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Pas de nouvelle, Bonne nouvelle ? ft .Amanda

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Soooo, tell me. Was it good ?


Entre les anecdotes concernant Carlisle et Bonaventure, j’avoue que j’étais servie !! A telle point que je m’étais mis à l’aise en m’allongeant en position latérale sur le lit, à chercher d’obtenir des confidences d’Amanda…

A commencer par Carlisle

Moi qui pensait que le psy et la jolie blonde avait passé quelques jours ensemble de manière platonique – vu que ma meilleure amie m’assurait que rien ne s’était passé – il y avait un détail qui changeait un peu la donne. Ils avaient dormi dans le même lit….dans le même lit ?! Sans se toucher ?! L’ange blond en face de moi avait proclamé son incompréhension quant au comportement coincé de Paris envers moi, il y a peu ; et pourtant c’était à moi de crier au scandale à l’écoute des confidences d’Amanda. Je lui avais signalé qu’elle aurait dû être bien plus frustrée que moi et que je ne comprenais pas qu’il ne se soit rien passé. Mais Amanda et son innocence naturelle m’expliquait alors qu’elle et Carlisle n’avaient rien fait parce qu’ils n’avaient jamais cherché à se plaire. Mieux encore, c’est à cause des cauchemars de la blonde que Carlisle avait fini par partager son lit avec ma meilleure amie. Et là encore, il était resté dispo en tant qu’ami, et n’avait pas bougé d’une oreille pour en obtenir plus….Je pouffais de rire en secouant légèrement la tête avant de répondre à mon amie : « Les cauchemars sont souvent la source d’un rapprochement pourtant…j’en sais quelques chose ». Après tout ? N’était-ce pas après un cauchemar que Paris et moi nous étions retrouvées l’un sur l’autre à partager des caresses et des baisers ?

Vint ensuite le tour de Bonaventure.

Amanda s’était corriger concernant les prétendants passé dans son lit, et j’avais vu là l’occasion de demander à mon amie comme les choses s’était déroulées avec le métisse. Je ne doutais pas de l’apparence de ce dernier, ayant plusieurs fois l’occasion de palper ses muscles saillants. Mais si y’a un truc que je ne savais pas, c’était quel type d’amant il était ! Me sentant alors suffisamment à l’aise et proche d’Amanda, je n’avais pas hésité à la questionner, la voyant maintenant rougissante avant de me confier ce que je ne manquais pas de croire : Bonaventure était beau (ça on le savait toutes !), et BON ! Là aussi, il était difficile de croire le contraire, mais j’aimais à entendre mon amie me dire que notre métisse adoré c’était montré doux et à l’écoute avec elle ! Limite j’avais envie de remercier Bona pour l’avoir traité avec autant de respect et de tendresse. Ma petite choupette Amanda méritait d’être ainsi traité ! Telle une princesse. Je souriais à l’entendre me dire qu’elle n’avait pas osé faire l’amour autrement que dans l’obscurité, trouvant son attitude gênée et timide totalement adorable. Finalement, Amanda concluait en avouant qu’elle avait pris beaucoup de plaisir, et moi je souriais à pleine dents comme une gamine, les yeux rieurs et brillant : « J’en étais sûre ! Ce mec est trop adorable pour ne pas s’être comporté comme un gentleman avec toi ! Et je suis contente que tu aies pris ton pied en plus ! Limite, je t’envie là…. » Bien sûr, je n’oserais pas dire ce genre de chose en temps normal mais…rappelons-le : je suis frustrée sexuellement ces derniers temps. Amanda me demandait alors si j’avais des anecdotes à partager concernant Bona, et je me redressais un instant pour prendre un macaron avant de reprendre ma position allongé en répondant naturellement « A vrai dire non…rien que tu ne sais pas je pense : Moi je n’ai fait que l’embrasser. Et j’avoue que c’était super agréable…enfin si l’on oublie bien sûr le passage ou je culpabilise et pars en courant » avouais-je en me moquant de ma propre attitude. « Avec Bona, on partage plus une amitié qui s’est construite autour de notre passion commune pour la photographie. On se réunissait une à deux fois par semaine à l’époque, et cherchait un endroit idéal à mitraillé de cliché. Et pendant ces moments-là on parlait surtout de nos projets en cours, des études…de nos souvenirs d’enfance. » Ce qui me rappelait d’ailleurs que : « Oh si ? Tu veux lui faire plaisir ? Mate-toi avec lui la série des « Maman, j’ai raté l’avion » …il adore ça ! »


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Pas de nouvelle, bonne nouvelle ?
Summer & Amanda


Il était vrai que le rapprochement entre Carlisle et moi s’était fait très naturellement mais assez atypiquement tout de même. Nous n’avions eu aucun choix, mes peurs ayant repris le dessus, je ne pouvais plus passer mes nuits toute seule et c’est à ses côtés que j’avais trouvé la rassurance qu’il me fallait pour pouvoir m’apaiser un minimum. « Ça c’est fait tout seul en fait… C’était un inconnu puis d’un seul coup il est devenu tout ce qui m’était essentiel… Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire. Puis en plus, j’ai vraiment eu l’impression qu’il était le seul à pouvoir me comprendre. C’est pas que j’ai douté de toi, je savais que tu aurais pu jouer ton rôle de meilleure amie à la perfection mais j’avais honte en fait. » Je me mis à soupirer un petit peu avant de me reprendre : « Enfin, je ne vais pas revenir dessus. Et puis… Comment ça t’y connais quelque chose ? » Lui demandai-je d’un air interrogateur. Je ne voyais pas vraiment ce que ma meilleure amie voulait dire par là et j’aurais aimé avoir plus d’amples informations sur la question… Je me tournai pour me mettre sur le ventre, les deux coudes posés sur le lit et un macaron entre les mains. Je balançai mes jambes au-dessus de moi tandis que j’écoutais ma meilleure amie parler de Bonaventure. Je lui avais avoué que notre ami commun avait été doux et tendre avec moi, ce qui ne manqua pas de ravir Summer, apparemment. Je souris en même temps qu’elle, l’étirement de ses lèvres étant aussi communicatif que son rire. « Bon je peux comprendre que tu puisses être en manque mais de là à m’envier d’avoir couché avec Bona… Euh… Tu as ton Paris hein ! » Lui dis-je tout en riant et en sortant légèrement ma langue pour lui remettre les pendules à l’heure. « C’est toujours agréable d’embrasser un beau garçon… Hein ? » Dis-je toute sourire et repensant à la première seconde où les lèvres de Bonaventure avaient touché les miennes. Finalement, Summer m’expliqua le genre de relation qu’elle entretenait avec le jeune homme et je compris immédiatement qu’elle était basée solidement, exactement comme la nôtre. Intérieurement, je me disais que nous formions un vrai trio de choc et que quoi qu’il pouvait arriver, rien ne pouvais nous séparer. Ils étaient devenus ma vraie famille. « Maman j’ai raté l’avion ? » Dis-je en me mettant à rire de nouveau. « C’est vrai ? » Continuai-je avec un grand sourire. « Oh… Il est vraiment trop mignon. Tu sais quoi ? Je ne sais même pas ce qui a fait qu’entre nous ça n’aurait pas pu marcher… Pourtant la nuit qu’on a passé ensemble était géniale, mais tu vois, y’avait pas cette étincelle, même si c’était parfait, il n’y a pas eu de coup de foudre à proprement parlé... » Dis-je tout en me confiant un peu plus sur ce que j’avais ressenti auprès de notre ami métisse. Je déposai le macaron que je tenais dans les mains depuis plus de cinq minutes dans ma bouche et le croquai tout entier. J’avalai presque instantanément puis finis par regarder ma meilleure amie : « Bon enfin bref… Comment te dire que je suis déprimée à l’idée d’être seule ? En plus, toi tu as trouvé ta moitié, je suis sure que Bona va trouver la sienne… » Je soupirai tout en déposant mon menton sur mes mains. Ce n’était pas que j’étais déprimée par rapport au fait de ne pas avoir trouvé le garçon idéal mais plutôt par rapport au fait de voir tout le monde autour de moi nager dans le bonheur de l’amour à deux…
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Soooo, tell me. Was it good ?


Amanda m’expliquait plus en détails cette dépendance qu’elle avait eu avec Carlisle et la manière dont ce sentiment s’était manifester à vitesse grand V. Dans son discours, elle m’assurait qu’elle n’avait pas douté de moi et de mes capacités à la comprendre, et j’hochais vivement la tête en lui faisant comprendre que je savais bien ce qu’elle insinuait par là « T’inquiète pas, je vois ce que tu veux dire, et puis…il est parfois bien plus simple de trouver réconfort et écoute chez un inconnu » Je ne lui en voulais vraiment pas d’avoir senti le besoin de se confier à d’autre personne qu’à moi, surtout que je ne sais pas moi-même ce que j’aurais pu faire dans sa situation: Qui sait, j’aurais sans doute écarté tous mes proches par peur de les « salir » par mes malheurs et de pourrir un lien à cause d’une dépression que je n’aurais pas su gérer. C’est tout à fait naturellement que je comprenais Amanda et que j’étais heureuse qu’elle ait pu un trouver un soutien chez Carlisle plutôt que de sombrer dans ses cauchemars.

En parlant de cauchemar : j’avais exprimé à ma meilleure amie que les rêves agités étaient toujours un bon moyen de rapprochement et que j’en savais quelque chose. Forcément ceci attirait sa curiosité et c’est avec un sourire espiègle que j’osais répondre à la blonde : « Bah….en fait, le soir où Paris et moi on s’est décidé à sortir ensemble, c’était peu de temps après qu’on se soit endormis dans son lit. Tout était calme, et soudain il s’est agité et il murmurait des trucs assez angoissant. J’ai appris que lorsque quelqu’un faisait un cauchemar il ne fallait surtout pas le réveiller brutalement, il fallait agir doucement. Ce que j’ai fait : Mots apaisants, caresses sur son visage…et puis me connaissant, tu te doutes bien que j’ai voulu l’embrasser alors j’ai déposé un bisou ou deux sur ses joues pour le calmer et ça marchait plutôt bien ! » Déclarais-je tout donnant l’impression que cela aurait dû s’arrêter à cette simple conclusion, mais finalement, mon sourire mutin reprenait de plus belle et ajoutais : « Jusqu’à ce que les bras de Paris m’entourent et m’emportent pour m’allonger sur le dos, et me place sous lui. Il dormait encore en fait ! Il était juste en train de sortir d’une autre manière de son rêve et…crois-moi qu’il n’y a pas été de main morte, pour mon plus grand plaisir ! » Je rougissais à nouveau et concluais à l’attention de ma meilleure amie « entre les caresses et les baisers, comment voulais-tu que je refuse l’idée de sortir avec lui après ça ? » Je riais à la remarque, me sachant faible quand il s’agissait de Paris finalement

Un peu plus tard, on confiait nos découvertes concernant Bonaventure et sa délicatesse à traiter les femmes. Pour ma part, j’expliquais à cette petite blondinette adorable allongée sur le ventre à côté de moi, comment Bonaventure et moi étions devenu amis, à partager notre passion pour la photographie en premier lieu jusqu’à évoquer nos histoire de famille et nos souvenirs. En évoquant ceci, je me rappelais que le métisse m’avait un jour parlé du fait que chaque hiver, quand la période des fêtes arrivait, il s’arrangeait une soirée film et regardait ses favoris. Je les citais pour Amanda et comme deux groupies devant notre ami, on reconnaissait facilement son côté adorable et trop mignon qui en faisait craquer plus d’une. Ma meilleure amie se demandait alors pourquoi elle n’avait pas réussi à ressentir la petite étincelle supplémentaire à l’égard de Bona, malgré que celui-ci s’était montré parfait. J’inspirais profondément en prenant compte de son interrogation et puis finalement, j’optais pour une réponse qui était finalement l’écho ce celle que je m’étais servie avec ma propre expérience avec Bona. « Je pense que c’est parce qu’intérieurement, tu ne vois pas Bonaventure autrement que ton ami. C’est comme une évidence finalement : Il remplit ce rôle à la perfection, alors pourquoi chercher à lui en donner un autre ? Le baiser que j’ai échangé avec lui m’a perturbé je l’avoue, mais j’ai mis un certain temps avant de réaliser que je ne pouvais pas me passer de son amitié, et que c’était ce qui me liait intimement à lui…Envisager autre chose aurait mis un trait à cette amitié particulière, qu’on le veuille ou non. Et je pense qu’inconsciemment, c’était les mêmes raisons pour toi. »

Restant allongée, je me tournais le haut du corps pour m’emparer de la tasse de chocolat derrière moi sur la table de chevet et redressais un peu la tête pour en boire une gorgée avant de reposer la tasse et reprendre ma position initiale. Amanda se confiait alors sur sa déprime à l’idée d’être seule et je lui adressais une moue enfantine et compatissante, avant de me pencher un peu plus vers elle, prenant appuis sur un coude tandis que mon autre bras venait atteindre le haut de son dos pour une caresse de réconfort. « Maaaiiiisss choupette !! Tu resteras pas seule longtemps, je suis certaine ! Et puis si besoin, Bona et moi on fera en sorte de te trouver le mec idéal tu vas voir !! » Ma main sur le dos d’Amanda remontait sur le haut de son crâne et j’en ébouriffais ces cheveux gentiment avant de retirer ma main et de poser cette dernière sur le lit entre elle et moi. « On va organiser un casting de mec ! Bona et moi on joue les juges, on fait une première sélection…Un peu comme The Bachelor version féminine. Sauf qu’au lieu qu’ils te séduisent direct, ils devront attirer notre attention à Bona et moi avant ! Ils devront nous « séduire » avant de te séduire ! » Je riais à l’idée, mais le pire, c’est que je suis sûre que si j’en parlais avec Bona, il serait d’avis de rendre service à notre Amanda adorée pour l’aider à trouver l’homme capable de la chérir, et surtout, de la mériter.


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Pas de nouvelle, bonne nouvelle ?
Summer & Amanda


« Il est parfois bien plus simple de trouver réconfort et écoute auprès d’un inconnu. » En une seule phrase, Summer avait tout dit et j’imaginais qu’elle avait tout compris. Après ma tentative de suicide, je n’avais pas pu en parler à mes amis proches, pour cause, la peur du regard qu’ils pouvaient me porter après cela. Bien évidemment, Summer et Bonaventure n’auraient jamais porté de jugement négatif sur moi mais j’avais tellement honte d’avoir été si égoïste que j’avais été incapable de leur en parler immédiatement. « C’est exactement ce qu’il s’est passé… Même si je sais que toi et Bonaventure n’auraient jamais porté de jugement sur moi, je t’assure que j’étais incapable de vous en parler tout de suite. » Dis-je tout en jouant avec quelques mèches de mes cheveux.

Ma meilleure amie avait suscité en moi de la curiosité en me disant qu’elle savait que les cauchemars étaient un bon moyen de rapprochement et c’était tout naturellement que je lui avais demandé comment elle pouvait le savoir. Quelques secondes plus tard, elle me conta une soirée qui s’était passé entre Paris et elle. M’expliquant que son petit-ami avait fait un cauchemar en sa présence et m’indiquant comment elle avait réussi à le calmer. Je souris en regardant Summer, c’était absolument trop adorable et je riais quelque peu en voyant ses joues se rosir. « Ne rougis pas, je trouve que c’est trop mignon. Alors oui, tu peux effectivement dire que tu sais ce que c’est les cauchemars qui rapprochent et non tu ne pouvais pas refuser de sortir avec lui après ça, c’est sûr ! » Commentai-je alors qu’une de mes mains se faufila dans ma crinière dorée que je ne cessais de torturer du bout de mes doigts.

Mes yeux commencèrent à se faire lourds et je me mis à bailler devant mon amie. Loin de moi l’idée de lui communiquer mon ennui car il était parfaitement inexistant mais l’heure avançait et il commençait à se faire tard pour mon pauvre petit corps fatigué. Mes bras se joignirent pour se croiser devant moi, déposant ma tête dans ceux-ci, je regardai mon amie qui continuait de me parler. J’avais évoqué le fait que je ne comprenais pas pourquoi je n’avais pas succombé au charme de notre meilleur ami et Summer apporta à mon questionnement une réponse toute claire et avec laquelle j’étais parfaitement d’accord. Bonaventure était mon ami, consciemment et inconsciemment je le savais et le fait qu’il remplissait son rôle à la perfection démontrait que je ne pouvais décemment pas lui en donner un autre. Il était parfait en tant qu’ami, alors pourquoi vouloir lui attribuer un rôle tout à fait autre qui n’allait certainement pas nous seoir comme celui-ci ? « Tu as parfaitement raison… Bona est un ami hors du commun, je n’ai jamais rencontré de garçon si gentil et si parfait. Oui c’est exactement les mêmes raisons pour moi, il est tellement bien en tant que meilleur ami que risquer de le perdre pour essayer l’amour n’en vaut strictement pas la peine… » Dis-je tout en souriant à ma meilleure amie.

J’avais ensuite dit à Summer que j’en avais marre d’être seule et que j’en étais presque venue à en déprimer. Mais elle me rassura immédiatement en me disant que je ne resterais pas seule et que s’il le fallait, elle s’associerait à Bona pour pouvoir me trouver l’homme idéal. Je me mis à rire quelque peu alors que je sentis la main de ma blonde préférée dans mes cheveux qui commença à ébouriffer ces derniers. « Aaaah non pas çaaa » dis-je tout en m’exclamant assez fort, quelques mèches devant les yeux. Lorsqu’elle retira sa main, je me recoiffai rapidement à l’aide de mes doigts et la regardai pendant qu’elle m’expliquait son idée pour me trouver l’homme idéal. Je me mis à rire aux éclats, un Bachelor au féminin, pourquoi pas ?! Mais finalement, en y réfléchissant bien, je préférais nettement que les choses se fassent naturellement entre l’homme qui partagerait ma vie et moi-même. « Ça serait trop trop marrant ! Mais bon, je pense surtout que ça sera quand je chercherais le moins que je trouverai ! Puis je te signale quand même que j’ai déjà un prétendant… » Dis-je tout en me retournant, posant mon dos contre le lit et passant mes bras derrière ma nuque. « Je sais pas toi mais je commence à fatiguer, on se met au lit ? Mais attends, ça veut pas dire qu’on ne peut plus parler, hein ! » Dis-je tout en souriant à Summer, essayant de la rassurer au mieux, je savais qu’un moulin à parole comme elle ne pouvait s’empêcher de parler et j’allais bien évidemment l’accompagner encore certainement pendant des heures durant…

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Soooo, tell me. Was it good ?


Ma meilleure amie m’avait fait part de sa déprime et par soucis de lui remonter le moral je lui avais proposé une version plus spécifique de The Bachelorette et cette idée réussissait à faire rire mon ami. Malheureusement  - ou Heureusement – elle préférait se laisser porter par le destin et trouver son homme d’elle. Je ne pouvais que concéder qu’elle avait raison : « On jamais mieux servi que par soi-même ! Donc t’as raison de vouloir trouver l’homme idéal…Et puis, faut pas faire de l’ombre à Carlisle non plus hein ?! » Je fis un clin d’œil à mon amie  et  me penchait vers elle pour lui faire un bisous sur le front, avant qu'Amanda propose qu’on se mette dans le lit. Je l’avais vu bailler tout à l’heure et ses petits yeux adorables commençaient à se faire moins grands, moins ouverts.

D’un regain d’énergie, je me redressais pour  bondir du lit en m’exclamant « Aller hop ! Au lit ! » Je prenais le plateau qui contenait les macarons et je récupérais les tasses de chocolats «  On va mettre tout ça un peu plus loin, pour éviter les dégâts » proposais-je évitant également à Amanda l’envie d’aller ramener tout ça en cuisine. Mon amie profitait alors ce moment pour sortir du lit à son tour et soulever la couette « Prends ta place et je te rejoins ! » lui ordonnais-je chaleureusement alors que je posais le plateau sur la commode de sa chambre. Je me tournais ensuite pour rejoindre Amanda et pénétrait gaiement dans les draps ! A peine allongée, je prenais le bras de la blonde et l’attirais contre moi « Viens là ma belle ! « Câlin Summer » obligatoire…t’as pas le choix » lui disais-je tout en ouvrant mon bras pour qu’elle vient se blottir contre moi et poser sa tête sur mon épaule. Mon bras opposé à Amanda passait alors devant moi pour venir se poser sur l’avant-bras de mon amie et l’enlacer pour la serrer dans mes bras ! Et je déposais finalement un baiser sur le haut de son crâne, sur ses doux cheveux blond que j’avais ébouriffée quelques minutes plus tôt « T’es bien là, petit cœur ? » lui demandais-je afin de m’assurer qu’elle soit à l’aise

On discutait encore une bonne demi-heure, parce qu’autant l’admettre, il était difficile de m’arrêter quand j’étais parie. Mais la fatigue et le confort du lit et la chaleur d’Amanda contre moi, eu raison de mes dernières forces. Je finissais dans les bras de Morphée juste après Amanda, avec l’espoir que cette dernière ne serait dérangé par aucun cauchemar qui viendraient perturber le bien-être de ma petite tête blonde adorée.



© charney
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