Visite imprevu Philia

La réalité, toujours cette foutu réalité.
"Et moi je suis sur que non" Oh oui je suis sur que sa fille ne tournerais pas mal. Il me disait d'être réaliste. Je me levais pour marché un peu.
"La réalité?" Cette salope? c'est elle qui ma fait souffrir, c'est elle qui ma faut autant de mal...
"Non, non non, la réalité c'est ce qui ma saccagé! C'est ce qui ma détruite, c'est ce que j'ai dans le dos. C'est le faite que mon première amour sois mort il y a un an, c'est Hunter qui me prend pour une cone! La réalité elle est pourri ce que je veux c'est pouvoir vivre ma vie! Pouvoir vivre sans douleur; sans souffrance" J'étais tendu, je sentais une larme sur ma joue.

« Tu aurais confiance en toi d’élever un enfant seul suite à un événement pareil? Tu ne douterais pas de toi? » J’avais l’impression qu’elle ne réalisait pas tout ce que ça impliquait. Bien sûr j’avais aujourd’hui besoin de ma petite blonde pour vivre, mais cela me demandait également beaucoup et je doutais constamment de mes capacités. J’aimerais pouvoir lui offrir mieux. Je suis surpris de sa réaction, encore une fois, j’aurais du me taire. J’essayais simplement de l’aider, mais l’effet était contraire à ce que je désirais. Je m’approchai d’elle et posai ma main sur son épaule. « Eh du calme Mia… Oublie ce que j’ai dis, c’était con. Si tu es mieux comme cela, alors continue. » Je n’allais certainement pas la convaincre d’arrêter quelque chose qui pouvait l’aider, cela serait stupide.

Il me demandais si j'aurais confiance en moi pour élevé un enfant.
"On ne parle pas de moi, je ne me vois même pas être mère un jour! On parle de toi, et moi je crois en toi, je suis sur que tu peu l'élevé comme il fuat! " J'étais pas bien, et il parlais que j'arrête de vivre dans mon monde,fin que je sois plus dans la réalité, ma réponse ne se fit pas attendre. Je sentais sa main se posé sur mon épaule. Serieux venant de quelqu'un d'autre je crois que c'est moin poing qu'il aurai eu dans la figure, mais pas mon Phil. Je me retournais, je me plongeais dans ses bras en pleurant. Non mais oui je pleur vraiment? Heu, je croyais que j'en était incapable.

« Tu es mignonne, mais elle pourrait certainement avoir mieux. » Certes ce n’était pas de mauvaises conditions, mais j’avais clairement imaginé mieux pour elle. On avait tellement de plans avec Amelia, dont avoir d’autres enfants d’ailleurs. Au lieu de ça, on devait vivre qu’à deux, c’était aucunement ce que j’avais prévu et je m’en voulais, même si je n’avais pas le contrôle là-dessus. Je m’attendais ensuite plutôt à ce qu’elle me crie après d’essayer de diriger ou guider sa vie, mais au lieu de cela, je la vois plutôt s’effondrer. Bien que je n’aime pas la voir pleurer, je ne lui dis pas d’arrêter. Je sais que cela peut aider de se libérer et si elle a besoin de moi pour cela, je serai là. Je l’encerclai donc de mes bras et la regardai. Je ne pouvais malheureusement rien d’autre, je savais que mes paroles étaient présentement inutiles.

Il me disait que la petite pouvais avoir mieux
"Les parents parfait n'ont pas d'enfant!" Oh oui, je savais qu'il allait être bien pour elle. Une chose est sur ce qui se passait après ne c'était jamais produit. Je venais m'écroullé dans ses bras en pleurant. C'est la première fois que je craquais vraiment surtout devant quelqu'un. Que je lâchais tout. Il me serais contre lui. Fallais que j'arrête de pleuré. Je m'eloignais de lui en essuyant mes larmes.
"Pardon ... Je sais pas ce qui ma pris, c'est pas moi ça"

J’hoche un peu de la tête à son affirmation. Ça c’était certain que je n’étais pas parfait et jamais je ne le serrai. Puis un enfant c’est si compliqué… c’est certain qu’on va faire des erreurs, il faut simplement essayer de se rattraper ensuite. Je fronce les sourcils lorsqu’elle s’éloigne qu’après quelques instants et m’approche pour ma part. Même si ça pouvait être difficile, elle ne devait pas se retenir. J’étais d’ailleurs certain qu’elle le faisait déjà depuis longtemps, et voilà pourquoi elle ne pouvait plus aujourd’hui. Cela va sûrement m’arriver un jour, on ne peut pas tout garder à l’intérieur de nous. « Ne t’excuse pas Mia, c’est bien! Pleure si tu en as besoin, frappe moi, crie, peu importe, mais tu ne dois pas tout retenir, tu dois te libérer un peu… » Peut-être que si elle s’allégeait un peu, elle allait mieux se sentir ensuite. C’était beau de rêver.

Personne n'ai parfait c'est la dure réalité... Je venais de craqué, je venais de pleuré devant quelqu'un, déjà pleuré seul j'y arrive pas alors devant quelqu'un c'était juste pas imaginable, mais si je l'avais fait et je me sentais totalement mal a l'aise. JE me reculer, jétais entrain de le repoussé. Il me disais de pas m'excusé, si je devais pleurré fallais que je le fasse. Il me disait que je ne pouvais pas tout retenir. Je le repoussais. Je reculais
"Je ..." J'avais pas envire mais si j'allais le dire "Je vais y aller..."

Je fus surpris de son geste et entrouvris mes lèvres. Voilà que je la perdais totalement… J’avais l’impression que tout ce qu’on avait dit plus tôt n’avait servi à rien. J’avais eu l’impression qu’on apprenait à se parler, à se confier l’un à l’autre et j’appréciais étrangement cela. Toutefois, cette sensation c’était totalement effacée pour faire place à de la fermeture de sa part plutôt. Je secouai la tête lorsqu’elle dit qu’elle va partir. Ce n’est pas un bon moment pour partir, pas ainsi, mais je n’allais pas l’obliger non plus. « Tu n’es pas obligée Mia, je comprends… » Je ne la jugeais aucunement, je la supportais même, mais cela, elle ne semblait pas le voir.

JE lui tournais le dos, je ne voulais pas le regardé, j'étais fatigué. Je ne ovulais pas être un poids pour lui ou qui que ce soit. Encore moins lui... Je lui disais que j'allais partir, j'allais faire ce que je savais le mieux faire, fuire quand quelqu'un essaye de m'aider. Il me disait que j'étais pas obligé de partir. Je restais la au milieu de la pièce sans bouger. J'étais partagé, partir ou resté?
"JE veux pas te dérangé plus longtemps" En fin de compte j'avançais vers la porte pour sortir

Je me lève à mon tour. Je n’ai aucunement envie de la laisser partir dans cet état, je me sens coupable. Elle n’est pas mieux qu’à son arrivée et pourtant, ça doit être ce qu’elle était venue chercher chez moi, j’ai tout simplement échoué. Je la rejoins, restant tout de même distant. Il était rare qu’on était proche et j’avais l’impression que si je l’étais là, elle me repousserait et je n’en avais pas envie. « Je t’ai déjà dis que tu ne me dérangeais pas voyons… » J’avais cru qu’elle l’avait compris dès que je lui avais dis à son arrivée, mais apparemment, elle le pensait toujours. Est-ce que je la faisais sentir comme si elle me dérangeait? Pourtant, j’avais cru qu’au final, je n’étais pas si mal, mais j’avais tord. Je suis moi-même au plus bas, comme je pourrais aider quelqu’un à remonter?