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I think we have to talk [ft. Paris]

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I think we have to talk


Assise sur le lit, je jouais nerveusement avec mes mains, et la bague de mon pouce, tandis que Paris jetait un œil aux deux tests de grossesse. J’avais l’impression qu’une enclume n’allait pas tarder à me tomber dessus, et soudain sa première réponse éclatait, me faisant sursauter pour mieux me laisser dans l’incompréhension la plus totale par la suite : il était quoi là, exactement ? Soulagé ? Énervé ? Je ne saurais dire…

Je me contentais de le regarder, totalement interdite avant que Paris ne réagisse à nouveau ; et son « OH » m’angoissait un peu plus. Je baissais la tête, désemparée et n’étant même plus capable d’affronter quoique ce soit, quand je sentais soudain Paris s’agenouiller devant moi…Et ses mots eurent pour effet de reporter mon attention sur lui, et d’oser espérer que tout n’était peut-être si dramatique. Il ré-évoquait ses mots d’il y a une peu plus 2 semaine, m’assurant qu’il serait là, qu’on était deux dans cette galère, et qu’on allait être deux à l’élever. Et ce simple mot faisait bondir mon cœur dans ma poitrine. Il n’avait pas l’intention de me quitter, et mieux encore, il n’était même pas en train d’entrevoir LA solution que moi j’avais redouté qu’il prenne. C’est pourquoi au moment il me questionnait pour s’assurer que j’avais bien l’intention de garder le bébé, j’hochais vivement la tête, posant mes mains contre son cou et sa nuque, caressant cette dernière. « J’ai jamais imaginé le contraire. Enfin je veux dire, l’idée d’avorter ne m’a jamais traversé l’esprit, au contraire, c’est juste que… » je me mordais alors nerveusement la lèvre, grimaçant quelque peu ne sachant pas trop si je devais admettre que je croyais que c’était LUI qui allait me le demander. Je soufflais de soulagement, relâchant soudain la pression alors que Paris posait délicatement ses mains sur mon ventre. Je trouvais ce geste adorable, bien qu’effrayant également. Pour l’instant je ne prenais vraiment conscience de mon état –si ce n’est plus de ses conséquences – et je préférais attendre la confirmation finale de la prise de sang avant de pouvoir officialiser quoique ce que soit Quand Paris me demandait alors si mon comportement distant de ces derniers jours était dû à ça, au fait que je me croyais enceinte, je baissais honteusement la tête : « Pardon, j’ai vraiment été nulle ces 3 derniers jours…c’est juste que : plus j’attendais après mes règles plus j’ai commencé à angoisser, et puis au bout d’un moment, j’ai fini par avoir peur de ta réaction oui… » J’haussais les épaules, et continuais toujours de caresser le cou de Paris avant d’ajouter : « Et encore je voulais attendre de faire les résultats de la prise de sang que je dois faire demain matin, pour le te dire. Je n’ai pas trop confiance en ces tests de grossesse, même si j’avoue que deux positifs d’affilés, ça peut être convainquant…. » Je fixais alors Paris droit dans les yeux et lui avouais maladroitement « j’avais peur que si les choses se confirmaient, tu me demanderais d’avorter…parce que je ne peux pas faire ça…je …j’en suis incapable. Je sais pourtant que la situation est délicate, qu’on est étudiants ; et puis tu as déjà les enfants à t’occuper et  tes projets…je savais que ma décision allait tout faire foirer ! Mais même en sachant tout ça, je ne pouvais pas imaginer une seule seconde l’avortement… »


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Summer & Paris
Paris avait du mal à le réaliser : Summer était enceinte de lui. Elle attendait un enfant de lui. C’était le risque quand on ne se protégeait pas et pourtant, il n’arrivait pas à le voir comme une catastrophe. Certes, financièrement, cela allait être encore plus dur à gérer -et encore, il avait tout le nécessaire puisqu’il y avait l’équipement d’Ashlynn ; mais diable comment allait-il pouvoir gérer un deuxième bébé ? Et Summer ? Ses études l’épuisaient énormément alors tenir le rythme en étant enceinte ?! Un flot d’interrogations se déversait dans sa tête et le jeune homme peinait réellement à les gérer. Toutefois, il devait avant tout, rassurer son ange. « Je comprends… Je crois que tu n’aurais pas été toi, je serais en train de tempêter dans mon coin en me traitant de connard et autres réjouissances… au moins, ce bébé aura la chance de vivre auprès de ses deux parents » dit-il même s’il était tout aussi paniqué qu’elle. Paris pour l’heure, prenait les choses comme elle venait. Ils avaient neuf mois à peu près pour se faire à l’idée. Non, ce qui le travaillait davantage se trouvait dans tout ce qui entourait cette grossesse : l’organisation, le fait qu’ils ne vivaient même pas ensemble etc. « Attends, tu es en train de me dire qu’il se pourrait que ces tests soient faux ? Je ne comprends pas… tu as les urines changeantes pour que ça soit des faux ? » demanda-t-il bêtement mais en même temps, il cherchait à comprendre. Paris n’était pas habitué à ce genre de chose. Oh il avait déjà connu l’annonce d’une grossesse mais contrairement à la première fois, Summer n’avait pas l’intention de le priver de son rôle de père. « Hey hey… calme toi bébé.. » lui dit-il en la relevant pour la prendre dans ses bras. « Je sais que l’on est comme qui dirait dans la merde mais on a neuf mois pour trouver une solution… Ce bébé n’a pas demandé à naitre mais je suis certain que l’on pourra faire de bons parents toi et moi… Il suffit juste de s’organiser… Il est hors de question que je m’en aille de tout de façon. Je suis bien incapable de te quitter alors te quitter enceinte ? Je crois que ce serait trop m’en demander » souffla-t-il en lui caressant les cheveux, la nuque puis le dos pour la réconforter.

Il comprenait beaucoup mieux ces trois derniers jours et dans un sens, il était rassuré. « T’imagine pas ce qu’il m’est passé par la tête. Au départ, j’ai cru que j’avais fait quelque chose qui t’avait déplu ; Puis j’ai cru que tu voulais rompre pour aller dans les bras d’Amanda. Désolé pour ta copine mais j’avais vraiment envie de la tuer sur le moment ! J’étais même prêt à accepter un plan à trois juste pour te garder » avoua-t-il avec un petit rire. Maintenant que la peur était passé, il se sentait réellement libéré. « Pour en revenir à cette grossesse, si je comprends bien, il faut attendre la prise de sang ? Pour être certains ? »

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Je sentais le poids au-dessus de mes épaules à mesure que Paris me parlait et me rassurait. Au moins, il comprenait ce par quoi j’étais passé. Parce que si lui ne prenait état de la situation que maintenant, moi cela faisait 3 jours que je tournais la chose dans ma tête, et il en avait plus que conscience. Je lui parlais de cette histoire de prise de sang à faire demain et Paris ne semblait pas vraiment en comprendre l’utilité. Je secouais la tête en pouffant légèrement de rire à cause de sa remarque sur les urines changeantes et tentais de lui expliquer un peu mieux les choses : « Tu peux avoir des faux-positif, et des faux-négatif…en fait, tu as un taux d’hormones dans les urines et c’est ce taux qui est détecté avec plus ou moins d’efficacité dans les différent test existant. Normalement les faux-négatif sont plus fréquent que l'inverse...Mais je préfère être sûre quoiqu’il arrive. Surtout que j’ai toujours pris la pilule en dehors de ces deux jours loupés. » Et en disant cela, la panique revenait, parce que j’avais beau chercher à me rassurer, je n’arrivais pas à me faire à l’idée que j’étais sans doute enceinte et que ce fait allait bousculer toute notre vie. Paris avait beau être optimisme face à la nouvelle de cette grossesse, quelque chose me disait qu’il ne le faisait uniquement dans le but de me calmer….et c’est peut-être idiot, mais : ça marchait ! Un peu. C’est surtout lorsqu’il me disait qu’il était déjà incapable de me quitter, alors me quitter enceinte, c’était trop lui demander…je m’étais mise à sourire, réellement, pour la première fois depuis que j’avais fait ces tests. J’inspirais alors profondément en passant une main dans ses cheveux, jouant avec ces derniers en le regardant d’un air attendri, tandis que lui me détendait par ses caresses.

Il profitait de ce moment où je tentais de chasser le stress qui m’avait emparé toute la journée, pour me parler de ce qu’il avait imaginé depuis ces trois derniers jours et je ne pouvais m’empêcher de rire à ces remarques par rapport à Amanda : « Mon dieu, t’es fou ! Amanda c’est ma choupette, ma meilleure amie, mon double. Mais je peux pas te quitter pour elle… » Puis je penchais la tête en me souvenant soudain d’une soirée passé avec Amanda ou on avait plaisanté sur le sujet, bien avant que moi et Paris n’avions couché ensemble, et je décidais d’en faire part à mon petit-ami : « Bien que…j’avoue, que si tu n’existais pas – et que je n’avais pas autant besoin de l’amitié d’Amanda dans ma vie – cette petite blonde aurait été à mon goût ! »

J’embrassais alors Paris pour me réconforter et surtout parce que j’avais besoin de sentir ces lèvres sur les miennes, et puis, caressant maintenant sa joue, j’ajoutais : « Mais tu existes, pour mon plus grand bonheur…alors y’a pas de risque que j’aille voir ailleurs ! »  Je lui souriais amoureusement, la pression retombant petit à petit, jusqu’à ce que Paris ré-évoque la prise de sang : « Je fais la prise demain matin à la première heure, mais….il faudra attendre 24heures avant d’avoir la réponse définitive….va falloir se montrer patients. ». Je me penchais finalement en avant et embrassais la joue libre de Paris avant de lui murmurer à l’oreille « Je suis désolée de t’avoir fait peur…mais je tiens a te remercier de ne pas m’avoir mis la pression pendant ces 3 jours, même si tu savais que quelque chose clochait »


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Summer & Paris
Paris écoutait l’explication de sa petite-amie avec sérieux, comme le scientifique qu’il était en temps normal. S’il comprenait bien ce qu’elle cherchait à lui faire comprendre, il se pourrait bien qu’elle ne soit pas enceinte et donc, que les tests se trompent. Par deux fois. Le Dunster ne savait pas trop ce qu’il devait en penser. Dans un sens, l’idée qu’elle ne soit pas enceinte lui plaisait car cela les libérait d’un lot d’emmerdes phénoménal mais de l’autre…. Paris n’avait jamais caché son envie d’être père. Certes, il l’était dans un certain sens mais ses frères et sœurs ne venaient pas de lui. Or, il avait envie de transmettre outre son ADN, ce qu’il est. Et puis honnêtement, voir une mini-Summer déambulait dans l’appartement serait quelque chose de vraiment attendrissant. Du coup, il était en plein débat interne pour savoir si oui ou non, il devait se réjouir de cette grossesse ou si, au contraire, se devait-il de museler son bonheur et d’attendre les résultats de la prise de sang. Logiquement, la solution idéale serait la deuxième… mais… Paris était un être faible et surtout porté vers la famille. Inconsciemment, il ne pouvait que se réjouir de cette naissance même si cette dernière compliquait bien des choses.

Au moins, maintenant qu’elle était libérée de cette annonce, Summer lui souriait à nouveau, de ce sourire qui le rendait totalement marteau. Qu’est-ce que cela faisait du bien de voir le fossé entre eux s’évaporer comme de l’eau sur le feu. « J’ai jamais dit que c’était une pensée rationnelle ! Mon cerveau est parti dans tous les sens car tu ne lui donnais aucun piste à suivre du coup… bah j’ai l’imagination qui galope » haussa-t-il des épaules, affichant une mine dépitée qui se transforma rapidement en mine effarée. « Okay alors c’est clair et net, tu lui parleras par vitre interposée comme au parloir d’une prison ou sur internet ! Je veux plus que tu la vois » grommela-t-il sur le ton de l’humour. « Sérieux, de toutes les femmes qui peuplent la terre, j’ai trouvé le moyen de tomber amoureux d’une bisexuelle ! Double dose de problème » râla-t-il de bon cœur en secouant la tête.

Summer l’embrassa alors et il oublia tout ce qui n’était pas eux, rassuré de la voir à nouveau pleinement avec lui. « J’espère bien ! De tout de manière, je crois que je serais capable de te suivre jusqu’au bout de la Terre pour te prouver combien tu pourrais être heureuse avec moi. Je serais incapable de vivre sans toi » lui dit-il en toute sincérité. Summer était la femme de sa vie, il le savait jusque dans ses tripes. « On sera patient… Tu n’as pas à me remercier… Tu as le droit à ton jardin secret bébé, je n’ai pas envie d’être un petit-ami casse-couille mais je dois avouer que j’aime pas des masses quand tu es loin de moi… là » dit-il en pointant sa petite tête blonde dans un sourire tranquille. « Tu me fais un câlin maintenant ? »

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Mon sourire était revenu et le stresse disparaissait petit à petit, à force de contempler le visage rassurant de mon petit-ami. Même si il grimçait pour me faire comprendre qu’il était par toutes les sentiments les plus effrayants pendant 3 jours, il avait cette chose en lui, ce p’tit truc qui me laissait voir au-delà de mine dépitée….une traduction claire pour moi, qu’il tenait à moi, qu’il était là pour moi, et qu’il avait autant besoin de moi que moi j’avais besoin de lui. Je souriais avec tendresse, et laissais très vite échappée un rire gloussé quand il lançait sa remarque sur le fait d’être tombé amoureux d’une bisexuelle. Cependant, je me devais de rétorquer qu’il avait tort à propos de la double dose de problème que cela engendrait. C’est pourquoi je niais les faits, encore amusée par son attitude « Nnaaaannnnnn, c’pas vrai….t’as rien à craindre. J’ai eu ma dose avec les filles de mon côté aussi, hein ! Et puis, de toi à moi : Je suis bien plus fan des armoires à glace que du ptit gabari. » Je lui faisais un clin d’œil et l’embrassais amoureusement avant de le remercier pour sa patience incroyable de ces derniers jours. Il avait beau me donner raison en me disant que j’avais bien le droit à ma part de secret, moi je secouais gentiment la tête pour mieux renchérir : « Même….Tu étais autant concerné que moi par le problème. C’est juste que j’espérais chaque jour qui passe, que mes règles pointe le bout de son nez pour me dire « bah, tu vois, pas la peine de stresser » j’haussais finalement les épaules et penchais un peu la tête d’un regard innocent, une manière pour moi de dire que je savais que c’était idiot d’avoir gardé tout ça pour moi, mais que je ne l’avais pas vraiment fait de gaieté de cœur. Je regardais alors Paris me sourire sereinement avant de me demander un câlin. J’arborais très vite un sourire jusqu’aux oreilles, les joues soudain rougies par la chaleur que me procurait sa requête. « Avec plaisir, je suis en manque !!!!! »

Je me levais alors du lit, lui prenant précautionneusement ses mains et plâtré sous atèle pour qu’il se relève lui aussi. Puis, j’écartais grand les bras pour l’accueillir et l’encerclait au niveau de ses épaule et son cou, avant de bondir pour très vite encerclé sa taille de mes jambes, serrant bien cette étreinte par moi-même pour que Paris ne soit pas obligé de me supporter de ses bras par en dessous. Non j’étais clairement et fermement agripper à lui ma tête caler sur ses épaule l’un de mes bras qui l’entourait. Je relevais la tête pour venir déposer une multitude de bisous sur sa joue qui m’était offerte, et je souriais entre chaque baiser, trop heureuse de pouvoir enfin respirer. Rien n’était vraiment derrière nous, tout ne serait joué que d’ici 2 jours mais…comment dire : Savoir que Paris ne paniquait pas, qu’il restait entièrement disponible et rassurant ? Ça me donnait presque l’impression que rien n’était grave finalement. Que TOUT irait bien…

Je ne cessais d’attaquer Paris de bisous, sur son visage, dans le cou, sous son oreille. Je me droguais complètement de mon homme, avant de me souvenir qu’on allait devoir passer à table avec les enfants…et que le repas n’était vraiment pas des plus fameux. « Désolée pour le Pané de Dinde/Purée… » Je pouffais de rire et ajoutais « Ça aurait pu être pire n’empêche…..y’avait des saucisses aussi dans le frigo. J’ai hésité un moment avant d’opter pour la dinde. » et je reprenais mon assaut de baiser telle une accro, ayant même envie de mordiller la peau du cou de Paris tellement il me rendait dingue.


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Summer & Paris
« Au fait question conne mais tu as voulu jouer du gazon à quel moment ? » lui demanda-t-il en fronçant les sourcils. Oui, jouer du gazon signifiait en langage Maconahey : aimer les femmes. Il était curieux de savoir comment Summer en était venu à devenir bisexuelle. C’était quelque chose que lui-même ne pourrait pas expérimenter. Okay son cul n’était plus vierge depuis des lustres à cause de son père mais Paris n’avait jamais ressenti aucune étincelle à l’idée d’explorer celui d’un autre homme. Il aimait trop les corps féminins pour s’adonner à d’autres plaisirs -bien qu’il n’avait rien contre les personnes aimant le même sexe qu’eux. « Tu te rends compte, si nous étions restés amis, on aurait pu se prendre une bière, s’installer à un bar et faire un concours de celui ou celle qui draguerait le plus de femmes ! » rigola-t-il en secouant la tête. Une telle chose ne pourrait plus se produire car il finirait mort de jalousie au bout de quinze secondes. « Mais je suis tout de même rassuré que tu préfères les armoires à glace car je suis certain que tu trouveras pas plus grand et baraqué que moi » reprit-il en bombant le torse, développant ses muscles comme un bodybuilder rien que pour la faire rire à nouveau. « Quoiqu’il arrive, on s’en sortira bébé, toi et moi… A nous deux, nous sommes invincibles non ? Ce n’est pas comme ça que ça marche l’amour ? » lui demanda-t-il presque sur un ton enfantin car c’est ce qu’il était par moment sur un tel sujet. Sa naïveté n’en était que plus touchante.

Paris lui demanda alors un câlin comme pour sceller ce nouveau pacte et Summer lui sauta au cou, enroulant bras et jambes autour de lui. Avoir sa petite-amie dans les bras lui fit pousser un soupir de plaisir surtout qu’elle n’arrêtait pas d’embrasser sa joue. Un sourire se dessina à nouveau sur ses lèvres, tournant la tête au dernier moment pour lui voler un baiser qu’il s’amusa à prolonger aussi longtemps que possible. « Bébé, si tu continues… Je te promets que les gosses dineront sans nous »grogna-t-il en frissonnant lorsqu’il sentit ses lèvres dans son cou. Bon sang, maintenant qu’il avait à peu près une main libre, il ne lui en fallait pas beaucoup pour vouloir lui faire l’amour. « Mouais ça mérite une punition miss… Une belle fessée » sifflota-t-il sachant qu’elle aimait ça la petite coquine. « Je vais surtout me commander une pizza » marmonna-t-il entre deux baisers alors que ses doigts venaient de se faufiler sous son haut pour venir faire sauter l’attache de son soutien-gorge. « Il me gênait pour caresser ton dos » lâcha-t-il innocemment.

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La question à laquelle je ne m’attendais pas, sortait de la bouche de Paris, me laissant un peu surprise, mais à la fois amusée. A quoi cela servait que je réponde à cette question ? Non pas que ce soit un secret, ou un mystère non élucidé, mais je m’étonnais que Paris veuille en connaître la raison. Mais c’est en toute honnêteté que je lui répondais : « Après que mon fiancé m’ait trompé avec ma sœur. A mon arrivée à Harvard….en fait, j’avais été à la fois tellement déçue par les hommes et perdue par rapport à l’intérêt que quelqu’un pouvait me porter, que j’avais fini par me dire que jamais plus je ne pourrais trouver un homme à aimer. Et puis il y’a eu cette fille… » Je laissais échappé un bref ricanement et informais alors Paris du pourquoi : « Elle s’appelait Chloé d’ailleurs. Le truc limite étrange j’avoue, mais....BREF. Elle m’a dragué à une soirée confrérie, et sur le coup, j’ai trouvé ça étrange, mais l’alcool aidant je me suis laissé tenter par ses avances et ses compliments…Et puis je me suis dit « pourquoi pas ?! »: J’ai la possibilité là maintenant, de découvrir un truc que je ne connais pas, qui ne me rebute pas, et qui pourrait même me réconcilier avec moi-même… » Je souriais alors à Paris innocemment et haussant les épaules, je finissais par conclure « Et voilà comment j’ai fini par jouer du gazon, comme tu dis. Je me suis sentie à nouveau aimer…mais très vite bafouée à nouveau » je penchais la tête en pinçant les lèvres, un peu dégoutée « Comme quoi, homme ou femme, le résultat est le même : je ne suffisais pas. » Je préfère laisser tout ça derrière moi, parce que c’est justement ce genre de rappel au souvenir que me faisait à nouveau douter  au point de perdre à nouveau confiance en moi. Au lieu de ça, je préférais rire de la réflexion de Paris au sujet de la drague en duo. « Oh non très peu pour moi, tu serais revenu avec plus de numéro de fille que moi, et je suis un peu mauvaise joueuse quand c’est comme ça ! »  et c’est quelques secondes plus tard que je concédais à Paris que je préférais les armoires à glace, tandis que ce dernier bombait le torse en se disant rassurer car il était de loin le plus gros gabarit connu ! Je souriais gaiement, et hochait vivement la tête comme une gamine, en lui disant, fier de mon homme : « Le plus grand, le plus baraqué, le plus sexy, le plus beau…le plus affolant !!! »

Je lui sautais très vite dans les bras dès qu’il demanda un câlin et le couvrait de baiser, riant légèrement lorsque je le voyais dévier par moment la tête pour obtenir un baiser sur ses lèvres. On aurait sans doute pu nous comparer à des ados en cet instant, mais je m’en fichais royalement. Ainsi accrochée à Paris, je me sentais sur nuage, à la fois légère et fiévreuse ! Fiévreuse d’amour et de passion pour cet homme qui égayait mon quotidien et me faisait perdre pieds à chaque instant. Bébé ou pas bébé en route, la seule chose que j’avais retenu de toute cette angoisse, c’était que j’étais clairement accro à Paris, que je n’imaginais pas ma vie sans lui. En temps normal, j’aurais dû en être effrayée, surtout si les choses venaient à tourner mal et que je me retrouve seule à pleurer, mais j’avais envie de faire abstraction de tout ça ! Pour une fois dans ma vie, j’avais envie de croire en moi, croire en ce que je pouvais apporter à Paris ! Croire que SEULE MOI pouvait l’aimer avec autant d’ardeur et de passion ! Que seule moi rêvais avec autant de ferveur de le rendre heureux. J’y croyais ! Là maintenant, j’u croyais dur comme fer ! Voilà pourquoi je ne cessais de l’embrasser, de le dévorer, lui faisant comprendre à quel point je vivais pour lui, respirait par lui, m’animait uniquement dans ses bras. Paris commençait à grogner, signe qu’il allait céder à mes pulsions et je souriais contre sa peau, d’un air de victoire. J’osais tout de même parler du désastreux dîner qu’on allait avoir, et Paris me promettait une fessée, ce à quoi je ne pouvais que répondre d’un ton aguicheur et Ô combien demandeur : « Tu pourras me fesser autant que tu veux ce soir ». A ces mots, j’ouvrais la bouche pour happer la peau du cou de Paris, laissant ma langue humidifier cette zone avant de refermer mes lèvres dessus, mes dents se joignant à l’action pour mordiller sa peau. Bien que très concentrée sur ce que j’étais déjà en train de dévorer, il allait tout de même falloir s’intéresser au dîner « il était plus de 21h30 quand je suis arrivée mon cœur, commander une pizza maintenant, ce n’est pas un peu tard ?! » J’allais en plus ajouter que Matthew allait sans doute prendre mal le fait qu’on lui demande de se charger du dîner pour finalement manger autre chose, mais je sursautais de surprise en sentant mon soutien-gorge se dégrafé. Instinctivement, j’avais redressé la tête pour observer Paris qui jouait les innocents et moi, j’avais la bouche entre-ouverte, signifiant clairement mon choc avant de sourire, amusée : « On voit que tu as retrouvé l’usage d’une main toi ?! Ça t’as manqué avoue » osais-je lui déclaré d’un air de défi avant de venir l’embrasser. Puis lâchant ses lèvres, je décalais mon visage pour venir coller ma joue contre la sienne et lui chuchoter à l’oreille « Moi en tout cas, ça m’a manqué…Ne plus sentir tes mains sur moi, c’était marrant un temps mais là…je commence à devenir folle »


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Summer & Paris
Summer lui expliqua que c’était par dépit amoureux qu’elle en était venue à la conclusion que si les hommes ne lui allaient pas, qu’elle pouvait toujours tester les femmes. Oh il trouvait son ouverture d’esprit admirable ; Pour sa part, sa dernière expérience homosexuelle l’avait laissé à la fois de glace et honteux (merci au baiser avec Priape). Non, Paris ne se voyait clairement pas avec un mec. Il serait dans la compétition et puis merde, il se voyait pas du tout jouer au golf avec le cul d’un autre mec. Summer lui convenait tout à fait et il n’était pas près de changer de sexualité. Voilà, il allait devenir Summersexuelle. « Tu sais quoi, tes ex n’étaient que des connards car pour t’avoir longuement testé mon bébé, je peux t’assurer que tu me suffis largement » confessa-t-il à sa petite-amie avec un air adorable. Oui, Summer lui suffisait et son cœur ne s’y trompait pas. Pour être tout à fait honnête, le jeune homme s’était attendu à lui rester fidèle, ça aucun doute mais il s’était dit que finalement, même s’il ne commandait pas, il pouvait toujours jeter un œil au menu. Or, depuis qu’il était en couple, aucune autre femme n’avait été à son goût… Il ne ressentait même pas l’envie de les regarder. Sa blonde l’obsédait complétement. « De tout de manière, nous ne saurons jamais qui aurait eu le plus de numéro car je me refuse de te voir draguer d’autres personnes que moi. Je suis même prêt à jouer tous les rôles que tu voudras pour pimenter notre sexualité si tu en ressens le besoin bébé… mais te partager même pour un pari… No way » grogna-t-il avant de tout simplement éclater de rire. Sa façon de répondre à son gabarit lui fit penser à une chanson. Merci sa mémoire toute pourrie qui se permettait de venir l’emmerder en plein moment sérieux et intime avec sa compagne.

Cette dernière devait se demander pourquoi il se mettait à rigoler bêtement alors qu’elle lui sortait une litanie de compliments. Aussi, après avoir grimacé, il se mit à chantonner : « Le plus beau c’est Gaston, le plus costaud c’est Gaston et personne n’a un cou de taureau comme Gaston […] Le plus chouette c’est Gaston, la vedette, c’est Gaston ! ». Oui, la chanson de Gaston de la belle et la bête résonnait dans sa tête, à un moment pareil. « Désolé, ma mémoire m’a joué un vilain tour » rigola-t-il avant de secouer la tête pour se changer les idées. Un moment d’inattention dont elle profita pour lui sauter dans les bras et s’accrocher à lui pour le couvrir de baisers qui ne firent qu’attiser le désir qu’il avait d’elle. Summer était l’espèce de grattoir noir où l’on frotte la tête des allumettes. Okay l’image n’était pas top mais c’était tout ce qui lui venait en tête pour dire combien d’un baiser, elle l’allumait rapidement. « Je savais que tu aimais vraiment les fessées » murmura-t-il entre deux baisers qui d’ailleurs, se faisaient de plus en plus passionnés. Le manque de ces derniers jours se faisaient doucement sentir sans compter le stress qui retombait progressivement. Un cocktail méchamment dangereux et séduisant. « Okay okay.. va pour la purée mousseline » grommela-t-il car il n’avait pas envie de discuter du choix du diner. Au contraire, il avait d’autres projets en tête comme sauter le repas et passer directement au dessert.

Paris en avait même fait sauter l’attache de son soutien-gorge, pressé de sentir ce petit obstacle ne plus en être un même si de vous à moi, ce n’était pas son dos qu’il désirait si ardemment caresser. « Tu n’imagines même pas à quel point ça m’avait manqué de ne pas pouvoir te toucher pleinement » avoua-t-il avant qu’elle ne vienne définitivement mettre le feu au poudre. « Summer… si je te fais pas l’amour-là maintenant, je vais finir dingue » râla-t-il mais le destin en décida autrement. « Hey les lapins ! Le dîner est prêt alors vous venez manger ? » venait de lâcher Matthew, un sourire débile sur les lèvres. « Sum’, c’est cool tu vas mieux mais j’ai pas fait le diner pour rien… alors vous venez ? Et puis… pendant que j’y suis… Je vous signale que ma chambre est juste à côté de la vôtre et que demain, j’ai un contrôle d’anglais alors j’aimerai bien dormir » leur assena-t-il avant de les laisser tranquille. « Sérieux ? Il a que quatorze ans ?! »

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Je riais dans les bras de Paris alors que ce dernier se mettait à chanter la chanson de Gaston dans la Belle et la Bête, tout en m’exclamant « C’est mon Disney Préféré !!!!!! » tout enjouée telle une gamine, je lui énonçais ce fait, bien que je devais tout de même rectifier quelque chose : « Sauf que, t’es pas Gaston ! Non toi…t’es la bête » Je pouffais de rire dans son cou, avant d’y déposer un petit bisou et de lui expliquer pourquoi je le qualifiais ainsi : « Tu sais ? Au départ bougon et agaçant, mais qui devient très vite un vrai nounours adorable et romantique »

Après cela, tout était léger et enfantin entre nous…Enfin : à peu de chose près ! Non parce que si notre conversation ne portait aucune à conséquence et nous faisait plus rire qu’autre chose, tout le reste était bien plus entreprenant. J’étais littéralement en train de dévorer Paris, de l’embrasser dans le cou, sur les joues, sur la bouche, happant sa peau, la mordillant même ! Je me rattrapais de ces 3 derniers distants où je m’étais freiné dans mes actions, par peur que Paris ne sente dans ma manière de me coller à lui, que j’étais plus à la recherche d’un réconfort que d’un véritable câlin amoureux. Hors là, c’est tout à fait ce que je voulais ! Je désirais Paris, parce qu’il était essentiel à mon bien-être, J’étais heureuse en étant célibataire, certes…Mais je le suis bien plus en étant dans ses bras ! Et c’est vivante et avec un nouveau regain d’énergie que je m’accrochais à lui, ne lui laissait aucun répit. Il m’avait tellement manqué ! Autre que mes lèvres qui s’agitaient sur sa peau, mes mains aussi s’étaient jointes à la partie. Bon, mes mouvements étaient bien plus limités dans le sens où je ne voulais pas perdre l’équilibre dans ses bras ou même glisser ; mais je n’hésitais pas à passer une main dans ses cheveux, lui massant le cuir chevelu de mes doigts tandis que mon autre main entourait sa nuque et caressait cette dernière, pétrissant presque sa peau pour marquer mon envie de le posséder. Exerçant ainsi cette pression sur l’arrière de sa tête, je profitais du moment pour l’embrasser avidement, sans me rendre compte que mon corps se réveillait dans ses bras, mon bassin se mouvant contre Paris bien que très bien accroché grâce à mes jambes.

J’avais l’impression qu’on était seuls au monde lui et moi et on aurait pu y croire encore longtemps si Matthew n’avait pas décidé de nous calmer sur place ! Et dire que j’étais justement en train de répondre à Paris « Et j’vais devenir dingue si tu ne me fais pas l’amour tout de suite ! ». L’adolescent avait mal choisi son moment ! J’étais en train de grogner contre la bouche de mon compagnon, pas très ravie que le jeune homme nous compare à des lapins, et lâchais ensuite les lèvres de Paris à contrecœur avant de soupirer « On arrriiiiivvvveeeee…… » Matthew semblait fier de lui, et le pire c’est qu’il en remettait une couche en nous disant qu’il n’avait pas fait le dîner pour rien et que sa chambre était collé à celle à la nôtre….à la nôtre. C’est ce qu’il avait dit. A partir de là, au lieu de lui gueuler dessus, j’étais en train de sourire comme une idiote, dans mon petit monde. Je loupais alors le départ de Matthew et entendais seulement maintenant Paris s’offusquer. Je tournais alors la tête en sa direction et haussais les épaules en répondant : « C’est de plus en plus précoce à cet âge-là…mais t’inquiète on se vengera !...attend ce weekend, quand il aura fait son contrôle d’anglais, je lui réserve un réveil dont il va se souvenir ». J’étais joueuse ! Très joueuse…Paris le savait, mais il n’avait encore pas eu le droit de subir mes petits jeux débiles. Matthew lui, allait être le premier à expérimenter. La seule chose qui me venait à l’esprit en cet instant c’était de faire un choix entre deux possibilités : doigt dans l’eau ou mousse à raser ??

J’aurais tout le temps d’y penser finalement. J’embrassais une dernière fois Paris et me détachais de lui, glissant sur ses jambes avant de retoucher terre. « Par contre il peut aller se faire voir ! Hors de question de se priver de sexe…il ne se prive pas de porno lui ! » Je cherchais à remettre l’attache de mon soutien-gorge tranquillement tout en avouant d’un ton mutin : « On fera juste pas ça ICI » J’adressais alors un clin d’œil à Paris et me levait sur la pointe des pieds pour lui voler un rapide baiser, pour sortir enfin de la pièce quelques instants plus tard, en criant l’air de rien « AAAAAA TTTTTAAAAAABBBBLLLLLEEEEEE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! »


© charney


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Summer & Paris
Sans le vouloir, Paris avait tapé juste en se mettant à chantonner cette chanson qui avait entendu une seule fois. Danika aimait bien se mater des Disney dont la Belle et la Bête. « Tu me rassures, j’avais pas franchement envie que tu m’imagines en débile pervers incapable de comprendre quand une femme lui dit non » plaisanta-t-il, ravi de la voir à nouveau rigoler, sourire, être son petit rayon de soleil. A nouveau elle irradiait de bonheur et cela lui faisait un bien fou.   « C’est normal, j’ai trouvé la belle qui a levé la malédiction qui m’entourait » lui dit-il en jouant le jeu même s’il y avait un fond de vérité. Summer l’avait libéré de ses chaines.

Malheureusement, il aurait tellement aimé pouvoir pleinement la retrouver et sa petite-amie était tout à fait d’accord avec lui seulement… Matthew vint tout gâcher, le faisant grogner à la fois de frustration mais aussi de gêne. Il n’avait absolument pas honte de faire l’amour avec Summer mais c’était totalement idiot, il voulait être le seul à l’entendre gémir et crier de plaisir. C’était SA mélodie à lui, pas à un autre. « Je ne savais pas que tu étais machiavélique » rigola-t-elle alors qu’ils étaient à nouveau seuls dans la chambre. « On ferait bien de les rejoindre rapidement sinon ils vont encore se faire des films » grommela-t-il. Franchement, son frère ne perdait rien pour attendre. « Mais quoique tu décides de faire, je veux t’aider ! » lui dit-il avec un sourire un brin sadique. C’était la guerre !

Summer se détacha de lui après l’avoir embrassé. Sa remarque lui arracha un éclat de rire. « De tout de manière, j’étais même prêt à te faire crier plus fort mais je suis trop égoiste… j’aime quand tu ne gémis que pour moi et moi seul » lui avoua-t-il avec un léger clin d’œil mais elle le surprit à nouveau en lui annonçant qu’ils ne feraient pas l’amour dans la chambre. « Tu veux faire ça où ? » lui demanda-t-il bêtement, la suivant machinalement vers la salle à manger où finalement, toute la famille mangea dans la bonne humeur.

Deux jours plus tard, Paris courait et montait quatre à quatre les marches menant vers l’appartement. Nous étions le 14 février et il avait complétement oublié que c’était la Saint Valentin. Heureusement, il avait trouvé un fleuriste encore ouvert et allait pouvoir offrir un bouquet de fleurs à sa petite-amie. « Je suis affreusement désolé bébé ! Je sais que l’on avait prévu un restaurant tous les deux mais j’ai totalement zappé de réserver et ils ont plus de place de libres » furent ses premiers mots tandis qu’il lui mettait le bouquet de roses rouges dans les mains. Ces deux derniers jours, Paris avait été occupé à réfléchir à cette histoire de grossesse. Il en était venu à la conclusion que Summer ne pouvait pas mettre un enfant au monde sans être sa femme. C’était vieux jeu mais Paris se refusait à ce que son enfant naisse hors mariage. Or, il avait passé les deux derniers jours à courir les bijouteries pour trouver la bague idéale, oubliant de ce fait complétement cette histoire de Saint Valentin. « Bonne saint Valentin mon ange… Pour me faire pardonner… Que dirais-tu de mettre ta plus belle robe de soirée et de m’accompagner au bal de la Dunster ? »


electric bird.
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