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I can't sleep without you. [Camomille]

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Pas vraiment sûr que Malachy apprécie l'idée de Camille. Il n'avait pas envie d'un mal de crâne, il en avait déjà suffisamment de part la privation de sommeil, pas la peine de rajouter par dessus. Camille lui avait demander, de façon implicite, ce qui passait dans la tête du blond, et il lui avait fournit une réponse. La réponse de Maly n'appelait aucune réponse ni commentaire à vrai dire. Mais Camille vous le connaissez il fallait qu'il dise quelque chose. Maly leva les yeux aux ciels en soupirant.  «Putain, vous avez que ça à la bouche. Avoir quelqu'un me fera pas dormir, et je ça m'intéresse pas pour passer le temps. Puis, qui t'as dis que c'était des mauvais souvenirs?» Maly c'était un peu énervé, c'était fatiguant d'entendre les gens dire qu'il fallait qu'il se trouve quelqu'un. Non il ne fallait pas, il ne devait pas. Il voulait pas sortir avec quelqu'un comme on achète un jouet pour se distraire quand ça va pas. Puis Maly était bien trop occupé pour s'occuper d'une autre personne dans sa vie, puisque c'était déjà le bordel dans la sienne. Pis en parlant de souvenir, il y avait de tout, du bon comme du mauvais qui lui revenait. C'est vrai qu'il était déprimé, mais c'était pas les souvenirs qui le déprimaient. D'ailleurs en parlant de souvenir, Camille remuait le passé, comme si ça pouvait changer quoi que ce soit maintenant en fait. Maly était consterné par Camille, et sa façon de toujours, tout mal prendre.  «Tu veux qu'on parle de ça? Je t'ai pris dans mes bras, et tu m'as demandé d'arrêter. Désolé, mais non, c'est non, j'allais pas insisté plus longtemps que nécessaire. Et à l'instant, tu viens me dire que je devrais me trouver quelqu'un, en fait tu passes ton temps à me dire ça. Et en ce qui concerne ton élan de tendresse passager... Si je te disais, que t'étais chiant, insupportable, collant, et bizarre, est-ce que tu serais dans l'ambiance pour que je te prenne dans mes bras juste après? Désolé de pas apprécier que quelqu'un soit aussi familier avec moi, après m'avoir fait comprendre à quel point je l’emmerde et que je suis désagréable. » Maly non plus ne l'avait pas oublié. Et sûrement pas pour les mêmes raisons. Camille pensait sûrement qu'il n'avait rien à se reprocher, mais pour le coup, Maly était pas d'accord. Surtout pour le coup du câlin. Camille lui posa une question. Bon celle-là, il n'avait aucune réponse, parce qu'il ne savait pas vraiment, et qu'il n'avait pas envie de dire quoi que ce soit à ce sujet. Maly était un peu frileux par moment sur certains sujet. «.T'en a pas d'autres auxquelles tu veux des réponses?» Il ajouta au sujet du petit vieux. «.Ça serait appréciable, merci.»Blondi n'avait même pas envie de lui répondre. DEs fois il se demandait si Camille ne cherchait pas juste la merde en réalité. «Tu sais pas ce que tu veux. Toute façon, je te fais toujours pitié, alors ça changera pas de d'habitude comme ça.» C'est vrai que Camille arrêtait pas de dire ça, et c'est d'un chiatique pas possible. Il roula des yeux, soupirant bruyamment. «Non, je me disais que venir chez toi, et parler toute la nuit de mes insomnies m'aideraient probablement à trouver le sommeil. Quoi que juste parler avec toi sera suffisant.»



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Camille avait plusieurs solutions pour l’aider à dormir après c’est certain que certaines options n’étaient pas sans douleurs. Mais l’idée de l’assommer était celle qui lui semblait le plus efficace. Après, oui Maly risquerait d’avoir mal à la tête mais avec un bon cachet, il ne sentirait sûrement plus la douleur par la suite. Puis, autant avoir mal mais avoir fait un sommeil réparateur que de ne pas souffrir et de faire nuit blanche. Du point de vue de Camille, c’était la meilleure solution après, c’est sûr que se faire frapper par une bouteille ou par une poêle, ce n’était pas la meilleure des actions. Mais lui se portait volontaire pour le faire. Camille était gentil et il aimait bien rendre service aux gens.  Néanmoins, le petit sourire qui était apparu suite à cette brillante idée disparut aussitôt que Malachy ouvrit la bouche. Décidément, c’était un briseur d’ambiance professionnelle. « C’est bon, je te disais ça comme ça, ne prends pas la mouche pour rien. Peut-être que ouais, il ne t’aidera pas à dormir mais au moins, cela éviterait que tu rendes visite à d’autres gens en pleine nuit sous prétexte que monsieur est tout seul et qu’il s’ennuie. » dit-il en l’incendiant du regard. Il essayait de l’aider et voilà comment il le remerciait, en l’envoyant bouler. Typique Maly ne put-il s’empêcher de pensée. Ils n’étaient jamais sur la même longueur d’onde, c’était bien connu. Camille ne pouvait s’empêcher de se demander comment ils avaient fait pour s’entendre un jour. Ils étaient bien trop différents et qui sait, peut-être que la meilleure solution pour éviter de se prendre la tête, c’était de l’effacer de sa vie ? Il serra les poings, essayant de garder son calme. Celui-ci venait le déranger en pleine nuit et il osait lui balancer tout ça au visage. Il ne manquait pas de culot. Il allait sans doute finir par craquer et le jeter de chez lui d’une manière ou d’une autre si cela continuait. « Tu vois ce que je disais ? C’est exactement ça ! Je ne sais jamais comment agir avec toi, à chaque fois que j’essaye de te comprendre, tu deviens encore plus incompréhensible. La plupart du temps, j’ai envie de t’étrangler et… bon c’est vrai que quand je te balance ce genre de choses, ça ne doit pas être agréable mais je n’arrive pas à savoir ce que tu veux de moi en faîte ? On s’insulte jusqu’à parfois en arriver aux mains, on se prend dans les bras puis après on ne se parle plus. Moi, je suis perdu. Alors, je fais ce que je pense être le mieux, je te repousse en te disant que t’es chiant et ne me dis pas que ça, c’est faux parce que tu l’es mais c’est plus dans.. dans l’affectif si on veut. Je ne pense pas à méchant.. » dit-il en baissant les yeux, sa couette lui semblant être devenue la chose la plus intéressante au monde. Puis il lui posa une question et il ne put que soupirer en voyant Maly l’esquiver. Ce n’était pas aujourd’hui qu’il obtiendrait des réponses. « C’était celle qui me semblait la plus intéressante… dommage. » Il secoua les épaules avant de lever les yeux au plafond, légèrement agacé. « Arrête de dire ça, c’est absurde. Puis, qu’est ce que tu en sais ? Je peux très bien savoir ce que je veux mais je refuse de l’obtenir ? Parce que ça compliquerait encore plus les choses. » Camille se passa une main dans les cheveux en soupirant doucement. « Je sais que je suis ennuyeux à mourir, tu ne cesses de me le dire. Et t’en fais pas, tu n’es guère la seul à le penser. »
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Maly était un type très simple. Tant qu'on lui disait pas des trucs déplaisants, il était pas chiant. Malheureusement, Camille avait très souvent le don de lui dire des trucs qui ne lui plaisaient pas. Faut croire que Camille savait très bien visé où ça faisait mal, et à chaque fois Maly en était très agacé. Ce soir ne dérogea pas à la règle. Maly semblait gentil, ne s’énervait pas pour rien, mais a un moment donné, Camille devenait lourd. Si Maly voulant caser Camille, enervait le brun, l'inverse était aussi vrai. Mais ça, le brun semblait ne pas comprendre. « "Comme ça". Venant d'un type qui "ne couche pas pour coucher" ça fait mourir de rire. » C'était ironique. Mais il est vrai que l'idée de Camille qu'il se trouve un mec pour combler son vide, sans vraiment d'attachement, venant d'un type comme le brun, c'était comme marcher sur la tête. Jamais il n'aurait cru entendre ce genre de connerie sortir de sa bouche à lui, lui qui le trouvait "dégoutant" d'avoir eut des relations sexuels pour "le plaisir" rien de plus. Il y avait toujours deux poids, deux mesures avec le brun. « Tu ne penses pas à méchant? C'est moi qui suis pas normal, alors que c'est toi qui me hurle que tu me hais, que tu me supportes pas, et que tu veux plus jamais me revoir. Mais toi, tu ne penses pas à méchant. Bon alors si tu penses pas à méchant, alors tout est oublier. » Maly marqua une pause. Il n'avait pas envie d'être désagréable, mais c'était trop facile de dire ça. Il lui envoyait des vacheries à la gueule en jouant sur ce qui faisait mal, et après il n'avait qu'à dire qu'il ne pensait pas à mal pour que le blond l'excuses? Et puis quoi encore, il croyait au père noel aussi? « Si je te dis un truc, tu le prends mal, et tu m'en veux. Mais toi tu peux balancer toutes les horreurs que tu veux, c'est pas grave, t'es perdu, tu sais pas quoi faire, tu pensais pas à mal. Je vais te balancer un scoop, théoriquement j'essaye de faire du mieux que je peux comme toi. » Même si Maly pouvait peu, et qu'il avait une capacité de réflexion d'une mouche. Il n'ajouta rien, Camille voulait savoir quelque chose, et Maly ne voulait rien dire. Ne voulait, ou ne pouvait, dans ce cas là c'était exactement la même chose. «. Ça ne changes rien à la façon dont tu agis. » Maly regarda le brun, il semblait vraiment croire qu'il était ennuyeux. A vrai dire, il emmerdait Maly à lui parler de se trouver un mec, lui demander pourquoi il dormait pas, enfin tout ce genre de chose dont le blond n'avait pas vraiment envie de parler en réalité. Mais c'était parce qu'il l'énervait, sans plus. Il ferma les yeux, lâchant un long soupir, il était fatigué, vraiment. «Je suis désolé. Je vais me taire. Je suis pas venu pour me disputer avec toi, ni t'empêcher de dormir. Ce n'était pas ce que je voulais, désolé.» Et Maly resta là, poser sur le sol, la tête contre le mur vers le plafond, les yeux toujours fermés. Il n'avait aucune envie d'une énième dispute, pas d'insulte, pas de colère, pas de mots qui dépassent la pensée des gens, aucune blessures pour Camille ou lui. Juste une présence pour l'aider à se sentir moins seul et misérable, avec cette foutue conscience et ce foutu mal de crâne qui ne voulaient plus s'en aller.



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Camille n’était pas quelqu’un de méchant de base, il n’aimait pas blesser les autres que ce soit par les gestes ou par les paroles. Mais avec Malachy, c’était plus fort que lui. Il ne pouvait s’empêcher de lui balancer un tas d’horreurs qu’il regrettait plus tard après réflexion. Après peut-être que s’il agissait de cette façon, c’était pour se protéger. Il savait que s’attacher même amicalement avec lui finirait par le faire souffrir. Camille allait finir par croire qu’ils n’étaient pas fait pour s’entendre. Qu’il allait finir par l’éviter le plus possible afin de ne plus entendre le son de sa voix ni même croiser son regard. Il devrait peut-être faire ça, ce serait beaucoup plus simple. Il ne supporterait plus la mauvaise humeur du blond et lui n’aurait pas l’obligation d’être méchant avec lui. Un soupire d’agacement s’échappa de ses lèvres et il se retint de rouler des yeux. « Je ne vois pas en quoi c’est à mourir de rire. La plupart des jeunes agissent de cette façon maintenant alors pourquoi pas toi ? » Mais il devait admettre que de part, c’était plutôt risible. Il trouvait dégradant d’agir ainsi, de partager de nombreux lits juste pour le plaisir. Alors peut-être qu’il était trop jeune ou bien trop sentimentale mais il n’allait pas coucher avec quelqu’un juste pour assouvir un besoin. Le brun le laissa parler et au fond de lui, il devait reconnaître qu’il n’avait pas tord sur certains points mais hors de question qu’il lui avoue à voix haute. Camille finit par secouer les épaules. « Je suppose que je pourrais faire un effort et arrêter de t’envoyer des remarques à ton sujet. Si on se croise une nouvelle fois, je ferais de mon mieux pour ne pas être blessant et éviter d’hurler des choses que je ne pense pas vraiment. Pourtant, je n’ai pas l’impression que tu essayes, tu agis comme si c’était naturel. Que cela te faisait plaisir de me faire tourner en rond. Après tout, j’aurais de bonnes raisons de te détester, vraiment, mais je n’y arrive pas. et c’est ça le plus agaçant et peut-être que c’est pour ça que je m’en prends à toi de cette façon. Je n’en sais rien. » dit-il en soupirant, se passant une main dans les cheveux. Il était fatigué de ses disputes qui tournaient en rond. Camille garda les yeux baissés sur sa couette, il avait qu’il n’était pas le plus amusant des mecs. Ennuyeux pouvait être largement son deuxième prénom après tout. Il n’avait rien de sensationnel de toute façon, trop gentil, trop compatissant, trop chiant, trop ennuyant. Trop de tout. Malachy n’était pas la seule personne qui lui avait fait cette remarque, il l’avait déjà entendu dans al bouche d’autres et cumuler, il finissait par le croire. Il fut surpris de l’entendre s’excuser ce qui le fit redresser la tête. Il le regarda un peu tristement avant de soupirer. Lui qui pensait passer une nuit tranquille, tout avait été chamboulé en un claquement de doigt. Il le regarda quelques minutes gardant le silence tandis que le blond gardait les yeux fermés. Il baissa un instant le regard avant de quitter son lit. Il se dirigea doucement vers lui, s’installant à ses côtés, leurs épaules se frôlant. « C’est moi qui suis désolé. Je ne devrais pas être comme ça avec toi, ce n’est pas moi. Et je n’aurais pas non plus te hurler dessus la dernière même si j’étais en colère. Les mots ont dépassé ma pensée. Je suis vraiment désolé. » Camille n’osait même pas regardé le blond à ses côtés, du coup il était en pleine contemplation de ses genoux.
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Camille n'avait semble-t-il pas compris ce que le blond voulait dire. Il semblait clair à Malachy, qu'il n'avait pas comprit ce qu'il disait, mais Maly n'avait nullement l'intention de lui expliquer. Cela ferait parti des nombreuses choses qui se perdraient entre eux. Il y avait tellement de mots, et de choses dites qui tombaient dans l'oublie ou l'incompréhension avec ces deux là, qu'une de plus, une de moins, ce n'était pas si grave. « Parce que j'ai plus que ma dose, et que ça ne fait pas tout.» Clairement ça ne réglerait rien à son problème d'ennui qu'il avait en étant seul. C'était pas un playboy d'une nuit qui allait le faire sentir moins seul. Déjà qu'il était pas capable de pas se sentir seul avec des amis, alors avec un illustre inconnu, on était loin du compte. Camille lui parlait, des efforts qu'il pourrait faire, de ce que Maly faisait de mal, de ce genre de chose. C'était agréable d'entendre le brun dire qu'il ne le détestait pas, même si le reste du discours étaient moins sympathique à écouter. «Et tu voudrais que je fasse ou dise quoi pour que t'ai l'impression que j'en fais?» Non parce que le blond, à un moment, il faisait comme il pouvait. Si Camille ne le voyait pas, il ne le verrait jamais, parce que l'irlandais était limité. Il était perdu, et en ce moment c'était encore pire dans sa tête c'était le bordel, et il n'arrivait plus à penser correctement, ni même à faire le tri. Il ne fit aucun commentaire sur le reste, parce que tout se passait de commentaire. Mais il est vrai que Maly apprécierait énormément que Camille ne cherche pas à le vexer ou autres à chaque fois qu'ils discutaient. Maly n'avait rien dit sur le côté ennuyeux de Camille. Le brun semblait être habitué à ce genre de remarque, mais a vrai dire Maly ne comprenait pas vraiment qu'on puisse penser ça. Il était peut être trop calme comme garçon, mais avec Maly en tout cas, il arrivait facilement à perdre son calme et à partir en sucette. L'irlandais, toujours assit, les yeux fermés profitait de ce magnifique silence pour calmer sa migraine, même si ça n'aidait que légèrement, la fatigue n'étant toujours pas partie, son cerveau surchauffait quand même. Il n'arrêtait pas de penser à quel point la journée de demain allait être difficile. Un examen à faire, dans cet état. Il espérait qu'il sauverait les meubles, et ne feraient pas plomber sa moyenne, pas après tout ce qu'il devait supporter pour payer une année scolaire. Ce qui le sortit de ses pensées très terre à terre, fut la voix de Camille, très près de lui. Il pouvait sentir sa présence à ses côtés, et malgré lui, ça lui faisait tout drôle. Il mit ça sur le compte de son état général, même si ce n'était clairement pas ça qui le troublait. Il n'ouvrit pas les yeux, mais il chercha une jambe de Camille et lui tapota, de sa mains, le genou le plus près en lui répondant d'un air complètement fatigué. «T'inquiètes pas va, je suis un grand garçon. Je peux encaisser.» Il émit une petite pause, avant de continuer. «C'est pas comme si c'était la première fois, ou la dernière fois qu'on me dit ce genre de choses.» Il est vrai, il avait toujours tendance à se faire hurler dessus, très souvent il le méritait quand ça concernait les filles avec qui "il sortait". Mais pour les garçons c'étaient pareils. Il était tellement chiant, et compliqué que les trois quart ne faisaient pas d'efforts pour comprendre, ou lui laisser le champ libre de faire comme il souhaitais. C'était si compliqué de vivre caché jusqu'à la mort?



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Ce n’était pas évidement pour Camille de comprendre le jeune homme, il faisait des efforts et pourtant il avait l’impression qu’un fossé était entre eux. Comme si celui-ci là s’était créé dans l’unique but qu’ils ne puissent pas être sur la même longueur d’onde. Et ainsi faire qu’il y aurait constamment des disputes, c’était le flou le plus total entre les deux jeunes gens malgré certains efforts fournis. Le brun ne put s’empêcher de froncer légèrement les sourcils face à sa phrase avant de secouer les épaules, l’air de rien. « Peut-être que ce n’est pas ça qu’il te faut alors, juste de la compagnie. Avoir d’autres potes qui te changeraient les idées ou des activités. Enfin je n’en sais rien. Je veux être journaliste plus tard, pas psychologue. » Il essayait de l’aider tant bien que mal mais bon il n’était pas très doué pour ça. Il devrait peut-être se renseigner auprès du sien, après tout parfois il se rendait chez son psy afin de parler de tout et de rien. Juste pour soulager un point dans son esprit et qui lui enlevait certains points noirs. Parce qu’il était hors de question pour lui de refaire la même erreur qu’il y a deux ans. Puis, Camille lui annonça qu’il allait faire des efforts, qu’il tenterait de ne plus lui envoyer des horreurs au visage. Il croisait les doigts afin qu’il tienne parole. La solution la plus simple pour la tenir était de ne plus le croiser et ainsi qu’il arrête de l’agacer dès qu’il ouvrait la bouche. Mais cette option ne lui plaisait guère après, il y avait celle de tout encaisser sans rien dire et de le laisser vivre comme il souhaitait. Mais il savait que de rester la bouche fermée serait difficile pour lui. « J’en sais rien, peut-être que maintenant que je le sais, je vais remarquer tes efforts. » dit-il en secouant les épaules. Camille était ennuyeux, ce n’était pas une nouveauté. Il préférait se concentrer sur ses études plutôt que d’enchaîner les conquêtes et ainsi s’en venter auprès des autres. Ou bien de sortir tous les soirs et de finir bourré à chaque fois. Non, ce n’était pas du tout son genre. De toute façon, il était hors de question qu’il se mette à boire jusqu’à ce qu’il en perde ses moyens, il risquerait d’être ridicule. Il était du genre très collant, limite on pouvait le surnommer la glue dans cet état. Ou bien il perdait complètement la tête et il se retrouvait à faire le dingue sur la table. Donc, c’était à éviter. Il avait sa réputation de sage et il souhaitait bien la conserver encore un peu. Camille finit par rejoindre Malachy par terre et après avoir ouvert la bouche, il trouva très intéressant ses genoux. On ne prenait jamais le temps de les regarder. Néanmoins, cela ne l’empêchait pas d’écouter ce que Maly lui disait. « Je n’en doute pas mais tout de même, je veux m’excuser. Je n’aurais pas dû laisser ma colère m’emporter et dire des choses que je savais que je ne tiendrais pas. » dit-il en soupirant avant de reprendre. « Je t’ai hurlé que je ne voulais pas te revoir et qu’est ce que je fais ? Je te reçois chez moi dès que tu sonnes à ma porte. Je n’ai vraiment pas de volonté. » Il laissa un petit rire sans joie s’échapper de ses lèvres, cette histoire le fatiguait. A croire que celle de Maly était transmissible juste par la parole. Camille tourna enfin la tête vers lui et se mordilla l’intérieur de la joue. « Tu crois qu’on peux être capable de s’entendre sans que cela ne finisse en dispute ou en hurlement ? »
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Maly avait toujours l'impression qu'un fossé le séparait du monde entier. Sûrement à cause des mensonges et des secrets. C'était une vie compliqué à mener, de se mentir à soit même, et au monde entier, mais il réussissait l'exploit depuis plusieurs années maintenant. Il en était même devenu un grand artiste pour ça. Sûrement pour ça qu'il était incapable de parler de lui, de se livrer, d'apprécier les gens réellement, et de nouer de vraies relations avec le reste du monde. Quand on passe son temps à jouer un personnage avec les personnes, elles ne pouvaient pas être réellement votre ami. C'étaient les amies d'une personne qui n'existait pas vraiment, d'un songe, d'un mensonge. Et les écrans de fumés, ça fait juste tousser. Il esquissa un sourire. «Et tu ferais un piètre Psychologue. Au moins tu seras un bon journaliste.» Camille, le fouineur de service? Celui qui veut toujours tout savoir sur tout. Bon sauf quand ça concernait Maly, là probablement qu'il préférait tout ignorer, de peur de connaitre des réponses qui lui déplairaient. Maly avait déjà des activités qui lui pesaient sur les nerfs, mais ça, c'est normal quand on réduit à faire un métier comme le sien. L'argent ne contrôle pas le monde? Il ne fait pas le bonheur? Venez parler de ça à ceux qui en manquent cruellement, l'argent fait le bonheur clairement! Camille voulait faire des efforts pour ne plus être si désagréable avec lui. C'était louable comme intentions, mais ça ne resterait qu'une intention. Ils étaient si différents, si déphaser l'un par rapport à l'autre. Et puis Maly pouvait être chiant quand il s'y mettait, alors forcément, Camille sera aussi chiant. C'était obligatoire.  «Si tu le dis.» Maly était pas convaincu. Camille ne verrait rien, parce que c'est plus simple pour lui. Et parce que Maly est égal à lui-même et qu'effort ou non, on ne dirait pas qu'il se passe quelque chose. Alors il s'en fichait, ce n'était que des paroles, rien de plus. Et Camille arriva à ses côtés pour s'excuser d'avoir été aussi méchant, ou du moins quelque chose d'approchant. Il lui avait dit que c'était pas grave, mais Camille s'obstinait à vouloir s'excuser. Alors soit, le blond lui répondit. «.D'accord.» Il se fichait des excuses de Camille. Bon ça lui faisait plaisir qu'il s'excuse c'est vrai, mais Camille ne disait pas qu'il pensait le contraire de ce qu'il avait dit. Il disait juste qu'il n'avait aucune volonté, et qu'il avait du mal à tenir paroles. En somme, il voulait toujours que Maly dégage du paysage. Le blondinet ajouta, sur le ton de la conversation. «.Je peux toujours partir  si tu veux.» Si Camille voulait qu'il parte, il partirait. De toute façon, le brun ne voulait pas se rendormir, et Maly n'avait pas vraiment envie de l'empêcher de vivre sa vie, chose qu'il faisait en cet instant précis, malgré lui. Camille se sentait obligé de rester éveillé et de lui parler. Pis vint une question qui tuait tout sur place. Maly ne mit pas longtemps à lui répondre, toujours assit avec ses yeux fermés fixer vers le plafond. On trouve du repos où on peux. «.En l'état actuel des choses? Non.»



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Le jeune homme ne savait jamais sur quel pied danser avec lui, il redoutait à chaque fois ses réactions. Il ne savait pas s’il allait prendre bien ses mots ou bien lui sauter à la gorge pour lui montrer qu’il n’était pas d’accord avec lui. Maintenant qu’il avait eu l’occasion de voir cette partie de lui, il redoutait de la revoir un jour et du coup à force de douter, il agissait peut-être un peu maladroitement avec lui. Enfin, il n’en savait pas. Dès qu’il essayait de comprendre un peu ce qui se passait avec Maly, il se retrouvait confronter à un immense nuage de flou et impossible pour lui de trouver les questions à ses questions. A croire qu’il devait rester ignorant. Sauf que lui, sa curiosité le poussait à toujours chercher ce qui clochait. Il ne put s’empêcher de laisser un petit sourire apparaître sur ses lèvres et il pencha la tête sur le côté avant de prendre la parole. « Oh un compliment de ta part, je vais devoir le mémoriser ! Mais j’espère que tu as raison, je ferais tout pour en tout cas. » Quitte à mettre son nez dans les affaires des autres. Certes, à chaque fois qu’il le faisait, il se sentait un peu coupable mais l’envie d’en savoir plus était beaucoup trop forte et il ne pouvait guère résister à la tentation. Néanmoins, il se fit al promesse d’essayer de mieux se comporter avec lui. Il savait que cela serait difficile, ils étaient opposés et à chaque fois qu’ils se voyaient, les conversations devenaient houleuses. Que ce soit au début ou à la fin et parfois même au milieu. C’était comme ça et Camille ne pensait pas que cela pourrait en être autrement. Ils avaient un passé en commun, certes celui-ci avait été court mais quelque chose les avait lié à un moment donné dans leur vie. C’était peut-être al raison de leur comportement, trop de colère et de rancœur enfoui. Même si à force de se lancer des vacheries, celles-ci auraient dû être évacuées depuis longtemps.

Puis, Camille finit par aller le rejoindre, quittant son lit chaud pour s’assoir sur le sol. Il ne savait pas vraiment pourquoi il avait fait ça mais il en avait ressenti le besoin. Il s’excusa et il espérait vraiment que Maly verrait qu’il était sincère. Qu’il n’était juste pas entrain de dire des mots complètement bidons juste pour se donner bonne conscience. Quand il lui annonça qu’il pouvait partir, Camille secoua la tête. « Non ! Enfin non, tu peux rester, ça ne me déranges pas que tu sois là. » Au moins, il avait un peu de compagnie même si c’était en pleine nuit. Le jeune brun croisa les bras puis finit par lui demander si un jour, ils pourraient s’entendre. Il ne fut guère déçu de la réponse et il finit par soupirer. « Au moins, ça a le mérite d’être clair. » dit-il toujours en le regardant. « Mais je suppose que tu as raison même si c’est dommage.. » Camille soupira doucement avant de détourner le regard du visage du blond et de fixer un point en face de lui. « Du coup, c’est peut-être préférable de ne plus se voir ? Cela éviterait qu’on se prenne la tête pour un oui ou pour un non… »

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Pour les gens c'étaient pas simple de comprendre le blond. Mais pour le blond, c'était pas plus simple parfois. Il ne le montrait pas, il ne montrait pas grand chose en réalité. Mais c'était quand même difficile à gérer, et Maly avait conscience qu'il n'était pas la personne la plus agréable sur terre, ni la plus simple. Mais il avait ce petit côté idéaliste qui pensait que les gens qui s'intéressaient à lui feraient l'effort d'essayer. Et des gens comme ça, il n'en avait pas trouver beaucoup par ici.  «C'est loin d'être le premier de la soirée.»  Il ajouta, plus pour lui même que pour Camille. « Moi par contre, je pense laisser tomber Psycho. » Plus il y pensait, et moins il se voyait à supporter les gens raconter leurs problèmes toute la journée. Il avait envie d'aider certes, mais est-ce qu'un diplôme en Psycho était forcément obligatoire?  Les choses étaient compliquées, en fait tout était compliqué avec Malachy, mais quand ça concernait Camille, c'était encore pire. On pouvait l'enfermer dans une boite, écrire un gros point d'interrogation dessus et attendre de voir ce qui se passe. Voilà ce que ça lui faisait au blond de voir le brun. Il ne cherchait pas spécialement à se foutre sur la gueule, mais ils semblaient particulièrement doués pour s'en mettre plein la tronche tout les deux. Et c'était pas forcément une de choses les plus attrayante chez l'autre. Camille avait finit par venir s'asseoir à ses côtés pour discuter de choses profondes. Peut être trop profonde pour l'état d'esprit du blond qui sait vraiment. Il écouta Camille lui dire qu'il pouvait rester, qu'il ne dérangeait pas. Il haussa vaguement les épaules. «. Je vais me contenter de ne pas te déranger alors.» Il aurait préféré que Camille veuille qu'il soit là. Mais on ne peut pas demander la lune, ce n'est pas raisonnable. Si déjà il n'emmerdait pas Camille, c'était un grand pas pour eux. Ils arrivaient pour le moment à discuter sans se foutre sur la tronche. C'était déjà ça, un bref instant de paix. Bref instant, qui ne dura pas si longtemps puisque sa réponse ne semblait pas plaire à Camille. Il lâcha un long soupire avant de répondre au brun. «. Peu importe. Je préfère encore supporter tes insultes, que ne plus te voir.» Maly finit par ouvrir les yeux, et tourna la tête pour poser son regard sur le brun. «. J'ai essayé de t'éviter, on était coincé dans la biblio. Tu m'as dis que tu voulais plus me voir, et je suis là. Je pense qu'on est très mauvais pour s'éviter de toute manière. Et moi ça me convient très bien comme ça.» Un sourire se glissa sur ses lèvres, avant de réalisé que Camille était là à ses côtés, réellement, en chair et en os. Il le détailla du regard avant d'ajouter beaucoup plus doucement. «T'as pas froid comme ça? Ne vas pas attraper un rhume ou je ne sais quoi.» Oui l'Irlandais s'inquiétait de la santé de Camille. Que voulez vous que je vous dise, Maly est un Quincy raté. Il s'inquiète forcément, c'est juste que parfois les mots sortent, et d'autres fois ils restent coincés dans son cerveau. Maly finit par fermé à nouveau les yeux. A force de regarder Camille il avait envie de l'embrasser, et ce n'était pas forcément la chose à faire. Après tout, il avait pas envie de passer pour un squatteur obsédé sexuel, même si c'était un peu ce qu'il était, malgré ou à cause de son état de fatigue.




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Parfois, il ne suffisait de vouloir comprendre quelqu’un pour y parvenir, il fallait plus que ça et Camille en avait actuellement conscience. Il avait beau se poser mille et une questions aux sujets du blond, celui-ci restait une énigme. Mais il devait reconnaître que vu comment ils agissaient entre eux. Un coup, ils discutaient tranquillement, un coup ils di disputaient voire se battaient. Il allait falloir sûrement un miracle pour qu’un jour, toutes ses questions trouvent une réponse. Mais il ne désespérait pas, ou du moins pas encore. « Peut-être oui,mais celui-ci est en tout cas le plus important. Ça compte beaucoup pour moi. » dit-il avec un petit sourire. Le journalisme était toute sa vie, il y mettait toute son énergie dans ses études pour y arriver. Certes, il savait que le diplôme ne ferait pas tout mais au moins il aurait la satisfaction déjà d’avoir fait des efforts. Et si en plus ce métier pouvait lui permettre de réaliser son rêve de voir le monde alors c’était encore plus motivant. Camille ne put retenir un rire quand il parla de sa carrière de psycho. « Pourquoi tu dis ça ? Ce n’est pas parce que tu ne comprends pas un sujet que forcément tu dois baisser les bras. » Camille et son éternel optimiste. Mais après tout, il jugeait par ce qu’il voyait, il n’avait aucune idée de ce qui pouvait bien se passer dans sa petite tête blonde. Et c’était bien dommage parce que franchement cela l’aurait bien aidé. Quoi que lire dans la tête des gens finirait sûrement par lui donner un mal de tête et il ne le supporterait pas très longtemps. Il craquerait bien avant d’avoir trouvé une solution à ce genre de problème.

Camille ne souhaitait pas qu’il parte même s’il ne pensait guère avoir de la compagnie ce soir. Mais maintenant qu’il était à ses côtés, il ne savait pas pourquoi mais il ne voulait pas qu’il s’en aille. « Je suis sûr que tu peux y parvenir. » dit-il doucement avant de fixer droit devant lui. C’était étrange de se retrouver assis dans sa chambre par terre à discuter avec quelqu’un avec qui il s’était plus d’une fois pris la tête. Le brun fut un peu déçu de sa réponse et essaya de masquer celle-ci bien que son talent de comédien devant s’approcher des moins deux. Il l’écouta parler sans l’interrompre, ne pouvant qu’être surpris par ses aveux. Il était entrain de jouer avec ses mains avant qu’il ne se décide de prendre la parole pour lui répondre. « Si ça te convient alors moi aussi. J’espérais que tu refuses parce que je ne sais pas pourquoi et pour être franc, je n’ai pas envie de le savoir mais même si parfois ça finit en drame, je me sens bien à tes côtés.. » Il n’était même pas sûr que Maly ait entendu les derniers mots, le volume de sa voix descendait de plus en plus au fils de sa phrase. Un sourire amusé apparut sur ses lèvres face à sa question et il secoua la tête. « T’en fais pas, je ne suis pas frileux et même si c’était le cas, je me lèverais pour prendre ma couette et bien je me collerais un peu plus à toi. » Il ricana légèrement, son regard toujours posé sur le jeune blond. Il avait l’impression de se retrouver parfois confronté à plusieurs facettes de Maly et c’était perturbant. Il ne savait pas trop comment réagir. Le brun se mordilla la lèvre et il laissa sa main se glisser dans la sienne afin d’entrelacer leurs doigts, l’air de rien. Comme si c’était la chose la plus normale qui puisse exister.  


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