jet black heart ✩ lucas

« Parce que toi t'es un saint ? » dis-tu en tapant son épaule, une nouvelle fois et lui tirant la langue. Tu ouvres la porte de la lowell en sachant que personne ne s'y trouverai derrière. Dévale les escalier pour rejoindre le bureau de Maggie, vide d'activité. Ça faisait longtemps qu'elle ne travailler plus ici, elle préfère l'air frais et les décors plus coloré qu'un bureau et des dossier, c'est pas une lowell pour rien. Tu secoue la tête en réponses à sa question, déranger et lowell ne vont pas ensemble. « Y a jamais personne ici, même les cimetières sont plus animé. » dis-tu en récupérant un paquet de bonbon dans le tiroir de ta sœur. Enfin demi-soeur, du côté de ton père. Tu l'a connaissait à peine, mais tu aimais déjà sa présence et ses habitudes. « Elle a le droit à une pièce en étant présidente, et a un canapé lit sur lequel tu es assis, donc si tu veux bien tiré pour qu'on puisse dormir. » puisqu'il était tout de même trois heure du matin, voir un peu plus. Ce coach est vraiment fou de venir à trois heure et quelque pour son précieux terrain. « Tu veux que je passe un morceau de Jean-Pierre François pour l'ambiance ? » dis-tu en retirant ta veste, enfin sa veste.

Yup, Saint Lucas, le meilleur de tous, dis-je tout en souriant. Je suis la demoiselle qui nous mène à la Lowell, puis dans le bureau de sa sœur une fois dans le bâtiment. Ah ben je vois ça ouais, c'est pas la joie tout les jours ici, je réplique en regardant autour de nous. Sérieux ? Ouais enfin, ça doit être la même chose à la Mather....Sauf que je n'ai pas vraiment fait attention, dis-je en prenant un air réfléchis. Ouais, ça peut m'arrivé de réfléchir par moment. Ah ben voilà, je me pose enfin que madame veut que je lève mon cul. Putain, mais c'est pas possible ça hein !!!! Bon ok, je lève directement mes fesses, et défait le canapé lit, plutôt grand. Eh bah, ils se font pas chiés quand même, dis-je tout en regardant le lit. Assis sur le lit, je retire tout à bord mes chaussures. Aaaah que ça fait du bien, en plus ça sent la rose...bon peut-être pas la rose mais ça ne pu pas quoi. Naaaaaaaaan, tout sauf lui je t'en pris !!, je lui dis en la regardant limite apeuré. Ah non hein, hors question d'avoir l'autre qui chante dans mes oreilles. Je retire ensuite mon t-shirt, que j'envoie balader sur Alaska. Oosy.

Saint Lucas, mon cul. Tu ne répond même pas à cette grosse blague et préfère t'installer dans le petit cocon que vous vous êtes fait. Bien sur demain faudra dégager, mais pour ce soir il n'y a personne et il n'y aura personne à part vous. Tu fermes tout de même à clès histoire de ne pas avoir de mauvaise surprise, mais Maggie a une tonne de gosse et de chat qui anime assez sa vie pour l'empêcher de venir par ici. « Tu vie dans une villa, qu'est-ce que tu t'en fou de ce qui se passe à la mather house ? » dis-tu en retirant ton pantalon pour le poser sur le bureau. Et met une chanson au pif dans les albums disposer près de la chaine wifi, un truc assez lent et romantique, histoire de ne pas le soûler avec du Colonel Reyle. Tu rejoint Lucas sur le lit, enfin ce truc qui sert de lui et qui semble un peu bancale, et arrives en califourchon sur lui. Sans vraiment le prévenir, tu t’empare de ses lèvres, et l'embrasse fougueusement, avant de te redresser, assise sur lui. « Trêve de blabhblah. On faisait quoi tout à l'heure sur le terrain de foot ? » dis-tu en baissant un peu la luminosité. Faut pas s'arrêter en si bon chemin ou à cause de se stupide coach..

Euké, je crois que Saint Lucas n'est pas crédible. C'est bien dommage, je pensais me faire de l'argent grâce à ça mais bon. Mais j'aime la Mather House merde ! Ouais bon ok, la villa c'est top mais je pense que je vais déménager..., bah ouais, elle est devenue aussi morte que la Lowell House. Donc bon, quitte à être seul, je préfère vivre dans ma villa et non dans celle d'une autre. Elle me demande de la musique, je pris pour qu'elle en choisisse une bonne. Surtout du Colonel Reyle, parce que je suis un grand fan de lui...ou pas. Finalement, elle choisit quelque chose de lent et romantique. Je n'ai même pas le temps de retirer mon jean, que je me retrouve allonger sur ce qui est visiblement un lit, Alaska à califourchon sur mon corps tout fin. D'ailleurs, elle me viole littéralement la bouche. Enfin, non parce que je suis consentant et que c'est hot. Je l'embrasse, poursuivant son baiser, tout en caressant ses cuisses de mes mains. Je crois que tu étais sur le point de retirer ça, dis-je en passant mes doigts sur son soutien gorge, sourire malicieux en coin. Je lui souris, la regarde, l'admire même. Ce petit bout de femme sait me faire perdre la tête en un claquement de doigt et le pire, c'est qu'elle le sait parfaitement.

« On peut en reparler demain de tout ça ? » dis-tu en coupant cours à la discussion. Parce que d'accord ça t’intéresse de savoir pourquoi il voulait plus rester dans sa coloc, alors qu'elle avait tout de parfaite, mais pour le moment t'avais clairement envie d'autre chose. Quelque de plus affectueux et plus tendre. La première fois le jacuzzi c'était un peu à la va vite, parce que sur le coup le bain à remoud c'était le top et que vous étiez pire que pété surtout. Mais maintenant c'était bien de faire les choses en douceur, histoire de s'en rappeler plus de vrai. Tu l'embrasses donc, avec fougue et tendresse à la fois, caressant sa nuque du bout de ses doigts, avant de te redresser. Ah oui, il y avait quelques chose en trop. Ses doigts caresser ton soutient gorge, et tu lâche un petit rire nerveux, guettant derrière toi si le coach ne va pas débarquer de nouveau de sous le bureau. Tu embrasses son front, et remontes pour détacher ton soutient gorge que tu laisse tomber au sol. « C'est vrai que c'était un peu de trop. » dis-tu en te penchant vers lui, pour l'embrasse à nouveau.

bande curieux.

bande curieux.

(Invité)