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" Cygnes, une bouée cygne " Le corrigeais-je avec un léger sourire sur le visage. C'est classe, une bouée cygne ! Mais je doute qu'il soit vraiment en confiance dans un de ces trucs. Et si une vague le renverse, bouée ou pas... " Mais c'est sur que je t'interdis de mettre les pieds dans l'eau plus haut que la taille si tu sais pas nager " Là, j'ai pu jouer aux secouristes mais dans la mer - ou l'océan - avec les courants, le sable et tout ça... Non non, on va éviter les problèmes. Parce que si on part, c'est pour passer de bonnes vacances ensemble et surement pas pour flipper pour un oui pour un non. En tout cas, ça ne cesse de m'étonner de savoir qu'il ne sait pas nager. Moi qui pensait que tout le monde savait nager à notre âge... Il faut croire que non. " T'as grandi loin de la mer ? " Demandais-je curieusement. Et les vacances ? Et la piscine ? Ça m'intéresse tout ça. Plus j'en apprends sur lui et plus ça m'intéresse d'en apprendre encore et encore. " Je m'attendais à voir un beau métisse sous un igloo pour me réchauffer mais non... " Je ris légèrement en parlant de lui, bien entendu, et de cette histoire d'igloo dont il m'avait parlé l'autre fois. C'était une façon pour moi de lui avouer que j'aurais rêvé avoir de ses nouvelles, de l'avoir avec moi mais aussi que je retenais absolument tout ce qu'il me disait, que j'étais impliquée dans cette relation plus que jamais. Parce qu'écouter l'autre est indispensable à mes yeux... J'apprends qu'il a fait sa vie au Maroc et ça me fait sourire. Je suis comme lui. Sauf en ce qui concerne le voyage de l'année dernière. Il faut dire qu'on est tous partis en Écosse et qu'on était un peu coincé sur les lieux de tournage d'Harry Potter, et que je n'ai participé qu'à très peu de voyage. Mais en Arizona, j'ai visité le maximum de choses, le lieu où nous étions étant bien trop arides et étouffants pour moi. " Mais cette fois-ci, je t'aide pas... Ou alors tu me donnes les astuces avant ! " Oui oui, j'étais bien entrain de parler du coup de l'oignon ! Si j'avais su avant qu'il y avait une astuce pour ne pas pleurer comme une enfant, ça m'aurait vraiment facilité la vie. Je me sens touchée quand il se demandait si je n'étais pas la femme de sa vie. Cela montrait bien que Bona et moi, on était clairement sur la même longueur d'onde. Il peut être qui il veut avec moi. Non. Il doit être lui même. S'il prie, qu'il le fasse, je ne jugeais les coutumes et habitudes de personne, en ayant moi même quelques unes biens étranges. Je ris quand il me parle de voile. " Ouai là je crois que ça le ferait pas... Et si je ne me trompe pas, c'est écrit nul part dans le Coran qu'une femme doit porter le voile... Et ça jurerait un peu avec ce que je fais comme job " Oui, je doute que mettre le voile après des photos pour Victoria Secret ait un sens quelconque... Je bois une gorgée et quand je sens ses bras autour de moi, je souris. Je tends le bras et lui sers un verre d'eau. Son baiser sur le cou me fait frissonner et je me tourne légèrement. " Je comptais sur toi pour me fatiguer " Soufflais-je en embrassant doucement ses lèvres. " Mais faut vraiment que je prenne une douche avant de faire quoi que ce soit, j'ai l'impression de sentir le phoque ! " Lançais-je en l'embrassant une dernière fois avant de filer vers ma chambre pour prendre de quoi me changer et filer vers la salle de bain. " Fais comme chez toi hein ! " Et je ferme la porte derrière moi. Pas à clé, j'ai toujours peur de rester enfermé dedans...
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Andrea & Bonaventure
« Je me suis renseigné pour des cours. Il faut juste que je trouve un créneau pour participer aux cours pour adultes » lui répondit-il signe qu’il avait bien l’intention de tenir sa promesse d’apprendre à nager. Il manquait juste de temps et Andrea embraya sur cette étrange particularité. Bonaventure grimaça en détournant le regard quelques instants. « C’est pas ça… En fait, c’est de la faute de mes cousins. Depuis que je suis petit, ils n’ont pas arrêté de me faire croire qu’il y a des requins partout, qu’ils allaient me manger. Bref, il s’amusaient à inventer des bêtes toutes plus sordides les unes que les autres pour m’effrayer et comme ils étaient plus vieux que moi et que je voulais absolument me sentir intégré avec eux ben je les ai cru et petit à petit j’ai commencé à développer une phobie de l’eau » lui expliqua-t-il avec un sursaut de dérision comme si l’adulte prenait pitié de l’enfant qu’il avait été. « Ma grand-mère n’a rien trouvé de mieux que de me montrer les dents de la mer en prime pour que je n’ai plus peur de ses monstres… Sauf que ça a été le contraire. Je crois que c’est la première fois que j’ai vu ma mère être réellement en colère » éclata-t-il de rire cette fois-ci car il savait que contrairement à ses cousins, sa grand-mère n’avait eu que des bonnes intentions à son égard. « Je te rassure, cela ne l’a pas calmé ! Quand j’ai eu quinze ans, elle m’a amené au salon de l’érotisme pour que j’apprenne les choses de la vie. Et à mes dix-sept ans, elle m’a amené dans une sorte de maison close pour que je devienne un homme… sauf que je l’avais pas attendu pour cela » ajouta-t-il en secouant la tête. Sa grand-mère, par Allah qu’il serait mort de chagrin le jour où il la perdrait.

Le voyage d’Andrea s’était tout de même bien déroulé apprit-il lorsqu’il l’interrogea par la suite et sa réplique suivante lui arracha un sourire. « Il n’avait peut-être pas prévu la porte et il attend toujours dans son igloo le pauvre » répliqua-t-il comprenant ce qu’elle cherchait à lui dire. Le couple continua de converser jusqu’à arriver à l’appartement de la demoiselle où Bonaventure ne put s’empêcher de la serrer dans ses bras, ayant éprouvé un manque flagrant durant son propre séjour au Maroc. « Non, ce n’est marqué nulle part dans le Coran. On y demande juste à l’homme et à la femme de se vêtir décemment et de réserver son corps à l’être aimé dans l’intimité du foyer. Par contre, je suis certain que tu serais très sexy avec un voile et juste des sous-vêtements. Ce serait concept ! » rigola-t-il en enfouissant son visage au creux de son cou. Bonaventure ne put s’empêcher à cet instant, de vouloir la préserver quitte à mettre à nouveau son désir en sourdine mais Andrea vint le détromper. « C’est un défi ? Parce que tu apprendras bien vite que je suis un homme qui adore relever les challenges » murmura-t-il contre ses lèvres, la laissant aller prendre sa douche. « J’en prendrai une juste après » lui dit-il avant de se déchausser et de boire son verre d’eau. Cela faisait du bien de se retrouver à nouveau dans cet appartement. Le métisse lava ensuite leurs deux verres et alla chercher quelque chose dans son sac de voyage. Il n’avait pas songé en achetant ce cadeau qu’il pourrait le donner en main propre mais tant mieux pensa-t-il en allant déposer son présent sur le bar.

Le cadeau souvenir du Maroc

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Il essaye donc de pallier ses problèmes et ça m'arrache un sourire. J'aime les hommes qui prennent leur destin en mains et qui ne se laisse pas périr dans un coin. Surtout après le coup à la piscine l'autre fois. Il allait m'avoir sur le dos s'il le faut. Je ne sais pas comment ça va se passer au Chili mais c'est quand même au bord de la mer et s'il fait chaud... Je l'écoute me parler de ses cousins. Dieu que j'aurais aimé avec des cousins, de la famille pour me foutre la trousse et tout ce qui va avec. Mais non, j'avais grandi toute seule, sans famille biologique. Je n'en étais pas moins riche d'aventures et de folies mais ce n'était peut être pas pareil... Je n'en saurais jamais rien. Je ris légèrement quand il me parle de sa grand mère. Il a l'air de vraiment avoir une relation forte avec cette femme et je devais admettre que si notre couple durait - ce que j'espérais - qu'elle m'apprécierait. Je serais tellement mal si elle venait à ne pas m'aimer... " Ta grand-mère est un sacré numéro dis moi... " Les préservatifs à Noël et maintenant tout ça... Ça me fait mourir de rire. Ce n'est pas une vieille peau coincée du bulbe et ça, c'est quand même super cool ! " J'espère qu'elle n'est pas trop difficile avec les filles qui sortent avec son petit fils hein... " Je n'ai rien à me reprocher, absolument rien ! Mais si elle voyait mes affiches de publicités pour Victoria Secret... Elle risquerait de faire une crise ! Il est musulman et je montre mes fesses sur des 15 par 20 dans le monde entier... Je fais un petit sourire en fronçant le nez, comme pour montrer que ça risque d'être une sacré dose de stress pour moi. Maxime n'était pas proche de sa famille alors je m'en fichais comme de ma dernière couche mais avec Bonaventure, c'est toute une autre histoire... " Ah oui mais là je ne peux vraiment rien pour lui... Tu crois que je devrais y retourner pour aller le sauver avant qu'il meurt d'hypothermie ? " Je ris légèrement. Ça me fait vraiment du bien de déconner avec Bona, de ne pas toujours être sérieuse à fond. On s'amuse bien, on rigole, on profite et voilà. Peut être qu'on finira par être à nouveau sérieux aujourd'hui, ou alors on continuera la journée - et la soirée - à coup de commentaires idiots et vaseux. Moi ça me va, l'un comme l'autre. Je n'ai pas vraiment d'humour en temps normal alors passer un bon temps comme ça avec un jeune homme comme lui, ça me plait totalement. " Ça tombe bien, je ne suis vraiment pas du style à donner mon corps à une autre personne que l'homme qui me plait " Soufflais-je en déposant un léger baiser sur ses lèvres. Oui, bon, j'avais eu trois relations hors couple. Mais il y avait eu Owen qui m'avait vraiment plu, Andrew... Et Camilo. Mais pour ce dernier, ça ne compte pas vraiment puisque j'étais complètement défoncée et ne m'en souviens pas ! Alors la seule erreur de mon parcours était Andrew. Un prince. Quand j'y pense... " Ah oui ? T'es comme ça toi ? Donc si je te défie de me faire l'amour toute la nuit, rien ne t'en empêchera ? Tu sais quand même que t'as un décalage horaire à gérer ? " Taquine et ce, jusqu'au bout ! Je tire la langue et file sous la douche. Rapide, comme à mon habitude. J'applique ma crème pour le corps et me secoue dans tous les sens pour qu'elle sèche plus vite. Les sous vêtements Hello Kitty en coton dans le panier à linge, enfile des sous vêtements qui valent le détour ainsi qu'un tshirt vraiment long, m'arrivant au niveau des genoux. Il veut aller à la douche alors je ne voudrais pas le distraire avant... Quand il va sortir, je risque de ne plus avoir ce tshirt sur le dos... Mes cheveux attachés en chignon en haut du crâne, je sors rapidement de la salle de bain, en chaussettes. Je glisse légèrement sur le parquet et me rattrape à Bonaventure, riant légèrement. Je glisse les yeux sur le bras et fronce les sourcils. " Qu'est-ce que c'est que ça ? " Je l'attrape et passe mes doigts dessus. " C'est... magnifique " Soufflais-je en l'embrassant tendrement. Je me détache rapidement de ses lèvres. " Tu peux me le mettre ? " Soufflais-je en lui tendant le bijou et me mettant dos à lui pour qu'il puisse me l'accrocher. J'ai plus envie qu'il aille à la douche là mais alors plus du tout... Je sens ses mains sur mes épaules et me tourne. " Merci, il est magnifique " Soufflais-je en regardant le bijou posé sur mon joli tshirt que j'avais hâte d'enlever... La douche était-elle judicieuse ? Non parce que là, je n'avais qu'une idée : le coller au lit avec moi.
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Andrea & Bonaventure
« Oh oui ! Elle a toujours été un soutien sans failles pour moi, la seule à vraiment me considérer comme un Weasley en dehors de mes parents. La famille de mon père et de ma mère, n’a jamais vraiment compris pourquoi ils n’avaient pas adopté un petit américain bien blanc. Je te rassure, ils ont toujours été corrects vis-à-vis de moi mais je me suis toujours senti plus ou moins comme un étranger avec eux. Sauf avec elle. Quand j’étais petit, elle m’amenait partout avec elle et crois-moi, j’en ai vu des choses que des enfants ne devraient jamais voir mais c’est elle qui m’a poussé à toujours être respectueux envers les autres. Elle me disait toujours que je devais respecter le monde pour qu’il me respecte à son tour… mais que si ce n’était pas le cas-là, j’avais le droit de distribuer des coups de pompes au cul » rigola-t-il de bon cœur. Cette femme était magique et c’était grâce à elle et toutes ses leçons de vie qu’il était devenu l’homme qu’il était actuellement. « Je suis certain que tu vas lui plaire. Elle veut juste une femme qui me rende heureux et c’est ce que tu fais. En dehors de ça, tu n’as aucune crainte à avoir. Le seul conseil que je puisse te donner, c’est de rester toi-même face à elle le jour où tu la rencontreras » lui dit-il car il n’imaginait pas construire une relation avec Andrea sans qu’elle ne fasse la rencontre de sa parente. Bonaventure n’avait besoin de la bénédiction de personne qu’on s’entende bien là-dessus mais il était important pour lui, que sa grand-mère rencontre celle pour qui son cœur battait aussi vite et fort.

Le métisse retrouvait l’Andrea qui lui plaisait tant : cette femme avec qui, il était bon de plaisanter sur un ton léger. Il aimait leur complicité, leur simplicité. Ici, pas de prises de têtes, pas de complications. Ils restaient eux-mêmes sans jouer le moindre rôle pour se plaire ou pour épater l’autre. Non, les choses se faisaient en douceur, naturellement. « Non, laissons-le jouer à l’hibernatus tout seul dans son coin. Il trouvera bien un ours polaire pour le réchauffer » rigola-t-il en secouant la tête, désireux de la garder rien que pour lui. Une remarque sur le Coran plus tard et Bonaventure s’exclamait « Et qu’est-ce que j’aime être celui qui te plait ». Un cri du cœur en toute franchise. Le jeune homme se sentait heureux, chanceux même. Aussi quand elle vint le taquiner sur le défi de lui faire l’amour, il la regarda avec un grand sourire. « Il y a une supérette pas loin de chez toi, susceptible d’être ouverte ? Non parce que j’irais bien faire le stock de redbull histoire de pouvoir tenir toute la nuit ! Je suis encore jeune, je dormirai un autre jour » lui dit-il, taquin et charmeur alors qu’elle s’éloignait pour prendre sa douche.

A son retour, il l’attendait, la rattrapant alors qu’elle glissait avec ses chaussettes. « Doucement bambi » murmura-t-il avec un sourire amusé avant qu’elle ne remarque le petit cadeau. « Je l’ai trouvé au Maroc et je voulais te l’offrir. Au départ, je pensais te l’envoyer pour te faire comprendre que je pensais toujours à toi et que tu me manquais mais je suis heureux de pouvoir te l’offrir finalement ce soir » lui dit-il en toute simplicité, lui attachant le collier non sans déposer un baiser sur sa nuque. « Pas autant que toi » murmura-t-il en lui volant un baiser. « Je vais aller prendre ma douche, je n’en ai pas pour longtemps » ajouta-t-il non sans l’attirer à lui pour l’embrasser langoureusement. « Je serais presque tenter de t’inviter sous ma douche »

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J'en apprends beaucoup sur lui mais en peu de temps. Il a donc été adopté par une famille d'américains. Je l'écoute attentivement, les réactions de sa famille qu'il a du percevoir d'une manière ou d'une autre, ce que sa grand-mère lui a enseigné comme façon de voir le monde... " Je vois... Ta grand-mère t'a très bien expliqué comment fonctionne le monde... " J'avais grandi dans un tout autre contexte, entourée de blessés, de la guerre, de la peur et de la mort... Ces journées où on ne revoyait plus les militaires revenir étaient des journées de grand stress pour moi... " Je peux pas dire que je comprends ce que c'est réellement mais... Grandir en étant blonde aux yeux bleus et blanche comme la farine en Afghanistan... " Je lui laisse comprendre que ce n'est pas tous les jours faciles, sans dégrader la peine qu'il a pu ressentir et en mettant en avant celle que j'avais ressenti. Ce n'est pas mon style, loin de là... Je suis juste bien placée pour comprendre, pour imaginer ce que ça fait. Savoir d'où il vient, biologiquement parlant, m'intéresse réellement. J'ai envie de savoir où il a appris à parler arabe, si c'est son choix d'être musulman ou pas. Et surtout, comment a-t-il fait ce choix, si c'est le sien ? Tout ça m'intéresse énormément mais ses lèvres aussi m'intéressent et c'est mon petit corps qui gagne face à mon cerveau. Enfin, mon corps... Plutôt ma libido et l'envie que j'ai de le coller contre le mur et de le déshabiller. " Je suis toujours moi même, ça tombe bien " Souriais-je avant de parler de nos vacances respectives loin l'un de l'autre. Je pense que je risque fortement de l'inviter au prochain voyage Dunster en Afrique. Je n'ai pas envie d'y aller mais peut être que s'il vient, ça me motivera un peu plus... Et puis là, dans le désert, on aura peut être vraiment bien besoin d'un traducteur ambulant ! Mon Weasley, sauveurs de ces dames - et hommes mais ça, on s'en fiche un peu. Je souris et le regarde faussement choqué quand il me dit qu'il a besoin de redbull. " Comment ça du redbull ? Je suis pas assez bien pour te maintenir éveillée ? " Faussement vexée, je file à la douche. Non mais oh ! En plus, le redbull c'est vraiment pas bon pour le corps. Ni au goût. Je file et reviens rapidement auprès de lui, manquant de m'éclater le crâne sur le parquet. Si je pouvais éviter de partir rejoindre ma soeur à l'hôpital.. Surtout dans cette tenue ! Je vois le bijou et mon coeur fond. " Et bien on peut dire merci à Leanne d'avoir finit dans le décor " Soufflais-je en riant légèrement. qu'est-ce que je suis mauvaise ! Mais c'est pas grave, je suis contente qu'il ne me l'ait pas envoyé mais qu'il me l'ait donné en main propre... Ça me fait tellement de bien... " Il me sublime alors " Soufflais-je avec un léger sourire alors que je glisse mes mains derrière sa nuque. " J'espère qu'il éloignera les mauvaises ondes " Ça sert bien à ça, il me semble... Son baiser a l'effet d'un moment vraiment parfait et quand il se décale, je ronchonne légèrement. " Fallait t'inviter sous ma douche oui... " Soupirais-je en le lâchant. " Allez vas-y. Je nous prépare un petit truc à manger ? Genre des croques monsieur mais au poulet ? " Demandais-je en souriant légèrement. Il faut que je m'occupe les mains et la tête sinon il peut dire adieu à sa douche tranquille... La douche c'est vraiment pas le mieux pour faire des cochonneries et se découvrir sexuellement, vraiment pas... Et puis, j'ai mis ces jolis sous vêtements pour qu'il les voit, qu'il en profite et qu'il me les enlève... Je vais pas lui mâcher le travail ! Je file vers la cuisine et le laisse se diriger vers la salle de bain. Cette fois-ci, il y a des serviettes sous le lavabo, comme si j'avais tout prévu... Ou bien espéré qu'il revienne.
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Andrea & Bonaventure
Au fil de la conversation, les deux tourtereaux se livraient à des confidences sur leur vie et Bonaventure devait admettre qu’il désirait en savoir plus. Beaucoup plus. Il se pourrait bien qu’il ne soit jamais rassasié avec cette femme car tout ce qui touchait de près ou de loin à Andrea l’intéressait. Le métisse était connu pour sa curiosité mais là, cela frôlait par moment l’obsession. « Cela ne devait pas être facile tous les jours. Tes parents sont dans l’armée ? Tu m’avais dit que ta mère travaillait en tant que médecin mais tu ne m’as jamais parlé de ton père » la questionna-t-il, intrigué par son enfance. « C’est un pays rude n’est-ce pas mais il me semble que tu m’avais dit que tu comptais y retourner ? » ajouta-t-il. Le Quincy aimait voyager, apprendre de nouvelles cultures, s’immerger dans le pays dont il foulait la terre. Or, il n’avait jamais eu l’occasion de se rendre en Afghanistan. On ne peut pas dire que c’était un pays où il était bon de faire du tourisme surtout en ces périodes troubles. Or, il avait toujours été intrigué par les richesses culturelles de ce pays. Imaginer Andrea là-bas lui donnait envie de l’enfermer dans une tour pour la mettre à l’abri du danger mais il savait aussi que l’on ne pouvait garder les êtres aimés pour soit à l’instar d’un oiseau enfermé dans une jolie cage dorée. Si son choix était de partir là-bas, qui serait-il pour l’en empêcher ?

« Oh si tu es bien, tu le sais très bien… C’est juste que je veux être certain d’être au summum de mes capacités pour te donner toi, envie de rester éveillée » rigola-t-il alors que la conversation reprenait une tournure plus légère, plus séductrice. Andrea était partie prendre sa douche, boudeuse et Bonaventure n’osa pas lui dire qu’il la trouvait davantage craquante lorsqu’elle était ainsi. Il n’était pas fou ! S’il lâchait pareille morceau, elle ne lui laisserait plus une seule minute de tranquillité pensa-t-il non sans humour. A son retour, elle découvrit le présent qu’il lui avait ramené du Maroc. « C’est ce que j’espère.. c’est un collier qui est censé être un porte-bonheur » lui apprit-il avant de rigoler. « Je note pour la prochaine fois : m’inviter dans ta douche… Ne grogne pas trop, je n’en ai pas pour longtemps » lui dit-il en attrapant son poignet gauche pour y déposer un baiser là où son pouls pulsait. « Ce serait avec plaisir, j’ai mangé dans l’avion mais ce n’était pas très digeste » avoua Bonaventure dans une grimace.

Bonaventure la quitta par la suite, se hâtant de prendre une douche et un sourire vint fleurir sur ses lèvres lorsqu’il vit tout un tas de serviette dans le meuble. Il revint vers elle, habillé uniquement d’un large pantalon marocain, torse nu. Il n’avait pas eu envie de mettre quelque chose sur lui car mine de rien, il aimait le regard que posait Andrea sur son corps. Il se sentait invincible et surtout désiré. « Tu as besoin d’un coup de main ? »lui demanda-t-il en venant dans son dos, les mains se posant sur ses épaules pour mieux glisser le long de ses bras et finir par s’enrouler autour de sa taille. Il aimait la tenir dans ses bras, sentir son corps contre le siens. « Je crois que je pourrais passer ma vie entière à te tenir dans mes bras… Tu m’as vraiment manqué ces derniers jours. Je ne faisais que penser à toi… Je n’ai pas osé te rappeler ou même t’envoyer un message, je craignais tellement que tu me détestes et pourtant, j’en mourrais d’envie » lui apprit-il en la serrant davantage contre lui.

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Je ne lui ai donc pas dis que Leanne et moi avions notre père en commun mais qu'il n'avait élevé ni elle ni moi ? Mince. C'est pas forcément un sujet que j'aime aborder. Surtout quand on sait que j'ai appris sa connaissance une fois qu'il est mort. Je fais un petit sourire et acquiesce. " J'y suis retournée là, pendant les quelques mois où je suis partie. C'est difficile mais c'est ce que je veux faire. Médecin en zone de guerre. Enfin, la traumato de Cambridge me comble aussi très bien " J'ai pas envie qu'il croit que je n'attends que ça : me barrer. Surtout quand on essaye de créer quelque chose, tous les deux. " Ma mère était infirmière oui. C'était son rêve de bosser en zone sensible comme ça et voilà... Je connais pas mon père. Il a mis ma mère enceinte et quand elle l'a apprit, elle est partie parce qu'elle était acceptée dans ce programme. C'est un médecin aussi mais c'est tout ce que je sais de lui " Et qu'il a eu d'autres enfants, beaucoup d'enfants. " Je l'ai jamais vu et il est décédé il y a quelques mois maintenant. Je ne crois pas que Leanne non plus ne l'ai connu d'ailleurs " Je ne sais pas trop, on en parle pas. En tout cas, je sais qu'il est mort d'une maladie héréditaire. Mais je ne me stress pas pour savoir si je l'ai ou pas. J'ai assez de soucis comme ça pour le moment. Le temps passe, on change de lieux encore et encore. Hôpital, voiture, couloirs, cuisine, salon, salle de bain. Enfin ça, c'est mon prochain lui. " Ça vaaaaa, je baillerais pas cette fois, promis ! " Je ris légèrement avant de filer. J'ai tellement envie de lui dire que je suis bien contente qu'on ait rien fait l'autre jour parce que la dispute du matin aurait tout gâché. Mais est-ce que je vais lui dire ? Non, surement pas. Je reviens, il me passe le collier autour du coup et je dois avoir des coeurs qui me sortent des yeux. Ça me fait tellement plaisir... Je souris et le laisse filer sous l'eau, non sans un baiser au passage. J'ai l'impression d'être un aimant à ses lèvres. Plus les minutes passent, plus les jours passent et plus je l'embrasse, ne voulant pas le quitter, le laisser partir. Je termine les croques monsieur au poulet quand j'entends ses pas sur le sol. Je souris légèrement et ne bouge pas, pour voir ce qu'il va faire, pour voir s'il va me regarder de loin ou s'il va s'approcher de moi. Je suis un aimant à son corps, à ses lèvres mais peut être que ce n'est pas son cas. Je souris légèrement quand je sens ses mains glisser sur ma peau. Je pose les deux premiers croques dans l'appareil prévu à cet effet et ferme les yeux alors qu'il pose sa tête sur mon épaule. " Je voulais t'appeler aussi... " Soufflais-je. J'avais rêvé prendre le contrôle de ma vie, l'appeler, lui dire que je m'excusais pour tout ce que j'avais fais, ce que je lui avais dis... Mais non. Je me suis défoncée à l'oxycodone comme une pauvre conne. " Mais je me suis dis que, de toute façon, tu ne voudrais pas entendre parler de moi parce que je.. " Parce que je suis une droguée. Après tout, c'est bien lui qui avait dit qu'il ne pouvait pas être proche de moi à cause de ça. " J'me suis défoncée les jours qui ont suivi. Priape, toi... J'avais plus personne pour me faire sentir bien. Personne à part ces pilules " Il est toujours collé à mon dos et je ne cherche aucun contact avec lui. Je sors les deux premiers croque de l'appareil et place les autres. " J'ai fais n'importe quoi mais j'étais entrain de couler... Puis en Norvège, j'ai pas pris les médicaments avec. Je voulais pas que Sienna tombe dessus et que ça lui donne une occasion de me lâcher, elle aussi. C'était dur " Je soupire et ferme les yeux. Je me tourne. Il se retrouve avec les bras sur le bas de mon dos et moi, j'ai les miens autour de son cou. " Mais je me suis dis que si je voulais qu'on puisse avoir quelque chose, je devais arrêter " C'est difficile. Surtout quand, comme tout à l'heure, je suis au fond du trou et que je veux juste me défoncer pour tout oublier. S'il n'avait pas pointé le bout de son nez à l'hôpital, je serais surement complètement stone à déconner avec ma frangine. Je veux arrêter mais le problème est le suivant : c'est la seule chose qui me soulage quand j'ai mal. Je doute qu'un cachet me fasse vraiment de l'effet. Il va falloir trouver un truc alternatif. mais quoi ? " Je veux pas te décevoir Bona, vraiment pas... " Je soupire et pince mes lèvres en les mordant. Pas pleurer. Manger plutôt. Une légère odeur de brûlé surgit de derrière moi et je le lâche pour sortir les deux croques, légèrement brûnis. Je les place sur les deux déjà chaud et lui tend l'assiette " Allons manger " Soufflais-je en arrachant un bout de croque avec mes doigts avant de l'enfoncer dans ma bouche. comme ça, je vais pas parler et pas dire de connerie. C'est une très bonne idée non. L'assiette entre nous, j'attends que Bona bouge pour pouvoir faire de même. Mais s'il reste là, je peux très bien manger debout. C'est pas bon pour la santé mais je peux le faire. Même pas peur. 
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Andrea & Bonaventure
Andrea rêvait de retourner en zone de guerre et cela inquiétait énormément Bonaventure même s’il savait qu’il ne pourrait jamais s’opposer face à cette ambition. Lui-même, avait longtemps rêvé de devenir reporter de guerre avant de finalement trouver sa voie dans la criminologie. Toutefois, il sentait également que sa petite-amie était toute autant désireuse que lui de donner une chance à leur couple et dieu qu’ils allaient en avoir besoin. « Je suis désolé pour toi » lui dit-il en toute sincérité alors qu’ils abordaient le sujet de son père. Andrea n’aurait jamais l’occasion de faire connaissance avec son père comme lui, avec sa mère biologique. Il n’était jamais aisé de vivre avec ce regret même si, pour certain, cela pouvait ne pas en être un. Après tout, on ne pouvait pas regretter une personne que l’on ne connaissait pas ou même quelque chose que l’on avait jamais vécu.

Les choses devinrent bien plus légères, les deux jeunes gens se taquinant, s’embrassant comme si aucun des deux n’arrivaient à se passer de la présence de l’autre. L’absence de l’autre pour cause de douche ne faisait qu’attiser l’envie, la frustration également. Bonaventure s’il s’écoutait, se jetterait sur elle comme un homme en manque d’amour mais il ne voulait pas passer pour un pervers patenté. Il pouvait bien prendre son temps afin de ne pas gâcher leur première fois. Oui, il était important de respecter cette première étreinte pour lui donner tout son caractère romantique et sensuel. « Je n’aurais pas dû te tourner le dos de la sorte mais j’ai paniqué parce que cela m’a rappelé combien il m’arrive encore d’être vulnérable. Ce matin-là, j’étais surtout en colère contre moi mais également inquiet pour toi. Je sais que la route ne sera pas sans être semée d’embuche mais je veux être présent pour toi et être une bonne raison de lutter contre cette addiction. Je ne suis pas là pour te juger mais bien pour t’aider… » lui répondit-il avec tendresse et sincérité. « Tu me déçois pas et tu ne me décevras jamais parce que tu ne te résumes pas à ça à mes yeux » ajouta-t-il en déposant un baiser sur sa tempe.

Andrea lui tendit l’assiette et il la prit avant de prendre l’une de ses mains et la conduire à la première chaise qu’il trouva pour s’y asseoir et l’attirer sur ses genoux. « On m’a toujours dit de ne pas manger debout »lâcha-t-il avec un petit sourire malicieux, sa main ayant lâché la sienne pour venir se glisser sous son ample T-shirt, butant sur un tissu bien plus soyeux et doux. « Est-ce moi où je vais avoir une jolie surprise sous ce t-shirt ? » lui demanda-t-il amusé, avant de croquer dans son sandwich chaud.

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J'ai grandi en zone sensible et j'ai toujours voulu faire comme ma mère. Enfin, à un niveau un peu plus élevé. Elle n'est qu'infirmière mais en cas de rush, il lui arrivait d'aller en 'salle d'opération'. La passion que j'ai pour la médecine me vient de là et je ne changerais pour rien au monde. J'ai grandi comme ça et ce sont toutes ces épreuves qui font de moi celle que je suis. Si j'avais grandi en France - là où j'avais été conçu, en Corse plus précisément - tout aurait pu être différent. Mais je me contente de ce que j'ai et je suis très bien comme ça. Je lui adresse un léger sourire quand il me dit qu'il est désolé. J'hausse les épaules, c'est pas si grave. " Je l'ai jamais connu donc ça va... Je plains plus ses autres enfants. Enfin, ceux qu'il a élevé " Parce qu'il me semble qu'il en a quand même élevé quelques uns, après de nombreux coups de reins à droite à gauche. Enfin, je n'ai jamais ressenti de manque. Déçue de ne pas l'avoir connu mais c'est comme ça. Je ne peux rien y changer et je dois juste faire avec. Ou plutôt sans. Les gens qu'on ne connaît pas ne nous manquent pas... Et j'ai plutôt mal vécu ce que le père de Talya a fait avec ma mère. Ça, c'est plus important, plus déstabilisant pour moi. De nombreuses années à le considérer comme mon père, comme la figure paternelle que j'avais toujours recherché. Et dès que sa femme et sa fille avaient débarqué, ma mère et moi n'existions plus. L'une des nombreuses déceptions de ma petite existence. " Dis pas que je te décevrais jamais, ça va me mettre la pression " Parce que je suis plutôt imparfaite comme nana et il m'arrive de faire des conneries... Et de sacrés conneries. Il m'arrive de m'en vouloir, et pas qu'un peu. Je l'embrasse et glisse une main sur sa joue. " Ça a été difficile d'arrêter ? " Demandais-je, curieuse. Parce que je ralentis, j'essaye de ne plus rien prendre mais c'est pas l'envie qui m'en manque. Quand j'ai appris pour Leanne, je n'avais qu'une envie : prendre des cachets pour tout oublier, pour me réveiller et qu'on m'annonce que ce n'était qu'une mauvaise blague. Mais ce n'était pas arrivé, n'ayant rien sur moi. Et puis, rien n'aurait changé le cours des choses, malheureusement. Pourtant, ça m'avait sacrément tenter. Je suis plutôt faible comme nana, la drogue est ma nouvelle lubie pour me sentir mieux. Mais il faut que je prenne sur moi. Je souris quand il me tire sur ses genoux et rougis quand il sent que j'ai quelque chose d'un peu plus 'soyeux' sous ce large t-shirt sans forme. " Mange et tu verras " Riais-je en attrapant un sandwich et mordant dedans dedans avec bon coeur. On discute un peu, on mange et je reste sur ses jambes. Franchement, pas sexy du tout, je mets des miettes partout. Mais je m'en fiche. Le ménage ça sera pour plus tard. Je termine ma dernière bouchée de croque au poulet et lui souris légèrement. Je me lève rapidement, pose l'assiette dans le lavabo, reprends nos deux verres et me met à nouveau assise sur lui. À califourchon cette fois, mes bras derrière sa nuque. " Tu restes ce soir hein ? " Toute la nuit. Je le veux pour moi. Je me penche légèrement et l'embrasse tendrement. Je ferme les yeux et me détache légèrement de lui. " T'avais raison. J'ai autre chose sous ce t-shirt informe " Soufflais-je en l'attrapant par le bas et le soulevant, avant de l'enlever. Ah la petite tenue rose claire et noire sexy c'est autre chose que cette bâche que je porte... " Alors, t'en dis quoi ? " Je souris largement et l'embrasse à nouveau, glissant mes mains sur son torse.
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you're one of my few favorite things ✩
Andrea & Bonaventure
« Pourquoi se mettre la pression ? » lui demanda-t-il avec curiosité avant de secouer la tête de droite à gauche. « Andrea, je ne suis pas un homme qui cherche la perfection dans l’être aimé. Au contraire, je te veux avec tes défauts, avec tes failles car j’ai envie que tu me prennes comme je suis également… Je ne suis pas parfait »lui dit-il en prenant son visage entre ses mains pour mieux plonger son regard dans le sien. « Je ne suis pas là pour te juger ou même te noter. J’ai envie de me dire que si tu tombes, je serais justement la main qui te relevera. Je veux être ton soutien, la personne vers laquelle tu te tournes lorsque ta vie prend l’eau ou que tu as simplement envie de sourire. Je veux être ton compagnon et non ton juge… Je peux tout pardonner » lui dit-il avant de se raviser. « La seule chose qui me décevrait, ce serait que tu me trompes, que tu salisses ce qui se passe entre nous en te donnant à un autre homme que moi… Tu vois, je sais que tu me décevras jamais car j’ai confiance en toi ».

Bonaventure espérait qu’elle comprenne qu’entre ses bras, elle pouvait être elle-même, aussi défoncée qu’elle le souhaitait du moment qu’elle acceptait son aide. Si bien que lorsqu’elle lui demanda si cela avait été dur pour lui d’arrêter, il voulut se montrer honnête avec elle. « Oui, beaucoup. J’ai essayé d’abord par moi-même mais je n’ai fait que chuter à nouveau plus durement en même temps que je m’enfonçais dans ma dépression. Puis un soir, j’ai fait une overdose car je ne contrôlais plus les doses. J’avais constamment besoin de planer pour oublier, je ne voulais plus rien ressentir si ce n’est ce bien-être… Le problème, c’est qu’avec le temps, on a besoin de plus de cachetons pour se sentir mieux. Les doses augmentent jusqu’à franchir la ligne rouge. C’est mon père qui m’a trouvé… A l’hôpital, les médecins m’ont dit qu’à vingt minutes près, je n’aurais pas survécu. Mes parents m’ont alors placé dans un centre de désintoxication… » lui expliqua-t-il d’une voix lointaine, comme s’il revivait ses années terribles. « J’en suis sorti. Depuis, je n’ai rechuté qu’une seule fois et là… ça va faire 380 jours que je n’ai pas plongé » achevait-il de lui dire, avec cette fois-ci, un sourire.

Tranquillement, le couple dégusta par la suite les croque-messieurs qu’Andrea avait fait, cette dernière assise sur ses genoux. Bonaventure ne voulait rompre en aucun prix, le contact avec elle. « J’espérais que tu me demandes de rester… J’étais même prêt à dormir sur le paillasson de ton appartement pour rester proche de toi » plaisanta-t-il avant que son regard ne se charge de désir dès lors qu’elle eut enlevé son T-Shirt. « J’en dis que tu es la femme la plus séduisante qu’il m’ait été donné de connaitre » lui dit-il d’une voix rauque car cette tenue ne faisait que renforcer son désir d’elle. « Mais je te préviens, aussi belle soit cette tenue, tu ne la garderas pas très longtemps sur toi » murmura-t-il contre ses lèvres qu’il reprit de plus belle dans un baiser langoureux tandis que ses doigts se posaient sur ses cuisses, remontant le long de ses hanches en faisant remonter sa nuisette rose claire.


electric bird.
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