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Sweet Holidays (Pammer)

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PARIS & SUMMER.



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Summer & Paris
L’orgasme avait été fulgurant et totalement dévastateur comme si un tsunami avait tout ravagé sur son passage, le laissant simplement le cœur battant la chamade, la respiration saccadée et un sourire complétement débile aux lèvres. Paris en ferma les yeux, accueillant sa petite-amie dans ses bras pour mieux ressentir encore les traces de leur union des plus explosives. « J’avoue… peux pas mieux dire »rigola-t-il complétement comblé. Summer ne devait pas en être certain car il sentit dans sa question, une certaine appréhension. Aussi, ouvrit-il les yeux pour la contempler avec tout l’amour et la tendresse du monde. « Je vais bien, je vais même plus que bien mon ange » lui dit-il avec un léger sourire qui ne laissait guère de place aux doutes. Cette nuit, elle lui avait offert un nouveau beau cadeau qu’il se demandait bien comment un jour, il allait pouvoir lui rendre la monnaie ou même tout simplement exprimer tout son amour. Le Dunster n’aurait jamais pensé pouvoir être amoureux à ce point et se découvrir chaque jour, davantage épris de la même femme. Summer était vraiment sa moitié, il le savait. Sa grand-mère lui avait dit un jour : dans la famille, on n’aime qu’une seule et unique fois. Cela avait été son cas. Paris avait pu voir combien le chagrin de sa parente avait été poignant quand ils avaient enterré son mari. Malgré les années, elle n’avait jamais été dans d’autres bras, n’avait plus jamais aimé. Par moment, il se demandait même si sa mère n’avait pas perdu son unique amour et qu’elle le recherchait désespérément dans les bras de tous ses amants. Pour sa part, il n’imaginait plus aucune autre femme à la place de Summer. Rien ne serait pareil sans elle, sans son corps contre le sien, sans sa personnalité si rayonnante, sans son amour. Paris ne voulait même pas imaginer une vie sans elle car il savait qu’il ne vivrait plus si ce n’est au travers de ses souvenirs. L’amour dans son cas n’aurait qu’un seul et unique visage et c’était celui de cette femme qui le regardait avec amour et crainte qu’il n’ait laissé la souffrance l’habiter après ce qu’ils avaient partagé. « Si tu savais combien je t’aime Summer Wingfield… Je crois que toute une vie ne serait pas suffisant pour te le prouver » murmura-t-il avec émotion avant de l’embrasser tendrement pour mieux l’étreindre.

De longues minutes s’écoulèrent tandis que le couple tentait de se remettre de ses émotions et dans lesquelles Paris se lovaient tel un chaton reput. « Dis-moi, cela te dirait qu’on aille faire un petit plongeon histoire de se rafraichir ? » lui proposa-t-il afin qu’il puisse par la suite regagner la voiture et profiter du lever de soleil, enlacés et heureux d’être simplement que tous les deux. Le jeune homme se redressa sur un coude, caressant ce visage aimé avec vénération. « Je vais même pouvoir t’accompagner grâce à cette magnifique et peu glamour protection en latex bleue » plaisanta-t-il car son plâtre restait un frein encore à beaucoup d’activités.


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PARIS & SUMMER.
Je gloussais avec amusement alors que Paris m’assurait ne pas pouvoir dire mieux que mes bafouillages ! Comme quoi, on se comprenait même à demi-mots, c’était bien le cas de le dire !! Seulement malgré son attitude plutôt légère dans sa réponse, je me devais d’être certaine que tout allait bien pour lui, que ce qui s’était passé entre nous ici et maintenant, n’était pas un amalgame avec ce qu’il lui était arrivé plus jeune : après tout, il pouvait très bien avoir été consentant au départ, et ressentir une lourde retombée d’émotions qui l’aurait fait regretter ?! Ça pouvait arriver, non ?! Mais le sourire qu’il m’adressait en me répondant ne laissait pas de place à d’autre doute sur son état: Il avait heureux, détendu et….amoureux. Et ça, c’est juste quelque chose qui me retournait dans tous les sens! mon cœur en faisait le grand huit, et mon sourire s’affichait bêtement sur mon visage en réponse. Quand il me regardait et me souriait ainsi, je me sentais fière, confiante, inattaquable! C’est simple, n’importe quelle blonde aurait pu venir pour s’adresser d’une voix mielleuse à Paris pour je ne sais quelle raison, que je n’en aurais eu que faire: J’avais la garantie dans son regard en ce moment-même que ce qu’on le venait de partager était une manière supplémentaire de sceller notre couple dans un avenir plus que certain ! Et Alors que je pensais que seul ce sourire pouvait m’amener à tant de conviction, à tant de soulagement et de sûreté dans notre relation, les mots que prononçait Paris quelques secondes plus tard, m’achevèrent…dans le bon sens du terme, hein (quoique, j'aurais mourir maintenant, ça m'aurait convenu comme mort) !! Sincèrement, quand on refaisait la chronologie des choses, et qu’on reprenait à partir du moment où j’avais fait la connaissance du Dunster, jamais je n’aurais pu assurer à l’époque que l’aîné de la famille Maconahey, cet homme si méfiant, si secret et si bourru, serait là aujourd’hui à dire avec tant de souplesse dans la voix et avec tant d’assurance qu’il m’aimait – non mieux, qu’il était amoureux ! – et qu’il l’était TELLEMENT que sa vie de ne suffirait pas à le prouver. Personne n’aurait pu miser sur ce genre de parole venant de la bouche de Paris…pas même moi ! Attention, je ne dis pas que je le pensais incapable d’aimer, non (il sait aimer, plus que n’importe qui) : Je dis juste que jamais je n’avais espérer ne serait-ce que le quart de ce qu’il m’offrait aujourd’hui ! Et jamais je n’en aurais DEMANDÉ plus que le quart pour être honnête, parce que pour moi c’était bien assez ! Je savais par quoi il était passé, je savais qu’il faisait attention lorsqu’il accordait sa confiance, et je savais qu’il ne s’était engagé avec aucune femme de cette façon-là….Alors le simple fait qu’il m’accorde une chance ? Qu’il me prenne dans ces bras ? Qu’il soit tendre avec moi ? C’était déjà beaucoup à mes yeux…parce que je savais ce que ça lui coûtait pour lui de le faire, de se livrer ainsi.

Alors forcément, lorsqu’il prononça ses mots, j’ai eu l’impression que j’avais arrêté de respirer, que mon cœur avait cessé de battre et que le monde s’était carrément arrêter de tourner. En fait, ses mots m’avaient pris au cœur et au corps, encore bien plus fortement que la fois où il m’avait parlé à cœur ouvert et qu’il m’avait offert ce pendentif qui ne quittait plus mon cou depuis ce jour-là. Non…en fait, en y repensant, ce moment-là était tout aussi intense que ses mots d’aujourd’hui : Ils partaient de la même sincérité, évoquait la même chose, et me comblaient de bonheur au même point!

Bon mais, au final : est-ce que j’ai répondu à sa révélation ??!! Pas "verbalement" ! Non je me suis juste jetée sur lui pour l’embrasser passionnément et enrouler mes bras autour de son cou en le sommant de me serrer très fort pour un câlin ! C’est simple, un vrai pot de glue ! Ou un bébé panda collé à sa mère, faites-vous l’image qu’il vous faut ! Moi tout ce que je sais, c’est que je ne voulais plus lâcher Paris pour un sou ! Alors après avoir fini de l’embrasser à pleine bouche par manque d’air, je continuais de l’embrasser sur les joues, sur le front, sur les tempes, sur toute la ligne de sa mâchoire, même ! Rien ne me détournerait de mon envie d’enterrer Paris sous une montagne d’amour et de baisers. Le Dunster avaient beau m’avoir étreint contre lui, pour que l’on puisse se remettre de nos émotions – parce que j’avoue que malgré mon entrain, je n’en menais toujours pas large et tremblais encore légèrement – je ne calmais pas mon envie de bisous, ce ceux-ci se faisant simplement plus lents et tendres, presque comme des caresses eux-mêmes, jusqu’à ce que Paris nous propose un petit plongeon pour nous rafraichir ! Pris entre l’envie de me redynamiser, et celle de rester là lovée contre mon homme, j’avais eu un moment d’hésitation, avant que Paris ne se redresse et me regarde avec une telle intensité dans les yeux, qu’un frisson me parcouru juste après une énorme bouffée de chaleur ! Oh oui, je crois que finalement, il va me falloir un plongeon bien frais pour calmer tout ça....

Je souriais amoureusement à mon homme et semblais soudain amusé et curieuse : « Tiens, ça me fait penser que je ne l’ai toujours pas vu ton truc « pas glamour » là ? Fais voir ça » lui demandais-je alors que je me redressais en position assise aux côté de Paris alors que ce dernier cherchait dans un sac mis dans un coin sous les couvertures, sa protection en latex bleue. Lorsqu’il la sortie, je fronçais les sourcils et tendais le bras pour m’en emparer alors que je regardais ça sur toute les coutures « Dis-donc, c’est ce qu’on devrait proposer plus souvent pour les parents, en période estivale quand leur bambins sont plâtrés et pleurent parce qu’ils ne pourront pas aller à la piscine » réfléchissais-je à voix haute avant de soupirer d’exaspération en pensant à la tête que ferait Mr Doc-Barbiche’ si je venais à lui en faire la suggestion « Ouais non laisse tomber, on va me rétorquer que c'est un investissement inutile et un « gadget » », concluais-je alors que ma main venait toucher une boursouflure dans le latex « Oh, je vais devoir pomper ??! ». Je m’étais exclamée avec cet air enfantin sur le visage, très vite remplacé par un air diaboliquement mutin, avant de dire avec un clin d’œil en prime « J’adore ça ! » Et me voilà en train de tenir la manche en latex, style grande moufle en en bâche de piscine bleu, pour que Paris puisse insérer son bras dedans. Bon il a tout de même fallu qu’on s’y mette à deux pour bien tendre le latex jusqu’en haut du bras, mais une fois fait, je me mettais à actionner la pompe pour retirer l’excédent d’air, et rendre le tout complètement immersible. Le pompage terminé, je regardais le résultat quand Paris levait le bras pour observer le travail, et je retenais un sourire moqueur pour ne pas que Paris pressente la blague pourrie que j’allais lui sortir. Et toute fière de moi, j’annonçais la couleur : « Voilà, mon cœur ! Allez vient : on va schtroumpfer dans la mer ! », Puis j’explosais de rire en voyant la tête faussement exaspérée du Dunster « Quoi ?! » M’offusquais-je sans pour autant m’arrêter de rire « Avoue qu’elle était bonne et que tu l’avais pas vu venir celle-là ?! »

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Summer & Paris
Paris avait le droit à une avalanche de baisers sur son visage et s’il grognait, c’était avant tout de bonheur. Il adorait quand Summer faisait ça car il n’avait jamais réellement eu le droit à autant de tendresse de toute sa vie. Avec ses précédentes maitresses, une fois l’acte consommait, c’était tout simplement : à la revoyure et basta. Là, il adorait quand le câlin trainait en longueur, sentir son corps encore tremblant tout contre le sien. Il aimait également ces instants de confession qui n’appartenaient qu’à eux. Des instants magiques où Paris aimait croire que rien ne pourrait leur arriver, qu’ils étaient protégés, à l’abri de tous et de tout. Il avait beau ne rien dire, cela ne l’empêchait pas d’avoir ses propres craintes : et si elle rencontrait un homme ou une femme au passé moins trash, et si sa famille n’acceptait jamais leur relation ? Après tout, s’il était à Harvard, c’était uniquement grâce à la générosité d’un homme qui avait vu en lui bien plus que la plupart des gens. Ici, à l’abri du monde, il pouvait simplement se montrer lui-même et rigoler avec son ange.

Chose qui ne tarda pas à arriver vu l’humour douteux dont elle faisait preuve. « C’est pratique mais ça coute une blinde cette connerie » soupira-t-il mais Paris n’avait pas eu envie de se priver de quoique ce soit sous prétexte qu’il avait un bras dans le plâtre -déjà que la danse, c’était mort jusqu’à mai. « Tu sais que tu es la plus grande des perverses ? Remarque, tu as le don de pomper comme personne » s’autorisa-t-il à dire avant de rigoler en secouant la tête. Franchement, la conversation partait en live comme à son habitude. Summer l’aida donc à enfiler sa protection et il l’embrassa pour la remercier de son aide. « Tu sais ce qui me fait marrer par avance ? C’est quand tu vas essayer de marcher bébé… Là, tu vas te rendre compte que ce que l’on a fait, n’était pas si innocent que ça » sifflota-t-il de bon cœur en se laissant glisser vers l’ouverture du coffre pour sortir de la voiture, attendant qu’elle vienne pour schtroumpfer dans la mer comme elle le disait si bien. « Viens ma petite cowgirl » pouffa-t-il de rire car Summer allait expérimenter les conséquences de son fantasme. « Mais pour ta gouverne… Elle était vraiment bonne ta blague » accepta-t-il de lui répondre finalement. Nu, les bras dans le dos, il attendait qu’elle mette pieds à terre. « Je sens que te porter va être la solution idéale » la taquina-t-il en dardant sur elle un regard amoureux.


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PARIS & SUMMER.

Autant j’avais ris de mes schtroumpferies (oui, parce que j’ai l’humour à répétition aussi des fois, j’avoue !), autant là je ne faisais plus la maline : Paris avait émis un fait auquel je n’avais pas pensé. Marcher….Non parce que, là je le sentais pas beaucoup. J’étais à moitié assise sur mes jambes, et encore un peu mollassonne…mais j’avais mis ca sur le coup de l’émotion, et non le signe d’un obus qui m’avait pénétré le corps (pour pas dire autre chose, forcément) Du coup, en regardant Paris qui sortait de la voiture et se marrer pour finalement me surnommer cowgirl, j’étais quelque peu sceptique : « Nooooooonnn, ça va aller… non ?! » J’étais à quatre pattes en train de rejoindre le bord du coffre pour sortir et au moment de m’asseoir – sur les fesses cette fois – le cadre du coffre, là, je comprenais mieux ce que Paris avait voulu dire ! A mon avis, ma tête en ce moment ne devait rien avoir de glamour… « Oh putain de merde » avais-je dit entre mes dents, en grimaçant. Mais ne voulant pas assumer que Paris avait raison, je tentais d’esquisser un sourire  bien forcé et de dire « Tout. Va. Bien…Nickel. Même…pas mal » J’avais mes deux mains de chaque côté du corps qui s’agrippait au rebord du coffre, et si on observait un peu plus dans le détails, on pouvait se rendre compte que mes mains me servaient d’appuis pour ne SURTOUT PAS, laisser mes fesses se poser une nouvelle fois à plat sur ce foutu coffre. Je me redressai alors et voulais donner l’impression que je gérais parfaitement la situation mais…en baissant la tête pour me regarder de bas en haut, je réalisais que je n’arrivais même pas – ou plutôt non : n’osais pas ! – serrer les jambes l’une contre l’autre pour marcher normalement. Je relevais alors la tête pour voir Paris, planté comme un maître-nageur devant sa piscine – ou un animateur de colo en short devant les vestiaires à compter les minutes restante avant de gueuler sur le groupe – et me sourire d’un air narquois. Je regardais alors à gauche puis à droite, pour m’assurer qu’on était bien seuls – prête à utiliser l’excuse du fait qu’on étaient tous nus pour finalement se recacher dans la voiture – mais faute de monde, je me décidais à faire un pas…puis un deuxième en réalisant que OUI, j’allais marcher comme un cowboy… « Oh merde…j’ai l’air de quoi là ? » ** RI-DI-CUL(E) **

Finalement, je n’osais plus avancer, et me mettais à bouder comme une enfant en chouinant « Je ne veux pas marcher comme une compétitrice de rodéooooo » Je geignais en feintant les pleurs et suppliais Paris « Viens me chercher, t’es responsable de CA ! » et je croisais les bras contre ma poitrine pour continuer à bouder, et annoncer clairement que je n’avancerais plus !


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Summer & Paris
Pour être passé par cette étape cruciale -bien que dans son cas, il n’y avait eu aucune préparation d’aucune sorte ; Paris se doutait bien que Summer n’allait pas faire la maline très longtemps et qu’elle allait rapidement se rendre compte qu’une telle pratique sexuelle laissait des traces. « Oh mais je n’en doute pas mon ange, je n’en doute pas » continua-t-il d’user de l’ironie car pour l’heure, elle n’avait pas encore essayé de s’asseoir et encore moins de marcher. Comment dire… sa tête valait tous les mots de la terre et Paris éclata de rire bien qu’il se sentait coupable de sa douleur. « Ma pauvre chérie, je suis vraiment désolé » dit-il avec une honnêteté somme toute partielle car il avait vraiment aimé partager cette expérience avec elle. Le truc, c’est qu’elle allait avoir du mal à s’en remettre puisqu’il s’agissait de sa première fois. « Tu sais que tu es vraiment courageuse hein ? » se moqua-t-il avec tendresse car il la regardait tout de même avec amour, prêt à intervenir à sa demande ce qui ne tarda pas d’arriver. « Tu as l’air d’une femme qui a pris son pied mais qui se rend compte que son corps lui, a besoin de récupérer avant un prochain rodéo » plaisanta-t-il avant de la soulever dans ses bras, de sorte qu’elle enroule ses jambes autour de sa taille. « Cela va aller ? » s’inquiéta-t-il en espérant VRAIMENT ne pas avoir créer de lésions car avec l’eau salée, elle risquait de déguster sévèrement. C’est donc avec une grande appréhension qu’il entra dans l’eau, gardant sa petite-amie dans ses bras. La nuit avait beau être plus proche de la fin que du début, la température était acceptable. Bon, elle était tout de même fraiche mais c’était tolérable. « Chérie… rappelle-toi que tu m’aimes, que c’était ton fantasme et que tu m’aimes » lui dit-il avec une grimace tant il redoutait qu’une toute petite coupure vienne gâcher la fête. Alors, tout doucement, il déposa un baiser sur ses lèvres et la laissa plonger les pieds dans l’eau, son corps glissant le long du sien jusqu’à être immergée jusqu’à la taille. « Tout va bien ??? » fut sa première question en la regardant à la recherche de la moindre grimace de douleur. Pour le coup, il n’y avait plus aucune trace d’amusement sur les traits de Paris mais bien une profonde inquiétude et sollicitude.


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PARIS & SUMMER.

Je voyais Paris revenir vers moi, bien qu’il s’amuse beaucoup de la situation. Au moins il ne me laissait pas me démerder outre seule. Alors qu’il m’avait soulevé d’un bras par la taille pour que j’enroule mes jambes autour de sa taille, ce que je fis sans me faire prier ! Et tout de suite, mon sourire revenait. Bon j’en profitais pour embrasser le Dunster, parce que ce serait criminel de ne pas le faire, puis j’entourais un peu plus mes bras autour de ses épaules et de sa nuque alors qu’il s’amusait encore de ma tête « Hey, c’est comme tout : après un minimum de pratique, je serais une personne compétente et qualifiée !! » Je riais légèrement et venait ensuite enfouir ma tête dans son cou alors que, au moment où je me savais encore un peu au niveau de la surface de l’eau, les paroles de Paris m’interpellaient. Relevant vivement la tête, je fronçais les sourcils et d’un interrogateur demandais « Pourquoi tu dis ça ? » : Paris grimaçait et moi je regardais alors derrière nous pour savoir ce qu’il se passait, et quand il fit les derniers qui me plongeait dans l’eau avec lui, je tournais vivement la tête pour regarder Paris avec de gros yeux avant que ma bouche s’entrouvre pour annoncer le choc de ma surprise et finalement je pinçais très vite les lèvres et grimaçais en plissant les yeux. Instinctivement, mes jambes resserraient mon emprise, de mêmes que mes bras et mes doigts se crispaient sur la nuque du Dunster et une épaule avant d’oser enfin dire ce qui n’allait pas : « Tout va …Oh bon sang, désolée de dire ça de cette façon mais… : LA VACHE, CA PIQUE LE CUL ! » Sauf qu’en rouvrant les yeux pour atténuer ma grimace, je voyais l’air inquiet de Paris et descendait alors très vite de sa taille pour poser les pieds au fond de l’eau « C’est bon je vais gérer !!! Ce n’est pas si dramatique hein ?! C’est… » Sérieusement, le truc qui ne se faisant clairement pas, mais à l’heure actuelle, j’avais juste envie de mettre la main sur la raie de mes fesses pour couvrir la microcoupure que je devais avoir à cause de nos ébats. Mais Paris n’avait –il pas dit que j’étais courageuse ?! Il fallait que ça reste ainsi ! Je vais tout de même ne pas pleurer pour un petit bobo et de l’eau salée ?!

Du coup, pour pouvoir être sûre que Paris ne serait pas déjà à me ramener à la voiture, je décidais de plonger le haut du corps dans l’eau, non sans laisser échapper un petit cri a cause de la fraicheur qui me prenait maintenant tout le corps et j’avançais un peu plus dans l’eau pour plus de profondeur… « Allez, c’est parti » Je plongeais jusqu’à mettre la tête dans l’eau complètement cette fois-ci et remontais ensuite à la surface rejetant mes cheveux en arrière et les plaquant avec mes mains tout en appréciant le côté revigorant de la baignade ! « Mise à part le côté, brûlure au fesse là, ça fait super du bien !! » Et j’observais ensuite Paris et n’hésitais pas à demander « Et ton plâtre ? Ça va, c’est bien étanche ? » Je voulais m’assurer que j’avais bien pomper l’air et que le collait bien à son bras, alors je rejoignais Paris à son niveau et m’accrochais à lui tel un sac à dos me servant de ses épaules pour faire appuis, avant de me coller à lui en enroulant mes jambes à nouveau autour de sa taille, mais dans le sens contraire cette fois-ci …**Pas une très bonne idée là, tu ouvres les « portes » arrière en faisant ça, et l’eau fait contact !!!!** Courageuse, on a dit !!!


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Summer & Paris
Paris aurait aimé lui épargner l’eau salée sur une blessure car la pauvre, elle devait vraiment douiller -même s’il lui fallut tout son self contrôle pour ne pas éclater de rire face à la répondre peinture nature de cette dernière. « Tu es sûre que ça va ? Je peux te ramener à la voiture et euh…Souffler dessus ? » proposa-t-il. Bon, il est vrai qu’ils auraient l’air malin si quelqu’un les surprenait : Summer à quatre pattes, la croupe bien en l’air et lui, soufflant sur sa coupure pour calmer la brulure. Ce serait une photo très intéressante et un souvenir des plus mémorables. « Ma pauvre chérie, je suis vraiment désolé » lui dit-il avec sincérité avant de l’embrasser comme pour chasser la douleur. Il avait vraiment envie de la soustraire à cette torture mais elle s’éloigna de lui pour faire quelques brasses et s’immerger dans l’eau. Lui, il la regarda faire, prêt à intervenir comme s’il craignait qu’elle ne souffre que trop. Par moment, il devait vraiment trop l’étouffer mais c’était plus fort que lui, il ne supportait pas qu’elle puisse souffrir -et encore moins par sa faute.

Néanmoins, le sourire qu’elle lui offrit termina de le calmer et il put à son tour profiter de l’océan pour se décrasser et surtout se rafraichir. « Yep, c’est parfait ! C’est bien étanche » lui dit-il en mettant son bras plusieurs fois dans l’eau pour s’en assurer alors qu’il la sentait se blottir contre son dos. Paris attrapa de sa main droite une de ses chevilles, remontant le long de son mollet en une douce caresse. « Tu devrais éviter de trop écarter les jambes amour ! Non pas que je me plaigne de t’avoir cramponnée à moi mais je pense à toi surtout » lui dit-il en continuant à avancer jusqu’à n’avoir presque plus pieds histoire d’être son unique rocher à laquelle, elle puisse se raccrocher. « Tu te rends compte… nous sommes au Chili ! Je n’arrive toujours pas à me faire à l’idée… Le Chili en amoureux… et on a rien cassé pour une fois » plaisanta-t-il de bon cœur, avec un air si heureux qu’il en paraissait presque avoir perdu quelques années. Loin des Etats-Unis, des actions en justice pour la garde des gosses etc ; il redevenait un jeune homme de 24 ans profitant simplement de la vie avec sa petite-amie. Oui ce voyage tombait vraiment à pic surtout après l’accident et tous les tracas qu’il avait engendré. « Par moment, tu vois, je me dis que j’en ai peut-être chié toute ma vie mais au moins, à présent, je suis heureux car on t’a placé sur ma route ! Et ça, tu vois, ça n’a pas de prix à mes yeux » avoua-t-il en déposant un baiser sur l’un de ses bras.


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