amour et du sexe…il y avait la facilité de confidence. Si cela n’avait pas été pour Paris, jamais je n’aurais avoué ce genre de chose à un petit-copain ! C’est le genre de truc qui annoncé clairement ta dépendance et ta faiblesse pour l’autre, et lui laisse croire qu’il avait déjà tout gagné depuis le départ. Mais avec le Dunster, les choses allaient bien au-delà de cette perception de base que je me faisais : il avait déjà tout gagné avec ce baiser volé ? Oui, et alors ?!! Autant qu’il le sache, qu’il sache que mon cœur lui appartenait déjà à ce moment-là, et non pas tout de suite après ma rupture avec Gabin.

Quelques secondes plus tard, on discutait de la mère de Paris au travers d’une vidéo d’une de ses hontes, et j’observais avec attention les traits de mon homme lorsqu’il regardait sa propre mère sur la vidéo. Je ne voyais pas de colère, pas d’amertume…de la nostalgie ? Du manque, peut-être ? Pas évident de savoir cela quand la seule chose qu’on a toujours vu jusqu’ici concernant la mère Maconahey, c’était de la rancœur à son égard. Bien qu’il m’avoue que sa mère sur la vidéo n’était malheureusement pas resté aussi stable les moins suivants, je voyais bien qu’il ne déclarait pas cela pour faire remonter sa colère. Il énonçait ce fait simplement comme tel, et je n’osais pas vraiment lui en reparler. Du moins pas de suite. Je me réserverais ça pour nos moments « confidences sur l’oreiller », après câlins crapuleux bien mérité

En parlant de câlins, c’est allongé dans le lit, à parler de ses aller-retours incessants du mois derniers, que l’on s’avouait sans mal ne pas pouvoir supporter un autre départ du pays sans l’autre à nos côté ! Le Spring Break était la solution idéal pour nous deux, et le Chili une destination encore inconnue. Paris me proposait très vite quelques possibilité de journée, avec une partie bronzette sur la plage, et c’est en me plaçant à califourchon sur lui que je le taquinais sur cette histoire de topless « Attends là, si tu me propose une crique, ce n’est pas topless que je finirais ! C’est nudiste ! » Lui lançais-je en riant, parce que j’avoue que le côté crique avec Paris rien que pour moi ?! Pas sûre que j’allais avoir envie de penser à mon bronzage à ce moment-là. Et finalement, cette image me fit alors penser à une autre proposition du genre : Profiter d’une escapade pour assouvir le fantasme de faire l’amour en pleine nature ! Paris se marrait, et moi je me dandinais fière de moi avant de rétorquer avec assurance : « Hey, ce n’est pas parce qu’on est dans un pays étranger que j’ai perdu toute notion des choses ! J’ai gardé quelques petites notes dans ma tête, et ce voyage sera l’occasion rêvé » avouais tout en regardant le mur derrière Paris et au-dessus du lit. Je fis alors une moue digne d’une fille en plein constat et avouais « Ce qui me fait penser qu’on l’a dans l’os pour le fantasme n°2 : m’attacher au lit. » Je désignais alors le mur en face d’un signe du menton et ajoutais « Y’a pas de tête de lit ! » Puis, me penchant d’un côté du lit sans quitter ma place sur les hanches de Paris, je me baissais pour regarder le cadre du lit et dire « Ah, attends ! A moins que tu m’attaches là » sortais-je en regardant l'épaisseur du cadre avant d’éclater de rire ! Bon effectivement, je ne perdais vraiment pas le nord et avait fait de cet excursion au Chili, mon graal des expériences sexuelles en tout genre ! C’est le Spring Break non ?! Tout est permis apparemment !

C’est finalement vaincue par l’envie d’aller voir ce qui était réserver en bienvenue à la réception de l’hôtel, que je quittais les hanches de Paris en disant « JE TE sauterais dessus plus tard » rectifiais-je en souriant , « Place à la danse des pieds martyrisés d’abord » m’exlamais-je comme si je venais de lancer le GROS programme de la journée ! Je bondissais alors du lit et me redressais comme un piquet, et sautillant légèrement, j’embêtais maintenant Paris en déclarant avec une drôle de mauvaise-foi « Allez, allez on se bouge !! Je t’attends depuis tout à l’heure moi ! »



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Summer & Paris
« Mais non bébé, le coup dans les roubignoles, c’est à partir de maintenant ! Et puis va pas abîmer la marchandise, je sais que tu aimes trop quand je te fais grimper au septième ciel » s’amusa-t-il à jouer les kékés de service. Il ne manquerait plus qu’il hausse des sourcils façon gros pervers et il avait tout l’attirail du mec qui s’y croit. Bon en même temps, si on regarde leur vie sexuelle de près, on peut que s’apercevoir que l’un comme l’autre sont comblés au-delà des mots car Summer avait beau jouer les innocentes, au lit, elle était la reine. Son impératrice même. C’était bien la première fois que Paris voulait bien rendre les armes et jouer les esclaves sexuels. « Au départ si… Comment t’expliquer… Disons qu’avec toi, je me sentais différent. Je te draguais parce que j’avais envie de le faire mais y avait quelque chose de différent. J’avais envie de te connaitre avant et après. Je sentais qu’avec toi, il n’y aurait pas de demi-mesure, que si je te faisais craquer, ça serait pas pour te dire au revoir après. Cela me faisait peur à l’époque car je n’avais jamais été en couple et que je voulais pas te faire souffrir… Pour ça que j’ai accepté d’être ton ami car c’était mieux pour toi » avoua-t-il même si au final, elle était devenue sa petite-amie et qu’il en était parfaitement heureux. Il faut croire que par moment, le Destin vous jouait de drôles de tours.

Néanmoins, le sérieux de sa personne se retira bien vite face à la confidence sucrée de sa petite-amie. « Ah oui ?! Et tu pensais à quoi dans ces moments-là ? Je veux dire, tu t’imaginais que je débarquais dans ta chambre et que je te faisais sauvagement l’amour ? » lui demanda-t-il sur un ton qui laissait clairement percer son amusement et sa fierté de mâle. Après tout, savoir qu’elle pensait à lui et non à son petit copain de l’époque pour arriver à l’orgasme, y avait de quoi bomber le torse. « Tant que tu ne penses plus qu’à moi et à moi seul dans ces moments-là… » murmura-t-il tout de même pour montrer combien il était possessif envers elle.

Rapidement le couple évoqua la possibilité de se faire une journée à la plage malgré la route mais Summer ne perdit pas le nord et alla jusqu’à lui affirmer que c’était du naturisme qu’elle allait lui servir sur un plateau. « Chérie, tu sais que lorsque tu me dis ce genre de chose, j’ai l’imagination qui s’emballe et que je n’ai plus qu’une envie : c’est de t’embarquer direct pour un bain de minuit… D’ailleurs ce n’est pas con ! Avant de partir, j’ai vu mon toubib qui m’a conseillé d’acheter une protection contre l’eau donc je pourrais même faire mumuse avec toi dans l’eau. Qu’est-ce que tu en penses ? On passe la soirée à danser et on se relaie jusqu’à la mer pour se baigner en mode seuls au monde » lui proposa-t-il dans la foulée pour mieux éclater de rire. « C’est pas possible, ma petite-amie est un démon pervers.» Au moins, ils n’étaient pas près de s’ennuyer tous les deux mais pour l’heure, ils avaient une soirée à honorer de leur présence.

« J’y crois pas ! Toi, c’est une fessée déculottée que je te mettrai tout à l’heure » rigola-t-il en secouant la tête avant de lever sa carcasse du lit et d’attraper la main de sa petite-amie pour la conduire vers le lieu de la fête non sans une longue pause dans l’ascenseur car ses lèvres lui manquaient déjà atrocement.



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– SWEET HOLIDAYS –

PARIS & SUMMER.

Un coup dans les roubignoles ! Voilà une expression à la Paris qui malgré le caractère peu élégant dans le choix des mots, me faisait craquer. A chaque fois qu’il faisait preuve à ce point de naturel, la surprise me gagnait et me faisait éclater de rire, sans ménagement « Je ne toucherais pas à tes bijoux de famille autrement que comme je le fais déjà » lui répondais-je alors avec un clin d’œil. Oui parce que, dire que je n’y toucherais pas c’était mentir !! J’y touchais plus que de raison, et tant que Paris ne s’en plaignait pas, moi je m’en donnais à cœur-joie. Bon hey, ne voyez-pas d’image pervers quand je vous dis ça hein : je ne suis pas du genre à lui mettre la main dans le pantalon n’ importe où n’importe quand ! Rien à voir… ce que je veux dire par là c’est que le sexe étant une partie non négligeable de notre relation, forcément, côtoyer les « roubignols » de mon petit-ami était plus que logique, avéré et inébranlable…hmmm attendez : Je ne’ai pas choisis le bon mot là, parce que si en fait il l’est. Enfin, vous me comprenez quoi !

Ressassant le vieux souvenir qui nous avait mené à cette conversation, j’avais tout de même eu le besoin de comprendre les véritables intentions de Paris, le fameux soir non loin de la patinoire, et surtout, j’avais eu le besoin de rétablir une vérité : j’avais certes jouée la carte de l’amitié, que Paris avait accepté avec le plus grand des respects pour moi – qui lui valut un baiser passionné à l’instant même – mais dans le fond, mon cœur lui était déjà réserver à ce moment-là. J’avais trahi Paris, et m’était trahi moi-même, au point d’en payer le prix en frustration les semaines suivantes. Oh bon sang, je me souviens encore du fameux soir où, après avoir passé l’après-midi avec Paris pour son déménagement, j’étais revenue épuisé dans ma chambre de confrérie, et m’était affalée sur le lit en me disant que je n’avais plus la force de rien faire ! Mes fesses, oui : mon esprit lui avait encore eu la force de me remettre en tête les images d’un Paris torse-nu et en sueur entrain de porter carton et meuble à bout de bras, terminant mes pensées en une scène des plus torride où Paris me posait contre un meuble pour me prendre direct sans prévenir ! Oh oui, ce genre de scène, il y en avait pleins qui en avait défilé dans ma tête, et c’est en me soulageant moi-même finalement, que j’arrivais à trouver la paix et ressembler mes esprits. Et aujourd’hui, je racontais tout ça à Paris lui-même, complètement embarrassée mais en même temps soulagée de pouvoir sortir cette vérité. Est-ce que je l’avais imaginé débarquer dans ma chambre pour me sauter dessus ? « Oh oui c’est exactement ça…dans mon lit, et sous ma douche aussi ! Et puis il y avait l’amour sauvage et le doux, le lent. » Bizarrement, les images se reformaient aujourd’hui dans mon esprit, et je me devais de secouer vivement la tête pour les chasser « Limite la seule chose que je regrette, c’est de ne jamais avoir eu l’occasion de t’emmener dans ma chambre Quincy !...pour le faire sur le bureau, dans le lit, contre la fenêtre… » WOAW ! C’est quoi cette nouvelle envie qui te prends là ? Le faire contre une fenêtre ??? Je fis alors de grands yeux et avait limite envie de rire tellement la gêne se faisait sentir en moi « Oublis ce que je viens dire » Avant de m’exclamer, très honteuse « hhhhhaaaaaaannnn bon sang, je deviens vraiment perverse ! »

Alors effectivement ça, plus le fait que je ne tardais pas non plus à lui proposer de réaliser deux de ses fantasmes pendant les vacances ??? Clairement, gros perverse ! Est-ce que je suis en manque ? Non, pas du tout ! Je sais qu’on pourrait le croire, mais je jure que non ! Tout va bien de ce côté ! Et c’est peut-être ça d’ailleurs : le fait que tout aille super bien sexuellement. Pas de complications particulière, pas d’incompatibilité dans le plaisir, pas de simulation (non vraiment, croyez-moi, pas besoin de simuler, en tout cas de mon côté), les limites on se les fixe ensemble en discutant…alors oui, forcément : Ca se passe bien, trop bien, tellement bien que j’ai finalement tout le temps envie !! Pourvue que ça dure j’ai envie de dire ; parce que soyons honnête il y a bien un moment, où – je suis réaliste – Paris n’aurait peut-être plus le même attrait pour moi ? Trop de quotidien tue le quotidien ?? Peut-être qu’il entrera dans sa phase, « je m’ennuie » et moi dans ma phase « je suis chiante, mais je sais pas pourquoi ! »….ou ça peut ne jamais arriver, mais dans tous les cas, lui et moi en auront profité à fond !!!

Voilà pourquoi les propositions de Paris me rendait soudain si motivée ! J’avais bondit du lit, lui avait limite fait comprendre que c’est moi qui attendait après lui – oui mauvaise-foi évidente – et qu’au moment où il se levait pour me parler de déculottée, je lui souriais de manière perverse en lui disant qu’il avait vraiment intérêt à le faire…avant de réalisé encore que oui, j’étais réellement perverse…ou alors, vraiment, follement, éperdument amoureuse de Paris, au point que tout devenait jeu et passion en sa compagnie ! « Je devrais vraiment paniquer à l’idée d’être aussi portée « sur la chose » ces derniers temps, mais tu sais quoi ?! » lui demandais-je tout en levant la tête en le regardant plus ou moins sérieusement. « Je crois que le plus flippant, c’est le fait que je me fiche complètement de l’être ! » j’haussais alors les épaules puis me mis à pouffer de rire en ajoutant : « Je me fiche tellement d’être perverse que je suis là à penser « faut qu’il prenne son joujou imperméable maintenant alors » plutôt que de penser « Arrête-toi, t’as 3 semaines pour CA ! » Tu vois ? » Et tout en lui énonçant le sujet, je parlais avec les mains et finissais par inspirer profondément et fermer les yeux, donnant soudain l’impression de vouloir méditer sur quelques chose. Je rouvrais finalement les yeux vivement et tout sourire concluais « C’est bon ! Je suis calmée, on peut y aller ! Emmenez danser, Mr Maconahey ! Faites-moi voir des étoiles ! »


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Summer & Paris
« Si ça ne tient qu’à ça, tu as qu’à demander à ta copine Amanda de nous prêter sa chambre ! Ou à ton pote Bonaventure ? Je sais que monsieur copule joyeusement avec une Dunster qui contre toute attente est devenue une bonne amie à moi » répliqua un Paris toujours aussi intéressé par le faire de faire l’amour à sa petite-amie et surtout à réaliser tous ses fantasmes. Il était d’ailleurs toujours étonné de voir combien son désir d’elle grandissait de jour en jour alors que soyons honnête, il avait passé son temps à accumuler les oneshot. « Tu me fréquentes depuis déjà trop longtemps bébé, laisse tomber, je t’ai corrompu à ma libido exacerbée » rigola-t-il de bon cœur. Cela lui plaisait que Summer soit aussi réceptive à ses désirs car il n’y a rien de plus frustrant qu’une nana sortant : j’ai mal à la tête. Non pas ce soir je suis fatiguée. Le jour où ça arrivera, ce serait le début de la fin pour leur couple. Paris ne plaçait pas le sexe en priorité mais avouez tout de même que de passer de « faisons l’amour comme des lapins » à la case « on le fait une fois par an pour l’anniversaire de mariage comme deux paresseux », il y avait de quoi se poser des questions. Pour l’heure, aucune lassitude, toujours la même ferveur. Non, c’était encore mieux car petit à petit, toutes les inhibitions de l’un ou l’autre s’effaçaient.

Un grand éclat de rire le secoua alors que Summer repartait dans son délire vis-à-vis du sexe et du fait qu’elle était en pleine mutation. « Il n’y a pas de mal à être perverse avec son petit-ami non ? Rassure-moi, il n’y a qu’avec moi que tu es comme ça ? Non historie de savoir si je dois demander un permis de port d’arme » répliqua-t-il mi-figue, mi-raisin. « En tout cas, personnellement, moi j’aime cette version perverse de mon ange » lui dit-il avec un grand sourire avant de se pencher vers elle pour l’embrasser longuement -une bonne façon également de la faire taire car bon sang, c’était une véritable pile électrique. « Petite question mais tu es toujours aussi excitée lors des vacances ? » lui demanda-t-il amusé mais plein de tendresse à son égard.

Le couple arriva rapidement dans la salle de réception où chacun eu le loisir de croiser des vieilles connaissances, des amies ou simplement des étudiants de leurs sonorités. Paris affichait un grand sourire, son bras passé possessivement autour des épaules de son ange qu’il conduisit assez habilement entre les tables. Ce n’est qu’au bout de dix minutes qu’ils purent enfin se lancer sur la piste de danse. « Alors prête pour ta première leçon ? » lui demanda-t-il en se plaçant face à elle. « Alors tu démarres avec la jambe droite bébé » commença-t-il en lui montrant le pas de base sans lui donner le tempo. « Pousses sur tes hanches pour délier ton mouvement… voilà… »lui dit-il en la voyant réussir sans problème l’enchainement. « Maintenant, tu n’as simplement qu’à me suivre et te coller à mon tempo » termine-t-il par dire tout en dansant avec elle. Une danse basique qu’il allait petit à petit compliquer mais ça, ils avaient le temps car le but c’était de s’amuser.




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– SWEET HOLIDAYS –

PARIS & SUMMER.

Est-ce que j’étais comme ça, seulement avec Paris ?! Oh OUI, clairement ! Sincèrement, cette partie-là de moi, je ne la connaissais pas ! Enfin, je veux dire : Okay je n’en suis pas à mon premier petit-copain ; Okay je suis bisexuelle ce qui sous-entend mon ouverture sexuel à ce niveau-là ; Mais sincèrement : JAMAIS je ne m’étais montrée aussi ACCRO. Je pouvais parler de sexe avec mon mec, sans avoir à lui sauter dessus. AVANT ! Je pouvais me mettre d’accord sur quelques expérience fun à faire avec ma petite-amie, sans avoir envie de les réaliser dans l’instant. AVANT !! Mais ça, c’était avant Paris, bien entendu … Depuis cet homme, je vivais dans une bulle amoureuse ou sexe rimait simplement « avec encore plus d’amour ». En fait, plus on faisait l’amour, plus j’avais l’impression que je l’aimais d’avantage ! Bizarre je sais…surtout quand on sait que je dis aussi que « plus on parle, plus j’ai l’impression que je l’aime d’avantage »! Je ne vous raconte même pas alors quand on fait l’amour et qu’on parle après !!!! Là, limite je le demanderais en mariage !! C’est donc en ayant ce constat-là bien en tête que je répondais honnêtement à Paris : « Pas besoin de port d’arme mon cœur ! Je n’ai jamais été portée aussi fortement sur le sexe que depuis que je te connais et tu en es l'interrupteur : ca ne marche que quand t'es là ! » J’ai failli dire que je n’avais jamais autant crié non plus, mais je crois que niveau confidence, j’avais atteint de le Summum Summer ! Et je me sentais déjà partir en furie, pile électrique intenable qui allait avoir du mal à se comporter convenablement jusqu’à ce soir. Quand Paris me demandais si j’étais aussi excitée habituellement quand j’étais en vacances, je me mis à pouffer de rire, et déclarais : « Franchement, là aussi c’est une première !...Je crois qu’en fait, sans le savoir, j’étais à la limite de la folie, et que pendant ces vacances tu vas en payer le prix » …surtout quand il m’embrasse de cette manière pour me faire taire –oui parce que ça vaaa hein Paris, je sais que c’est pour ça ! - je sens que je vais avoir du mal à être posée et caaaaaallllme.

A moins que cette petite réunion dans la salle de réception ne réussisse à faire baisser la tension en moi ? Croiser des gens, discuter avec des amis, tout en restant bien attaché à Paris, ça allait sans doute m’aider à ne pas faire de fixette sur le reste ? Moi j’ai envie de répondre : oui et non ! OUI, voir du monde calmait mon esprit et le dirigeais vers d’autres pensées…NON, ça ne m’aidait pas à complètement oublier, parce qu’une fois que Paris m’emmenait sur la piste de danse pour une Danse, l’excitation de partager un moment intime avec lui reprenait le dessus. C’est en élève appliqué que j’écoutais mon professeur m’expliquer les pas. J’ai failli mal démarré quand il m’a demandé de commencer avec la jambe droite et que je partais déjà avec la gauche, moi ! Blonde, je le rappelle…mais en voyant les pas de Paris, je comprenais peu à peu qu’il fallait simplement que je fasse le contraire de lui. Là ou il avançait je reculais, et là ou son bassin se décalait à gauche, le mien devait en faire de même à droite. Quand il me demandait de se coller à son tempo, je lui répondais très vite au tac-au-tac « Ah mince, je croyais que tu allais me demander de me coller à ton corps ! Alors j’ai failli m’écrier « OKAAAAYYY !! »» Mais finalement, je prenais mesure du tempo, des pas, et je me surprenais même à réussir. Au point, avec un élan d’assurance, je commençais à jouer les fière et osais déclarer : « Attends, c’est aussi simple que ça ?!....non parce que à côté, ma danse du robot, c’est genre niveau expert quoi ! » Bon okay, j’exagère ! Mais sincèrement, j’étais en train de me dire qu’il y avait anguille sous roche parce que je trouvais ça un peu trop facile pour le moment.



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Summer & Paris
Paris n’avait jamais connu de femme comme Summer. Elle était unique. Il se demandait même si un jour, il arriverait à faire le tour de ses personnalités car il l’avait connu : enflammée, maternelle, romantique, sensuelle, totalement torride et là… elle était une véritable gamine. Enfin, pas au sens péjoratif du terme. Son enthousiasme était réellement communicatif si bien que Paris n’avait jamais été aussi souriant lui, qui d’ordinaire, faisait peur avec son air froid. Sa petite-amie le rendait bien plus humain, bien plus accessible. Oh il n’avait pas non plus complétement changé : il était toujours aussi bourru et peu communicatif avec les autres. Le jeune homme n’était toujours pas enclin à jouer les commères avec la vie des autres. Si on voulait se confier à lui, il écoutait mais sans ça, il n’était pas du genre à prendre des nouvelles. Un trait de caractère qui lui valait bien souvent la perte d’amitiés mais il s’en foutait. Summer comblait bien tous les postes vacants de sa vie. « Veillons à ce que tu te dépenses complétement, je m’en voudrais si tu virais folle mon ange » rigola-t-il en la conduisant vers la salle de réception où ils passèrent quelques minutes à parler avec des proches entre nouvelles rapides et présentations en bonne et due forme. C’est qu’il était fier comme un coq de présenter Summer comme sa petite-amie.

Tout comme il était fier de lui apprendre quelques pas de salsas pour l’entrainer avec lui sur la piste de danse. « Mais tu es infernale ma parole » rigola-t-il en secouant la tête. « Je sens que la soirée va vite être écourtée et que nous allons filer rapidement vers l’océan pour calmer tes ardeurs ma petite nymphomane en herbe » la taquina-t-il de bon cœur tout en l’entrainant un peu plus dans le rythme de la musique. « Bébé… ce sont les tout premiers pas de bases » lui dit-il en omettant le fait qu’elle avait absolument pas le cadre d’une salsa mais on s’en foutait bien. Ils étaient là pour prendre du plaisir sur la piste et non en train de répéter pour une compétition. « Mais si tu veux du compliqué… » commença-t-il avant de l’entrainer dans une succession de pas où au final, il dut à moitié à la portée pour ne pas qu’elle finisse les fesses par terre. « Alors, tu disais ? » rigola-t-il avant de l’embrasser et de la faire tourner dans ses bras, la reposant finalement sur le plancher.



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PARIS & SUMMER.

Le fait de descendre à la réception pour voir du monde nous avait rappela Paris et à moi, les raisons de départ de ces vacances : Le Spring Break au Chili ! Vacances entre étudiants du campus pour partager ensemble une expérience commune. Alors forcément en allant à la soirée de bienvenue, on avait croisé du monde, et c’est le sourire aux lèvres, trop heureuse de connaître l’univers de Paris, que je faisais connaissance avec ses amis, de ses potes Dunster et de quelques camarades d’astrophysique, me sentant à la fois fière et honorée d’être plus officiellement présentée comme la petite amie de Paris.

Les conversations allaient bon train jusqu’à ce que la piste de danse appelle mon homme et que ce dernier m’emmène avec lui pour une salsa. Non sans humour et taquinerie, je lui rappelais mon humeur badine de la soirée, espérant bien finir comme il l’avait promis, à deux loin d’ici pour une expérience nocturne vers l’océan. Les premiers pas de danse qu’il m’avait instruit semblait facile, voire même trop facile !! Franchement, même la danse ridicule que j’avais faite était bien au-dessus de ça, et je lui en faisais la remarque, bien trop heureuse de l’embêter gentiment sur le sujet ! Mais quand il me fit comprendre que ce n’était que des pas de bases, je me mis à me dandiner un peu plus sur place, exagérant mes mouvements en lui disant « bon bah, monte a un cran au-dessus que je puiss’- ». Pas le temps de finir que Paris m’emportais dans un enchainement que je ne comprenais pas du tout, où je me sentais gauche et où le Dunster avait du finir par me soulever de terre pour que je puisse le suivre ! Et le pire dans tout ça, c’est que j’étais hilare ! Ce petit numéro avait au moins eu le don de me rappeler que je ne devais pas faire la maline en parlant de danse, parce que j’avais en face de moi un maître qui pouvait me remettre à ma place très vite. J’avais fini par entourer mes bras autour de son cou, pour ne pas tomber d’un part, et parce qu’enlacer Paris était comme une seconde Nature pour moi ; et au moment il me demandait si j’avais à en redire concernant les pas de salsa, je gloussais comme une idiote et lui concédait ma défaite : « Bon ça va, l’élève ne dépassera jamais le maître sur ce domaine, j’ai compris ! » lui lançais-je avant de répondre à son baiser et d’émettre un léger cri de surprise au moment il me fit tourner dans ses bras et me reposait au sol. « Je suis conquise ! Mon homme est un danseur hors-pair, et moi je suis son écrase-orteil ! Le couple tellement crédible ! » Riais-je avant de chercher à reprendre ma position de base, cherchant à avoir enfin le vraie sérieux qu’une élève aurait dû avoir. « Bon on peut la refaire ? Mais en moins rapide, et en moins difficile ?! C’est bon promis, j’arrête mes bêtises et j’vous écoute M’sieur le professeur ! » J’avais beau scander mon sérieux à venir, mes paroles laissait tout de même entendre que je voulais aussi m’amuser avec Paris et rire en sa compagnie ! « Alors on démarre par la jambe gau…DROITE, droite pardon ! Et ensuite, je fais ça…puis ça… » Énonçais tout en accompagnant les paroles de mes gestes, « et après, padada, tadada que j’ai rien compris ! Mais que tu vas m’expliquer bien sûr ?! » Demandais-je avec une gros sourire aux lèvres !... « Moi je te le dis, ce n’est pas demain la veille que je vais me transformer en Frédérique Haussman ! » avais-je conclu en faisant toujours référence à un film culte que l’on ne présentait plus, et que Paris connaissait que trop bien de toute façon !



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Summer & Paris
Summer n’avait pas à eu le temps de finir sa phrase qu’il l’entrainait dans une salsa d’un tout autre niveau, celle qu’il pratiquait d’ordinaire avec Zoïa -autant dire que son ange s’emmêla très rapidement les pieds pour le plus grand plaisir de Paris. Au moins, elle riait et lui, il ne pouvait s’empêcher de faire le con. D’ailleurs s’il avait eu ses deux bras de libres, sûrement lui aurait-il imposé un porté aérien à la faire crier sur la piste de danse. A la place, il se contenta de la soulever dans ses bras et de la faire tourner. « Mais j’ai aimé ta tentative désespérée pour suivre »se moqua-t-il gentiment. La danse faisait tout simplement partie de lui et même s’il était évident qu’ils ne feraient jamais de compétition en couple, il appréciait le simple fait de la tenir dans ses bras et de faire quelques pas avec elle. Summer n’imaginait pas combien il savourait ce moment. « On ne t’a jamais appris que les contraires s’attirent ? » lui dit-il non sans rire. Le Dunster déposa un frêle baiser sur le bout de son nez tandis qu’elle cherchait à reprendre son sérieux et à enchainer les pas. « Oh vraiment ? Toi arrêter tes bêtises ? j’ai limite envie de dire que c’est impossible mais je serais un homme magnanime ce soir » répliqua-t-il avant de l’aider dans les mouvements, lui décortiquant certains avec plus de lenteur pour qu’elle puisse vraiment les comprendre et les refaire. « Tu sais que tu es une élève appliquée ? Même elle, partait de rien dans le film… Donne-moi deux mois et je fais de toi une danseuse hors pair » paria-t-il avec le plus grand sérieux.

Le couple continua à danser encore de longues minutes avant qu’ils ne décident d’aller s’asseoir un peu histoire de reprendre leur souffle mais également de boire quelque chose. « Qu’est-ce que tu veux boire ? » lui demanda-t-il avant de s’éclipser vers le bar pour aller chercher leurs commandes et de revenir vers elle. « La boisson de madame est servie… je n’accepte que les paiements en nature, je vous préviens » plaisanta-t-il avant de se pencher et de l’embrasser longuement. « Je te propose que nous portions un toast à notre première soirée au Chili mais surtout à nos premières vacances ! » dit-il en prenant sa main dans la sienne pour lier leurs doigts ensemble. « N’empêche, je ne pensais pas qu’un jour, je ferais un Spring Break aux bras d’une aussi délicieuse petite-amie mais j’en suis plus qu’heureux »




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– SWEET HOLIDAYS –

PARIS & SUMMER.

Les encouragements de Paris, bien que moqueur au départ – je l’avais bien cherché – avait finalement eu raison de mon comportement : Je voulais vraiment pouvoir partager quelque chose d’exceptionnelle avec mon petit-ami. Je me souviens d’ailleurs encore de cette fois au parc forestier, où il avait souhaité en apprendre plus sur ma passion pour la photographie, et me parler lui de sa passion pour les étoiles ! On avait malheureusement été pris de court de ce côté-là, et au final, on avait dû remettre cette envie de partage à plus tard ! Et aujourd’hui, c’était son amour pour la danse qui me donnait envie de mieux comprendre ce qu’il ressentait en dansant, la liberté qu’il éprouvait dans ses pas. Oh je me savais bien maladroite, et malgré ma façon de me jouer de la situation en évoquant mes danses perso, je réalisais très vite l’écart de compétence qui se faisait entre Paris et moi ! Alors oui, j’étais déterminée à apprendre à ses côtés ! Et puis…avoir son petit-ami en tant que professeur c’est pas mal distrayant aussi, et surtout MOTIVANT !

Alors j’avais repris les pas, essayait de décortiquer gestuellement ce que Paris m’apprenait : extérieurement, je devais avoir l’air gauche, mais honnêtement je m’en fichais ! Pour moi, il n’y avait que Paris devant moi, les autres n’existaient plus du tout…Je me sentais comme Frédérique Haussmann dans Dirty Dancing, bien que j’avouais à Paris que je devais être bien loin du compte ! Mais ces encouragements me donnaient encore plus envie et c’est avec un enthousiasme profond que je relevais la tête et répondais à sa proposition de faire de moi une danseuse hors pair « Chiche !! Deux mois, je veux bien tenter l’expérience moi : après tout c’est deux mois de coller serrer, de corps enlacer, de bras qui m’entourent, et de mains qui me touchent ! Jvais pas dire non ! » Et voilà, j’étais repartie ! 10 minutes à peine… J’avais tenu 10 minutes ! Même moi, je me trouvais indécrottable

Finalement essoufflée mais comblée par ses petits pas de danse, Paris me conduisait à l’extérieur de la piste pour retourner nous asseoir. Il commandait nos verres et revenaient avec ! J’avais tellement soif que c’est à peine si je ne m’étais ruée sur mon verre comme une désespérée ! Les lèvres sur les bords de mon cocktails, je me délectais du liquide alors que Paris m’annonçait vouloir un paiement en nature : j’hochais la tête, avant d’écarter mon verre de mes lèvres et de répondre « Compte sur-moi ! Je suis riche de ce genre de paiement !! Je suis même très généreuse en pourboires » je le gratifiais d’un clin d’œil Avant de trinquer joyeusement à son toast « A nos premières vacances, et à nos 2 mois dans… » Je regardais ma montre et comptait les heures exactes qui nous séparaient de l’évènement : « …dans 5 heures et 37 minutes ! je compte pas le décalage horaire » Je fis tinter nos verres et inspirais profondément en fermant les yeux, quand je souriais soudain de contentement, sentant les doigts de mon homme se mêler aux miens. La remarque de Paris me faisais doucement rire, et répondait en écho : « Et je ne pensais pas qu’un jour, je ferais un Spring Break aux bras de l’homme le plus incroyable, plus talentueux, le plus beau, et le plus adorable….OH et le plus GRAND aussi ! » Je le taquinais certes, mais dans le fond, je ne pouvais m’empêcher de le regarder avec amour, ne le quittant pas des yeux avant de lever nos mains jointes jusqu’à mes lèvres pour déposer un baiser sur les doigts de Paris. « Je sens que ça va être les plus belles vacances de toutes ma vie » avouais-je non sans mal avant de prendre un petit moment de pur sérieux pour ajouter un simple mais plus que sincère « Je t’aime Paris Adam Maconahey »


©Pando
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Summer & Paris
L’implication de Summer dans la danse faisait réellement plaisir à son petit-ami. Paris ne disait peut-être rien mais le fait qu’elle cherche à apprendre les quelques pas qu’il lui enseignait comblait son cœur. Il avait réellement l’impression qu’elle cherchait réellement à découvrir une autre facette de sa personnalité et qu’en prime, ils partageaient quelque chose de tangible. Les sentiments, le sexe, c’est bien beau mais il y avait autre chose dont avait besoin une relation sentimentale : communication, partage, écoute, entraide. Non, je vous rassure, Paris n’était pas devenu un pro es-relation de couple. Marie-Claire continuait de lui distiller de précieux conseils. « C’est pas possible… Remarque tu es restée sage combien de temps ? 10/15 minutes ? Crois-moi, m’avoir comme professeur risque de te faire déchanter mon ange » rigola-t-il car il se savait assez bourru dans son genre et s’il avait deux mois pour faire d’elle une danseuse plus qu’acceptable alors elle allait travailler, travailler et encore travailler. Peut-être pourrait-il demander à Zoïa de l’aider dans ses entrainements.

Le couple décida finalement de rejoindre leur table pour se poser quelques minutes histoire de laisser les pieds se reposer. Déjà deux mois ? Le temps passait tellement vite nota-t-il bien qu’il avait surtout retenu le fait qu’il allait avoir un sacré pourboire *c’est un homme, faut pas trop lui en demander non plus*. « Ouah… Tu sais que tu es ma plus longue relation ! » plaisanta-t-il de bon cœur car ils savaient tous les deux qu’elle était la seule, l’unique. Il n’empêche, deux mois… Beaucoup de monde avait parié sur le fait qu’il craquerait bien avant, qu’il se lasserait de Summer en moins de temps qu’il ne lui en fallait pour changer de partenaire sexuelle. Et pourtant, deux mois de bonheur -dont un mois de plaisir ; Paris était toujours le même, toujours aussi amoureux, passionné. Bref, Summer lui faisait toujours tourner la tête. « Bébé, pense à mes chevilles, je vais pas réussir à conduire après » dit-il pour rire même si dans son regard, on sentait combien il était touché par ses quelques mots. Personne ne lui accordait une telle importance. C’est simple, sous le regard de cette femme, il avait l’impression d’être un autre homme. Un homme bon, qui méritait le détour. « Et j’espère que ce ne seront pas les dernières vacances que nous passerons ensemble. J’ai envie de faire le tour du monde avec toi… Je t’aime aussi Summer Wingfield » lui dit-il avant de se pencher vers elle pour l’embrasser tendrement. Il avait consciemment évité de l’appeler Chloé car il savait que c’était son deuxième prénom qu’elle affectionnait le plus. « Au fait, je ne t’ai jamais demandé mais est-ce que tu as le mal de l’air ? » lui demanda-t-il le plus sérieusement du monde.



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