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I think we have to talk [ft. Paris]

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– I THINK WE HAVE TO TALK –

Paris & Summer.

Mon p’tit jeu de balade sous le boxer de Paris avait eu son p’tit effet et c’est toute fière de moi que je me dandinais devant mon homme alors qu’il me proposait une déculottée en punition. Qu’il fasse !! J’attendais que ça moi, tant que je pouvais avoir ma récompense derrière tout ira bien !
En attendant, je proposais mon « Action » pour Paris, et sautillais comme une gamine lorsqu’il acceptait mon défi. « Peut-être, mais tu seras mon gay à moi ! » lui lançais-je avant de lui voler un rapide baiser et d’aller chercher tout mon maquillage et mes accessoire. Je revenais avec mon bazar et prenais Paris par-là main pour l’emmener dans la cuisine « On va se mettre là, attends » lui expliquais-je alors que j’allumais la lumière et que je calais Paris pour qu’il s’adosser au plan de travail de la cuisine. Je posais ma mallette non loin derrière lui et l’ouvrait alors que Paris me rappelait que les choses allaient se payer très chères ! Je pouffais de rire et avec le sourire jusqu’aux oreilles alors que je recherchais de quoi faire des beaux dessins sur la peau de mon amant. « Pour l’instant ce ne sont que des paroles en l’air » osais-je lui dire en le mettant au défi ! Je dé bouchonnais à crayon eye-liner et posait mon poignet sur le torse de Paris, pour dessiner sur l’un de ses pectoraux. Le droit. Au départ, rien de bien méchant : Je traçais les contours d’une marguerite, et je m’appliquais. Puis ensuite un soleil…puis Paris pris le temps de se jouer de ma jalousie en me parlant d’une livreuse plutôt que d’un livreur : je levais les yeux pour le fixer, et après un moment de réflexion, je baissais la tête pour venir tracer une énorme flèche sur tout le torse de Paris qui partait de la droite et pointait vers la gauche, et en dessous « OWNER » avant de dire « voilà ! Je me mettrais à ta gauche devant la porte. Comme ça, le message sera bien compris…et puis, je vais insister sur les fleurs…comme ça elle si elle ne sait pas lire, elle croira que t’es gay ! » Et c’est ainsi que j’usais de dessins et graffiti en tout genre – telle que des « I LOVE PINK » « Je suis la plus belle des reines », des dessins de chaussures et sac à mains - pleins de couleurs grâce au fard à paupière et rouge à lèvres ; rouge que je n’omettais pas de poser sur la bouche du Dunster, en plus du fard à joue sur ses pommettes, en riant du résultat « T’es trop belle mon cœur, tu me plais comme ça !! » avais-je dis sans m’empêcher de glousser comme une gamine, tellement j’étais fière de mes âneries. Je refermais le bouchon du rouge à lèvre et me mettait sur la pointe des pieds pour venir déposer un bisou sur les lèvres rougis de Paris ! « T’es prêt !!! »



©Pando
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Summer & Paris
« Tu as conscience que si je deviens gay, tu seras bien trop féminine à mon goût ? Et que je me tournerai vers des culs bien plus masculins ?! » tenta-t-il de lui faire comprendre en arquant un sourcil. Bon, il n’y avait aucune chance qu’il vire gay, autant se l’avouer directement mais bon, la laisser imaginer des choses avait un petit quelque chose revanchard. « Tu imagines, on se promène main dans la main et je reluque le cul d’un mec en te donnant un petit coup de coude pour te dire : oh mon dieu chérie ! Tu as vu ce mec… j’en ferais bien mon quatre heure » reprit-il avec une voix outrageusement « cage aux folles », allant même jusqu’à papillonner des cils. Bon d’accord, c’était avant tout pour la faire rire qu’il se comportait de la sorte car même s’il râlait, il aimait ce jeu avec elle.

Docilement, il la suivit jusque dans la cuisine, s’adossant à un l’un des plans de travail. Summer prenait un malin plaisir à lui dessiner dessus et malgré lui, il éclata de rire quand elle inscrivit « OWNER » sur son torse avec une flèche pointant vers elle. « Sympathique comme technique ma petite chipie va » rétorqua-t-il en se marrant… Bon son rire se coinça un peu dans sa gorge quand elle le maquilla mais c’était son gage, il ne pouvait rien dire. « Hein hein… Tu vas voir, je vais me venger d’ailleurs… Action ou vérité ? » lui demanda-t-il et lorsqu’elle lui répondit vérité, il se frotta le menton. « Okay… alors je veux que tu énonces toutes les choses salaces que tu aimerais qu’un homme te fasse » exigea-t-il avec un grand sourire. Il était certain qu’il allait en apprendre des bonnes ce soir et il s’apprêtait même à prendre des notes mentalement. En prime, avec de la chance, elle se mettrait à rougir, ce qui, à ses yeux, se révélait être un détail tout ce qu’il y a de plus sexy.

electric bird.
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Paris & Summer.

Imaginer Paris gay, c’était comme si j’imaginais ma mère souvent aimante avec moi ! Autant dire impossible. Mais j’avoue que les remarques de Paris avait le don de me faire rire, et même si je savais l’éventualité impossible, je ne refusais pas de réagir : « Bah si mes fesses te suffisent plus, je fais en sorte de faire plus d’exercices et devenir bodybuildé !! Des belles fesses en béton armé ! » Rétorquais-je en éclatant de rire, bien que quelques secondes plus tard, je faisais une moue boudeuse en répondant à cette histoire de mec à reluqué outrageusement « Oui bon bah … pas sûre que ça me plaise ! A moins que je le trouve super belle, moi aussi » Finalement, je décidais à partir à la course au maquillage et m’occuper de mon œuvre d’art

Installée dans la cuisine, je m’amusais comme une folle à dessiner plein de chose partout, et j’arborais un sourire espiègle jusqu’à ce que je décide de choisir l’option Vérité, plutôt que de me mouiller dans une Action. Et quand j’entendais la question de Paris, je m’arrêtais soudain dans mon dessin, et ne souriais plus. Non à la place, je virais rouge pivoine tellement la curiosité de Paris me surprenait et me faisait rougir de honte et timidité ! « Noooonnn, t’es sérieux ? » lui demandais-je alors qu’il hochait la tête fière de lui. Je me pinçais les lèvres alors que mes joues étaient en feu, et je posais mes mains sur mon visage en secouant ce dernier vivement de droite à gauche en ajoutant : « Oh mon dieu la hoonnnnte »

Finalement je pris une grande inspiration et, le jeu étant le jeu, j’acceptais de répondre. En commençant par des choses que Paris savait déjà, et finir par les plus bizarres : « Bon euh….alors : Tu l’auras compris, j’ai un faible pour les petites tapes sur les fesses. Et pendant l’acte, ça me plait 1000 fois plus. » Franchement, rien que ça c’était déjà embarrassant, alors on ne pouvait pas s’arrêter à cette révélation ? « Euuuhhmmm…j’aime les jeux de rôles. Devoir se déguiser, et interpréter un rôle le temps d’une soirée, d’une nuit….voire même d’un rendez-vous en extérieur. Comme par exemple : Jouer les inconnus qui se rencontre par hasard dans un bar et se draguent pour finir au lit dans un hôtel » Pourquoi osais-je dire tout ça à Paris ?? Je n’ai jamais osé dire toutes ces choses à mes précédents petits copains !! Pas de doute possible finalement : Paris était vraiment capable de me mettre suffisamment à l’aise pour que j’ose être libre d’avouer tout ça sans être juger…Je griffonnais quelques mots et gribouillais un petit cochon sur le bas du pectoral droit du Dunster (pourquoi un cochon ? parce que c’était l’était d’esprit du moment ?!), puis j’en venais à mon troisième aveu : « J’aime utiliser les accessoires…en tout genre, du moment que ça fait pas mal ! Pas de BDSM…un juste milieu coquin tu vois ? Menottes, Vibro, etc…OH MON DIEU, je n’arrive pas à croire que je parle de ça avec toi ! » Hurlais-je enfin en rougissant de plus belle tellement je me rendais compte de mes dires. Mais le pire, c’est qu’une fois que les mots sortaient une fois, bah ils avaient du mal à s’arrêter. « J’aimerais tester, le sexe salace…genre euh…tu sais…avec des mots un peu…plus « encourageants » » oui, non parce que je me voyais pas employer des mots ultra vulgaire, mais il y avait deux trois phrases un peu plus crus que d’autres, qui pouvais avoir leur effet pendant l’acte « Oh dernière chose: Un truc que j’ai jamais…jamais fait » Je me mordais la lèvre un peu honteuse avant de murmurer en me raclant un peu la gorge « par derrière…j’ai jamais, enfin…j’ai jamais autorisé qu’on y aille, tu vois ? » j’haussais les épaules et souriais en coin d’un air un peu timide et embarrassée, avant de me concentrer sur mes dessins et cacher les rougissements derrière quelques mèches de cheveux tombantes.



©Pando
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Summer & Paris
Paris avait complétement zappé cette histoire de gay, de tentative de jalousie etc. Non, il avait trouvé la meilleure façon de se venger de sa petite-amie : la faire parler sur un sujet des plus osés : ses envies sexuelles. « Je suis on ne peut plus sérieux ! » lâcha-t-il d’une voix trainante, dardant sur elle un regard des plus déterminé. « Pourquoi la honte ? Nous ne sommes que deux bébés » ajouta-t-il pour sa part, la trouvant déjà délicieusement rougissante. S’il ne se retenait pas, cela ferait déjà belle lurette qu’il serait enfoncé en elle pour lui faire sauvagement l’amour. Or, finalement, il s’amusait vraiment à la voir prendre cette grande inspiration comme pour se donner du courage.

Summer commença par cette histoire de fessées. « Oui, ça je le savais déjà » lui répondit-il, essayant de lui faire comprendre qu’il voulait surtout connaitre ses autres petits secrets. Elle lui confia alors qu’elle aimait les jeux de rôles, lui donnant un petit exemple concret. Paris hocha la tête, signe qu’il était à la fois intrigué et intéressé. Il n’avait jamais fait ce genre de choses pour la simple et unique raison qu’il n’avait jamais été suffisamment intime avec une femme pour tomber dans ce genre de pratique mais pourquoi pas. Après tout, cela pourrait être marrant de faire comme si, elle était une inconnue. « Je ne suis pas contre… je trouve même l’idée excellente » acquiesça-t-il avec un sourire charmeur. Summer imposa un léger silence par la suite, continuant de griffonner sur son corps, comme si elle cherchait ses mots. Son petit-ami patienta, ne voulant pas la brusquer car il sentait qu’elle n’avait pas fini. La suite lui donna raison. « Je comprends tout à fait mais pourquoi tu as honte ? J’aime bien parler de notre sexualité avec toi » répliqua-t-il dans un rire. Cela ne le gênait absolument pas. Au contraire, tout cela avait le don de le rendre chaud bouillant mais il n’était vraiment pas en reste. « Un peu plus encourageant comme… j’ai envie de te prendre là contre le mur, t’entendre crier pendant que je m’enfoncerai en toi ? Est-ce que tu la sens bébé ? Est-ce que tu veux que j’y aille plus fort ? » lui demanda-t-il d’une voix rauque car l’idée de lui faire l’amour commençait vraiment à le travailler surtout avec leur conversation. Alors oui, il s’amusait à ses dépens mais derrière tout cela, il y avait la démarche d’un amant attentif aux besoins et attentes de sa compagne. Summer méritait toutes les attentions : de la plus romantique à la plus salace. Toutefois, il se s’attendait pas à sa dernière envie -tellement pas qu’il en restait totalement fixe, les yeux écarquillés. Paris n’avait jamais eu cette pratique sexuelle tout simplement parce qu’elle lui rappelait l’avilissement qu’il avait ressenti petit. « Tu… enfin… Tu ne trouves pas que ce serait humiliant pour toi ? » tenta-t-il de comprendre presque avec naiveté. Là pour le coup, l’amant échauffé avait cédé sa place au petit garçon terrifié à l’idée de faire quelque chose de mauvais.

electric bird.
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Paris & Summer.

Pourquoi j’avais honte de dire toutes ces choses ? Parce que c’était tout simplement des trucs qui n’étaient jamais sorti de ma tête, que personne n’avait cherché à les savoir jusqu’ici et que ce n’était pas tous les jours que mon petit-ami demande de lui raconter le moindre de mes petits délires sexuelles, assouvis ou non. « Bah disons que…J’ai jamais osé le dire avant. Et puis on ne m’a jamais demandé non plus. Et je ne veux pas passer pour une folle complètement tarée qui trouve son kiff dans des mises en scène bidon, des lieux publics, ni même que l’on vienne penser que mes incitations vulgaires sont déplacées » Mais je dois bien admettre que le fait d’entendre Paris me dire qu’il aimait bien qu’on parle de ça tous les deux me rassurait quelque peu. Ça ne m’empêchait pas de rougir, loin de là, mais pour le coup, je me sentais bien plus libre de parler au point de lui parler des envies de sexe un peu plus sauvage avec paroles plus encourageante et accessoire. Je n’avais rien cité en particulier, mais au moment où j’entendais Paris me dire ses phrases, j’avais à la fois envie de me cacher derrière mes mains, et de le regarder avec une passion dévorante. Ses mots et sa voix venaient de créer un énorme frisson qui partait du bas de mes reins pour remonter jusqu’à la nuque et m’électriser les joues. « Oh bon sang….t’as tout compris oui…c’est ça… » Bredouillais-je encore un peu embarrassée bien que très émoustillée par ce que Paris provoquait en moi avec de simple mot. Mais encore une fois, cette gêne ne m’empêchait pas d’avoir la langue bien plus pendue que d’habitude sur le sujet. Il me décoinçait petit à petit sans le savoir, et c’est ainsi que j’osais lui parler de mon dernier aveu. Là, Paris semblait réagir bizarrement, j’eus un léger mouvement de recul en le voyant : euh, comment dire : j’avais osé lui dire des trucs bien plus embarrassant, il a avait plutôt bien réagi. Hors là, il semblait figé! Je commençais à regretter et ma gêne en baissant la tête pour reprendre mes dessins, ou tout du moins finir mon ultime trait avant, de replacer le bouchon et arrêter mon œuvre. C’est à ce moment-là que Paris se mettait à nouveau à réagir, et sa question était plus que surprenante! Enfin, sur le moment ! Parce qu’après m’être accordée une minute de réflexion, je fis très vite le lien dans ma tête entre son blocage, son passé, et le mot « humiliant ». J’inspirais fortement et pris un air réfléchir et innocent en lui répondant le plus honnêtement du monde : « Non…enfin…Disons que tu m’aurais demandé ça il y un an ou deux…Je t’aurais dit oui ! Attends, non rectification : Tu m’aurais demandé ça y’a quelques mois, je t’aurais dit oui. Mais…avec toi ? Non… » Un peu mal exprimé, mais VRAI ! « J’ai jamais voulu qu’un homme passe par là parce que je me sentais sans doute pas assez en confiance avec eux. Alors qu’avec toi…je sais pas…je crois que c’est le fait que t’arrive à me mettre à l’aise facilement; la preuve en est, tu me fais dire les trucs les plus salaces qui soient, sans que j’en meurs de honte ! Et puis…je sais que tu ferais tout pour…pas me faire mal, tu vois ? » concluais-je en sous-entendant plus ou moins que je savais Paris suffisamment conscient du geste pour ne pas prendre ce genre de pénétration à la légère, et me respecter. « Je sais que je me sentiras jamais salie ou humilier avec toi. Quelques soit le genre de chose auquel j’accepterais de m’adonner… » bon c’était pas une grosse déclaration d’amour poétique, hein ! c’est vrai…Mais c’était tout de même l’une des plus grosses preuve de confiance que je pouvais lui montrer.


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Summer & Paris
Les confidences l’avaient émoustillé, on ne va pas se cacher mais sa dernière volonté… l’avait quelque peu figé. Paris n’avait jamais tenté ni même eu envie un seul instant de pratiquer ce genre d’acte sexuel. Il savait que certains hommes et femmes prenaient plaisir dans cette pratique mais il n’avait jamais pu songer à cela… pas avec son passé. Dans le fond, Paris craignait peut-être d’y prendre du plaisir et que de fil en aiguille, il en vienne à comprendre son père. C’était une pensée ignoble mais il n’avait jamais vu la sodomie comme quelque chose de léger, de sexy voire de délicieusement érotique. Non, pour lui, c’était un acte humiliant, douloureux, salissant. Il se rappelait trop bien de la terreur qui était sienne à chaque fois que son père venait, à chaque fois qu’il sentait la brulure de cette cigarette dans son dos. Non, pour lui, ce n’était pas un acte naturel. « Je ne ferais jamais rien qui puisse te nuire ou même t’humilier » lui dit-il d’une voix rauque. D’un côté, l’idée de lui faire plaisir, de lui faire connaitre quelque chose qu’elle avait toujours refusé aux autres hommes avant lui avait quelque chose de tentant mais pourrait-il dépasser ses blocages pour le lui offrir ? Bonne question. Paris n’était même pas sûr de pouvoir encore avoir une érection à l’idée de lui faire du mal… C’était au-dessus de ses pensées. « Je sais que beaucoup de femmes prennent du plaisir avec cela… une histoire de nerf très présents » commença-t-il maladroitement mais c’était pas évident pour lui de parler de cet acte comme quelque chose de fun. « Enfin j’ai jamais… j’ai jamais fait ce genre de chose à personne » avoua-t-il toujours avec ce petit air de chien battu et abandonné à la SPA sans jouet et sans son coussin moelleux. Dans un sens, il était aussi vierge qu’elle de ce côté-là. « Je t’avoue que je sais pas vraiment comment m’y prendre… Enfin ma seule expérience n’a pas été des plus concluantes comme tu t’en doutes » marmonna-t-il. Son père venait et le prenait comme il était sans préparation d’aucune sorte ni même aucun produit. Paris pouvait presque sentir à nouveau l’odeur du sens et du sperme… « Je reviens » marmonna-t-il avant de se dépêcher d’aller vers la salle de bain pour aller se rafraichir, essayant de ne pas foirer le maquillage de Summer -c’est qu’il tenait à ses engagements. En prime, connaissant sa petite-amie, elle allait culpabiliser, se sentir mal à l’aise à l’idée de l’avoir blessé mais comment lui avouer qu’il avait envie de tester mais qu’il craignait d’être un monstre s’il y trouvait son plaisir ?! Tout se mélangeait dans sa tête : la souffrance, la curiosité, l’envie de prendre Summer complétement mais également la peur d’y prendre goût, d’être au final comme son père. Pour l’heure, Paris était incapable de faire la différence entre l’acte d’amour et l’acte d’avilissement qui avait été son quotidien durant des années. « Excuse-moi ! » dit-il en revenant vers elle. « Tu es tellement excitante que je prends feu dès que je pense à te faire l’amour » lui dit-il en essayant de mettre le plus d’entrain possible car il ne voulait pas gâcher la soirée. « Tu as vu, j’ai joué le jeu… par contre, t’es au courant que je me retrouve avec des dessins qui font gay ? » râla-t-il.
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Paris & Summer.

La première phrase de Paris avait de quoi me rassurer…mais tout son comportement après cela était inquiétant. Bien plus que les mots, c’est son corps qui parlait pour lui : ses crispations, la contraction de sa mâchoire, sa façon qui avait eu de contracter son abdomen au moment il avait évoqué son unique « expérience » et son hésitation dans la voix. Tout, tout parlait pour lui. Et tout me laissait croire que j’avais réveillé en lui un truc pas cool. Sincèrement, je culpabilisais…mais une part de moi avait vraiment envie de lui dire qu’il ne fallait pas tout confondre, et que jamais, JAMAIS je ne pourrais comparer ce qu’il me ferait avec ce qu’il avait vécu. Mais comment dire ça a un enfant ? Oui, parce que c’est bien l’enfant que j’avais en face de moi en ce moment. Le jeune Paris, sali et bafoué qui ressentait encore sans doute la souffrance que lui infligeait son père. Pour être honnête j’osais même plus le toucher en cet instant, par peur de l’agresser. La seule chose que je me contentais de faire c’est de l’écouter et dire : « Je sais », quand il m’avouait ne pas vouloir m’humilier ; « oui, j’en ai entendu parler aussi… » Quand il évoquait le plaisir ressenti chez les femmes liés à cette histoire de nerfs ; « Je comprends » quand il évoquait son passé et son impuissance à savoir gérer. Ce n’est que quand il s’éclipsa de la cuisine, que je me commençais à m’agiter comme une tarée, à me tirer les cheveux en regardant le plafond tout en me fustigeant « putain mais qu’elle conne je suis !! » Dieu que je m’en voulais d’avoir évoqué cet aveu débile. Après tout, qu’est-ce qu’on s’en fichait quoi ! Je n’avais pas besoin de ça pour être comblée sexuellement. J’avais un homme merveilleux et disponible, prêt à tout pour moi. Pourquoi je venais de tout gâcher ? Bon sang…

Je faisais les cents pas en continuant de m’insulter de tous les noms intérieurement quand j’entendis une porte se refermer plus loin. Paris était sur le retour et je ne voulais pas le faire paniquer plus que de raison. Si bien que quand il revenait, il me trouvait à la même place que tout à l’heure faisant mine de ranger mes affaires. Sur le coup, je m’attendais à ce qu’il s’explique de son petit coup de vent, mais…il ne fit pas sincèrement. Et bien que ça me blesse un peu, je comprenais ce qu’il cherchait à faire. J’inspirais profondément, et le laissait jouer son rôle d’homme complètement détacher, mais je ne voulais pas jouer à ce rôle-là avec lui moi. Je ne répondais pas tout de suite à sa remarque et rangeait mes derniers accessoires maquillage dans le vanity, sans rien dire. Et c’est une fois les mains libres que je plaçais devant Paris et que je levais les bras pour atteindre son épaule et sa joue. Je le fixais intensément et surtout avec toute la tendresse que je pouvais lui montrer en cet instant « Je ne te demanderais jamais de faire quelque chose qui te mette mal à l’aise…. » Ça, c’était une façon de lui dire qu’il pouvait oublier mon aveu, que ce n’était pas important pour moi. De même, c’était censé lui faire comprendre que j’avais capté son embarras, et que ce n’était pas la peine de jouer un rôle…Je caressais sa joue du pouce et lui adressait un sourire chaleureux et aimant « Paris, mon cœur…comprend juste que : ce qui t’aies arrivé n’a rien à voir avec ce que toi tu ferais avec moi. J’veux dire : on le fera pas, d’accord ? Mais…sache que CA, n’a rien avoir avec toi, et moi, et ce qu’on vit tous les deux…Je veux juste que tu te mettes ça dans la tête. » Je me mettais alors sur la pointe des pieds et embrassait mon petit-ami pour conclure cette conversation. J’attrapais ensuite mon Vanity et déclarait : « Jvais ranger tout ça. Le livreur ne va pas tarder. Tâches d’être présentable » lui lançais-je en le gratifiant d’un clin d’œil avant de quitter la cuisine pour faire disparaitre mon sourire dans le couloir. Une part de moi était deçue de savoir que Paris ne pourrait finalement pas être assez à l’aise avec moi pour passer le cap, mais une autre était là à se réprimander pour avoir été la source de souvenir douloureux remontés à la surface. Je comprenais Paris…mais je ne pouvais pas savoir ce qu’il avait vécu mieux que lui. Je me devais donc de respecter ses peurs et ses blessures, et de ne pas le sortir de sa zone de confort s’il n’était pas prêt.



©Pando
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Summer & Paris
Summer devait être en plein questionnement, à s’insulter copieusement dans sa tête. Peut-être même faisait-elle les cent pas dans la cuisine. Paris en mettrait sa main à couper car il connaissait suffisamment sa petite-amie pour savoir qu’elle devait déjà s’en vouloir d’amener le sujet mais elle oubliait une chose : elle n’était en rien responsable de son passé ni même de son incapacité à faire la part des choses. Bon sang, elle avait le droit de vouloir découvrir cette pratique, ce n’était pas un crime. Le seul fautif dans l’histoire : c’était lui. Il avait mal réagi tout simplement parce que ses souvenirs étaient remontés trop violement dans sa tête. Avant Summer, il n’en avait jamais parlé et ce souvenir continuait de le hanter. L’idéal aurait été qu’il consulte un psy mais ce n’était pas son genre. Aussi fit-il comme à son habitude : cacher ses sentiments, cette faiblesse même aux yeux de sa petite-amie pour lui épargner une culpabilité qu’elle n’avait pas à avoir.

« Bébé… attends » lui demanda-t-il en la rattrapant par le poignet pour la ramener vers lui. Puis, il prit sa main pour la déposer contre son cœur. « J’ai envie de découvrir cela avec toi. Je veux dire, s’il y a bien une personne capable de me consoler avec mon passé, à m’ouvrir les yeux sur certaines choses : c’est toi. Je sais que j’ai mal géré pour le coup… Avant toi, je n’avais jamais parlé de ce passé à qui que ce soit. Je le garde en moi depuis tellement d’années… Je veux découvrir de nouvelles choses avec toi ! Vraiment ! Je dis simplement que pour le moment, tu vois, j’en suis incapable car c’est trop frais… Tu me connais : j’ai besoin d’analyser les faits et de me documenter. Je suis un scientifique » plaisanta-t-il avant de l’embrasser tendrement. « Ne culpabilise pas de m’avoir énoncé une de tes envies… Crois-moi, j’adore quand tu te lâches et que tu acceptes de te livrer à moi… pour te montrer ma reconnaissance, je vais te citer deux fantasmes que j’ai » lui dit-il avec un air bien plus charmeur -même si rendu ridicule par son maquillage très girly ; « J’ai envie de t’attacher, de te bander les yeux et de te faire l’amour sans que tu puisses faire quoique ce soit d’autres que gémir et me supplier de te faire jouir » commença-t-il avant de venir murmurer son dernier fantasme à l’oreille « ça et te faire l’amour, en pleine nature… depuis notre première fois ratée, je t’avoue que cela me trotte vraiment dans la tête »

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Paris & Summer.

Mon vanity sous le bras, j’avais entamé ma marche vers la salle de bain quand je sentis des doigts m’entourer le poignet et me tirer. Je me tournais sur moi-même pour faire alors face à Paris qui venait de poser ma main sur son cœur. Ce simple geste mettait le ton de ses confidences, et je ne lâchais pas son regard en l’écoutant me dire ce qu’il avait sur le cœur, penchant la tête légèrement sur le côté, prête même à sourire d’amusement en l’entendant parler de « documentations » sur le sujet. Paris s’approchais de moi pour venir m’embrasser et je me délectais de ce baiser qui me donnait souvent l’impression d’être d’autant plus porteur d’amour lorsqu’il venait conclure des révélations de la part de Paris. Je savais que parler de lui et de son passé n’était pas chose facile, alors quand il le faisait, mon cœur se gonflait d’amour et de joie, parce qu’il se savait important pour le cœur du Dunster. Oh je vous jure, si je pouvais absorber tous les maux de mon petit-ami, les engloutir pour qu’ils ne soient plus un fardeau pour lui, ni même un lointain souvenir, je le ferais sans hésiter !

Gardant ma main sur son cœur, je me rapprochais de Paris pour diminuer la distance entre nos deux corps et répondait simplement à ses aveux, avec toute la chaleur et la compréhension qu’il méritait : « Mon cœur, en te disant ces choses, il n’était pas question de te pousser à venir satisfaire cette envie, dans l’instant, tu sais ?! Et dis pas que tu as mal géré : ta réaction est tout à fait légitime, c’est moi qui n’ai juste pas pensé à l’impact que mes aveux aurait pu avoir sur toi » Il évoquait ensuite ma culpabilité et je secouais la tête en lui expliquant un peu mieux ma position « Je ne culpabilise pas de te l’avoir dit. Enfin si, mais pas dans le sens que tu crois. Je pense juste que j’aurais pu prendre des gants ! » Lançais-je avec un peu d’humour, non sans me mettre en tête l’image de gants d’auscultation pour une petite « fouille anale »…bon sang il fallait que j’arrête mes délires… « Tu sais quoi ? … » Déclarais-je prête à lui proposer un deal, « On n’a qu’à se dire qu’on met cette idée de côté, et qu’on en parle plus….du moins, le temps que tu te sentes prêt ?! » Je penchais la tête à nouveau et le regardais en haussant les sourcils, attendant son approbation tout en ajoutant « …Et quand tu le seras, on prendra le temps d’en discuter tous les deux, et de voir comment on veut que ça se fasse ? » Je tapotais du bout des doigts son torse et quelques instants plus tard, il me fallut un énorme courage pour réussir à retirer ma main de se torse bouillant sous mes doigts ! Paris avait évoqué ces propres fantasmes sexuels, ce qui eut clairement le don de me mettre en chaleur et me faire rougir. « Ouh llàààààà, faut que je parte…là-bas….avant que je ne commette un crime : attentat à la pudeur devant le livreur qui se pointera » Je m’écartais alors de Paris mais ce dernier m’attirait à nouveau à lui pour me murmurer son deuxième fantasme à l’oreille. Instinctivement, je fermais les yeux et me sentais à nouveau fébrile au point que mon Vanity me glissa des mains le faisant tomber par terre à côté de moi. C’est le bruit de sa chute m’avais ramené à la réalité en un vif sursaut « Oups ! » Je me penchais pour le ramasser tout en grognant après Paris « T’es vraiment pas sympa ! Me dire ça maintenant, alors que… » DING DONG !!! Sauvé par le gong . Je me pinçais les lèvres et souriais ensuite fièrement en disant « Va ouvrir être démoniaque ! Pendant que je range ça et que je fasse taire ce qui se passe entre mes cuisses » voilà pourquoi je souriais fièrement ! Tant qu’à faire, autant lui dire clairement ce que ses mots me faisaient, et qu’il sache aussi qu’il allait malheureusement pas prendre connaissance des faits tout de suite ! Pour l’heure il allait falloir manger.

Je courrais alors dans la salle de bain, posais mon matériel sur le meuble lavabo et me regardait dans le miroir pour ajuster mes cheveux (la pagaille !!!) et surtout, souffler un bon coup en me disant à moi-même « Calmes tes ardeurs Sum’, t’es intenable ! » D’un hochement de tête, je m’obéissais  sérieusement et filait dans la salon, direction l’entrée pour voir le spectacle entre mon petit-ami et le livreur-traiteur, me posant fièrement  à la gauche de Paris comme prévu, avec un sourire bien heureux



©Pando
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I think we have to talk ✩
Summer & Paris
Paris n’aurait pas rêvé mieux comme petite-amie : Summer était tellement compréhensive avec lui, se montrant toujours d’une très bonne écoute pour lui. Elle lui pardonnait ses faiblesses, elle l’encourageait même à les exprimer. « Qu’est-ce que je ferais sans vous miss Wingfield ? » s’amusa-t-il à dire avec une immense tendresse dans le regard. Une tendresse qui ne l’empêcha pas de clamer ses propres fantasmes pour rendre les choses équitables. Un petit discours qui échauffa les sens de sa petite-amie. « On a déjà été mis en prison pour moins que ça non ? » rigola-t-il de bon cœur, heureux que la petite tension d’il y a quelques minutes se soit évaporée. Il retrouvait toute sa complicité avec Summer et malgré tout, il s’en félicita de bon cœur si bien que c’est en rigolant qu’il la retrouva, fidèle au poste devant le livreur pour prendre sa place sur sa gauche. Manque de bol pour lui, il s’agissait d’un livreur qui les regarda étrangement. En même temps, Paris voulait bien le comprendre, ils devaient offrir un drôle de tableau tous les deux mais le jeune homme n’en a jamais été aussi fier. Pourquoi ? Parce que Summer n’était pas un simple corps qu’il serrait régulièrement dans ses bras. Elle était bien plus que cela. Il aimait tous leurs moments de fièvre, de douceur mais aussi de délires. Il aimait jouer avec elle, se lancer dans des trucs totalement fous et insensés. Summer était magnifique mais quand elle souriait, quand elle rigolait… C’était juste magique.

Oui, cette femme était peu à peu devenue sa meilleure amie en plus d’être une amante exquise. Elle le faisait rire, recueillait ses confidences, partageait bien plus avec lui que n’importe qui. Paris se voyait déjà vivre avec elle, se marier avec elle et même si cela lui faisait peur, cette pensée lui apportait un tel réconfort qu’il ne pouvait s’empêcher de l’aimer que davantage. « Un jour, on se fera interner toi et moi » rigola-t-il en fermant la porte sur le livreur. « Il a dû me prendre pour une drag-queen sur le retour et toi, pour mon mac pervers ! » rigola-t-il, se dirigeant avec elle vers le salon pour continuer cette saint Valentin… mais laissons donc ce couple profiter pleinement de cette fête des amoureux.

TOPIC CLOS.


electric bird.
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