Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityyou're one of my few favorite things (weaslacce) - Page 6
Le Deal du moment : -28%
-28% Machine à café avec broyeur ...
Voir le deal
229.99 €


you're one of my few favorite things (weaslacce)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je souris légèrement quand il me rappelle que c'est moi qui souhaitait la facilité et encore plus quand il m'appelle mon ange. Ça me réchauffe le coeur, ça me remplit de joie et de bonheur. Je dépose un baiser sur ses lèvres et le regarde droit dans les yeux. " Tu sauras que, pour ce genre de choses, j'aime bien prendre mon temps, qu'on me déshabille de A à Z... Alors là dessus, non non, pas de facilité " Je ris légèrement, me dévoilant un petit peu plus. Bien sûr que j'ai envie d'une vie facile, calme, posée mais ça risque bien vite de m'ennuyer. Alors un peu de peps et de motivation ne fera de mal à personne. Et puis, qui aime le sexe facile franchement ? Pas moi, ça c'est sur ! Je ne suis déjà pas le genre de jeune femme à coucher six fois dans la même semaine alors si tout va trop vite, est trop facile et tout et tout, ça va pas le faire. Je sais qu'il me taquine et doit en profiter pour voir ce qui me tente mais bon, au moins il est prévenu ! Et il devait aussi savoir qu'il était magnifique avec ou sans prothèse. Nu, comme ça, à la lueur de la lumière du salon - que j'allais bien devoir finir par aller éteindre parce que vive le gaspillage d'énergie - il était magnifique, sublime, sexy et plus encore... Cette fierté de le voir sans artifice m'a fait succomber. " On aura toujours plus ou moins de mal... Il y a des jours avec et des jours sans. Des jours où on a mal et d'autres où on ne la sent plus... " Je vis très bien avec ma prothèse mais tout n'est pas tout rose tout le temps non plus... Il m'arrive encore de m'énerver contre cette prothèse quand ça ne va pas, de me défouler sur cette dernière quand je vais mal... J'ai l'impression qu'elle m'a tiré vers le bas. Et, des fois, je me dis que sans ces événements, je ne serais pas la femme que je suis aujourd'hui. Je l'écoute et un léger sourire se dessine sur mon visage. " Mais je compte bien te la faire accepter à cent pour cent.. Je ne suis pas plus forte que toi ou que qui que ce soit d'autre Bona. C'est juste que je ne laisse pas un détail mineur prendre le dessus sur ma vie " Il m'avait fallu du temps pour prendre confiance en moi de la sorte. À vrai dire, peu de gens savaient ce qu'il m'était arrivé avant que je sorte avec Maxime, que je me sente appréciée, désirée et complète je m'en foutiste de ce que les gens pouvaient penser de moi... Il vous suffit d'une personne, d'un regard pour vous accepter et je comptais bien être cette femme pour Bonaventure. Je ne fuirais pas comme son ex, jamais. " Tu n'as pas peur, tu ne vois pas que ça une fois que j'enlève ma prothèse, tu sais ce que ça fait. Tout ça, c'est indéniable, mais ça aurait pu être tout aussi maladroit. À moins que les unijambistes soient ton truc " Je ris légèrement. Certes, il savait ce qui me plaisait mais, lui aussi, aurait pu être un peu étrange. Mais non, rien de tout ça. Je ne flagèle pas Maxime, ce serait un comble de dire que je n'ai pas aimé ce qu'on a pu faire, mais ce n'était pas pareil.... Je ferme les yeux et ouvre mon coeur, je me confie. " Au début je refusais de l'enlever, de lui montrer, je ne me sentais pas en sécurité... " Cette nuit dans le motel où j'avais passé le plus important de ma soirée loin de lui dans le lit, de peur qu'il me touche, que nos jambes s'emmêlent et qu'il se rende compte qu'il manquait un truc, et quel truc !! Puis il y avait eu notre première fois sans, lors du bal où sa main n'avait pas arrêté de tomber contre le matelas. " Et avec toi je me sens bien, en sécurité, j'ai l'impression que je peux tout te dire, tout te montrer et que ça ne te fera pas fuir " Soupirais-je. Bonaventure est bien plus mûr, la tête sur les épaules... Et son but ultime n'est pas de se défoncer dès qu'il en a l'occasion. C'est un homme, un vrai, pas un adulte en transition... Et la différence était là, la différence qui me fait ouvrir mon coeur au métisse est là et nul part ailleurs. Bonaventure est mûr et ne me cachera pas pendant de longs mois. Il m'accepte comme je suis et ne fera rien pour me blesser. Enfin je l'espère. Parce que là, pour le moment, j'ai une confiance aveugle dans le jeune homme..
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
you're one of my few favorite things ✩
Andrea & Bonaventure
C’est avec un sourire amusé qu’il accueillait la réponse de sa petite-amie aussi de la facilité au sein de leur vie sexuelle. « Je prends note… dois-je conclure que je peux t’offrir de la lingerie pour te faire plaisir ? C’est vraiment dans un but purement informatif que je te pose cette question. Vois-tu, j’ai à cœur de te satisfaire alors je veux bien te déballer tel le cadeau que tu es aussi souvent que tu le souhaiteras » lui dit-il avec un clin d’œil complice. Bonaventure avait beau jouer les kékés à cet instant précis, il n’était pas le genre d’hommes à vivre uniquement de sexe. Il aimait faire l’amour oui, il n’allait pas dire le contraire mais ce n’était pas une donnée vitale à son existence. Pour preuve, en trois ans, il n’avait connu que trois femmes. Trois nuits. On ne pouvait pas dire que monsieur était gourmand bien qu’Andrea lui donnait envie de lézarder crapuleusement au lit même si la suite de leur conversation se voulait plus intime, plus sérieuse. « Il t’arrive encore d’avoir mal ? »lui demanda-t-il avant de soupirer. « Le pire c’est quand il fait froid ou qu’il pleut, je crois que je pourrais passer ma journée à me tordre de douleur comme si elle était toujours là à me hanter » avoua-t-il sans la crainte d’être jugé ou même d’être pris en pitié. Avec Andrea, il pouvait simplement énoncer les faits. Elle le comprenait, elle connaissait cette douleur dite du membre fantôme. Auprès d’elle, le métisse n’avait pas l’impression de se plaindre, il pouvait simplement parler de ce traumatisme avec le plus grand naturel et dieu que ça faisait du bien.

Toutefois, elle avait tort sur un point : elle était bien plus forte qu’elle ne voulait le laisser croire. Andrea avait surmonté bien des étapes. D’ailleurs, le simple fait qu’elle veuille se sevrer pour lui, c’était quelque chose de très courageux. Il n’avait pas eu le même courage. Bonaventure avait sombré de son propre chef et il avait fallu cette hospitalisation forcée pour qu’il accepte de remonter la pente. Depuis, chaque jour était un combat surtout quand la douleur se faisait sentir ou qu’il se blessait. En fin d’année, lorsqu’il avait été battu, il avait été à deux doigts d’accepter la morphine pour se soulager de ses côtes meurtries mais il y avait renoncé au dernier moment car il savait que s’il ressentait à nouveau cette sensation de légèreté, il sombrerait à nouveau. Heureusement, Andrea l’arracha à ses sombres pensées. « Non, ce n’est pas mon truc par contre ! C’est juste que lorsque je te vois, tu es juste toi à mes yeux. Tes cicatrices ne te définissent pas à mes yeux, c’est à la femme en toi à qui je veux faire l’amour parce que tu es une femme d’une beauté à couper le souffle et que je suis le plus chanceux des hommes » murmura-t-il pensant chacun de ses mots. Andrea était magnifique et il ne parlait pas uniquement de plastique bien que cette dernière était également éblouissante. « Alors effectivement, je n’ai pas envie de te fuir » ajouta-t-il avant de l’embrasser tendrement, sa main venant naturellement se poser sur sa joue, la caressant d’un revers du pouce. « On ferait mieux de dormir à présent, demain, nous attends une longue journée » lui dit-il avec douceur. Demain elle aurait besoin de toutes ces forces pour retrouver sa sœur. « Tu as des béquilles dans le coin ? Je vais aller éteindre la lumière » lui demanda-t-il.

Au final, le couple s’endormit dans les bras l’un de l’autre. « Il est heure de se lever mon douce » murmura-t-il en caressant le visage endormie de sa belle, du bout des doigts. « Je t’ai préparé un énorme petit déj » ajouta-t-il en se baissant pour l’embrasser. Bonaventure s’était réveillé aux aurores comme à son habitude car il aimait courir tôt le matin. Alors, sans la réveiller, il s’était glissé hors du lit pour aller faire un petit footing. En rentrant, il était passé par une boulangerie pour acheter de quoi offrir un petit déjeuner de reine à sa petite-amie. Une douche plus tard, il avait revêtu un jean et une chemise ouverte sur son torse nu, lui avait préparé tout un plateau avant de la rejoindre dans la chambre. « Debout trésor » continua-t-il de l’éveiller en douceur, le plateau à ses pieds.

electric bird.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
De la lingerie, carrément. Je souris légèrement. " Tu peux oui... Et tout ce qui se mange si t'as l'estomac qui va avec " Je ris légèrement à ma connerie. Mais bon, ça peut être drôle et un concept à mettre en valeur quand même non ? " Mais fais attention, j'ai déjà plein de choses qui pourraient de plaire " Soufflais-je. Et oui, quand on bosse pour une marque de lingerie, on garde pas mal de choses. Et si un modèle nous plait, on demande à l'avoir. C'est ça qui est sympa quand même.. Je n'achète plus de sous vêtement depuis avril dernier, je reçois tout ce qu'il me faut dans des colis plus jolis les uns que les autres. Je finis même par en filer aux copines parce que je vais finir par avoir plus de sous vêtements que de vêtement à cette allure ! Un peu comme ce cher Justin Bieber a dit dans une interview, je ne vais plus être obligée de les laver, direction poubelle et voilà ! La conversation devient rapidement plus sérieuse. Il y a un temps pour tout. Un temps pour le rire, un pour la sensualité et un aussi pour la confession. Surtout qu'on apprend encore à se connaître tous les deux. " Oui bien sûr " Mais il faut faire avec... On a pas le choix que de prendre sur soi, que d'avoir l'impression qu'une longue aiguille passe par le fémur dès qu'on bouge... Ça a été vraiment très douloureux au début... Puis j'ai appris à vivre avec, à faire avec. " Quand j'ai mal comme ça, je me sers de cette vieille astuce que m'a donné un collègue... Je me mets assise par terre et je glisse le long miroir que j'ai sous mon lit, planqué depuis que j'ai emménagé. Tu sais comment ça fonctionne après non ? " Soufflais-je. Je pense qu'on a déjà du lui faire faire cette expérience. " Ça me fait du bien, ça me calme, j'me sens mieux jusqu'à la fois suivante " Mais c'est comme ça et ça sera toujours comme ça. Il y a des jours où tout ira bien et d'autres où non, ça n'ira pas. En plus, il ne prend aucun médicament, lui. Moi, je me soulage un peu comme je peux.. Tous ses mots me touchent, me font du bien, me réchauffent le coeur. Tout est tellement différent de Maxime. Moi qui croyait qu'il n'y avait que les relations tendax sans expression de sentiments, de compliments... " Dormir ? Je pensais qu'on était entrain de se reposer pour recommencer à faire des cochonneries moi " Gloussais-je en déposant un léger baiser sur ses lèvres. " Sous le lit. Penche toi un peu et tu pourras les attraper " Et moi, je pourrais regarder son joli petit cul... Ce que je fais bien entendu. Je ne passe rien sur mon corps et me replace dans ses bras lorsqu'il revient. Yeux fermés et hop, morphée avec un large sourire sur les lèvres.

J'entends une voix me tirer de mes rêves. Je gémis légèrement, grognant à moitié. J'ouvre les yeux et tire la couette sur mon visage pour me cacher de la lumière... " Mmmh ? " Fut les seuls mots qui sortent de mes lèvres quand il me parle d'énormes petit déjeuner. Qui ? Quoi ? Bona est encore là, il a fait les placards pour trouver des gâteaux et à trouver ça. Je me redresse un peu et me rend compte que je suis encore toute nue. Merde. Je pose une main sur mes yeux et soupire. Trèsor, il vient de m'appeler Trésor. Ok, je fonds. " Tu peux me donner ta chemise s'il te plait " Sortir du lit, sans prothèse, pour choisir un tshirt... Trop compliqué. J'attrape ce qu'il me tend et l'enfile avant de me mettre à quatre pattes pour lui faire un bisou. " Bonjour vous " Je souris et tourne le visage vers le pied du lit. " Ouaw, tout ça ! " Je souris et me déplace à quatre pattes - toujours parce que c'est classe - avant de m'asseoir devant le plateau. " Tu vas me regarder manger ? Viens ! " Je souris largement et choppe un croissant dans lequel je mords comme une sauvage. Bah quoi, il m'a donné faim le petit. " Tu sais quand même que je vais te kidnapper pour de bon là ? " Demandais-je en l'embrassant. Juste avec les lèvres hein, pas la langue, je sais pas si j'ai une haleine de chacalou !
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
you're one of my few favorite things ✩
Andrea & Bonaventure
Bonaventure avait arqué un sourcil dès lors qu’Andrea lui avait dit qu’elle plein de choses qui risquaient de lui plaire. « Tu as conscience qu’en me disant cela, je vais te demander un défilé ? » lui demanda-t-il en toute simplicité tandis que son regard pétillait de malice. Il n’empêche que le jeune homme appréciait de pouvoir ainsi plaisanter, taquiner, laisser son côté malicieux s’exprimer. Il aimait la complicité qui le liait à cette femme que ce soit dans cet échange amusant que celui plus sérieux qu’ils eurent quelques instants après. Avec elle, il avait la sensation qu’il pouvait parler de tout comme de rien, qu’il y aurait toujours une oreille attentive pour l’écouter et le conseiller. Il aimait vraiment la relation qui petit à petit se créait entre eux et pour rien au monde, il ne voudrait faire quelque chose qui gâche tout cela. Andrea lui était trop précieuse pour qu’il envisage ne serait-ce que de la blesser. En réalité, Bonaventure en était tout simplement incapable.

Aussi, dès le lendemain matin se mettait-il en quête de lui prouver combien elle était importante à ses yeux et surtout combien il désirait la choyer. Ce n’était pas un comportement qu’il s’obligeait à avoir, c’était quelque chose de naturel. Le métisse aimait prendre soin des personne qu’il aimait alors avec sa petite-amie… C’était d’autant plus véridique. Andrea était adorable alors qu’elle peinait visiblement à se réveiller. « Tiens » lui offrit-il sa chemise, la trouvant définitivement craquante ainsi vêtue. Il avait toujours trouvé cela irrésistible : une femme habillée de ses propres vêtements… Andrea nageait totalement dans sa chemise mais elle n’avait jamais été aussi sexy à ses yeux. Ses cheveux ébouriffés, sa mine encore endormie, elle était merveilleusement belle. « Bonjour toi » lui sourit-il en reprenant ses lèvres dans un baiser. « Je pensais manger avec toi également » avoua-t-il en se glissant à ses côtés sur le lit après avoir déposé le plateau sur le matelas. « Je ne savais pas ce que tu prenais au petit déjeuner alors j’ai prévu café, jus d’orange et thé » reprit-il. Bonaventure était un buveur de thé, il détestait boire du café, cela avait le don de le rendre malade. « Mais je n’attends peut-être que ça, que tu me kidnappes… surtout que c’est bientôt la Saint Valentin, je pourrais peut-être te servir de cuistot » lâcha-t-il en tâtant un peu le terrain. Andrea était-elle une férue de cette fête des amoureux ou au contraire du genre à hiberner ce jour-là ? Lui, partait du principe qu’il n’avait pas besoin d’un jour précis pour montrer son amour mais il appréciait cette tradition.

electric bird.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
" Tu sais que je suis payée pour ça et que, donc, par conséquence, ça ne me gêne absolument pas ? " Ça me fera de l'entrainement et je sais très bien que je n'aurais pas de commentaire négatif ou méchant le lendemain, dans la presse. Le premier show avait été plutôt sympa mais les commentaires de la presse, non merci. Rapidement, je me cale dans ses bras et tombe de sommeil, usée de ma journée à stresser, de ma très courte nuit précédente et du décalage horaire. Je souris bêtement et ça fait un bien fou... Je me sens légère et ça me fait plaisir.

Le réveil est difficile, plus que je ne le souhaiterais. La lumière m'aveugle alors qu'il ne fait même pas si beau que ça. Pas de soleil, rien, c'est juste la luminosité qui est trop élevée. J'aimerais bien me rendormir mais la voix de Bonaventure me sort de mes pensées, de mes rêveries. Je n'ai donc pas rêvé cette nuit. Enfin, si, un peu quand même parce que je doute qu'on l'ait fait presque trois fois d'affilés. Un peu de repose entre mais pas trop non plus ! Un enchaînement de bons moments, d'orgasmes plus forts les uns que les autres... Je souris légèrement en attrapant sa chemise et en la passant. J'aurais quand même pu faire l'effort de passer ma culotte mais je ne sais absolument pas où elle se trouve et ça, ça me perturbe quand même pas mal. Je regarde un peu partout autour de moi avant de lâcher l'affaire et de me diriger vers le plateau après un petit bisou. " T'as vraiment tout prévu... Même les tartines déjà beurrées ! " Ça c'est cool ! Parce que je n'ai jamais le temps de manger des tartines le matin, souvent en retard. Je n'ai rarement le temps de manger même, pour tout dire. Je saute sur un croissant et me verse un verre de jus d'orange, l'interrogeant du regard pour savoir ce qu'il veut. " Je bois pas de café par contre. C'est celui de Priape mais c'est pas grave " Je me suis réconciliée avec le jeune Dunster mais bon, je doute qu'il revienne vivre ici de si tôt. Il me manque beaucoup, vraiment beaucoup mais je n'ai pas le choix que d'accepter le fait qu'il ne vienne plus ici. Ici, hors de question que Talya mette les pieds, plutôt gênant puisque c'est sa copine. " Tu peux me servir de restau oui... Mais pas qu'à la saint valentin hein ! Parce que j'aime franchement pas cette fête " Soufflais-je en croquant à nouveau dans mon croissant. Je n'ai jamais aimé cette fête. Trop commerciale et puis, depuis quand a-t-on besoin d'une journée spéciale pour se dire qu'on s'aime ? En tout cas, c'est la première que je passe avec quelqu'un. Parce qu'on est en couple non ? Ou peut être pas. J'avale mon croissant et le regarde. Je prends sa main et le regarde le plus sérieusement du monde. " J'ai le droit de tout te demander tu as dis hier " J'attends son accord du regard et me lance. " Hier c'était... comme ça ou on est ensemble ? " Soufflais-je. " J'peux dire que le beau gosse de la quincy house est mon petit ami ou pas ? " Complètement idiot de demander mais je veux être sûre, je ne veux pas m'avancer et, surtout, savoir où je mets les pieds... Je n'ai pas envie d'être la 'so-called girlfriend'. J'ai envie d'être officielle, pour une fois.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
you're one of my few favorite things ✩
Andrea & Bonaventure
Il n’empêche que Bonaventure sortait avec un mannequin ! C’était quand même la grande classe songea-t-il alors que son petit bout de femme se réveillait doucement, grommelant visiblement à cause de la luminosité. Cette pensée était tout à fait triviale mais il l’assumait -oh il ferait sûrement moins le malin quand elle s’exposerait en 4x3 dans toute la vie ; car il était fier d’elle. Fier qu’elle se montre telle qu’elle était, qu’elle ose assumer ses imperfections qui, il devait l’avouer, la rendait parfaite à ses yeux. Oui, Bonaventure était fier de fréquenter pareille femme et il allait tout faire pour la rendre heureuse. Andrea ne manquerait jamais un instant d’être choyée en sa compagnie, voici le serment qu’il se faisait dès à présent. « Je suis prévoyant ! » rigola-t-il en prenant place à ses côtés. « En parlant de Priape c’est ça ? Tu t’es réconciliée avec lui ? La dernière tu m’as dit que tu l’avais jeté à la porte » voulut-il savoir car tout ce qui la touchait de près ou de loin l’intéressait. Qui plus est, si ce Priape était son ami, il était normal qu’il fasse sa connaissance n’est-ce pas ? Bonaventure était loin de se douter qu’il avait effectivement déjà rencontré son colocataire sous le prénom de Preston et peut-être valait-il mieux qu’il continue de l’ignorer.

« Pourquoi ? Je veux dire pourquoi tu n’aimes pas cette fête ? » lui demanda-t-il dépité en voyant tous ses projets de restaurant, de balade au clair de lune tomber à l’eau. Le jeune homme profitait d’écouter sa réponse pour avaler un peu de thé et un bout de pain au chocolat. Il adorait les pains au chocolat -même si son péché mignon restait les gros beignets aux pommes. Pour en revenir à cette histoire de Saint-Valentin, Bonaventure se prit à espérer que peut-être, il pourrait la faire changer d’avis. Certes, c’était commercial mais il trouvait cela romantique que de se laisser aller à l’ambiance mais il savait également qu’il n’imposerait rien à Andrea. Cette dernière vint alors prendre sa main et le regarder sérieusement. Il l’observa calmement, la laissant commencer. Il hocha simplement la tête pour lui confirmer qu’elle pouvait tout lui demander et à peine avait-elle prononcé ces quelques mots qu’il lui souriait tendrement. « Seulement si je peux dire que ma merveilleuse Dunster est ma petite-amie » lui dit-il en prenant sa main libre pour caresser sa joue, attrapant son menton entre ses doigts pour amener ses lèvres aux siennes et l’embrasser. « Ce qui s’est passé cette nuit entre toi et moi… je le désirais plus que tout, ce n’était pas comme ça… j’espère vraiment que toi et moi, nous puissions construire quelque chose de durable. Je tiens énormément à toi Andrea sans doute plus que tu ne l’imagines et je serais aussi fier qu’honoré que tu deviennes ma petite-amie »

electric bird.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bonaventure pense à tout et pour la tête en l'air que je suis, c'est vraiment génial. Quand je vois le plateau, je me dis qu'il veut me faire grossir ou qu'on ne risque pas de sortir du lit avant quatorze heures et qu'il faut donc manger le maximum maintenant ! Cette idée me tente et pas qu'un peu. Leanne peut bien attendre jusqu'en début d'après-midi... Je me demande même si les visites ne commencent pas qu'à quatorze heures. Je souris un peu plus quand il me parle de Priape. " C'est toi que j'ai mis à la porte. Lui je l'ai insulté " Le corrigeais-je avec un léger sourire. Le genre de sourire qu'on fait pour s'excuser, pour appitoyer l'autre, le faire faire ce qu'on veut. " On s'est vu hier.. Enfin, avant hier dans les couloirs de l'hosto. On a commencé à se fritter et puis on a fini par baisser les armes... Mais je pense pas qu'il va revenir ici " Soupirais-je, un brin déçue. Oui, j'aimais beaucoup vivre avec Priape. Mais je pense que son ex beau frère a bien plus besoin de soutien que moi à l'heure actuelle. Priape n'était là que le temps de mon rétablissement. Ce dernier est fini et bien... Voilà. L'appartement va vraiment être vide et ça risque de me faire bizarre. Mais bon, j'ai pas le choix. La colocation ce n'est pas trop pour moi. Les gens qui viennent, qui partent... Non merci. J'ai besoin de quelque chose de stable. Je termine mon croissant à une vitesse folle et lui annonce que je n'aime pas la saint valentin. S'il voulait une fille glamour, enjouée par cette fête des plus commerciales, il est vraiment tombé sur la mauvaise personne... " Je sais pas... Je l'ai jamais fêté étant gosse. Ni ado et encore moins adulte en fait " Par là, je veux dire que j'ai jamais eu de relations qui a duré plus de quelques mois et qui s'est trouvé aux alentours de la saint valentin, non jamais. " On faisait plutôt des soirées anti saint-valentin entre copines à regarder des films d'actions et à se goinfrer de pop corn tu vois " Rien de kitsch à coup de pinceau à maquillage, épilateur électrique et vernis, oh que non. Il y avait toujours Jules avec nous. Je l'ai rencontré en première année et il a toujours été inclus dans le groupe des filles et moi dans celui des garçons. Il me manque énormément et j'espère le voir au Chili... Sait-on jamais, peut être que je croiserais son chemin... Parce que oui, on part bientôt pour le Chili ! Et j'ai hâte, surtout avec les semaines que je vais me taper pour pouvoir y aller, ça va vraiment être fatiguant. Tout d'un coup, je deviens sérieuse. Je le regarde droit dans les yeux, sa main dans la mienne et lui pose cette question digne d'une deuxième année de maternelle. Mais je la pose quand même. Sa réponse m'arrache un sourire et une dose d'adrénaline que je n'aurais pas soupçonné vu mon non-amour pour les réveils matinaux - oui, avant midi, j'ai du mal, malgré mon job. " Oui, tu peux le dire " Je ris légèrement avant qu'il m'embrasse. Je le regarde et sens mes joues se réchauffaient et rougir. " J'attendais aussi ce moment depuis longtemps... Mais je ne deviendrais pas ta petite amie " Soufflais-je assez loin de son nez. Je sens que je pue de la bouche et ça me dégoute. Je me penche vers le jeune métisse, dépose un baiser de sur joue et lui chuchote à l'oreille. " Je le suis déjà depuis hier soir " J'étouffe un léger rire avant de le prendre dans mes bras et de le faire basculer en arrière. Je colle ma main sur son nez et le dévore du regard. " Je reviens, je vais me laver les dents, j'ai pas envie que tu meurs intoxiqué " Je ris légèrement, roule sur le lit, enfile ma prothèse et file vers la salle de bain pour me laver les dents. C'est mieux comme ça, le goût mentholé, vraiment mieux !
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
you're one of my few favorite things ✩
Andrea & Bonaventure
« Je ne sais pas si je dois le plaindre ou l’envier alors » rétorqua-t-il non sans humour pour lui signifier que c’était de l’histoire ancienne les concernant. Bonaventure préférait même oublier cette histoire de dispute et ce qui en avait découlé car ils étaient là, ensemble. Pour lui, c’était le principal. « Je suis content que vous ayez pu vous reparler mais pourquoi tu dis qu’il ne reviendra pas ? Je veux dire, il t’en veut toujours ? » l’interrogea-t-il. Le métisse n’allait pas lui proposer d’aller lui parler. Elle n’était plus une enfant et il n’avait pas envie d’interférer dans sa vie comme un petit-ami collant. Si elle avait besoin de son aide, Andrea n’avait qu’à la lui demander et il la lui accorderait bien volontiers. En dehors de cela, il la laisserait respirer afin de ne pas l’étouffer. Pour lui, c’était ça la vision d’un couple épanoui : un juste milieu entre vie à deux et besoin de se ressourcer. Il aspirait à partager beaucoup de choses avec elle et pas forcément qu’un lit. Il voulait découvrir ses passions et inversement. En dehors de ça, il respecterait son intimité et son jardin secret.

« Tu crois que tu serais contre que l’on se fasse un dîner si je te promets d’oublier les chandelles et que l’on terminait devant un bon film d’action avec popcorn ? J’aime fêter la Saint Valentin même si je n’ai pas besoin de ce jour particuliers pour prouver à l’être aimé que je pense à elle… C’est juste que c’est pour moi, comme la fête des mères, le 4 juillet etc. C’est la célébration d’un couple » se justifia-t-il. Bonaventure aimait les petites attentions et il avait envie de faire partager tout cela à Andrea si bien que cette dernière en arriva à lui demander s’ils étaient en couple. Jouant le jeu, il lui répondit qu’il voulait bien être son petit-ami à condition qu’elle accepte d’être la sienne. Alors, lorsqu’elle en vint à lui dire qu’elle refusait, son cœur rata un battement sous l’émotion. « Tu m’as fait peur ! » rigola-t-il en la fusillant faussement du regard mais son sourire se teintait déjà de malice. Andrea le prit dans ses bras et les siens s’enroulèrent autour d’elle mais à nouveau, elle le surprit en filant. « Hein ? » lâcha-t-il bêtement avant de rigoler comme un crétin. « Sérieux ! Il n’y avait que toi pour me sortir ça » rigola-t-il de bon cœur à nouveau. En l’attendant, Bonaventure termina son pain au chocolat avant de ramener le plateau dans la cuisine et de commencer la petite vaisselle.

electric bird.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
En discutant avec Bonaventure, je me rends réellement compte que Priape m'a manqué. Si je ne lui reparlais pas, je serais surement entrain de déprimer maintenant qu'il en parle. Mais ce n'est pas le cas, j'ai un léger sourire sur le visage et c'est l'important. " C'était temporaire, le temps de ma convalescence et vu que je vais très bien.. Ça va me faire bizarre de me retrouver toute seule ici " Lançais-je en souriant. bien sûr, Bonaventure pourra venir quand il veut mais les soirs où il ne sera pas là, ce sera quand même bien chiant. J'hausse les épaules. C'est comme ça, c'est la vie. " Et puis, je veux pas voir sa copine franchir le pas de la porte alors ça doit pas lui donner envie de revenir " Riais-je légèrement. S'il voulait voir Talya, qu'il aille chez elle. Je ne voulais plus entendre parler d'elle pour le moment. C'est plus fort que moi. Peut être qu'un jour, on redeviendra les meilleures amies du monde mais ce n'est vraiment pas près d'arriver. C'est comme ça. Je lui ai dis que je voulais faire un effort à la soirée Dunster mais en fait, j'y arrive pas. C'est plus fort que moi, que voulez vous... La conversation dérive rapidement sur la Saint-Valentin et j'écoute son point de vue. Il est près à coller à ma Saint-Valentin et c'est vraiment sympa ça... Je souris alors que je me souviens que la Dunster House organise une soirée pour la Saint-Valentin, normalement. Fifty shades of Gold. Je ne sais pas si c'est toujours d'actualité. On en a pas parlé avec Sienna pendant notre voyage et vu que mes relations avec Talya sont tendax... " Je pourrais dire oui... Mais on a une soirée à la DH " J'avais bien envie de lui faire croire que c'était une soirée dunster pour les dunster qu'avec les dunster. Un peu de teasing s'il vous plait ! Et peut être qu'il aurait envie de venir. Ou pas. Mais j'y ferais un petit tour, quoi qu'il arrive. Je suis d'humeur taquine aujourd'hui. Parce que je lui dis que je ne veux pas être sa petite amie et puis, je le pointe dans le lit pour aller me laver des dents. " J'ai une haleine de rat mort, je peux pas t'embrasser comme ça ! " Lançais-je, la brosse à dents en bouche. Hop, trois minutes de frottage intensif et je reviens vers ma chambre. J'attrape le chambranle de la porte et me laisse glisser. Devant un lit vide. Je fronce les sourcils et entends de l'eau couler. " T'es vraiment entrain de faire la vaisselle là ? " Soufflais-je en sautillant jusqu'à la cuisine. Oui, il est vraiment entrain de faire la vaisselle. " J'ai acheté un lave vaisselle depuis tu sais... " Soufflais-je en attrapant une tartine de beurre sur laquelle j'ajoute un peu de confiture. Je me pose sur le plan de travail à côté de lui et bats des jambes. Je fais même exprès de lui donner des petits coups de pieds dans les fesses pour le faire réagir. Je finis ma tartine, coupe l'eau et lui adresse un large sourire. Je me penche vers lui et dépose un léger baiser sur ses lèvres. J'attrape sa main et le tire vers moi. J'enroule mes jambes autour de ses hanches et mes bas autour de sa nuque. Mon front collé au sien, je souris. " Tu sais que t'es pas là pour faire les tâches ménagères.. " Soupirais-je avec un petit sourire collé sur le visage. Je l'embrasse et ce baiser est plus passionné, plus assumé. " Tu as quelque chose de prévu ? Il est dix heures et l'hôpital autorise les visites à partir de quatorze heures " Alors on a quatre heures à combler... Et si on peut les combler au lit, dans les bras l'un de l'autre à discuter, moi ça me va. Je me rends compte que j'ai pas de culotte - j'ai oublié d'en passer une du panier de linge propre de la salle de bain - et que s'il me porte, j'vais me retrouver toute nue collé à son bas ventre. Alors je desserre mes jambes et souris. " On retourne au lit ? " Demandais-je avec un large sourire. Pas d'idées en tête mais bon... Un peu quand même !
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
you're one of my few favorite things ✩
Andrea & Bonaventure
Il trouvait cela dommage également de la savoir seuuuule dans un appartement, loin d’un éventuel colocataire. Okay c’était sa jalousie qui parlait pour lui mais au moins, crut-il bon de garder pour lui ce genre de commentaire. « Qui sait, il pourrait revenir ou passer une annonce pour trouver une colocataire… Et puis, si tu veux de moi, je pourrais passer certains soirs quand tu ne seras pas de garde. Je veux bien te tenir compagnie » rigola-t-il car le métisse serait le premier heureux de passer ses nuits auprès d’elle. « Sa copine, c’est pas celle ?... Laisse tomber ma question ! Effectivement, si tu ne peux pas la voir en peinture, il va être difficile de la supporter chez toi » admit-il. Bonaventure n’avait pas franchement envie de parler de l’ex d’Andrea. Il avait déjà l’impression de vivre dans son ombre. En fait, le métisse doutait beaucoup de lui car en somme, Andrea n’était que sa deuxième relation sérieuse. Avec Lucy, les choses s’étaient faites naturellement lorsqu’ils étaient adolescents. L’un comme l’autre était vierge à cette époque et donc aucun passif. Or, c’était la première fois qu’il se retrouvait confronté à une telle situation et fatalement, il doutait mais loin de lui, l’envie de se lancer dans pareille conversation à l’heure actuelle. Il se sentait trop bien pour gâcher ce moment.

Un moment qui se vit entaché d’un « non ». « Oh… je comprends ! Vous faites quelque chose entre Dunster c’est ça ? » tenta-t-il de savoir s’il pouvait toujours s’incruster au moins le temps de lui offrir un bouquet de roses ou quelque chose du genre. Bonaventure tenait à marquer le coup même par un infime petit cadeau. Dans le cas contraire, il se contenterait d’un sms avant d’aller au cinéma, seul comme un crétin. Il y avait Deadpool en ce moment, une bonne occasion de mater un film Marvel songea-t-il totalement dépité. Cependant, la gaieté revint bien vite quand Andrea s’éloigna pour aller se laver les dents. « J’ai toujours rêvé de faire une émission de survie, cela aurait été un bon entrainement que de t’embrasser dès le réveil » la charria-t-il avant d’aller en cuisine pour faire un peu de ménage. Il avait besoin de s’occuper les mains, l’inactivité avait tendance à l’agacer.

« C’est bien ce que je fais ouais ! Attends, il y a presque rien à laver » protesta-t-il en souriant alors qu’elle lui donnait des petits coups dans les fesses. Au final, Andrea éteint l’eau et l’entoure de ses jambes. Ses mains à lui vinrent se poser sur ses cuisses pour mieux se glisser vers son adorable fessier où il eut la surprise de ne trouver aucune culotte. Intéressant. « Je sais mais j’aime me rendre utile… Et non je n’ai rien de prévu si ce n’est que de m’occuper de toi » lui dit-il en la soulevant dans ses bras malgré le fait qu’elle ait desserré sa prise autour de ses hanches. « Au lit mauvaise troupe » s’exclama-t-il en se dirigeant vers la chambre pour mieux s’allonger avec elle dans le lit.


electric bird.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)