1 an déjà ... Philia

Je voulais qu'il parle, que notre relation que sa soit n'importe laquel fallait qu'il me parle, qu'on fonctionne dans les deux sens. Je pleurais, c'était les émotions, le faite d'être arrivé a mettre des mots sur mes sentiments, sauf que ce n'étais pas glorieux, il n'était pas très ouvert. Il me disait qu'il savait qu'il était pas douer. Je le regarde enfin dans les yeux
"Je suis sue que tu peu le faire!" Oui j'en suis persuadé parce que je crois en lui. Il me demandais si je voulais qu'on aille ailleurs.
"Oui si tu veux... J'avais rien envie de dire.

Je souris un peu lorsqu’elle dit qu’elle est sûre que je peux le faire. C’est fou comment cette fille a confiance en moi, sûrement plus que je m’en accorde moi-même. J’avoue que j’aimerais être capable facilement, surtout en ce moment, ça pourrait régler bien des choses. Toutefois, je ne pouvais changer la personne que j’étais. « Je vais essayer… » Trouver un autre endroit me permettrait également de penser d’ici, d’essayer de trouver un moyen que mes pensées deviennent claires. De plus, on décompresserait tous les deux entre temps. Je fronce les sourcils à sa réponse, je n’allais pas la forcer non plus. Elle pourrait bien partir en ce moment et ne plus vouloir me voir que je comprends presque, mais ce n’est pas ce que je voulais bien sûr. « Si tu as le temps pour cela bien sûr… Tu veux aller où? » Le temps, la tête, le cœur. Probablement que je devrais laisser un peu de temps, mais elle voulait que ça soit maintenant, je n’allais pas la contredire.

Je crois en lui plus qu'en moi, je sais qu'il en est capable. Il a traversé tellement de chose jusque la que je suis sur que focntionnera. J'espère surtout pour nous deux. Il me proposais d'aler quelque part. Je voulais qu'il soit a l'aise pour parlé.
"C'est toi qui voi, la ou t'es le plus a l'aise pour parlé" Bah oui s'il veut parlé qu'il choisssisse. Je me tenais toujours avec un peu de distance de lui. J'avoue je luttais pour pas le touché. Je meurs d'envie de prendre sa main dans la mienne

« Tu veux venir chez moi alors? » C’était bien sûr l’endroit où j’étais le plus à l’aise pour parler, toutefois celui-ci n’était pas neutre. Bon il faut dire que je n’avais pas très envie de me retrouver dans un café, ni chez elle si elle avait des colocataires. Je voulais qu’on soit que tous les deux, qu’on puisse être proche si on en avait envie. Enfin, probablement qu’elle ne voudrait plus. Tout dépendait de ce que je lui dirais… je devrais faire attention d’ailleurs. Je pouvais être des plus maladroits et je ne tenais pas à rendre la situation pire qu’elle était déjà. J’ai l’impression d’être un adolescent qui découvre ce que pourrait être l’amour pour la première fois alors que je connais que trop bien ce sentiment déjà, que j’en ai un peu peur d’ailleurs.

J'étais pas bien. J'avais tellement envie de prendre sa main de le sentir contre moi, mais après sa réponse il fallais que je tienne. Il me proposais qu'on aille chez lui. J'allais pas lui dire non après tout c'est l'endroit ou on est le plus a l'aise.
D'accord...je repon toujours de façon un pei froide. La situation était quand même un peu délicate. Je le suivais jusqu'à chez lui dans un silence de plomb. Je ne le regardais pas, je ne pouvais pas. Il fallais que je résiste.

Un léger soupire s’échappe de mes lèvres suite à sa réponse. Je vois bien qu’elle m’en veut, qu’elle est fâchée ou je ne sais quoi encore. Normal, je n’ai pas arrivé à m’ouvrir à mon tour. Je ne sais même pas si je vais réussir d’ailleurs, mais elle semble avoir confiance. Cette fille est unique. On marche jusqu’à chez moi sans dire un mot. C’est réellement étrange. À l’habitude, si un silence arrivait, c’est qu’on se comprenait, qu’on était dans l’émotion, mais là, c’était complètement l’inverse. J’étais perdu et justement, je n’arrivais pas à la comprendre. Dès que j’arrive dans mon appartement, je la délaisse pour aller dans la cuisine. Peut-être qu’elle ne boit pas, mais moi j’en ai carrément besoin. Je prends qu’une bière, ce n’est pas du fort non plus, ça va aller. « Tu veux quelque chose? » Encore là, je repoussais le moment où je devrais réellement lui parler. Ma tête se tourne vers elle tandis que j’ouvre ma bouteille et la porte rapidement à mes lèvres.

J'avais l'impression de le mettre au pied du mure. Maos j'aivais besoin de réponse. Je voulais savoir. Je sentais bien le mal haise. Je m'assois sir le canapé en tailleur, il va se cherché unr bière.
non merci je voulais pas boire. Je voulais l'entendre lui.
Tu sais... j'ai mi très longtemps avant de mettre des mots sur ce que je ressens. Je l'ai fait, je sais que toi aussi tu peux y arriver. Je sais que tu tien a moi. Je n'ai pas d'ami qui tienne a moi comme ça Phil... t'es plus qu'un ami... je me harsarde surment mais je pense que je suis un peu plus qu'une amie pour toi aussi. j'allais un peu fort.

Mia s’installa sur le canapé et je reviens vers elle, pinçant mes lèvres. Pourquoi arrive-t-elle si bien à lire en moi, alors que je n’y arrive même pas? Je m’assis à ses côtés et fixe un instant le sol avant de la regarder à nouveau. J’ai l’impression de ne pas être capable de lui donner ce qu’elle veut et c’est plutôt énervant d’ailleurs. « Tu as raison Mia, c’est certain… On ne se soucie pas autant d’une amie, on n’est pas aussi proche… » Il fallait dire qu’elle était régulièrement dans mes pensées, mais jamais je n’avais réellement fais attention à cela. J’étais touché par son histoire, par nos ressemblances, alors j’avais trouvé cela normal. « Mais je ne saurais décrire ce que… je ressens pour toi. » C’était tout simplement impossible. Je n’y arrivais pas et d’un côté, je ne le voulais pas non plus… « J’ai l’impression de la trahir qu’à avoir certaines pensées… » En effet, dans ma tête, je devais rester fidèle à Amelia. Mon cœur devait rester à elle, mais j’avais l’impression qu’il s’en éloignait et je me sentais grandement coupable.

Je tapais juste. Il pensais a la même chose que moi. Il me disais qu'on ne se souciais pas autant d'un simple ami. Je sentais bien qu'il avait mal. JE comprenais que c'était horrible. Il me disais qu'il avait l'impression de trahir Amélia. Il ne disais pas son prénom. Il me disais qu'il était incapable de décrire ce qu'il ressentais pour moi. J'étais touché parce qu'il faisait l'effort de parlé. Je me rapprochais de lui pour prendre sa main libre dans les miennes. Je le regardais dans les yeux
"Phil... Je le sais que trop bien. J'ai mi longtemps a aimé après Rome et je n'ai pas eu une vie avec lui comme tu as eu avec elle. J'ai eu la chance d'avoir un ami qui le connaissais que trop bien. Rome lui avait dit de veillé sur moi pendant son absence. Il ma dit une chose qui ma fait réagir.
S'il ne revenais pas, il voulait que je sois heureuse, que je refasse ma avec quelqu'un d'autre. Je sais une chose c'est qu'il aimait mon sourire, ma joie de vivre, il aimait ce que j'étais avec lui. Je sais qu'il est la haut et qu'il veille sur moi. Je sais qu'il veut que je sois heureuse. Je ne connais pas Amélia, je ne l'ai pas connu mais, je suis sur qu'elle voudrais ton bonheur, que tu puisse enfin retrouvé se sourire, que tu sois heureux Phil. Quand je vois ta fille quand je te vois toi. Amélia devais être une personne bien vraiment bien. Une fille comme elle aurait voulu que ton bonheur. Pas que tu vive dans le passé, pas que tu reste sur ce qui c'est passé. Pas que tu t'interdise d'aimé parce qu'elle est partie." Je sentais une larme perler sur ma joue, j'avais tellement envie que quelqu'un me dise sa un jour.
"Même si c'est pas avec moi Phil, je m'en fiche, la seul chose que je veu c'est te voir sourire, t'entendre rire, que tu puisse vivre la vie comme il se doit." J'avais vraiment dit tout sa.
Je n'avais pas lâcher sa main. J'avais besoin de son contact.

Je l’écoutais, attentivement, et je ne savais pas si mon cœur de se brisait plus suite à celui ou se réparait. Je savais bien qu’elle avait raison, j’avais essayé de me le répéter auparavant, mais je ne savais pas si j’étais prêt. Mais quand est-ce le serais-je totalement? On ne peut pas oublier son premier amour, on ne peut pas remplacer la mère de notre enfant, c’est tout simplement impossible. Je suppose que je devais plutôt trouver une autre place, enfin ne pas essayer de la remplacer. Amelia serait toujours dans mon corps et jamais je ne pourrai cesser de l’aimer. Toutefois, je ne devais rester par rapport à elle comme avant, puisqu’en effet, je vivais dans le passé tout simplement et je ne pouvais pas avancer ainsi, je stagnais. Depuis des mois que j’étais au même endroit. Les mêmes pensées, les mêmes sentiments, les mêmes gestes. Je n’étais pas capable de m’en sortir seul, mais peut-être que justement, j’avais besoin de quelqu’un pour cela… Elle avait pris ma main dans la sienne et ce simple me contact me permettait de rester dans la réalité bien que j’aie envie de bien plus. Je voyais des larmes monter dans ses yeux et j’essayais pour ma part de les contenir. « Mais on ne me l’a pas dis… ce n’était pas prévu, ni même envisageable. Dès qu’il est partit, tu devais avoir peur. Moi c’est arrivé d’un coup. On avait tellement de projets… et je regrette d’avoir mis autant de temps à les réaliser. Je me disais qu’on avait toute la vie devant nous, alors pourquoi se presser? Mais aujourd’hui je m’en veux, je me trouve con merde… Je voulais la marier, je voulais d’autres enfants, mais au lieu de tout cela, je me suis retrouvé seul… » Je n’avais jamais parlé de tout cela à qui que ce soit. C’était ce qui me tracassait le plus dernièrement d’ailleurs. J’avais beaucoup de regret, mais je ne pouvais rien y changer aujourd’hui. « Je sais que tu as raison, je sais que c’est sûrement ce qu’elle voudrait, mais c’est moi qui… je ne sais pas. J’ai peur, mais je ne sais de quoi. » De la remplacer? De l’oublier? Je savais très bien que c’était impossible pourtant. Peut-être que je ne voulais tout simplement pas revivre ça. J’avais peur d’aimer autant à nouveau, puisqu’on ne sait jamais quand tout cela peut s’arrêter. Ses dernières paroles me firent légèrement sourire. Pas avec elle? Avec qui d’autre voulait-elle que je sois ainsi? « Mais c’est toi qui me fait sourire Mia, c’est toi qui me rend ainsi et… je préfère autant continuer comme ça si ce n’est pas pour être avec toi. »