Vivre avec toi pour un moment Philia

Shishi avait sauté dans mes bras. Je venais de faire un cauchemars. Je serais ma chienne dans mes bras. Phil me faisais sursauté en rentrans dans la chambre. J'avais serré Shishi contre moi. Il me demandais si sa allait. J'avais les yeux Rouge j'ai du pleuré dans mon someille.
Je lâchais Shishi quand je sursautais dans l'entré de Phil. Shishi venais se couché sur moi elle fait tut le temps ça pour me reconforté. Je fais que bien trop souvent des cauchemars. J'étais pas bien. Tout ses gestes brusque m'avait pas fait trop de bien.

Je vois sa chienne à ses côtés, mais celle-ci ne semble pas la déranger, au contraire. Bon normalement je n’aimerais pas trop qu’elle soit dans mon lit, mais pour cette fois, je la laisse faire… Je croise le regard de Mia et je vois que celle-ci ne va vraiment pas bien, mais que s’est-il passé? Je m’approche finalement et m’assis au bord du lit, enfin comme je le peux au côté de ma petite amie et de sa chienne. Je pose ma main sur son bras en la regardant. Ses yeux sont rouges, c’est étrange enfin… je croyais qu’elle dormait encore. Elle aurait du se lever ou me crier si ce n’était pas le cas. « Qu’est-ce qu’il y a…? » Je voulais juste qu’elle me parle en fait.

Je respirais un peu fort. J'étais tendu. Shishi restais allonger sur moi. Je reprenais a prendre consience d'ou je suis. Je faisais descendre Shishi du lit on est pas a la maison. Je venais me serré dans les bras de mon petite ami, je tremblais un peu.
"J'ai.. fait un cauchemar." Je me serrais dans ses bras. J'avais besoin de lui, besoin d'un câlin, qu'il me rassure. Je pensais que ces foutu cauchemar était partie.
"Phil..." En faite je me mettais a pleuré, les images de mon cauchemars me revenais en mémoire. Je crois que les médicaments appuyais un peu trop les choses.

Elle ne me répondit pas tout de suite. Elle semblait perdue, pensive ou peut-être pas encore totalement réveillée… Peut-être que ses médicaments la mettaient dans un drôle d’état? Elle devrait en parler au médecin. Puis, elle fit partit sa chienne à mon plus grand plaisir, enfin moi je n’osais pas, ce n’était pas la mienne. Mais ainsi, je peux la prendre dans mes bras. Je la sens trembler et je la serre alors un peu plus. « Oh c’est terminé Mia, je suis là… » Je n’avais jamais fais de cauchemars vraiment, à part comme tous les enfants bien sûr, mais pas récemment. Apparemment, cela pouvait être vraiment troublant et je le voyais à la réaction de ma petite amie. Elle se met à pleurer et ça me fait encore plus mal. Encore une fois, je n’ai aucun contrôle là-dedans. Je viens passer mes pouces sur ses joues en la regardant. « Tu veux m’en parler?... ou quelque chose? À boire? D’autres médicaments? » Je ne voulais pas qu’elle se sente obligée de m’en parler, mais si elle le voulait, j’allais certainement l’écouter.

Je reprenais un peu le dessus. Je le sentais me serré contre lui. Sa allait déjà bien mieux. Il me disais que c'était terminé et qu'il était la. Je sentais ses pouces sur mes joues pour essuyer mes larmes. Il me demandais si je voulais quelque chose. J'étais vraiment bien la. J'avais pas envie d'en parlé.
"Excuse moi pour Shishi... Elle le fait tout le temos quand je bouge trop." Oui une vieille habitude.
"Je veux juste pensé a autre chose. Je veux être avec toi, j'ai besoin de toi." J'ai besoin de lui... C'est une chose dont je prend peut a peu consence

Je secoue la tête lorsqu’elle s’excuse pour sa chienne qui semble apprécier un peu trop mon lit. « Ce n’est rien, tant qu’elle ne le fait pas quand je suis là… Mais elle ne voulait que t’aider je crois. » Si c’était lorsqu’elle bougeait trop, ça voulait dire qu’elle ressentait rapidement l’état dont se trouvait son maitre et voulait la réconforter. C’est très intelligent un chien. Mais normalement, j’aurais du me trouver à ses côtés et c’est moi qui l’aurais réconforté, sauf que là, je n’arrivais pas à dormir et j’avais voulu profiter de ce tmeps. « Alors parlons d’autre chose… Et ça tombe bien, je suis là et je ne compte pas partir. » Je lui souris puis me rapproche pour doucement embrasser sa joue. Ça me dérange aucunement qu’elle ne veuille pas en parler, ça me fera même plaisir de lui changer les idées.

Il me disais que c'était rien tant qu'elle le fait pas quand il est la.
"Elle le fera plus" Je voulais pas qu'elle fasse n'importe quoi. Je savais qu'elle voulais bien faire mais pas ici. Il me disais qu'il était la et qu'il ne comptais pas partir. Je restais serré contre lui.
Je l'embrasse doucement.
"Parle moi de quelque chose, fait moi pensé a autre chose Phil." Je restais serré contre lui. Je l'aime, je sens mon coeur qui bat un peut trop vite, le stress l'amour, c'est sa.

« Je ne vais pas la gueuler pour être une bonne amie. » J’hausse mes épaules, un chien est un bon ami après tout, fidèle, présent et qui nous comprend. Heureusement, moi j’en avais déjà une, mais qui me demandait bien plus que cela. J’avais Summer et elle me surprenait toujours comment elle pouvait me deviner. On se connaissait tous les deux par cœur et j’adorais cela. Lorsqu’on s’embrasse, je finis par m’allonger sur le côté et ma main passe le long de son dos. Elle me demande ensuite de lui parler de quelque chose. C’est vague et je dois tout de même faire attention au sujet que je choisis. « Eh bien… j’étais en train de faire des devoirs avec Summer. Cette petite va devenir une intello, à 4 ans elle fait déjà des devoirs d’universitaires! » Je ris un peu, j’exagérais bien sûr, Summer essayait de faire comme moi mais tout de même, je trouvais cela mignon.

Il venait s'allongé a coté de moi. Il me racontais ce qu'il était entrain de faire. Il faisais ses devoirs avec Summer.
"Avec un papa comme toi elle peu être que intelligente." Bah c'est une réalité.
"Peut être que tu as fait une vrai petite intello qui ira aussi a Harvard qui sais? Elle veut faire quoi? Je suis sur qu'elle veut faire princesse plus tard" Je souriais bêtement, je la voyais bien faire de grande chose mais a son âge je suis sur qu'elle rêve de devenie une vrai princesse avec des licornes.

Je lève les yeux au ciel lorsqu’elle dit qu’un papa comme moi, elle ne pouvait qu’être intelligente. Oh là voilà qui exagère à son tour, mais je l’avais cherché apparemment. « Je ne fais que mon possible… » Et j’espérais que ça soit assez, même si je croyais qu’elle manquait sûrement de quelque chose. On devrait tous grandir avec nos deux parents… « J’ai pas vu qu’on offrait le cours de princesse à Harvard par contre… » Je ris un peu, ah les enfants. « Je crois que c’est dans ses choix en effet, mais elle aime aussi les arts comme le dessin, et les sports comme la nage! » Je doutais qu’elle finisse dans quelque chose de bien scientifique, en tout cas, ça ne viendrait pas de moi.