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love is an open door (weaslacce)

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Partager ce moment avec Bonaventure c'est... inouï. Je me sens bien, j'ai l'impression qu'on me prend enfin en considération et c'est agréable. Je souris légèrement au jeune homme quand il ne rechigne pas sur le choix du musée. On peut aller voir tout ce qu'il veut tant que c'est sympa à regarder, qu'on peut faire de belles photos et tout... Je sais très bien qu'on ne verra pas tout de la ville de toute façon. Je ne suis pas folle... Mais on va quand même essayer d'optimiser notre temps parce que je doute que Bonaventure reprenne l'avion pour autant d'heures d'ici la fin de sa vie ! Moi qui aurait aimé l'emmener en France et pourquoi pas en Afghanistan pour voir ma mère. Mais plus tard, bien entendu... Parce que là, on continue encore à se découvrir, à s'apprivoiser. D'ailleurs, le fait qu'il soit ok pour m'entendre chanter me fait rire. " T'as pas peur de devenir sourd toi ! " Je lui adresse un large sourire avant de secouer légèrement la tête de droite à gauche. " Non mais tu t'entends ? Espèce de pervers va " Lançais-je, presque râlante alors que pas du tout. Qu'il me fasse la traduction toute la soirée s'il le souhaitait... Je trouverais un moyen pour le faire taire. J'entre dans une boutique de chaussures et regarde Bona du coin de l'oeil. " Promis c'est la dernière " Je souris largement avant de m'atteler à un petit essayage. Il me faut des chaussures potables avant que je meurs des pieds moi ! Je ris quand il parle de prendre des cours de danses latines. " Ne dis pas ça parce que ça voudrait dire que je dois m'acheter une robe et donc une boutique de plus " Le taquinais-je avec un large sourire. Je suis sûre que, du coup, il va forcément changer d'avis. Je l'écoute et acquiesce. Je ne connais pas ses amies. Enfin, je ne connais que Summer mais ça s'arrête là.. Il faudrait que j'aille voir les autres demoiselles un jour ou l'autre. " Ça marche ! Je suis nulle en idée cadeau par contre... " Et je ne compte ramener absolument rien à personne. Peut être un petit truc à Charlie et Mila mais bon, elles ont deux ans et moins de six mois alors ça devrait le faire ! J'achète rapidement mes chaussures, les enfile tout aussi rapidement et reprends la main de Bona. " Allez, direction le musée " Lançais-je avec enthousiasme. J'espère que c'est magnifique et que j'ai fais le bon choix, vraiment.
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Andrea & Bonaventure
« Ah ? Si je comprends bien tu chantes aussi mal que tu fais la cuisine ? » la taquina-t-il de bon cœur. Mince, il pouvait rayer la mention « karaoké » de sa liste d’activité à faire. Il déconnait, Bonaventure avait une sainte horreur de se donner en spectacle mais par contre, il se referait bien une partie de fléchette avec elle, juste pour se rappeler de leur première rencontre et parce qu’il adorait autant la charrier que de l’entendre elle, le charrier. Oui, cet homme était totalement dingue mais ça faisait son charme parait-il. « Quoi ? Mais j’ai absolument rien dit si ce n’est que je voulais te faire la traduction… Miss Cermolacce, vous avez les idées mal placées, ce n’est pas de ma faute » rigola-t-il en jouant les innocents même si elle avait très facilement déceler ses intentions. Il devenait bien trop prévisible, ça n’allait pas le faire songea-t-il non sans amusement. Au moins, elle eut pitié de lui et de son amour des boutiques bien qu’elle éveilla son intérêt subtilement. « Je veux bien supporter une boutique si tu m’accordes juste le fait de t’offrir cette robe… s’il te plait » lui demanda-t-il avec un petit regard censé la faire craquer à coups sûrs. Depuis deux jours, il s’était vraiment tenu à carreaux et avait retenu sa soif de générosité mais là, il avait réellement envie de lui faire plaisir et puis une robe, ce n’était pas non plus un cadeau mirobolant n’est-ce pas ? En parlant de cadeaux, il avait décidé pour se faire pardonner de son départ impromptu, de faire des petits cadeaux à ses amies. « Ben je sais pas.. tu achèterais quoi à tes amies ? » lui demanda-t-il car lui non plus n’avait aucune idée. Ils sortirent de la boutique et Bonaventure la soulagea de son dernier sac. « Allons-y ! J’espère qu’ils nous laisseront entrer avec tous ses sacs sinon on peut peut-être les déposer à l’hôtel ? »
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Je dévisage Bonaventure, vexée comme un pou. Il a pas tord, loin de là. Je suis une putain de cuisinière de merde et je ne sais pas chanter. " Mes croques monsieur t'ont pourtant bien plu hein ! " Ronchonnais-je. Devais-je lui rappeler que je lui avais fais un repas de chef - ok, j'abuse - avant notre première fois. S'il n'avait pas mangé ces croques pleins de vitamines et de force, il aurait surement sombré dans les bras de Morphée avant qu'on profite l'un de l'autre. Oui, j'avais envie de croire à ça pour la journée. Je fais très bien à manger des pâtes et du riz. C'est déjà bien non ? Moi, ça me suffit. Et puis maintenant j'ai Bonaventure pour me faire des petits plats digne de ce nom. J'écoute Bonaventure et souris légèrement. " Je plaide coupable " Lançais-je en haussant les épaules. Oui, j'ai envie de Bonaventure comme d'une affamée face à son repas préféré, oui dès qu'il me touche, j'ai envie de lui sauter dessus... alors l'entendre me parler à quelques centimètres de mon oreille pendant de loooongues minutes... Tentation ! Mais je sais bien me tenir voyons. Je le regarde et secoue le visage de droite à gauche. Non non mon petit loup, tu ne m'achètes rien. Je n'arrive vraiment pas à le laisser être si généreux avec moi, ça me choque un peu. " Danser avec moi est mon cadeau " Soufflais-je en souriant. " Tu te souviens ce que j'ai dis ? " Pas de cadeaux tout le temps... Il m'a déjà payé l'aller pour venir ici... Alors je vais payer les autres dépenses pour changer de villes et tout mais bon. Je ne veux pas passer pour la nana qui profite de tout ça... Je sais que c'est de la générosité et tout ce qui va avec mais bon. J'ai vraiment pas l'habitude. " Je sais pas... Des bracelets ? " J'aurais très bien pu acheter de belles robes typiquement argentines aux filles mais je ne crois pas que ça va le faire. " Des poncho colorés ? Ou c'est peut être plus au chili ça " Riais-je légèrement. J'ai la culture d'un grain de sable et je l'accepte totalement. " Je pense que je vais prendre des petits bracelets pour Mila et Charlie. Et des attrapes rêves si j'en trouve " Ça serait mignon comme tout non ? " Je crois qu'il vaut mieux oui... " Et puis on pourra se poser cinq minutes pour profiter de la climatisation parce qu'il fait vraiment chaud. Je souris et on file à l'hôtel. Une fois dans la chambre, je pose tout dans un coin et me dirige vers mon petit ami. " Viens là que je t'embrasse... Avec la chaleur qu'il fait dehors, je colle tellement que je peux pas te toucher " Je ris légèrement et l'embrasse, sentant la brise fraiche de la climatisation sur ma peau brûlante.
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Andrea & Bonaventure
« Je t’accorde que tes croques messieurs étaient les meilleurs que j’ai goûté dans toute ma vie » lui dit-il en déposant un baiser sur sa joue pour se faire pardonner. Avait-il touché un point sensible ? Finalement, le sourire d’Andrea revint rapidement sur ses lèvres. « Remarque, dans le fond, je ne suis pas certain d’être si innocent que cela » rigola-t-il. Le métisse dût néanmoins ravaler très rapidement un soupire de déception. « Je sais, tu ne veux pas que je te couvre de cadeau mais une robe, ce n’est pas non plus la lune trésor… Si j’ai envie de te faire un cadeau ? Rassure moi… Le jour de ton anniversaire, je pourrais tout de même t’offrir quelque chose ? » essaya-t-il de tourner la chose en dérision mais il était frustré de ne pouvoir au moins lui payer une robe. L’américain avait toujours eu une âme généreuse, il aimait offrir des choses, pas forcément cher… Un petit bouquet de fleurs par ci, un restaurant de l’autre… Là, il se sentait frustré mais il respecterait sa décision quoiqu’il arrive car il ne voulait pas non plus la mettre mal à l’aise. A la place, il allait se rabattre sur Amanda, Dana et Summer. « Pourquoi pas… Cette histoire d’attrape rêves est sympa ! Je trouverai peut-être quelque chose au fil de nos ballades » lui répondit-il avec un léger sourire. Il finirait par trouver de quoi affirmer son amitié pour les trois drôles de dames qui partageaient le statut de meilleure amie. Le couple se décida tout de même par faire une courte pause à l’hôtel afin de se débarrasser des sacs de courses mais également pour se rafraichir. Il est vrai qu’il faisait vraiment chaud.

Andrea s’approcha de lui et il l’enlaça pour mieux approfondir leur baiser. « J’avoue que c’est pas ce qui rend le plus désirable… tu veux une consolation ? Les musées et la salle de spectacle sont climatisés » rigola-t-il avant de sortir son smartphone. « Cela me fait penser que je dois réserver les places pour ce soir et je m’en fous, c’est moi qui invite ! C’est mon cadeau de noël de l’année prochaine tiens… » lâcha-t-il non sans malice. Pour une fois, il allait un peu forcer Andrea car il était hors de question qu’elle dépense pour toutes leurs petites dépenses et qu’en prime, il dise amen. Ce spectacle était un cadeau à leur couple pour qu’ils puissent passer un agréable moment tous les deux.

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" À Noël et mon anniversaire oui tu pourras ! Mais alors du coup, je te préviens, je suis suuuuper chiante hein ! " J'éclate de rire. C'est pas vrai. Je m'en fiche pas mal. Que je reçoive un bracelet fait mains ou une nuit de folie, c'est la même chose pour moi. C'est l'intention qui compte et vu ce qu'il s'est passé après mon anniversaire l'année dernière, toute dépense excessive ne sera pas acceptée. Bon, sauf qu'on parle du fils d'un sénateur là... Je crois que je ne veux pas de tous ces cadeaux parce que j'ai peur de ne pas être à la hauteur derrière. Je n'ai aucune idée de quoi offrir à un homme mais alors vraiment aucune. Et je ne connais pas assez les goûts de Bonaventure pour savoir que telle ou telle chose lui fera plaisir. Oui, j'ai littéralement peur de passer pour la mauvaise petite amie qui ne sait pas quoi offrir à son amoureux... Et ça me fait flipper tout ça. J'ai pas envie qu'il pense ça de moi ou quoi que ce soit. Je ne suis pas du genre à faire attention à l'avis des gens. Mais je crois que sur ce point... C'est bien différent. Les petites attentions du quotidien font plaisir mais je n'ai pas l'habitude, c'est tout. Je souris légèrement et acquiesce. " On va surement découvrir des trucs totalement fantastique en plus ! " Attrapes rêves, poncho, bracelets, bijoux en général et tout ce qui va avec... Je pense que ce serait bête de se dire 'il me faut ça' alors qu'on a aucune idée de ce que le pays peut nous offrir. Enfin, que je n'ai aucune idée de ce que l'Argentine peut nous offrir. Parce que je suis sûre que Bonaventure a lu le guide en long, en large et en travers plus d'une fois. De retour à l'hôtel, mes lèvres sur les siennes, je souris largement quand il pointe le petit truc en plus des salles de spectacle et musées. " On va donc passer nos journées dans des musées " Riais-je légèrement. J'ai grandi en Afghanistan mais c'est pas la même chaleur qu'ici mais alors pas du tout. " J'ai pas mon mot à dire je suppose ? " Soufflais-je alors qu'après un nouveau baiser, je filais vers la salle de bain me repomponner rapidement. Enfin, c'est rapide, je ne porte pas de maquillage. Fais trop chaud pour ce genre de connerie. Et j'ai pas envie de briller encore plus que ce n'est déjà le cas. Je ressors deux minutes plus tard - ayant ôté le truc qui me sert de soutien gorge parce que ça gratouille avec la transpiration - et souris largement à Bona. " Tout est bon, on peut y aller ? " Putain, j'enlèverais bien ma culotte aussi si je pouvais ! Je tends la main vers le jeune Quincy et l'embrasse une dernière fois. " Je profite un peu, tu m'en veux pas " Je souris contre ses lèvres, attrape mon sac à main et on file vers le musée, superbe musée d'ailleurs...
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Andrea & Bonaventure
« Même pas peur et puis si t’es trop chiante, je te balancerai le cadeau à la tête » fit-il mine de jouer les machos de bas étage sachant très bien qu’Andrea se contenterait de pas grand-chose. C’est ce qu’il aimait par-dessus chez elle, c’est qu’elle avait la même vision de la vie que lui. Deux personnes pouvant s’émerveiller de choses totalement banales si seulement et si, elles étaient offertes avec le cœur. Bonaventure était ainsi. Il avait beau avoir été adopté par une famille riche, il avait toujours préféré les petits cadeaux que les gros plein de valeurs. Il se rappelait de sa tête quand son père avait accepté de le conduire pour la première fois à une Comic Con. Son père, passant tout un week-end avec lui… Cela avait été l’un de ses plus beaux cadeaux -autant dire qu’il n’était pas vraiment difficile.

Au moins, l’idée de faire du shopping ne semblait pas la traumatiser car le métisse tenait vraiment à rapporter un souvenir à ses deux blondes préférées mais également à Dana. Cette dernière lui avait paru assez triste au téléphone. « J’en doute pas, il doit y avoir pléthore de traditions alors je suis certain de trouver mon bonheur, le tout est d’ouvrir les yeux et de pas tomber dans la facilité. Par moment, les meilleures boutiques sont dans les petites ruelles que les touristes ne voient pas » avoua-t-il en habitué des voyages. L’Argentine ne devrait pas déroger à la règle n’est-ce pas ?! « Eh bien je te proposerai bien de passer nos journées au lit mais tu risques de me prendre pour un pervers… autant passer pour un érudit » rigola-t-il de bon cœur non sans réclamer un nouveau baiser. Bonaventure secoua négativement la tête quant aux places de spectacles. Ce serait son cadeau point barre. Pas le choix. Andrea allait apprendre à recevoir de temps en temps car il comptait pas ne pas la gâter. Il suffisait juste de trouver le bon équilibre.

Il la laissa aller dans la salle de bain se rafraichir et il en profita pour prendre de l’eau fraiche dans le mini bar histoire de se désaltérer. « Oh mais profite, je ne vais pas m’en plaindre ! Tu veux prendre une bouteille avant de partir ? » lui demanda-t-il entre deux baisers avant que le couple ne file vers le musée où heureusement, la clim leur permit de souffler un peu. « Si je te dis que je comprends pas du tout le message de l’artiste, tu crois que tu pourrais m’aider ? » lui demanda-t-il sceptique en contemplant une toile blanche avec juste en son centre, une tâche verdâtre.

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" Bon tu m'achèteras des sous vêtements alors que ça fasse pas trop mal " Riais-je avant de tirer la langue au jeune homme. Je sais très bien qu'il rigole et moi aussi. S'il y a bien une chose dont je n'aurais jamais besoin - du moins tant que je suis mannequin - c'est bien qu'on m'achète des sous vêtements. Oui, j'ai tout gratuit et c'est vraiment cool ça.. Surtout vu les pièces que j'ai le droit de garder. Tout est plus beau que le précédent. Juste pour ça, j'aime être mannequin. Et je suis sûre que Bonaventure aussi aime ce côté... C'est une faible contrepartie face à l'affichage dont je fais preuve mais bon. Un détour par l'hôtel est indispensable pour poser tout ce qu'on a acheté - enfin surtout ce que j'ai acheté parce que j'ai fais chauffer ma carte bleue - mais aussi pour se rafraîchir rapidement. La journée est encore longue, on a du temps devant nous mais en même temps, j'ai peur d'être coincée, de ne pas voir tout ce que je veux voir. Je ris légèrement quand il me dit qu'il pourrait me proposer de passer la journée au lit pour être au frais. " Ce serait dommage d'avoir fait autant d'heures d'avion pour rester au lit non ? " Ça, on aurait pu le faire depuis Cambridge ou une ville pas très loin. Mais là, on s'est claqué onze longues heures d'avion alors autant en profiter ! Je ne cherche pas à payer ma place pour le spectacle parce que je sens qu'il ne me laissera pas le choix. Il payera quoi que je dise ou fasse. Je l'ai déjà gentiment rabroué pour la robe alors bon... Mes lèvres sur les siennes, je souris et acquiesce. " Oui je veux bien... Comme ça on aura un petit truc à boire au pire " Même si je me doute bien que ça risque de se transformer en eau pour les pâtes vu la chaleur qu'il fait dehors. Un dernier baiser et je me détache de lui. Si on reste là une minute de plus, je pense qu'on ne quitte pas la fraîcheur de cette chambre. Le musée n'est pas loin et on marche plus ou moins rapidement. Lui a l'habitude, moi un peu moins. Mais ce n'est pas un soucis, je souffle légèrement à cause de la chaleur et replace mes lunettes de soleil sur mon nez. " Une vache a peut être écrasé de l'herbe sur l'un de ses précédent devoir et il a exprimé sa colère face à ça en balançant son pot de peinture au centre de la toile " avançais-je en riant légèrement. " Tu sais, j'adore visiter les musées parce que ça m'apprend des choses sur la vie, sur l'histoire des pays, des peuples mais là, pour le coup, j'y comprends rien " Je pose ma main sur mes lèvres pour contenir le fou-rire que je sens naître. " Même moi je peux le faire ça ! " Soufflais-je en pointant cette 'oeuvre' du doigt. En tout cas, je comprends pas trop ce que ça fiche là. Même Russell pourrait faire mieux. " Viens on va voir l'expo permanente. Il y a des choses sur l'art et la politique je crois " Et la photographie moderne. Ça sera bien plus intéressant que ce truc... Beaucoup plus intéressant. Je prends ma main et tente de suivre le plan pour nous guider dans ce grand bâtiment.
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Andrea & Bonaventure
« Mouais c’est ça… Comme si j’allais t’acheter des sous-vêtements alors que je sais pertinemment que tes tiroirs débordent déjà… » rigola-t-il de bon cœur avant de secouer la tête en soupirant. Andrea lui avait dit une fois qu’elle recevait beaucoup de cadeaux de ce genre. Avec la chance qu’il avait, il tomberait sur un ensemble qu’elle a déjà en sa possession. Non, il allait devoir faire dans l’original pour se démarquer mais cela tombait bien : les défis, il adorait ça. Andrea en représentait un beau mais ça, il préféra garder ce genre de commentaire pour lui et lui seul. Le couple ne tarda pas à quitter la chambre d’hôtel car il aurait été dommage d’avoir fait tout ce chemin pour simplement squatter le lit comme le souligna sa petite-amie. Dans un sens, il n’aurait pas été contre car il aimait lui faire l’amour, il aimait se lier à elle de manière aussi intense que tendre… Dans l’autre, il avait également le souhait de créer des souvenirs d’une toute autre nature avec elle. Il voulait donner des bases solides à leur couple et ce voyage loin de tout et surtout de tous, ne pouvait qu’en être la meilleure des occasions.

Au musée, Bonaventure buga totalement face à une peinture. Là pour le coup, il ne voyait ni le message de l’artiste ni même le but de ce dernier. C’était bien trop abstrait pour lui et visiblement également pour sa petite-amie qui alla tout de même de son commentaire humoristique. « Devenue peintre à cause d’une vache… Cela se trouve c’est totalement ça » rigola-t-il discrètement pour ne pas gêner les autres visiteurs. Main dans la main avec elle, il continua la visite, lui assurant qu’il ne serait pas en mesure non plus de produire une telle œuvre. « Le pire, c’est qu’elle se vendra surement à plus d’une centaine de milliers de dollars » soupira-t-il, dépité. « Je te suis ! » dit-il avant de devenir un gamin surexcité devant une série de clichés. « J’y crois pas ! Ils ont des clichés de Joseph Kessel… C’est un journaliste et reporter français même s’il est né en Argentine. J’ai toujours admiré son travail. C’est surtout un écrivain mais il a fait des photos… magnifiques »s’enthousiasma-t-il avec un grand sourire, passant d’un cliché à un autre avant de l’entrainer vers une autre série. « Ce musée comporte de véritables œuvres d’art » s’exclama-t-il en partant sur des commentaires sur les techniques employées etc. Ce n’est qu’au bout de quelques minutes qu’il se rendit compte qu’il avait monopolisé la parole. « Excuse toi ! Je deviens dingue quand il s’agit de photos »


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Je souris largement parce qu'il a raison. Mes tiroirs débordent de dessous plus sexy les uns que les autres et je dois remercier la compagnie qui m'a engagé en tant que mannequin pour ça. Sans compter qu'ils sont tous fais sur mesure alors ils me vont à la perfection. Un petit tour par l'hôtel pour déposer les achats, se rafraîchir et repartir aussi tôt. J'aurais voulu passer plus de temps ici, avec lui, mais on aura tout le temps de faire des galipettes et des câlins ce soir quand on aura visiter deux-trois trucs. Buenos Aires est une ville qui ne dort pas vraiment mais les musées ferment quand même aux alentours de vingt heures alors il fallait faire le maximum de choses avant. Et par là, je veux dire visiter, s'enrichir et se cultiver encore un peu plus. Sourire aux lèvres, je donne une explication complètement tordue à Bonaventure pour expliquer l'oeuvre face à moi. " Ce serait l'un des premiers artistes non torturés, tu te rends compte ? " Soufflais-je en riant légèrement. Oui c'est bien connu que tous les artistes sont des hommes torturés qui veulent extérioriser leurs démons. C'est ça ouai. " Je vais demander à Charlie de me faire un dessin, le garder soigneusement et le vendre après alors " Soufflais-je tout en l'embarquant dans une autre exposition parce que là... Je comprends vraiment pas grand chose. Ça m'embête, j'ai l'impression d'être idiote mais je pense plutôt que c'est la médiation culturelle de ce musée qui est proche du néant. Un si grand musée, c'est dommage ! Mais les cartels ne présentent pas vraiment l'oeuvre que l'on regarde et il n'y a pas de guide audio disponible, à mon grand damn. On arrive devant des photos - plutôt jolies ok - et je tente de m'y intéresser alors que Bonaventure commence un terrible monologue où il m'a complètement perdu. Je l'écoute, je tente de mémoriser ce qu'il me dit, de tout comprendre mais c'est difficile. Je ris légèrement quand il me dit qu'il devient dingue quand il s'agit de photos. " J'avais remarqué " Soufflais-je en glissant mes yeux sur la salle. On continue notre petit chemin et notre discussion. " Mais c'était mignon de te voir aussi passionné... " Je peux être pareil que lui voir pire quand il s'agit de médecine. Je suis un vrai moulin à paroles quand je m'y mets ! Je regarde quelques clichés et mon regard est attiré par un petit coin sombre. Je souris et lui fais signe de me suivre, comme si j'avais vu un truc super important là haut, un cliché caché ! Mais non, y a rien de tout ça, si ce n'est la climatisation. Je passe mes bras autour de son cou et l'embrasse tendrement, le mettant dos au mur, dans l'impossibilité de bouger. Mes lèvres ne quittent pas les siennes, ma langue se lie avec la sienne et mon corps se colle au sien. " Hola hermano Weasley " Lançais-je avant d'éclater de rire et de l'embrasser. " En fait t'es pas mignon quand t'es passionné, t'es hyperrr sexy " Soufflais-je avec un large sourire.
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Andrea & Bonaventure
« Charlie ? Qui est-ce ? » lui demanda-t-il en fronçant les sourcils n’ayant aucune connaissance d’un ou d’une Charlie dans la vie d’Andrea. Bon en même temps, il ne connaissait presque aucun des proches de sa petite-amie mais il était sûr et certain qu’elle ne lui avait jamais parlé de cette personne. Aussi était-il intéressé de connaitre l’identité de ce ou cette mystérieux(se) Charlie. Loin de lui une quelconque jalousie, il n’était pas du genre à sauter aux conclusions hâtives. Non, comme d’habitude, c’était avant tout une question de curiosité et une envie presque maladive d’apprendre à la connaitre : elle et tout son monde. « Quoiqu’il en soit, je crois que cela ne sera pas pire que ce tableau » plaisanta-t-il en haussant les épaules. Les tableaux modernes avaient le don de l’ennuyer. Le métisse préférait de loin les anciens tableaux qui voulaient dire quelque chose, qui véhiculaient réellement une histoire, un fait passé, une émotion mais bon, il n’était pas vraiment callé sur l’Art. C’était même tout le contraire toutefois, cela ne l’empêchait pas d’aimer ou non un tableau.

La visite se poursuivit et il devint rapidement un gamin quand ils entrèrent dans la salle des photographies. Là, le jeune homme se laissa complétement allé dans sa passion avant de se rendre compte du gros moment de solitude que vivait Andrea. « Avoue que je t’ai perdu très rapidement » lui répondit-il sans rancune. Il aurait été très certainement rapidement largué si elle lui avait parlé de médecine ne serait-ce que cinq minutes. Andrea lui fit signe alors de la suivre et il ne chercha pas vraiment à comprendre, la laissant mener la danse non sans regarder les photographies sur le passage. Ce n’est que lorsque son dos rencontra un mur qu’il donna toute son attention à sa petite-amie. Un rapide sourire étira ses lèvres en comprenant les intentions de sa petite-amie. Aussitôt, il enlaça sa taille pour la plaquer contre lui. « Hola , hermosa desconocida » murmura-t-il avant qu’elle ne l’embrasse. « Ah oui ? C’est bon à savoir parce que tu sais, lorsque je te vois, c’est fou ce que je suis passionné »souffla-t-il avant de l’embrasser, profitant de la clim pour la serrer dans ses bras, glissant ses lèvres au creux de son cou. « Et toi, je crains fort que tu ne sois sexy en toute occasion, même le matin quand tu es toute décoiffée »

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