Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitycomme un appât qu'elle vous tendait avec ses cils (Kyla) - Page 2
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comme un appât qu'elle vous tendait avec ses cils (Kyla)

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  « Je lui rapporterai ton avis, j’suis sûr qu’elle sera ravie… » Et qu’elle l’aimera encore plus. Parce que Swan exultait dès qu’il s’agissait de Kyla, peut être que mes sous entendus selon lesquels Dante et cette dernière était plus que de simples colocs n’avaient pas aidé non plus à ce que la mather ait une bonne opinion d’elle. Quand je pouvais jeter de l’huile sur le feu moi, je ne me gênais pas. Kyla devina avec justesse que la femme e l’italien était impliquée dans le coup des cafards, mais je secouais la tête, refusant tout simplement de répondre : « Je ne dirais rien… Je ne parleras pas même sous la torture… » J’en avais déjà trop dit en lui faisant comprendre que j’étais impliqué là dedans, je n’allais pas risquer de compromettre Swan. Je voulais garder ma complice, sait-on jamais si un autre plan pour séparer Dante de la demoiselle nous venait à l’esprit… Bref c’était ensuite sur Drew que la conversation dériva. Apparemment, il n’y avait rien eu entre eux pendant leur semaine londonienne, et j’avais beau le nier, j’étais clairement soulagé. C’était pas au prince, un de mes amis, que je me serais risqué à de petits coups bas tel que celui des cafards dans le but de l’éloigner de la jeune femme non. Je changeai de sujet avec l’arrivée du serveur, j’avais à peine cogité sur le menu alors je fis : « Je prendrais la même chose. » Et ouais comme ça on puerait autant de la gueule tous les deux… Elle leva ensuite son verre alors que le garçon repartait après notre commande et elle trinqua à –cette soirée de merde- « Attends, je vais te rendre service si tu veux… » Vexé ? Peut être. Ni une, ni deux, j’attrapai mon téléphone et composai devant elle le numéro de l’agence qui l’embauchait. « Oui, bonjour, je suis l’un de vos clients et je suis en compagnie de l’une de vos employées pour la soirée mais elle se sent mal, serait-ce possible d’avoir une remplaçante ? » On m’indiqua alors les prénoms de plusieurs autres filles avec une petite description rapide. « Clarisse ? Oui elle m’a l’air très bien, attendez je demande son avis à votre escort. » Je posais ma main devant mon téléphone, marquant une pause pour m’adresser cette fois à Kyla : « Ils me proposent une certaine Clarisse pour te remplacer ce soir, elle fera l’affaire tu crois ? »  
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Si ça l'intéresse. De toute façon, je sais qu'il a envie de foutre la merde entre Dante et moi. Alors qu'il fasse. Il risque peut être d'être déçu parce que rien ni personne ne m'éloignera de mon colocataire. On a une relation tellement fusionnelle et je me sens bien avec lui, protégée et ça, c'est pas rien. Oh que non. Je le regarde et lève les yeux au ciel. " Tu nies pas. Si elle avait rien à faire là dedans, tu nierais " Lançais-je, je m'enfoutiste. Pourquoi je ne peux pas boire d'alcool ? Pourquoi cette putain de prise de sang ne revient pas plus vite ? Enceinte de ce malade mental ? Oh mon dieu. Je sens déjà mon estomac se retourner, une fois encore. Allez savoir pourquoi, rien de ce qu'il me dit ne me touche, ne m'atteint. Je veux partir d'ici, je veux retrouver mon lit, retrouver Dante. " Si ça t'éclate écoute " Soufflais-je en buvant une gorgée de limonade. Le sucre avec le pétillant... Pas la meilleure idée du monde. Je pose mon verre et croise mes bras sur ma poitrine. Je l'écoute, le regarde et attends qu'il me congédie. Clarisse. Je ne la connais pas. De toute façon, on ne se connait pas vraiment avec les filles. On est des noms sur un site, des descriptions qu'on balance au bout du fil. " Tu fais ce que tu veux Cole. Mais tu devras payer pour le déplacement, le repas, le temps perdu et le taxi du retour " Soupirais-je. Je ne suis pas d'humeur, je suis à fleur de peau, je panique à l'idée d'avoir un polichinelle dans le tiroir. Cette putain de prise de sang ne revient pas et je ne serai pas rassurée avant de savoir que je ne suis pas enceinte. C'est impossible, ça peut pas m'arriver à moi, oh non. " Tu devrais leur dire aussi que tu n'es pas Louis, que tu usurpes l'identité de l'un de nos meilleur client, que tu m'as menti, leur as menti et que j'ai des marques sur les poignets pour prouver que tu es violent et que Clarisse risquerait de ne pas finir la nuit. Ou de se faire violer " Je souris largement, balançant ça plus ou moins fort selon les morceaux de ma phrase, appuyant sur certains mots pour que nos voisins de table entendent tout. " Maintenant si t'as fini de jouer, pose ce portable et divertis moi " Lançais-je en lui adressant mon plus beau sourire. Le serveur n'ose pas trop venir près de notre table vu l'ambiance qui s'en dégage. " Vous, là, ramenez moi un truc sans bulle et sans sucre s'il vous plait ! " Un Nestea, de l'eau, quelque chose. " Tu m'as demandé spécifiquement Cole alors arrête de faire le con et dis moi ce que t'as à me dire " Lançais-je en fermant les yeux quelques secondes. " Tu voulais me dire que Maëlys est la femme parfaite, que t'as économisé 10 000 $ etc ? Bien. Tant mieux pour toi. Tu lui diras peut être aussi que tu m'as foutu enceinte et que t'agis comme le plus gros connard que l'univers ait connu hein. Histoire qu'elle sache toute l'histoire " Mon verre d'eau arrive ainsi que les toast au chèvre et j'écarte la tête de la table en retenant mon envie de vomir. " Tu sais quoi, rappelles les, dis leur que je suis jamais venue et qu'ils t'envoient qui tu veux mais je me casse " Je pousse ma chaise, m'éloignant de l'odeur du fromage au maximum. Oh bordel...
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  J’haussais les épaules lorsqu’elle sauta à la conclusion qu’en cas de non implication de Swan je nierais. « Je peux nier aussi si ça te chante… » Je pouvais mentir oui, c’était complètement dans mes cordes. En tout cas, si elle avait un quasi aveu de ma part, elle n’avait aucune preuve pour incriminer la mather, et ça ne serait pas moi qui lui en donnerais. Et alors qu’elle trempait ses lèvres après un toast piquant, je saisis mon téléphone, vexé. J’inventai rapidement une histoire à mes interlocuteurs à l’autre bout de la ligne, réclamant une autre fille, chose qui sembla d’abord laisser Kyla de marbre. Elle me fit juste remarquer que j’allais quand même devoir payer le déplacement, le repas, le temps perdu et son taxi retour. « Comme si c’était un problème… » L’argent c’était toujours le dernier de mes soucis. Si je faisais ça, c’était clairement pour essayer de l’atteindre à mon tour. Et c’est qu’elle finit par montrer quelques signes d’irritation, reprenant à haute voix que je n’étais pas Louis, et là j’appuyais un peu plus mes doigts sur mon portable, espérant ainsi étouffer sa voix alors qu’elle haussait le ton pour lister la liste de mes autres méfaits. Je me raclai la gorge nerveusement reprenant l’appel en concluant brièvement : « Oubliez ce coup de fil. » Et je raccrochai bien vite. Si l’agence n’avait pas tout perçu de ses accusations, clairement l’ambiance électrique entre et les propos de la jeune femme n’avaient échappé en rien aux autres clients ni au personnel. « T’es fière de toi ? » Un restau que j’allais pouvoir rayer de ma liste, merci Kyla. Elle reprit la parole, me demandant ce que je pouvais bien avoir à lui dire, enchainant en reprenant sur Maëlys, les économies que j’avais fait, et elle ajouta alors ensuite que je pourrais très bien dire à la Cabot que… Je n’entendis même pas l’insulte, la partie de sa phrase dans laquelle elle affirmait quel gros connard j’étais, restant bloqué sur celle où elle révélait que je l’avais mise enceinte. « Enceinte ? Mais de quoi tu parles ? » Je me protégeais, je faisais attention… Enfin presque toujours. Deux fois sur quatre avec Kyla, ce qui laissait quand même une grande part de risque. Mais pas le temps d’en dire plus, d’en entendre plus, d’avoir davantage d’explication. L’arrivée du plat sembla chasser la jeune femme qui se leva en annonçant qu’elle partait. Je posai un billet sur la table pour régler l’addition devant le serveur médusé et je me levai à mon tour pour courir après la jeune femme : « Attends Kyla… » Ma main se glissa dans la sienne pour la retenir, avec plus de douceur cette fois : « Tu peux pas partir… Explique toi… C’est quoi cette histoire ? » questionnai-je, mon petit air assuré et sûr de moi ayant pour le coup cédé la place à un air beaucoup plus soucieux et confus.
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Je m'en fiche qu'il nie ou pas. Je suis sûre que cette sale garce y est pour quelque chose. Après tout, c'est la partenaire en crime de choc pour le jeune homme. Je vis avec son 'mari' alors qu'elle, elle doit vivre dans un appartement minable ou je ne sais trop où. J'ai le luxe et elle, que dalle. Même pas son nom de famille. Pourtant, c'est classe de s'appeler Basini quand même. Kyla Eleanor Basini. Allez, j'achète ! Un léger sourire se dessine sur mon visage. " Tu sais quoi ? Je m'en fous. On a fait changer les serrures en bas de l'immeuble en faisant pression sur les proprios, on a changer la notre, y a plus aucun moyen pour que tu viennes foutre ta merde chez moi " Non mais sérieusement, des cafards. C'est dégueulasse, répugnant et j'ai hurlé de toutes mes forces dans j'ai vu ces bestioles. Je me souviens encore de la scène. Dante et moi, deux gosses à se sauter dans les bras, hurler et partir le plus vite possible. Il y en avait partout, ça grouillait de ces saloperies, quelle horreur ! Il essaye de me faire chier, de me faire passer pour une conne, pour tenter de me rendre jalouse mais j'ai d'autres chats à fouetter. L'extra-terrestre qui grandit en moi est un assez gros problème. Et dès lundi, je me retrouve seule pour gérer ce... truc. Dante part et je n'ai pas envie d'embêter Vanessa encore plus. Je soupire et hausse les épaules. " J'ai toujours ce que je veux, j'te rappelle " Je dis ça comme ça, oui oui. Il n'a aucune chance de s'en sortir face à moi, qu'il le veuille ou non. Je trouverais toujours plus fort, plus haut que lui pour l'enfoncer, lui foutre un coup de pelle derrière le crâne et l'enterrer vivant. Tiens, il ira rejoindre ses copains les cafards comme ça. Un frisson parcourt mon corps et j'essaye d'être clair, calme et de faire ce pour quoi je suis payée. Mais c'est mission impossible. Je déteste qu'il essaye de se rapprocher de cette Cabot sans saveur. On dirait une enfant. Pédophile le petit Cole ? Je m'énerve et lâche tout. Je lui balance tout. Que je suis enceinte et regrette de l'avoir fait aussi tôt. " Putain mais il te faut un dessin en plus ?! " Il voulait quoi ? Que je lui annonce la chose comme dans ce vieux film La Boum, avec un dessins ?! Ou bien comme dans Big Bang Theory ? Non, désolée, je ne suis absolument pas romantique et ce morveux, j'en veux pas. Ça chiale, ça pue, ça vomit et ça fait caca tout le temps. Je suis pas prête pour ça. Et si je veux un enfant, c'est avec un homme que j'aime, qui m'aime. Pas avec ce connard. J'enfile ma veste, prend mon sac et file vers la sortie, les yeux pleins de larmes. Je ne peux pas craquer là, pas maintenant. Je sens sa main se glisser dans la mienne et je déglutis difficilement, lui faisant face. Mes oreilles bourdonnent, j'ai l'impression d'être dans une autre galaxie, un monde parallèle, pour ne pas entendre les horreurs qu'il va me balancer. Mais ce ne sont pas des horreurs. Enfin, pas encore. " Non mais qu'est-ce que tu comprends pas dans 'je suis enceinte' ?! Toi, moi, pouf ça fait des chocapics ! " Criais-je avant de me calmer. " J'ai fais un test de grossesse hier et il était positif " C'est fait c'est fait. Maintenant j'attends la prise de sang qui ne revient pas. Et je panique encore plus.
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   « Y’a toujours un moyen Kyla… » Si je le voulais, je pouvais à nouveau trouver un plan d’attaque pour l’éloigner de ce gus d’italien et de sa tendance maladive à se trimballer torse nu. « Je pourrais faire du gringue à ta voisine et elle me laisserait rentrer… » délirai-je alors, en essayant de lui faire peur. Elle allait faire quoi ? Placarder ma photo et dire à son entourage de m’empêcher d’approcher de chez eux ? Mais mon interlocutrice ne paraissait pas dans la conversation, elle était beaucoup moins dans le jeu de l’envoi de piques que d’habitude, et pour cause. Elle me lâcha finalement la bombe. Je restais un instant interdit, manquant de m’étouffer avec mon single malt tellement la nouvelle était dure à avaler. « Tu me fais marcher ? C’est des conneries ? » La voilà la pique qu’elle me réservait c’était ça. Une grosse mauvaise blague histoire de me voir blêmir. Un gosse. Un braillard. Un chouinard. Elle me servait mon cauchemar sur un plateau. Sauf que ça me parut soudain évident que non, elle ne déconnait pas, sinon elle serait restée assise devant moi à se délecter de ma tête, et là elle était déjà en train de filer vers la sortie. Je la retins in extremis, entremêlant mes doigts dans les siens, juste dans l’entrée de l’établissement et elle se retourna vers moi, perdant son calme, me prouvant à nouveau que cette révélation ne cachait aucune blague. Elle avait fait un test et c’était positif. Mon ventre se serra, et bien vite c’est ma mauvaise foie qui réapparut, guidée par une trouille monumental : « Pourquoi tu prends pas de contraception aussi ? » Rejeter la faute sur l’autre, un art à part entière. Bordel, pourquoi j’avais pas pris deux secondes pour mettre un chapeau ce soir là déjà ?
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Blah, blah, blah. Cause toujours tu m'intéresses. Qu'il fasse ce qu'il veule mais qu'il reste loin de chez moi. Je refuse de le revoir dans mon appartement, dans mon immeuble de si tôt. À vrai dire, je ne veux plus le revoir et partir est la solution de facilité, mais la seule qui me passe par la tête. Des conneries. Je le fais marcher. Oui bien sûr. Et j'ai douze ans, je m'amuse et veux garder le mec qui me plait. Sauf que je n'ai pas cet âge et il n'a carrément pas cette place, ce statut dans ma vie. Je lève les yeux et sors du restaurant. De toute façon, je ne veux pas le voir, je ne veux pas l'entendre. Je le vois déjà m'insulter, me rabaisser plus bas que terre parce que c'est comme ça que les connards comme lui réagissent. Il va me la jouer à la Royce. J'suis qu'une pute, je me protège pas et tout ce qui va avec. Oui oui, j'ai déjà eu ce petit discours. Merci mais non merci. J'éclate de rire quand il me demande pourquoi je ne prends rien. " Je prends la pilule espèce de crétin ! Je devrais surtout être heureuse que tu m'ais pas refilé une saloperie " Crachais-je, énervée. C'est pas que ma faute mon coco. " Puis on est deux merde ! C'est toujours la faute de la femme de toute façon ! " J'allais finir par m'acheter des préservatifs féminin et par les mettre en précaution ! Non mais ! Connard. Abruti. " C'est à se demander qui pourrit la vie de qui hein " Je laisse presque le doute que je ne vais pas avorter... Mais no souci, ce truc qui grandit là, qui va vouloir s'agripper à mes seins, me faire grossir, faire naître des cernes sous mes yeux... Non merci. Y a qu'un homme qui me mettra dans cet état parce qu'on couche trop ensemble et qu'on mange trop bien. Pas un bébé.
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   « Attends, attends… Je suis pas gynéco mais si tu prends la pilule il devrait pas y avoir de soucis non ? » rétorquai-je alors qu’elle m’informait qu’elle était sous contraceptif en me traitant de crétin. Enfin, si soucis il pouvait y avoir, c’était plutôt une question de MST en effet et ce fut le deuxième point qu’elle souligna. « Hé ho, ça a pas eu l’air de te traverser l’esprit l’autre soir, et c’est peut être moi qui devrais aller me faire dépister… Entre le rital et les autres potentiels avec qui tu passes des nuits, je devrais surement m’inquiéter. » D’ailleurs pourquoi elle pense que c’était moi le père ? « T’en as parlé à tes autres… fréquentations ? » Je n’étais pas le seul avec qui elle couchait, ou du moins je me doutais ne pas être le seul, même si j’aurais aimé avoir l’exclusivité. Ce n’était pas le genre de truc qu’on réclamait alors que soit même on collectionnait les aventures. Ca aurait été un peu l’hôpital qui se foutait de la charité, du genre –fais ce que je dis, mais ne fais pas ce que je fais- Bref, j’étais conscient qu’elle avait d’autres amants, ça m’énervait mais j’avais pas mon mot à dire. Et pour le coup, si ça pouvait être un de ces autres gars qui soit incriminé ça m’arrangerait. Je ne me voyais clairement pas changer des couches. Surtout qu’à ses mots, je compris bien qu’elle n’envisageait même pas de régler ce problème de manière médicale. « Ok, calme toi. J’suis désolé. » finis-je par articuler difficilement. Reconnaître que j’étais en partie coupable, à moitié coupable, c’était déjà un grand pas. Et puis, c’est presque moi même que je surpris en prononçant ensuite cette question : « Comment tu te sens ? » Et on sentait presque l’inquiétude qui perçait dans ma voix soudain. Il allait vite falloir que je renfile mon masque de connard…
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Oui, il est pas gynéco et pas très futé non plus. " Un accident, tu connais ?! " Il y en a même qui arrivent à tomber enceinte avec un stérilet, c'est pour dire... Je m'énerve, ça m'agace et j'ai envie de vomir, encore plus. Mon corps tremble parce que j'ai froid et que je suis à bout de nerf. Je devrais pas avoir de saloperies. J'espère. Ça aussi, je devrais faire le test et plus vite que ça.. Je le regarde et ouvre grand la bouche. Ok. Plus il parle et plus des arguments dans la colonne 'ce type est un connard' viennent s'ajouter. " Mes autres fréquentations ne peuvent pas me mettre en cloque " Autant dire que je ne me suis envoyée avec aucun mec depuis nos cochonneries au Mandarin. Enfin si, il y a eu Matthéo mais c'était le soir de la saint valentin et c'est impossible puisque c'était après mes supposés menstruations. Ça doit dater d'avant... Et ce teste grossesse super magique m'a annoncé que j'étais enceinte de deux à trois semaines. Tout concorde. " Tu me prends vraiment pour une pute en fait " Soufflais-je, encore plus brisée, comme si c'était possible. Ma voix tremble et je suis à deux doigts de pleurer, d'hurler, de le frapper, encore une fois. Mais je me sens anéantie, comme si une boule de démolition venait de me défoncer. Miley Cyrus et sa 'wrecking ball' venait de me briser en deux ! " Tu veux que je me sente comment ?! J'ai un truc qui grandit en moi. J'ai l'impression d'être un chantier en construction et qu'on a pris mon utérus en otage ! " Rien que ça, oui oui. Mal réagir à l'annonce d'une grossesse ? Après avoir soutenu Solveig pour son avortement, ouai, c'est peut être un peu normal. " J'ai envie de vomir toute la journée, c'est plutôt sympa pour faire régime " Mais je vais pas faire régime, oh que non. Je risque de prendre des kilos à la pelle, de détruire mon corps parfait pour un extra terrestre. Non. J'allais prendre le même chemin que Solveig, clair et net. Je soupire, mords l'intérieure de ma joue pour ne pas pleurer. " J'attends la prise de sang pour être sûre mais les tests de grossesse c'est fiable " Doit bien y avoir des résultats statistiques non ? Un truc qui dit que c'est fiable dans 99,9% des cas. Et je n'allais pas être ce 0,1% d'exceptions. Bien sur que non !
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  Non je ne connaissais pas. Pour mon petit cerveau masculin, c’était dur d’imaginer ce que représentait la responsabilité de penser chaque jour, à la même heure, à avaler un cachet d’hormones…  Et c’est ensuite dans un nouvel élan de maladresse que je l’interrogeai sur ses –autres fréquentations- avec en tête l’idée de faire porter la faute à un autre. Je ne pouvais pas être père, j’avais déjà bien assez de mal à m’occuper de moi même. Mes mots semblèrent la blesser un peu plus. Elle ne nia pas fréquenter d’autres mecs, mais elle répondit que ceux ci ne pouvaient pas l’avoir mise enceinte. « Comment ça ? Tu veux dire quoi ? Que je suis le seul avec qui tu as… » C’était pas le moment, mais voilà qu’à nouveau il fallait que je cherche l’exclusivité. Efface ce sourire crétin, me répétai-je mentalement en essayant de ne pas tirer satisfaction de cette info. Si ça me ravissait d’être le seul, ça me faisait aussi cauchemarder. Ca faisait de moi le seul candidat en liste donc… « Même avec Dante tu ne… » Elle avait quand même insinué tout le contraire aux enchères, concernant son coloc, alors j’étais en droit de douter de la platonicité de leur lien. Sauf que tout ce que Kyla retint de là dedans, c’était que j’insinuais qu’elle était une pute. « J’ai pas dit ça, arrête. » Et c’est cette façade vulnérable et blessée qu’elle afficha qui termina de me convaincre d’abandonner mes doutes. Elle ne me faisait pas marcher : elle pensait vraiment qu’elle était enceinte, et elle pensait vraiment que j’étais le père. « Calme toi Kyla… » fis-je alors qu’elle s’énervait de plus belle à ma question de comment elle allait. Mal c’était la réponse de toute évidence. Elle m’informa finalement qu’elle était en attente de résultats sanguins mais que le premier test passé révélant sa grossesse était malgré tout statistiquement fiable. Je déglutis difficilement. Y’avait mille questions qui se bousculaient dans ma tête. Le grand Cole Wildingham complètement déboussolé, c’était du jamais vu. « Mon chauffeur attends là bas, viens on va rentrer… » fis-je en désignant un véhicule un peu plus loin alors qu’elle tremblait, je l’attirai doucement à moi et passai mon bras autour de son épaule alors qu’on avançait vers la voiture.
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J'en ai assez. Je veux rentrer. Je veux enlever cette robe, je veux retrouver mon jogging trois fois trop grand pour moi et mon lit. Surtout ça. Je veux pouvoir m'enrouler dans ma couette tel un sushi et croire que quelqu'un a ses bras autour de moi. Que je ne suis pas seule face à ça. Mais pourtant, je le suis. Je le regarde et soupire. " Enlève ce sourire de ton visage ! " Grognais-je, complètement mécontente. Il est le seul mec avec qui j'ai réellement couché depuis un bon bout de temps. Il y a eu quelques filles aussi mais comme je lui ai dis, elles ne risquent pas de me mettre en cloque, elles. Je me demande même s'il a compris la subtilité de ce que je lui ai dis. " T'as un problème avec Dante c'est pas possible ! " Râlais-je comme une enfant de deux ans. " Non j'ai rien fais avec lui, content ? " Puis il a une femme non ? Et coucher avec mon colocataire, ça ne m'intéresse pas mais alors pas du tout. Alors oui, on passe du temps ensemble, oui il m'arrive de lui dormir dessus, de m'endormir dans ses bras. Oui, c'est moi qui fini dans son lit le soir. Mais en tout bien toute honneur, habillés et avec une belle haleine de chacal au réveil. " Comment veux-tu que je me calme ? J'ai 22 ans, je veux pas d'un gosse putain ! " Au final, je ne sais même pas s'il sait que je suis bien plus jeune que lui... Je sais pas, je sais plus. J'aurais tellement voulu que tout ça ne soit qu'une belle blague. Ça prouverait mes jolies compétences d'actrice. Mais non, j'ai l'impression qu'on a pris mon corps en otage et qu'on prend des décisions sans mon avis. Là, dans la rue, face à Cole, je suis persuadée que je veux avorter. Mais quand je vois la détresse dans les yeux de Solveig, je me demande si j'y arriverais. Je veux pas d'enfants mais si lui en veut un ? Si lui veut que je le garde, je vais faire quoi moi ? J'essuie les larmes qui coulent le long de ma joue alors qu'il glisse un bras sur mes épaules. " Pourquoi t'as préféré te faire passer pour Louis que de m'appeler directement ? " Demandais-je sans le regarder. Et puis, il m'avait convié pour quoi au juste ? Éclater sa victoire/économie sur Maëlys ? Cool. Je n'ai définitivement pas besoin de savoir ce qu'il fait avec son spaghetti...
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