jet black heart ✩ lucas

Il en fait assez pour un bon petit ami, alors que tu en fait rien pour lui facilité la tache. Faut dire que la vie facile et a porter de main, c'est pas ton fort, ce qui fait que tu as tendance à emmener les gens dans ton chaos. Mais pour lui tu fera des efforts, pour lui tu passeras par dessus tes complexes sur la confiance, pour lui tu deviendras une bonne personne. Tu cales ton petit corps contre le siens et repose son portable sur son bide, en secouant la tête. « J'ai pas besoin de savoir ce qu'y a dans ton portable pour te faire confiance. » dis-tu en haussant les épaules, et en levant les yeux vers sa personne. Et puis t'es mille fois plus canon que Marley alors à quoi vouloir du tatti quand il peut avoir du gucci ? « Je disait donc, il n'est pas encore trop tard pour que tu me voit toute nue. » tu poses ton front contre le siens, avant d'attraper ses lèvres entre les tiennes et balader tes doigts le long de sa machoir. Oui il t’arrive de penser que tout le monde te manipule, que tout le monde t'utilise, que tout le monde joue un rôle pour arriver à ses fins. Et cette fois-ci c'est pas la faute à la maladie mais au Granger. T'as été conditionner comme ça, en attente de quelques choses. Ça t'échappe encore que certaine personne soit là, juste parce qu'elles ont envie d'être avoir toi. « J'ai confiance en toi. J'sais que tu vas jamais m'écraser avec ta voiture. » dis-tu dans un rire.

Je peux comprendre qu'elle ait des craintes, vu que je suis un homme à femmes, mes chevilles vont bien merci...mais je ne lui ai rien caché. Bon, je n'ai pas eu le temps de lui dire que j'étais marié, mais j'aurai pu lui mentir, disant que ce ne sont que des conneries. Pourtant, je lui ai dit la vérité, lui parlant de cette boulette et de Marley. Hmm, il t'en a fallu du temps quand même, je lui répond en faisant un immense sourire, avant qu'elle ne répète sa demande, sur le fait d'être nue. Un sourire ravit sur mes lèvres après son baiser, je lui répond, il n'est jamais trop tard. Bah ouais, tous à poil moi je dis ! Naked party. Bon lui truc c'est qu'on se les pèles, pas grave, on va se réchauffer. Hop, Hop. Je suis heureux d'apprendre qu'elle a confiance en moi, d'ailleurs, ça peut se lire sur mon visage. Bon pour la partie sur la voiture là par contre, ce n'est que des conneries. Bah ouais, enquêtrices comme elle est, elle serait capable de découvrir si je fais une connerie, et de me rouler dessus avec sa voiture. Tu m'auras écrasé depuis bien longtemps, je lui chuchote avant de relever légèrement mon visage pour l'embrasser tendrement.

C'était pas facile. Non vraiment pas. Quand on passe le quart de son existence à se méfier de tout le monde, on ne peut pas redonner facilement la confiance. Sauf que pour lui tu le ferais et tu lui adresse un sourire joueurs, lorsque le sujet nu apparaît dans la discussion. Il en faut si peux pour le captiver. « Quand ça parle de nudité, tout de suite monsieur est captivé hein. » dis-tu en riant. Fait froid quand même, mais pour tout ce qu'il a fait pour toi depuis que vous êtes ensemble, c'est à dire depuis dix jours, entre encaisser une journée avec Max et t'entendre gueuler h24, c'est le stricte minimum. Alors tu te redresses un peu pour l'embrasser fougueusement, et te hisse jusqu'au dessus de lui, pour venir t'assoie sur lui, c'est bon t'es pas si lourde que ça il peut supporter un peu d'alaska pour un peu de bonheur, non ? Il faisait un froid de canard, mais tu retirer tout doucement ton manteaux, tel une vrai strip-teaseuse professionnelle, en chantonnant d'ailleurs le fameux : ta-da-dam,da-dam que fond toutes les filles dans les scènes de film, bougeant un peu tes épaules de manière sexy, chose assez difficile quand tu mesure 1m60 et que ton animal porte bonheur est l'hamster. Une fois ceci enlever, tu retires de la même manière ton tee-shirt et le vire un peu plus loin dans l'herbe, beaucoup trop loin d'ailleurs. Te voilà donc en soutient gorge, assise sur ton copain, les cheveux enmeler et ton bonnet sur la tête. « C'est vraiment parce que c'est toi, j'te jure. » dis-tu en riant, prête à enlever le reste quand soudain... « HE VOUS, VOUS FAITE QUOI LA ? » MERDE. Le coach de l'équipe et le gardien était à l'entrée du terrain ? Mais ils sont pas censer être chez eux ? « VOUS AVEZ PAS LE DROIT D'ÊTRE LA. » gueule coach, merde, merde, merde. « FAUT SE TIRER. » dis-tu en paniques à Lucas. Bordel, ça aller se faire.  

Bah soit je suis tout content parce qu'elle me parle de nudité, soit je fais la gueule et là, on serait tout les deux punis. Tu me captive toujours chéri, soit la phrase bateau pour ne pas se faire passer pour un pervers. Puis bon, qui dirait non à un strip-tease de sa copine ? Surtout quand elle a eu pour surnom Pamela....hum....hum...Sourire aux lèvres, je la regarde s'asseoir sur moi et non, elle n'est pas lourde. Je rigole légèrement en entendant la chanson qu'elle chante, histoire que ça rende le moment encore plus sexy. Mes mains sur ses cuisses, je regarde son manteau quitter son petit corps, avant que son t-shirt ne s'envole dans les airs. C'est parce que tu m'aimes, je lui répond avec un immense sourire, alors qu'elle est sur le point de retirer son soutien gorge. Mais là, le coach et le gardien se sont donnés le droit de venir gâcher ce moment....POURQUOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ???? J'ai envie de pleurer. Chiotasse, vas te cacher, je lui dis en nous levant, lui donnant ma veste, tout en la poussant légèrement vers l'opposé afin qu'elle puisse partir en courant. Ils sont encore loin, j'ai tout juste le temps de récupérer le plaid et sa veste, qu'il faut que je prenne mes jambes à mon cou. Je cours à l'opposé, rejoignant au plus vite Alaska. Devant le grand grillage, je l'aide à l'escalader, tandis que les deux lourds s'avancent de plus en plus.

Ça commencer vraiment à devenir chaud. 'Fin pour lui, et puis on sait tous ce qui se passe quand deux ado sont nu sous un ciel étoiler, un soir romantique. Mais tu as oublier un mini détail assez important tout de même : vous êtes sur le terrain de foot, illégalement. Alors quand tu t'apprête à lui sortir le grand jeu et que le coach débarque avec leurs lampe de poche et une voiture de police, c'est la panique. Luke te tend sa veste que tu enfile, avant de récupéré ton sac et courir à toute vitesse à l'extrémité du terrain. BORDEL BORDEL. ; « Fait pas le héro, grouille toi de venir. » dis-tu en essayant d'ouvrir la porte, merde, fermer et c'est pas la bonne clès. Luke arrive de nouveau et t'aide à monter la barrière, tu lui tend la main pour l'aider mais il semble que ses grandes jambes servent finalement. Vous vous mettez à courir dans les rues d'harvard, en zigzagant. On s'était pourtant mis d'accord pour ne plus faire du sport après la petite séance de tout à l'heure ? Et les seins à l'air en plus ,c'est pas très adéquate tout ça pour une première séance de 2016. Tu tires Luke dans un coin paumer derrière les poubelles d'une maison, le souffle court. « J'vais mourir, bordel. » dis-tu en te roulant sur le sol. Parce que t'as plus d'air !!! PLUS JAMAIS.  

Ohhh nuit belle nuit, sous un ciel pas d'Italie, on t'appelle la belle la, merde pourquoi j'entend des voix d'hommes ? Non mais sérieux les mecs, pour les besoins de mon ouistiti CASSEZ VOUS. Ah ben non, ils se rapprochent. Jarriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiive, dis-je en essayant de récupérer nos affaires. Bon, la plus part des choses finissent à terre, mais ce n'est pas grave. Et hop, d'un seul coup, Alaska se retrouve de l'autre côté du grillage. Je la rejoins aussi tôt, grâce à mes longues jambes. Le plaid et sa veste à la main, je cours derrière elle dans les rues d'Havard, avant qu'elle ne m'attire dans une ruelle. Putain, heureusement qu'il n'y a pas grand monde sinon, soit on nous prendrait pour des dingues, soit on penserait que je lui cours après pour la violer. Ah ben non, évite de mourir, dis-je tout en étant essoufflé. Je m'assoie à ses côtés, lui fermant ma veste histoire qu'elle n'ait plus les nichons à l'air, ajoutant par dessus sa veste à elle. C'est mieux comme ça ?, je demande à nouveau, tout en passant mon bras autour de ses épaules.

QUEL IDEE. MAIS QUEL IDEE. C'est en cavalant dans les rue d'harvard que tu te jure de ne plus jamais faire la con avec la loi, du mois jusqu'à la prochaine fois ou tu te fera arrêter. D'ailleurs t'as fait que courir, seule, alors que Luke oui a porter toute les affaires en plus de sa personne. Tu essaie de reprendre ton souffle. « ça va... aller et toi? » dis-tu en te redressant. « J'te survivrais d'un amour vivaaaant. » dis-tu en chantant Jean-Pierre François, et essayant de rire, tout en te relevant. La voie était libre, et il semblerais que vous n'étiez plus très loin de la lowell housse. « Qui aurait dit que ce débile de coach n'a rien à faire de son week end que de traquer les gens qui prennent du bon temps sur le terrain de foot ? » quoi que ce n'était pas vraiment l'endroit parfait pour faire un rendez-vous, mais vu comment l'autre s'est passer, tu refuser de débuter votre relation sur un premier rendez-vous rater. Tu l'aide à ramasser les affaires, et y met un peu de rangement bien que la moitié est finit le long de la rue. « On fait quoi maintenant ? » ce serais con de se séparer maintenant alors que les choses intéressante venez à peine de commencer.

Grâce à mes grandes jambes, j'ai moins de mètres à parcourir mais quad même. On se retrouve dans une ruelle sombre, près de poubelles qui puent, c'est une horreur. Ça va, ça va, dis-je plié en deux, les mains posées sur mes genoux. Aie non, qu'elle ne me fasse pas rire en chantant cette chanson, j'ai des crampes au ventre. Il devait en avoir marre de se branler !, bah ouais un coach qui est sur le campus un week-end, c'est qu'il n'a rien de bien intéressant à faire chez lui, même pas une petite femme à satisfaire. Qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Bonne question ! On est pas loin du Campus, mais aussi pas si loin que ça de la villa. Il y a du mon à la Lowell ? Je te dirais bien d'aller à la Mather, mais ils vont nous faire chier, sinon, on peut aller à la villa, il ne devrait y avoir personne. Je ne connais pas les plans de mes colocataires, mais aux dernières nouvelles, ils ne devaient pas être à la maison. Ramassant nos affaires, on se met en marche, parce que ouais, on a pas assez faire de sport comme ça pour ce soir.

« Bah quoi ? T'es pas un grand fan de Jean-Pierre François ? » dis-tu en rigolant, tout en reprenant mon souffle, les mains sur mes côtes. Dans tout ça, tu sais pas vraiment si ton tee-shirt est passer, mais tu t'en fou un peu sur le coup. Le plus rapide serai la lowell house ? Y a jamais personne de toute façon, et tu avais les clès du bureau et de la chambre de Maggie, étant donner que tu ne vivais plus là bas. Quoi qu'aller chez lui te tente aussi, te réveiller dans une villa tel une petite fille à papa, ça te ferai un bien fou. « On peut squatter la chambre de ma sœur, si tu veux. Et faire des choses sur le bureau ? » dis-tu en tapotant sur son épaule. Tu t’avances vers la lowell house qui n'était pas si loin que ça. Voir pas du tout, aussi désert que le désert lui même appellerais la lowell house le désert. C'était la raison pour lequel tu as déménager, surtout parce que t'avais l'impression de vivre dans un cimetière. « Fait comme chez toi. » dis-tu en ouvrant le bureau de Maggie. Vous partiez demain matin de toute façon, prendre un petit déjeuner gratuit chez Starbucks.

Mais si, je suis son fan numéro, j'ai des posters dans ma chambre..., ou pas. Puis euh...il est mort lui ou pas ? Ouais parce que moi et les vieux chanteurs, ça fait deux. C'est vrai qu'on est pas loin de la Lowell, alors allons-y. Ramassant nos affaires, on prend la route vers la confrérie, qui en fait, se trouve à même pas cinq minutes de là où on se trouve. En entrant dans la maison, je suis prit d'un grand choc...PUTAIN QUE C'EST CALME. A la Mather, ça hurle dans tout les sens. C'est bon le calme, bien que là, c'est limite mort en fait. Tu ne pense vraiment qu'à ça hein, dis-je en prenant un faux air blasé, tout en la suivant dans le bureau. Mignonne la pièce, c'est plutôt agréable. Ouais bon, je ne connais rien en décoration hein, mais c'est pas vilain. Personne ne va venir ?, histoire qu'on ne se fasse pas encore une frayeur comme sur le terrain de footbal. Je fais le tour de la pièce, déposant nos affaires sur une chaise, avant de me poser sur la canapé. Haan que ça va fait du bien, bah ouais, on vient de faire un marathon quand même, en plus de l'échauffement d'avant.