Sweet Holidays (Pammer)

– SWEET HOLIDAYS –

PARIS & SUMMER.

Valises et sacs de voyage en main, l’hôtel nous avait fourni les clés de la chambre louée, et c’est encore un peu sonné par le voyage et le paysage qui s’offraient à nouveau que l’on avançait en silence mais le sourire aux lèvres.

Le Spring Break tout le monde l’avait attendu avec impatience : synonyme de détente, d’amusement, d’éclate et d’extraversion, pour moi il s’agissait surtout de première vacances en couple. Bon c’est vrai que d’un point de vue extérieur on pourrait croire que ça ne change pas grande chose – Paris et moi vivions déjà en mode 7 jours sur 7 pendant sa convalescence, et encore plus maintenant qu’il m’avait demandé d’emménagé avec lui – mais pourtant, il y a avait une différence de taille : On était enfin DEUX ! Il ne faut surtout pas se méprendre : Les enfants, je les adore, presque autant que si c’était les miens ! Mais malgré tout l’investissement que mon cœur y mettait, il y a parfois des moments où j’avais vraiment envie de me retrouver seule avec Paris, et d’avoir des activités de jeunes adultes de nos âges. Et puis ces vacances, loin de ses frères et sœurs, Paris les méritaient amplement ! Il s’était donné corps et âmes pour eux, avait tout sacrifié pour ces petites têtes blondes, si bien que toute la famille avait été d’accord : Leur frère aîné avait besoin de vrais vacances ! Le spring break avait été vu comme la solution idéale

Une fois devant la porte de la chambre, on ouvrait cette dernière et avec un grand sourire aux lèvres, je déclarais « Les vacances à partir de maintenant ! » J’aidais Paris à se débarrasser de son sac de voyage sur les épaules et je posais ma valise (et mon deuxième sac, oui) au pied du lit. Première envie : ouvrir les rideaux et apprécier la vue ! Je trottais alors comme une gamine jusqu’à la fenêtre et éclairait enfin la pièce d’un geste vif sur les rideaux ! « Oh ! va falloir pensé à changer l’heure sur nos montres » m’exclamais-je en voyant que l’heure affichait encore deux heures de différence ! Et je me tournais ensuite vers Paris, tout sourire avant de plonger dans le lit en mode « vol de l’ange », avant de mettre à rire face contre le matelas « VAAACCCCAAANNNNCCCESSS !!!! » criais-je en battant des pieds à toute vitesse, tellement j'étais heureuse de pouvoir enfin souffler, avec pour partenaire idéal, le meilleur des petits-amis !

©Pando

– SWEET HOLIDAYS –

PARIS & SUMMER.

Affalée à plat ventre sur le lit à m’exciter comme une gamine, je commençais à manquer d’air à force d’avoir la tête plongée dans le matelas. D’un mouvement vif, je me retournais alors pour me mettre sur le dos, et j’avais un énorme sourire aux lèvres alors que je plaçais mes mains sous ma tête en guise d’oreiller. C’est à ce moment-là que Paris s’approchais du lit à côté de moi et se pencher pour un baiser « M’en parle pas ! Sincèrement, j’adore tes frères et sœur, et à la vie à la maison est vraiment sympa !... » Avouais-je me surprenant moi-même à user des mots « à la maison » avec autant de naturel, comme si cela avait toujours été « …Mais bon sang, j’avais trop hâte de pouvoir enfin profiter de toi, et uniquement de toi ! Sans avoir besoin de se préoccuper du dîner, ou du repassage, tu vois ?! » Je relevais légèrement la tête pour accueillir à nouveaux les lèvres de Paris sur les miennes, avant de m’appuyer sur mes coudes pour le voir se mettre déjà au travail pour défaire les valises…J’aurais bien aimé rechigner mais dans un sens, je savais qu’il avait raison : plus vite on se débarrassait de la corvée, plus vite on était tranquille après ! Je sortis alors du lit, et hochait vivement la tête pour accepter de deal de Paris, le regardant avec un sourire attendrie parce qu’il s’était tout de suite illuminé de joie après avoir annoncé la soirée salsa « J’en connais un qui va prendre son pied sur la piste ce soir, hein ?! » puis, avant de me mettre à défaire mes valises, j’avais une dernière chose à faire. « Oh, attends ! J’ai failli oublier : SALLE DE BAIIIINNNN !! » M’exclamais-je en me précipitant pour voir à quoi elle ressemblait ! « OH MON DIEU !!! Une baignoire XXL ! Viens voir Paris» Bon je sais, je dois sans doute avoir l’air d’une gamine surexcitée, mais croyez-moi, mon état était tout à fait légitime, vu les imagines qui passaient déjà dans ma tête à la vue de cette baignoire. Je me tournais sur moi-même, attendant que Paris vienne voir quand tout d’un coup « Attends, non !! Ne viens pas !!! Pipi d’abord ! » Lui lançais-je parce que je me rendais compte que mon état d’excitation avait eu raison de ma vessie qui me criait « soulage-moi j’en peux plus ! » Je fermais alors la porte sans la verrouiller, faut pas non plus déconner, et discutais à travers la porte (oui parce que chanter, reviendrais à entendre Paris se moquer de moi comme moi je moquais de lui durant sa convalescence au moment de l’emmener aux toilettes !) « Hey, juste un truc en passant ! Je ne sais pas danser la salsa moi ! Le seul truc que je ne sais pas moi c’est… » Ouh là, va dire quelle danse tu fais le mieux « RIEN, laisse tomber ! » Concluais-je l’air de rien avant de finir de faire pipi et d’aller me laver les mains devant le meuble lavabo. Je me regardais alors devant le miroir et vérifiais que mon maquillage ne faisait pas peine à voir à cause des nombreuses heures de vol

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– SWEET HOLIDAYS –

PARIS & SUMMER.

Le fait que Paris avait à charge des enfants ne m’avait pas freiné une seule seconde pour avoir envie de faire ma vie avec lui. Bien au contraire ; c’était peut-être même ce qui avait été son point fort dès le début. Alors quand Paris me plaignait pour avoir signé avec le clan Maconahey entier, j’avais simplement répondu sans réfléchir outre mesure : « Et je ne regrette rien ! » Je m’étais ensuite très vite levée, poussée par la motivation de Paris à vouloir se débarrasser de la corvée valise, bien qu’une partie de moi avait encore envie de repousser l’échéance. C’est pourquoi la visite de la salle de bain avait été une option de choix ! Jusqu’à ce qu’un pipi s’impose de lui-même.

Je me marrais toute seule après avoir repoussé Paris qui était pourtant venu sous ma demande, et j’invoquais le passage obligatoire « pipi », tout en continuant la conversation. Cela tournait sous le thème de la soirée dansante de ce soir, et bien que j’aime l’idée de danser avec mon petit-ami, reconnu pour être un véritable danse pro, j’appréhendais quand même la situation. En fait, pire que ça : Je redoutais l’évènement pour la simple et bonne raison que je ne savais pas danser. Emmenez-moi en boite, pour me défouler, et je le fais sans problème ! Mais je ne DANSE pas réellement ….vous comprenez quoi : Danser un tango, ce n’est pas pareil que faire la danse du lasso en boite de nuit ! Alors forcément, en commençant à dire à Paris qu’il y avait qu’une seule danse que je savais faire (ou plutôt deux, mais l’autre nécessitait des accessoires), je m’étais très vite retenu de sortir un truc honteux que mes compétences en danse.

Paris étant Paris, je me doutais bien qu’il ne lâcherait pas l’idée de sitôt, et puis sa proposition de cours de danse en club me faisait véritablement envie : si ça pouvait m’aider à faire moins honte à mon mec, je le ferais sans hésiter ! Et puis…soyons honnête, y’a rien de plus sensuelle qu’une danse ! Alors une danse avec Paris ??  J’en avais fait l’expérience et cela avait valu la destruction d’un meuble ! Normalement, ça devrait m’arrêter, mais bizarrement, c’est limite si ça ne me motivais plus finalement !!

Tout en me lavant les mains, je m’apprêtais à accepter la proposition des cours de danse, pour notre retour du Spring Break, mais en sortant de la salle de bain, Paris s’intéressa bien vite à la fameuse danse honteuse que je ne voulais pas divulguer. Je pinçais alors les lèvres pour réprimer un sourire, et rougissait en disant : « noooonnn….mais c’est trop nul en plus, je t’assure, ça vaut rien ! » commençais-je à dire en voulant très vite changer de sujet « Mais je suis partante pour les cours en club…et quant à ce soir, j’espère que tu ne vas pas finir par me détester pour avoir écrasé tes pieds toute la soirée ! »  Je récupérais ma valise au pied du lit et la posait sur ce dernier, quand je relevais la tête pour voir Paris qui me suppliait du regard. Quelques secondes après il insistait verbalement et je devais me résigner à lui faire une démonstration.

« Bon après tout…mieux vaut le faire ici et maintenant, plutôt que de te faire la honte ce soir, si soudain l’envie m’en prend ! » Je cherchais alors dans mon sac à main mon téléphone, avec un air idiot et enfantin sur le visage « Je suis obligé de le faire en musique sinon ça gache tout ! » et alors que je trouvais mon bonheur dans le téléphone. Je me décalais pour me trouver au centre de la chambre, gros sourire aux lèvres, mais toujours hyper rougissante en disant « Tu ne me verras plus jamais de la même façon après ça, je te préviens ! »



Paris rigolait de bon cœur, et à la fin de ma danse, je me précipitais sur lui en lui posant une main sur la bouche pour stopper ses rires « Stop, ne ris plus ! Ce n’est pas drôle » lui disais-je alors que moi-même, je rigolais ! Pas crédible pour un sous, je me sentais finalement toute fière de pouvoir faire rire Paris ainsi ! « Tu vois ? J’ai vraiment besoin de cours ! », mais pour faire taire mon homme de tout rire supplémentaire, je me dressais sur la pointe des pieds pour venir l’embrasser en entourant son cou de mes bras .

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– SWEET HOLIDAYS –

PARIS & SUMMER.

Entendre Paris rire aux éclats, c’était le signe que les vacances avaient véritablement commencé ! Les derniers jours n’avaient pas été tout rose pour lui, entre l’accident, son sentiment de culpabilité avec Leanne, nos propres problème lié au test positif de grossesse, sa demande de de tutorat légal pour les enfants, et son départ pour la Grèce afin d’aller récupérer Leanne…Autant dire que cela n’avait pas été de tout repos. Voilà pour ces vacances au Chili était plus que nécessaire, et voir aujourd’hui Paris se décontracter en quelques minutes, me ravissait. Bon j’aurais préféré que ce ne soit pas en m’affichant honteusement de la sorte ! Mais hey, je cachais rien à Paris…du moins je crois qu’il était au courant de tous mes petits travers débile, comme le fait de retirer tous les filaments blanc (Et je dis bien TOUS) des clémentines avant de les manger, ou encore le truc un peu superstitieux de jeter du sel par-dessus mon épaule gauche quand la salière tombait malencontreusement sur la table…ou encore cette voix de Cartoon que je prenais en m’adressant aux animaux –chiens surtout – quand on en croisait dans la rue. Alors question honte, je crois que je m’étais affichée depuis longtemps en fait !

J’avais voulu faire taire mon homme en l’embrassant mais bondissais de surprise en sentant sa main libre claque ma fesses gauche. J’allais m’offusquée, mais Paris me devançait en évoquant la première gifle que je lui avais donné après que celui-ci m’avait embrassé pour me faire taire ! Je pouffais de rire, et lui avouait ENFIN «  Comment j’ai adoré ce baiser n’empêche !!! » je retombais sur mes talons, sans lâcher le cou de Paris cependant, et ajoutais tout timide : « Tu m’as rendu guimauve ce soir-là... » Je gloussais comme une idiote, et m’écartais de Paris, mettant mes mains sur ma taille et lui rappelait tout de même le côté déséquilibré de notre relation : « Je tiens quand même à dire que dans ce couple » amorçais-je en pointant un doigt sur lui puis sur moi pour nous désigner « on sait qui se trimballe le plus de truc honteusement ridicule !!  Va peut-être falloir équilibrer cela !» je me tournais ensuite pour ranger ma valise en contournant, comprenant que j’allais plus pouvoir y échapper quand… « Bah. Mes affaires ?! » Demandais-je en arquant un sourcil. « T’as tout fait ?! » Un simple hochement de tête de la part du Dunster et je souriais à nouveau d’un air absolument et éperdument amoureux : « Laisse tomber le problème du déséquilibre : J’accepte d’être ton boulet quand tu es aussi serviable que ça avec moi !!! » Je montais alors à genou sur le lit pour rejoindre Paris à l’autre bout pour venir réclamer un câlin !! « Merci mon cœur, t’es trop mignon ! Je suis une grosse flemmarde et tu me laisse l’être ! T’es le meilleur petit ami du monde ! » Bon Okay ! Je sais, j’exagérais ! Mais….qu’Est-ce que je ferais pas pour un câlins

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– SWEET HOLIDAYS –

PARIS & SUMMER.

C’est vrai que je n’avais pas été tendre avec la gifle le fameux soir de la patinoire, mais à ma décharge, ce n’était pas moi qui commandait réellement « C’est parti tout seul, j’ai rien contrôlé ! Juste un réflexe quand je suis maqué et qu’un autre mec vient m’embrasser ! » Lui avouais-je tout en rigolant, avant de sourire tendrement à Paris pour cette aveu que je trouvais certes drôle mais adorable « Ça m’a coûté de jouer la carte ‘amitié’…mais en même temps, vu que tu savais que j’avais joué la carte ‘fille pas prête à m’engager’, t’aurais dû te douter que ce que je te racontais c’était du flan ! » Et c’est quelques secondes après que l’on échangeait nos casseroles honteuse, Paris allant même jusqu’à me montrer une vidéo de ce fameux déguisement. Je regardais avec attention en riant devant les images « C’est plus du centaure qu’autre chose ce que je vois ! Et puis ça compte pas, t’es super sexy là ! » Lui lançais alors qu’une personne m’interpellait sur cette vidéo : « C’est…c’est ta mère là ? » Demandais-je avec précaution, tout en observant la tête de Paris pour voir si je faisais bien de lui poser la question. Voir cette femme me permettait de mettre enfin un visage sur la mère de tout le clan Maconahey, devoir de qui chacun tenait ! Bon le côté blond déjà, je savais maintenant que c’était du côté maternelle !!

Puis au moment où (ENFIN) je m’étais décidé à ranger mes affaires sans rechigner, je vis que Paris s’était déjà occupée de tout. Bon sang que j’étais folle de cet homme et des attentions adorables qu’il faisait preuve à mon égard. J’avais traversé le lit à genou pour lui quémander un lien, faisant exprès de faire abstraction du fait qu’il voulait qu’on se prépare ! Moi, je ne partirais pas à « l’aventure » sans mon câlin d’abord ! Alors j’y avais mis le temps, ne perdant pas mon ton enfantin et mon comportement mutin, réclamant les bras de Paris comme j’aurais eu envie d’enlacer à nounours en peluche tout doux ! Il nous fit alors basculer sur le lit, et moi je criais victoire intérieurement, parce que ce câlin-là était encore mieux que celui que j’avais espéré. Paris me confiait alors avec tout l’honnêté du monde qu’il était heureux qu’on soit seuls, que ces moments à deux lui manquait, et moi j’observais son sérieux, ne le lâchant pas du regard en me disant que je ne pouvais pas dire mieux. Le voir revenir du Maroc, pas en un seul morceau et fatigué, puis le voir repartir en Grèce, en moins d’un mois ! C’est bon quoi, j’avais donné ! Le jour je le partageais avec les enfants, et le soir on montrer patte blanche pour éviter d’en réveiller certains. Bon, niveau innocence pur, c’est claire que ni lui ni moi n’avons tenu. Personnellement j’étais prête à étouffer mes cris dans un oreiller ou contre la peau de Paris, plutôt que de faire abstinence. Mais entre les jours de fatigue de Paris, mes propres jours de fatigue également, sans compter qu’après la petite frayeur sur la grossesse, les anglais avaient fini par débarquer…question câlin crapuleux, on avait été freiné ! Mais au dela du côté sexuel de la chose…c’était simplement l’envie d’être deux, dans notre bulle, sans personne pour nous interrompre, que ce soit dans nos ébats que dans nos longues confidences, nos anecdotes d’enfance, nos envies, nos rêves…je ne comptais plus les soirs où on avait essayé de discuter mais qu’Ashlynn avait eu besoin de notre présence pour un biberon ou un mauvais rêve…et les matins n’avaient rien de matins tranquilles à se réveiller doucement sous les couettes (sauf les weekend « tête dans le cul ») : c’était réveil en fanfare avec l’alarme, réveil des enfants, contrôle du petit déjeuner, des habits de chacun, et de la toilette matinal ! Tout ça pour partir des 8h30 pour l’école des enfants….Alors OUI, ces vacances à DEUX, on les voulait tout autant l’un que l’autre. Avec le bonus du sexe quand ça nous chante !

Posant ma main sur la joue de Paris, je lui avouais non sans humour : « Je crois que tu m’aurais annoncé un troisième voyage sans moi, je t’aurais attaché au lit pour t’empêcher de partir !! » je répondais aisément à son baiser, me laissant littéralement couler entre ses bras, et une fois nos bouches séparer, je lui murmurais « Tu n’as pas à me remercier, tu sais très bien que je fais tous avec le cœur, et que je me suis jamais sentie au bord de la crise de nerfs…Je suis juste ravie qu’on puisse se poser comme deux jeunes adultes de notre âge…ne serait que pour 3 petites semaines… » Et alors qu’il me proposait de profiter à fond des vacances quitte à se taper des kilomètres pour aller à la plage, moi j’arborais un sourire jusqu’aux oreilles avant de pousser Paris sur le dos pour me coucher sur lui après ça ! Allez rien qu’un petit instant…Promis (^^) « T’es sûre de toi pour le bikini ? Non parce que bikini et plage pour moi, ça veut dire « Bronzage topless »…pas sûre que tu sois super d’accord avec le principe ! » Lui avouais tout en riant, joue coller contre son torse. Puis je relevais la tête pour lui dire avec un sourire bien plus taquin sur les lèvres : « Par contre….y’a l’idée d’une petite excursion en montagne…ou en forêt…pour expérimenter un truc qui te ferait plaisir ! » et sans me départir de mon sourire, je lui adressais un clin d’œil, faisant allusion à un fantasme qu’il m’avait évoqué quelques semaines plus tôt.  Puis je ne manquais pas de lui faire part de mon enthousiasme pour une autre chose qui me faisait envie : « Oh et puis je vais pouvoir prendre pleins de phooooottttoooooossss !!!!! »

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