1 an déjà ... Philia

Il me disait que j'étais capable de grande chose même seul. Je sentais que se compliment me rendais toute bizarre. Il continuait en me disant qu'il était la tout de même. Il se reculais pour me regardé. J'attrapis une de ses main pour la serré dans la mienne. Il finissais par me demandé si j'avais envie de parlé.
"Je..." fallait que je trouve mes mots. Je relevais les yeux vers lui.
"Je crois que j'ai trouvé une personne, quelqu'un a qui je pense avant lui tous les jours... quelqu'un qui je pense peut partagé ma vie... une personne qui m'aide a avancé" Je ne l'avais pas quitté des yeux en disant sa. Je me pincais la lèvre.

Elle se recula également et prit ma main. Je m’attendais à ce qu’elle me parle de comment elle se sentait, ce qu’elle était venue lui dire ou je ne sais quoi encore. Ça serait plutôt normal et ça la libérait peut-être plus de parler à quelqu’un qui… nous écoute vraiment. Toutefois, ce n’est aucunement vers là qu’elle se dirige. Je fronce les sourcils, essayant de comprendre ce qu’elle veut dire. J’ai l’impression qu’il manque d’informations dans tout cela. Et d’un autre côté, je suis surpris puisqu’elle ne m’a jamais parlé d’un autre homme? Enfin si, Hunter, mais j’espère qu’elle ne retournera pas dans les bras de ce con. « Pourquoi j’ai l’impression que tu te sens coupable? » C’était peut-être qu’une impression après tout, mais elle semblait se retenir de tout cela. « Ce n’est pas mal Mia, si tu es prête, si tu as confiance… » Personnellement, je ne sais pas si je le serais. Enfin, depuis presque six mois que je me répète que jamais je ne trouverais une femme avec qui partager ma vie de cette manière.

Je venais de sortir des mots que je ne pensais pas sortir a quelqu'un. Je parlais de lui bien sur mais il avait pas compris. Il pensais que je me sentais coupable.
"Non ça va justement..." Il me disais que c'était bien si je pouvais refaire confiance. Je ne savais pas si je devais lui dire que je pensais a lui. Je me resserais contre lui. Je ne savais pas comment lui dire, j'avais peur de lui avouer les chose entièrement. Peur qu'il fuit. Je craignais tout sa... Je voulais pas le perdre.
"Phil..." JE le serais fort contre moi.
"Je ... c'est ..." Es ce que j'allais vraiment lui dire. "Toi"

Elle me dit que ça allait justement et je fus un peu surpris. Enfin, j’avais cru le contraire, mais dans un sens… tant mieux? Bien que je m’inquiétais tout de même pour elle. Je ne voulais pas qu’un garçon lui fasse du mal à nouveau, elle avait déjà bien assez souffert. Je la sens ensuite me serrer encore plus et je la laisse faire. Je ne vais tout de même pas la repousser, mais je ne comprends pas son geste. Ce n’est pas comme si j’allais partir. Je la regarde à nouveau lorsqu’elle prononce mon prénom et mes yeux s’écarquillent quand elle me dit que c’est moi. Moi? Je dois avoir mal compris là, parce que ce n’est pas possible. Elle l’a déjà dis, non? Je suis complètement perdu et sans m’en rendre compte, je me recule un peu, la fixant toujours du regard. Je n’avais jamais évalué cette possibilité… enfin je m’entendais terriblement bien avec elle. Je l’appréciais, mais est-ce que c’était de cette manière? Je ne sais même plus comment on est supposé savoir si l’amour est présent ou non, mais dans tous les cas, je sens mon rythme cardiaque augmenter. Je dois répondre quelque chose, merde. « Moi? Tu dois… enfin ce n’est pas possible Mia. C’est parce que je fais attention à toi, que je m’occupe de toi… » En effet, j’avais plutôt peur qu’elle s’attache à moi simplement parce que je suis là, parce que je l’aide. Je suis un moyen de remonter. Mais je crois que la personne que je suis vraiment n’est pas ce qu’elle a besoin.

J'avais sauté le pas, je venais de lui avouer. Bon coté lieu on repasseras, y a quand même mieux que dans un cimetière. Je n'avais jamais fait ça au paravant. Je le regardais en me mordant la lèvre. Il reculait. Je me décolais de lui, sa annoncait pas quelque chose de positif pour moi. Il me disais que c'étais pas possible. Je tournais la tête pour pas montré ma décéption. Je savais que c'était pas simple pour lui mais on est si proche l'un de l'autre. Je, j'avais une grosse boule dans la gorge, je sens que mon coeur s'emballe a fond. Je suis pas bien. Je n'ose même pas le regardé.
"Pardon" Je me tourne pour lui tournée le dos.

J’avoue que je ne m’attendais aucunement à cela… Elle l’avait dis, après Hunter, qu’elle ne voulait plus de relation, ou en fait, je ne me souvenais même plus exactement de ce qu’elle avait dit, mais j’en avais simplement retenu que ce ne serait pas de demain qu’elle allait désirer une autre personne de cette manière. De mon côté, bien que je ne cessais de me répéter que je ne trouverais jamais quelqu’un d’autre, il y avait une partie de moi qui l’espérait. J’aimais vivre à deux, c’était quelque chose de vraiment spéciale, d’unique et de… nécessaire. Toutefois, j’avais l’impression que je n’étais pas encore asse stable aujourd’hui pour débuter quoi que ce soit qui impliquait plus. Enfin, j’étais déjà beaucoup attachée à Mia, je pensais régulièrement à elle, je m’inquiétais également. Mais ce n’était jamais allé plus loin que là, je ne me le permettais pas. Elle se retourne et je pince mes lèvres. Je m’en veux. Je ne veux pas lui faire du mal, mais j’ai l’impression que je lui en fais en ce moment, merde. Je suis supposé rattraper cela comment? Je m’avance un peu. « Je croyais que tu ne voulais pas cela, que tu abandonnais l’amour. » J’avais en effet bien de la difficulté à la suivre.

On ne s'approche plus l'un de l'autre. Je lui tourne le dos. Je le sens arrivé a coté de moi. Je meurt d'envie de le touhé. De continuer de le prendre dans mes bras. J'ai besoin de lui. Sauf que je n'ose même pas bougé. Il me disais ce que je lui avait dit...
"Laisse tomber j'ai rien dit." Oui je me refermais. Oui j'avais bien dit sa il y a quelque semaine mais c'était l'enervement de la tromperie de Hunter, l'impulstion.
"Je... Non mais j'ai rien dit Aurvoir" Je m'avançais et je retournais devant la tombe de Rome, je sentais les larmes coullé a torrent sur mes joues.

Avait-elle réellement changé d’avis là-dessus? Était-elle prête à s’embarquer de nouveau dans une relation? Je n’étais peut-être pas dans sa tête, mais j’en doutais légèrement… Enfin, il se passe tellement de choses dans sa vie qu’elle devrait plutôt s’arrêter et prendre le temps de régler tout cela intérieurement avant d’essayer que chose de nouveau. Mais qui étais-je pour lui dire quoi faire? Ou même le penser? Je n’étais même pas capable de bien m’occuper de moi déjà. Un soupire s’échappe de mes lèvres quand elle me dit de laisser tomber. Ce n’est pas ce que je veux. Je veux entendre plus, mais elle n’en a pas envie. Je veux des explications aussi, des clarifications. Je la suis du regard tandis qu’elle s’éloigne. Je ne peux pas la laisser partir ainsi. Tout d’abord parce que j’ai l’impression que je vais la perdre si je le fais, puis parce que j’ai tellement besoin d’elle, c’est impossible à décrire et je ressens trop de choses en même temps. « Non pars pas… s’il te plait. » Je ne bougeais pas pour ma part, j’espérais qu’elle se retourne, qu’elle revienne, qu’elle ne m’en veuille pas. « J’ai besoin de toi. » Je ne saurais dire comment malheureusement, je ne pouvais pas mettre de mots comme elle venait de le faire.

J'avais mi des mots sur ce que je ressentais, enfin. Sauf que c'étais pour me prendre un méchant vent. Je voulais qu'il m'embrasse qu'il partage le même sentiment que moi, sauf que la c'étais pas simple. JE lui disais aurvoir en avancant vers la tombe Rome. Je l'entendais, il voulait pas que je parte. Il me disais qu'il avait besoin de moi. Je me retrounais, je ne pouvais pas lui resisté. Je me rapprochais de lui.
"Je ... Phil... Moi aussi j'ai besoin de toi, j'ai fait des efforts. Je viens de mettre des mots sur des choses dont je me pensais incapble, je les fait pour toi... Je peux pas être toujours celle qui parle... Celle qui va vers toi, uune relation tel qu'elle sois, fonctionne dans les deux sens." Les larmes coulaient sur mon visage.

Ça me rassure de la voir revenir. Je déteste et aime le fait d’être aussi… dépendant d’elle. Cela prouve clairement quelque chose. Mais en même temps, ça fait peur. Jamais je ne me suis senti ainsi ces derniers mois. J’ai tenté d’éloigner tout le monde autour de moi, de rester seul afin de peut-être me retrouver, mais j’avais l’impression que je n’avais toujours pas réussi. Je ne sais pas ce que je veux exactement, ni que je suis. C’est réellement pathétique pour un homme de 25 ans, qui est père en plus. À l’habitude, je la laisse pleurer. Je sais que ça peut faire du bien. Mais là, savoir que j’en étais la cause me rendait encore plus mal. Je viens passer mes pouces sur ses joues. « Ne pleure pas pour cela… » Voilà que j’étais devenu un autre homme qui la fait pleurer. Je ne suis pas mieux apparemment. Elle voulait que je parle, que je m’ouvre moi aussi, mais sérieusement… je n’ai aucune idée comment. Rien n’est clair dans ma tête et je lui communique dans la mesure du possible, je ne crois pas que ça va réellement aider les choses. « Je sais… je ne suis vraiment pas doué. » Pour ce qui était des mots, des sentiments, on pouvait carrément me donner un zéro. « Tu veux… qu’on ait ailleurs? » J’avoue que si j’étais pour parler, je n’avais pas nécessairement envie de le faire ici.