Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTG - ENCHERES WINTHROP ET CABOT 2016 ❥ Ouvert à tout le monde - Page 58
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TG - ENCHERES WINTHROP ET CABOT 2016 ❥ Ouvert à tout le monde

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Je me sens très différent depuis que nous avons sauté ce cap des plus essentiels, symbolique dirais-je même. Franchir cette frontière fut très difficile, oublier tout ce qui m’est arrivé en prison m’a demandé un énorme effort mais le jeu en valait la chandelle. J’apprends quotidiennement, à chaque fois un peu plus, à aimer cet acte nous rapprochant l’un de l’autre comme jamais, le plaisir qui en découle et la sensualité qui se dégage de nos corps inlassablement attirés l’un par l’autre. Désinhibé, je crois l’être devenu, à moins que des ailes soient en train de me pousser sur le dos et qu’elles me permettent de me livrer à quelques remarques coquines qui prennent tout leur sens à présent. Il ne s’agit plus uniquement de paroles en l’air mais de sous-entendus qui oscillent dangereusement avec la promesse, parce que oui… J’apprends quotidiennement au contact de Nemo et d’ici peu de temps l’élève devrait pouvoir dépasser le maitre et le surprendre. J’ai mes idées pour y parvenir en tout cas et j’en ai clairement fait allusion quelques secondes en arrière. Rien qui devrait lui déplaire, au contraire puisque je sens ses vilains doigts effleurer mon entrejambe et faire naitre ce sourire diabolique à mes lèvres. Nous n’avons peut-être fait l’amour qu’une fois, mais depuis mon esprit ne cesse de divaguer, d’imaginer… De fantasmer. « Tu tentes le diable là, pas sûr je tienne jusqu’à la maison si tu continues ! » M’enfin je dis cela… J’dis rien hein ! En toute innocence alors que mes yeux dérivent sur sa main pour lui faire comprendre qu’il joue avec le feu. De sensualité à enfance il n’y a qu’un pas que je n’hésite pas à franchir avec de gros sabots en commençant à bouder lorsqu’on parle d’Andrew qu’il a également acheté aux enchères. « Il y a intérêt, sinon plus de bisous, JAMAIIIIIS ! » Je le menace en poussant un petit hurlement, eh ouais, faut savoir ce que l’on veut dans la vie. Qu’il fasse attention à ne pas me donner des envies de meurtres s’il passe un moment avec mon vice-président, ce qui ne semble pas être au programme d’ailleurs. « Oui mais tu pourrais très bien changer d’avis et reprendre ton cadeau au plus grand dam de ton amie… Et puisque ce mec semble vampiriser tout le monde j’me méfie tu vois ? » J’comprends pas pourquoi il est si apprécié, il n’a rien de plus qu’un autre, vice-président ou non. J’enchaine sur quelques paroles en français, résultat plus ou moins foireux mais suffisant pour faire sourire et attendrir mon chéri, objectif atteint. « Je prends des cours avec @Camille T. Emrys depuis quelques mois, il m’aide beaucoup. » Je n’ai aucun mérite, il m’a énormément apporté et motivé, il me pousse aux fesses pour que je travaille et je lui dois une fière chandelle. Mon inquiétude atteint son paroxysme lorsque j’apprends l’existence de l’un de ses ex, présent à cette soirée et semble-t-il toujours jaloux vu comment il m’a traité. « Tu l’aimais ? J’suis pas sûr qu’il ait vraiment tourné la page… Le mec m’a parlé comme de la merde, j’pense que c’est de la jalousie… J’risque de bientôt vouloir lui péter la gueule quoi ! » J’ajoute, l’œil rieur, à moitié sérieux malgré tout.

#nemo
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Ce qu'il y avait de bien, maintenant que vous aviez franchi le pas, c'est que vous osiez plus librement faire des insinuations, sans avoir peur d'être allé trop loin ou d'avoir franchit une barrière invisible – surtout de ton côté. Tu avais pu avoir peur qu'il prenne mal certaines phrases, ou que certains gestes se voient comme déplacés par rapport à ce qu'il avait vécu, puisque le toucher comme tu le faisais à ce moment-là, sans vraiment avoir eu son consentement oral, aurait pu soulever quelque chose de douloureux. Par chance, c'était son sourire encore plus de diablotin qui prenait place sur son visage, et tu mordais doucement ta lèvres à sa réponse, ta main le palpant une nouvelle fois avant de remonter le long de sa veste de pompier qu'il avait remise. « C'est peut-être le but. » Tu murmurais dans un sourire taquin, lui faisant un petit clin d'oeil complice – la vous étiez un peu à la vu de tous les prochains qui passeraient et de ceux qui reviendraient de la scène, mais t'étais suffisamment collé à lui juste pour le titiller à ton bon vouloir. Tu levais tes yeux au ciel un instant, amusé, alors qu'il osait dire qu'il t'aurait privé de bisous si tu n'avais pas misé plus qu'avec Andrew si l'occasion c'était présentée – ça aurait été difficile, de ne plus jamais avoir de bisous pour une telle erreur. Tu posais tes yeux sur lui, l'écoutant avec attention alors qu'il t'expliquait que tu pouvais toujours changer d'avis, et ça te donnait encore plus envie de l'embêter lorsqu'il parlait de vampirisme. Tu prenais un air sérieux et intéressé, comme si tu venais de trouver le but de ta vie, une quête important pour laquelle te battre. « Ouais, t'as raison en fait. Peut-être bien que ce serait une bonne idée de passer la journée avec lui, histoire de trouver comment il hypnotise son monde. Et encore, j'pense avoir besoin de plus de journées, une ne suffira pas à trouver son secret. Peut-être qu'il les drogue ? T'es le meilleur en tout cas, j'vais m'mettre sur l'enquête ! » Tu finissais l'air enjoué au possible. Il t'indiquait ensuite comment il avait appris quelques mots de français, et tu hochais ta tête en essayant de retenir le prénom, souriant. « C'est génial en tout cas. Un peu plus et tu deviendras un bon petit français. » Tu plaisantais – il serait pas sexy avec un béret et une baguette sous ses bras musclés ? L'ambiance était un peu plus sérieuse sur la discussion suivante, malgré la tentative de Graham d'alléger un peu sa dernière menace. « Je l'aimais bien. Je n'sors pas avec des hommes qui me plaisent pas un minimum quoi. Mais on s'est pratiquement pas vu depuis qu'on est plus ensemble, rentrée 2014. C'est pas mon problème s'il a pas su tourner la page. Et promis j'fermerai les yeux si tu le défigures un peu. »  Tu lui disais dans un petit sourire en coin, venant embrasser lentement ses lèvres. « Mais t'occupes pas de c'qu'il a dit, c'est un con sans personnalité. » Tu rassurais en hochant doucement ton visage.

@Graham B. Singleton

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Il me restait seulement quelques boutons à enlever. « Vous voulez que je l'enlève ou pas ? » -dis-je en continuant ma petite danse sur la table. Si seulement j'avais sut que je terminerais sur la table des Eliot ce soir je crois que... Je me serais abstenu ? Certainement pas ! Je m'étais un peu d'ambiance dans cette soirée qui semblait réellement entrain de mourir. Non mais sérieusement je n'avais jamais vu des enchères aussi molle. Enfin s'il y a bien quelque chose qui n'était définitivement pas mou c'était....

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#nemo @Caesar S-Belobrova #Ronanlevioleur
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Mon petit copain joue avec le feu, un comble quand on me voit avec ma parfaite petite tenue de pompier empruntée à un vieil ami qui est actuellement pompier et qui m’a pas mal aidé à perfectionner mon costume. Il m’a filé son ancien uniforme que j’ai un petit peu customisé de sorte à ce qu’il ne soit pas trop lourd à porter et qu’il me permette assez facilement de faire grimper la température. Je crois me faire prendre à mon propre jeu cela dit, les doigts de Nemo sont vicieux et font tout de suite grimper bien plus de choses que la chaleur au milieu de ces coulisses. Je baisse la tête, un sourire mi gêné mi amusé incrusté aux lèvres. « Mission accomplie ! » Nous sommes toujours plus embêtés que les femmes à ce sujet, avec un pénis entre les jambes il devient parfois difficile de masquer son excitation. Avoir très très envie de lui ne m’empêche pour autant pas de revenir à mon sujet du moment, ma punition s’il avait osé miser plus d’argent sur Andrew, notre vice-président arrogant et terriblement Dom Juan plutôt que d’en miser un maximum sur moi. Je n’aurais probablement rien dit, je le fais sur le ton de l’humour mais je n’attends pas de Nemo de signer un chèque astronomique sur ma petite personne, il n’a pas besoin de m’acheter puisque son amour me donne déjà terriblement envie de passer mes journées à ses côtés. J’aime le taquiner à ce sujet cela dit, plus jamais de bisous, de quoi habilement le punir… Si cela ne revenait pas à me punir également. Et le voilà qui s’emballe, prêt à jouer à Sherlock Holmes. « Alors oui mais non, parce qu’après tu es obligé de passer plus de temps avec lui et donc moins de temps avec moi et après moi aussi j’peux partir mener l’enquête sur la ravissante présidente des Cabots… Tu vois ? » Bah ouais hein, il y a d’autres mystères à résoudre et je peux très bien me découvrir un talent pour les enquêtes, j’étais peut-être détective dans une vie antérieure vous m’suivez ? Il me félicite sur mon niveau de français, de quoi me rebooster et me rendre très fier de mon travail. « Tu crois ? J’vais trouver une baguette alors, j’aurais la classe avec ! » Je me met à plaisanter, et dire que le pain française coûte une petite fortune ici alors qu’il est à la portée de tout le monde en France… Enfin c’est ce qu’on m’a dit, je n’ai pas été en France depuis une éternité, j’étais trop jeune à l’époque pour regarder les prix et me faire une idée de la différence. J’suis coupé dans mes réflexions philosophiques par cet homme, l’ex de Nemo que je déteste déjà d’avance. Qu’il ne se mette pas en tête de rapprocher mon homme, j’ai un poing très bavard et qui s’abat plus vite que son ombre sur le nez de ceux qui me cassent les pieds. « Je vois, j’vais garder l’œil ouvert cela dit… » Je démarre en fronçant les sourcils, à la recherche de premiers indices pour mettre la main sur mes suspects. « Avec un petit-ami au top de son sex-appeal j’vais devoir me méfier, tout le monde rêverait d’être à ma place. »
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Tu fronçais les sourcils alors que maintenant, grâce à lui, tu venais de te trouver une quête à explorer, des réponses à chercher, une énigme à trouver, ne devrait-il pas plutôt être heureux des défis difficiles que tu te lançais ? Plutôt que de te soutenir il s'indignait sur le temps que tu passerais avec Andrew plutôt qu'à ses côtés, et il t'attaquait en retour, sous -entendant qu'il irait faire des choses pas nettes avec la présidente des Cabots – heureusement pour lui que tu avais un peu trop l'habitude de ses provocations. Mais dommage pour lui, il devait pourtant savoir à quel point tu aimais s'amuser à ses dépends. « Non j'vois pas non. Déjà, elle n'est pas du tout ravissante. Et moi je fais une vraaaaie enquête, tu imagines si je découvrais un truc énorme ? Peut-être qu'il garde des filles dans la cave de sa maison, surveillée par ses gardes du corps  baraqués jusqu'à ce qu'elles développent le syndrome de Stockholm ?  Peut-être qu'il leur a donné un disque à écouter le soir pour s'endormir et qu'en fait c'est une piste d'hypnose où il leur lave le cerveau ? Les vies d'Harvardiennes lobotomisées sont en jeu Graham ! » Tu le secouais légèrement par ses bras, essayant de lui faire comprendre la gravité des choses – en vrai tu te verrais bien en détective privé avec @Graham B. Singleton, en train de chercher des solutions pour les plus petits des problèmes et des mystères sur Harvard. Tu félicitais ton petit-ami qui avait appris de nouveaux mots français depuis cette nuit de janvier où vous aviez fait l'amour, riant lorsqu'il parlait d'avoir de suite plus de classe avec une baquette à la main. « Je pense que ça t'irait très bien oui, mais seulement avec une vraie baguette, ici ils n'font que des vulgaires copies. » Tu te moquais – et c'était vrai, rien ne remplaçait la bonne baguette de boulanger, même celles trafiquées étaient meilleures que celles en Amérique, et tu en avais d'ailleurs bien profité lorsque tu étais retourné à Monaco durant les derniers jours de décembre. Graham semblait ensuite bien méfiant de Xander, à tord en plus, parce que c'était surement le dernier de tes exs que tu choisirais pour ressortir avec. Il suffisait de voir ce qu'il avait dit à Graham lorsqu'il était passé, la célébrité devait lui être montée à la tête. T'allais répondre lorsqu'il parlait de garder l'oeil ouvert, mais il continuait sur sa lancée, et tu explosais de rire à ce qu'il osait dire sur ton sex-appeal qui attirerait tout le monde. « Pffff, t'es con. » Tu riais, levant tes yeux au ciel avant de déposer un baiser sur le bout de son nez. Puis tu savais bien comment marchait les choses de toutes manières, personne ne prêtait attention à vous lorsque vous étiez tranquillement célibataire, et lorsque vous étiez casés c'était l'inverse, les gens semblaient aimer l’inaccessible.
PAS DE MISE.
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Je me sens pousser des ailes ce soir, prêt à faire quelques folies et à embrasser l’un des traits de ma personnalité que j’aurais eu tendance à oublier depuis que l’on m’a déclaré mon cancer. Je pensais pourtant davantage m’attacher à ce désir d’enchainer les expériences, de ne pas me prendre la tête à réfléchir pour vivre, tout simplement. Les trois années écoulées ne représentent pas du tout cela, elles ont été calmes, centrées sur la réflexion et le combat, sur la victoire qui en a découlé. La libération salvatrice et les retrouvailles tardives de l’intégralité de mes capacités physiques me font à nouveau reconsidérer la vie et l’approche que je souhaite utiliser pour en profiter au quotidien. C’est dingue le temps que l’on perd à réfléchir, à ne pas oser, à se demander quelles seront les conséquences de nos actes alors qu’il ne suffit que d’affronter et d’assumer au moment venu. Ce soir je me sens prêt à tout oublier, à ne pas me poser de questions auxquelles je ne pourrai de toute manière apporter que des réponses hypothétiques. Mec, t’es Soliman Marlson ! Depuis quand réfléchir avant d’agir est ton crédo ? Depuis trop longtemps ! J’utilise la parfaite moue tristounette, paré pour un rôle dans une tragédie. « Je préfère ! » Parce qu’elle est trop adorable d’abord, elle ne peut que craquer en voyant cela non ? Bon, stop, être impulsif ce n’est pas avoir un égo remonté à bloc, ça aide cela dit… Quitte à prendre des décisions, là, maintenant, tout de suite j’ai très envie de la kidnapper et de lui offrir un bon repas à la maison. Sa réponse a de quoi faire s’étirer mes lèvres, un sourire sincèrement ravi. « Parfait, tu es venue comment ? » Que je sache si elle compte me suivre en voiture ou si on rentre ensemble avec la mienne.

@Marley Jenkins
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Mon public était en délire. Bien entendu qu'ils vouaient que j'enlève plus, tout le monde aimait mes fesses c'est bien connu. Ils allaient en rêver pendant des jours, des nuits, des années même. Ils allaient fantasmer sur moi. Qui ne le ferait pas ? Vraiment ! Trouvez moi cet énergumène que je le castre, ou le suce s'il est mignon. Il ne résistera plus à mon charme ensuite. Vive moi ! J'enlevais les derniers boutons de mon pantalon avant d'enlever ce dernier, après avoir enlevé mes chaussures au préalable ça va de soit. « Vive moi ! » -dis-je mort de rire en me dandinant.

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#nemo @Caesar S-Belobrova #Ronanlevioleur
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Le moins que l’on puisse dire c’est que j’ai un petit-ami doté d’un sacré sens de l’imagination. Vous l’entendez se lancer dans des enquêtes que l’on pourrait retranscrire dans un bon thriller ? L’histoire d’un Président de confrérie qui kidnappe d’innocentes jeunes filles pour leur laver le cerveau, les lobotomiser et leur faire répondre au moindre de ses désirs. Il y a de quoi se poser des questions avec un scénario aussi bien rodé, il lui manque néanmoins un élément, celui qui casse tout son délire hypothétique. « Sauf que je suis Winthrop et donc l’un des fameux mecs baraqués qui pourraient potentiellement tenir ces jeunes filles prisonnières. Peut-être même que tu me sers d’alibi pour ne pas attirer l’attention et attirer d’innocentes victimes dans nos filets, le mec à qui elles pensent pouvoir se confier parce qu’il est en couple avec un mec et tout ! J’sors de prison, j’en connais un rayon sur les moyens de maintenir les autres dans un espace confiné ! » Je m’arme du plus inquiétant de mes regards, profond, dépourvu d’humanité, fixe… Froid. Vous imaginez le retournement de situation inattendu si nous nous trouvions dans un film, que Nemo découvrait le pot aux roses et se faisait trahir par son petit ami depuis quelques mois, celui qu’on ne soupçonne pas tout au long du film. Je crois avoir une imagination toute aussi débordante que la sienne. « Et puis la Présidente des cabots n’a rien de quelconque ! » Ouais parce qu’il me parait important de le dire, elle a tout ce qu’il faut là où il faut pour plaire aux hommes que nous sommes. Ce n’est pas mon cas pour la simple et bonne raison que mes yeux ne se baladent sur personne d’autre que mon petit-ami que j’aime à la folie et dont le corps ne me lasse pas une seule seconde. Nous voilà maintenant en train de m’imaginer avec une marinière, un béret et une baguette dans la main. « Tu apporteras une vraie baguette la prochaine fois alors, monsieur l’insatisfait ! » Ici nous n’avons rien de tel, juste quelques boulangeries de plus en plus vogue qui surfent sur la mode française et les traditions de ce pays dont j’aimerai pouvoir fouler le sol. Il continue de se moquer alors que j’explose de jalousie, inquiet à l’idée qu’on tente de me dérober mon petit-ami, Nemo c’est mon mien, personne d’autre n’est autorisé à l’approcher. Il fait s’étirer mes lèvres lorsqu’il embrasse le bout de mon nez. « Con surement, mais honnête ! » Il n’est pas très tard mais j’en ai assez d’être ici. « On rentre ? » Je propose, un grand sourire aux lèvres.    
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T'adorais raconter n'importe quoi. Tu ne parlais pas de mentir sur chaque parcelle de ta vie, seulement faire fonctionner ton imagination dans un instant t très rapide, afin de voir si tu pouvais être assez convainquant en te rattrapant sur le fil du rasoir et en inventant des choses à la dernière seconde, lorsque tout semblait pourtant fini pour toi. Et des fois ça marchait, lorsque tu restais sérieux malgré ton amusement intérieur – et d'autres fois tu ne laissais pas vraiment les gens aller jusqu'au vrai doute, comme lorsque tu finissais par rire de tes conneries devant @Graham B. Singleton. Mais voilà que ton petit-copain, à force de t'entendre, il commençait à se prendre au jeu – un petit peu trop. Tu l'écoutais te confier le fait qu'il pouvait être l'un des gardes du corps de la cave des filles à lobotomiser, et que toi tu serais son alibi qui détournerait les yeux de lui – si Xander l'entendait il serait hyper fier de Graham en fait, t'étais le meilleur candidat pour servir de couverture à des faux gays ? – et tu le fixais, tes yeux légèrement agrandit, tout en ne sachant pas totalement si ce qu'il te disait était du lard ou du cochon. En tout cas, il maîtrisait l'art du regard gênant et froid, et après quelques longues secondes, tu venais taper son bras de ta main. « Tu serais une personne très trèèèèès horrible ! » Tu t'exclamais soudainement, comme sorti de ta transe pleine de réflexion. Il insistait ensuite sur la présidente Cabot, et tu grimaçais légèrement – c'était ce genre de filles qui attirait Graham ? « Ouais enfin, j'pensais qu'si tu me quitterais tu choisirais mieux quand même... » Ouais, pour le coup t'étais un peu déçu, même la vice-présidente était plus à ton goût. Le but c'était quand même qu'il prenne mieux que toi s'il partait non ? Enfin, le mieux serait tout de même s'il ne partait pas du tout. Tu faisais ensuite un grand sourire à sa remarque – il était vrai que tu pouvais être un peu trop insatisfait parfois – et tu haussais légèrement tes épaules. « Ou j't'en ferais manger jusqu'à ce que ça te sorte par les yeux quand tu viendras ! » Tu avouais dans un petit clin d'oeil. Parce qu'il était obligé que tu l'amènes un jour avec toi, que ce soit quelque part en France ou juste à Monaco. Là il goûtera à la vraie joie d'une baquette au Nutella. Tu levais un peu tes yeux au ciel, souriant tout de même lorsqu'il insistait en disant que s'il était con sur ton sex-appeal, il était surtout honnête, puis il proposait de rentrer, et tu hochais vivement la tête. « Oui oui ! » Tu t'exclamais, avant de t'éloigner un instant et de passer une tête hors des coulisses pour faire un signe de la main à ton buddy @Caesar S-Belobrova afin de lui indiquer que tu partais – et tu fronçais tes sourcils un instant lorsque tu pouvais observer @Ronan R. Stark en boxer sur votre table – putain t'espérais que ton pote filmait ça pour toi. Tu revenais ensuite vers Graham et tu attrapais sa main, glissant tes doigts dans les siens tout en sortant.
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La soirée touchait vraiment à sa fin là, en effet pour le duo actuel, on remarquait une forte baisse des mises, c’était dommage mais en soit il fallait s’y attendre parce que c’était toujours ainsi que se déroulaient les enchères Winbot. L’année prochaine serait encore meilleure puisqu’il s’agirait du cinquième anniversaire de cette tradition de ces deux Confréries alliées mais néanmoins rivales depuis des temps immémoriaux maintenant… Fin bref, le vice-président de la Winthrop House s’était un peu éclipsé d’où le fait qu’il soit légèrement voire même très en retard pour annoncer la fin des enchères pour le beau Morgan et la belle Scarlett. Il inspira longuement avant de remonter sur scène. « Eh bien ! Je remercie chaleureusement le duo pour avoir exécuté une si bonne performance contrairement à l’autre boulet qui essaie de mettre de l’ambiance dans le fond là-bas. » dit-il d’un ton calme mais néanmoins peu cordiale envers ce mec tandis qu’il reprenait sur un ton plus léger. « Maintenant annonçons les résultats. Pour le Winthrop, c’est la jolie Carolyna qui remporte la mise avec ses 50 $. Et pour la jolie Scarlett, et après concertation avec les autres organisateurs, c’est moi-même qui aurai la chance de passer une journée en sa compagnie et j’ajoute 50$ dans les caisses ! ». Applaudissements de la foule ! Il déglutit légèrement avant de lancer finalement le dernier duo de la soirée. « Et maintenant pour clôturer comme il se doit cette belle soirée, faites une ovation pour le dernier duo de la soirée composé de @Dana Nguyen & @Hazel P. Koberwein ".

PS : NAVRE DU RETARD, AVEC LE LANCEMENT DU SPRING BREAK ON AVOUE AVOIR UN PEU OUBLIE LE TG…
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