Priby J'ai besoin de compagnie

Eden avait du partir en voyage plusieurs, jour il m'avait laissé avec les gardes, j'aimais pas quand j'étais séparé de lui mais je pouvais pas lui reproché non plus. J'avais tellement mal dormie la nuit dernière a cause de son absence. Je minimisais toujours les chose pour Eden je ne voulais pas qu'il souffre plus qu'il ne souffre déjà a cause de moi. Au fond j'étais totalement térrorisé et paniqué de tout se qui se passait, mais je voulais pas que Eden le sache pour pas lui imposé sa de plus. C'est peut être la fatigue mais je me demande comment il peut arrivé a me supporté. J'avais envoyé un message plutôt dans la journée a Pri', on c'était vu qu'au mariage. Je fu sortie de mes pensées quand il toqua a la porte et qu'un de mes gardes ouvrait. Sa me faisait di bien de le voir. Je sautais dans ses bras. Je devenais folle seul ici

La vie de mon amie Abby était très mouvementée en ce moment. Le jour du mariage Thélia, j’avais été content de trinquer avec elle mais nous n’avions pas eu l’occasion de parler – sérieusement – et puis Abby m’avait bien fait comprendre que ce n’était pas le jour pour en parler. Elle s’était rendue aux noces pour s’amuser, soutenir les jeunes mariés, pas pour me confier ses tourments. Mais lorsque j’avais reçu son message, je m’étais arrangé pour me libérer de l’hôpîtal quelques heures et passer un moment avec la demoiselle : nous avions des choses à nous dire et je voulais m’assurer qu’elle allait bien. Je frappai à l’adresse qu’elle m’avait envoyé et ce fut l’un de ses gardes qui apparut derrière la porte. « Je suis un ami d’Abby, elle m’a invité, je… » Je me sentais toujours obligé de me justifier, pas habitué à une telle escorte. J’étais en train de me demander si fallait que je sorte mes papiers ou quoi, parce que le molosse devant moi avait pas l’air commode, quand Abby apparut et se jeta dans mes bras. Je la serrai contre moi. « Ca me fait plaisir de te voir aussi ma belle ! » rigolai-je avant de relâcher mon étreinte : « Ils vont rester là tout le temps ? » fis-je en désignant les gardes. Parce qu’en terme d’intimité, c’était pas top pour papoter, même si je les voyais mal en train de textoter des ragots à CS…

Je sautais dans les bras de Pri, sa me faisait plaisir de le voir. On avait pas discuté ensemble depuis un bout de temps. Il me demandais si les garde allais resté.
"Non mais on vas aller dans le salon y vont resté dans le hall! Eden est pas la et il me laisse pas trop le choix et ses gardes n'obeissent qu'a lui, j'ai la facheuse tendance a leur faussé compagnie parce que j'en est marre d'être suivie! Mais on va dire que la ils ont pour ordre de pas me perdre de vue, mais vu ue t'es la ils savent que je vais pas me barré! Bref! Sa me fait plaisir de te voir!!! Comment tu vas depuis le mariage!!!!"

J’avais peur que les gardes restent et jouent les troubles fête, mais non Abby me fit savoir que les gars allaient attendre dans le hall. C’était le personnel d’Eden, et voilà, son mec ne lui laissait pas trop le choix. « Et ça te pose pas de soucis à toi ? »Que son mec lui impose les choses ainsi ? Enfin, un petit rire s’échappa de mes lèvres quand elle me raconta qu’elle le faussait régulièrement compagnie. « J’sais pas pourquoi ça m’étonne pas de toi. » On entra dans le salon et mon amie me confia qu’elle était contente de me voir. « Plaisir partagé ma belle. » répondis-je avant qu’elle ne me demande comment j’allais depuis le mariage Thélia. « Bof bof… Tu sais Talya ? Mon ex enceinte que tu as vue au mariage ? Et bien elle est hospitalisée pour contraction, on a peur que le bébé arrive avant le terme. » Un enfant prématuré, c’était une vraie angoisse pour moi. Mais je tâchais de positiver et passer un moment avec ma blondinette adorée allait me faire du bien : « Bon et toi alors ? Ca va ? »

« T’as le temps avant de penser à tout ça ma belle… » J’avais du mal à imaginer la blondinette marchant jusqu’à l’autel. J’avais pourtant assisté au mariage d’Elia et Théo récemment, mais les deux cocos se fréquentaient depuis deux ans désormais. Eden et Abby, c’était bien plus récent. Trop surement pour l’imaginer déjà épouser le garçon, même si d’après elle, il serait capable de faire sa demande. Je souris en écoutant ensuite les paroles encourageantes de la demoiselle à propos du bébé. « Attends avec un papa comme moi, il ne peut être que ça : un battant. » Je rigolai un instant, malgré mon angoisse, toujours là au fond de moi, en sourdine, de perdre ce bébé auquel je m’étais déjà attaché. Pour Abby, c’était une autre angoisse, d’autres cauchemars qui la hantaient. « Je suis désolé Abby… » fis-je avec une lueur de compassion dans le regard. « Tu peux peut être pas te confier à Ed’ mais je suis là moi. » Ma main se glissa dans la sienne, resserrant doucement ses doigts.

Il me disait que j'avais bien le temps pour penser a tout sa. Je ne voulais pas y pensé en réalité mais je savais que c'était sois sa sois aller faire tuer mon oncle. Je veux bien qu'il peut être la pire personne de la terre, je n'ai pas envie de me salir les main et je l'ai promis a Eden. Pri venais prendre ma main en me disant qu'il était la. Un coté de moi n'avais pas envie de parlé de caché tout sa encore et toujours, de rigolé, mais je savais qu'il fallais que sa sorte, j'arrivais pas a parlé a Eden parce que je voulais pas lui faire porté se fardeau en plus, je voulais pas qu'il s'inquiète encore plus. Je lui posais une seul question
"Tu travail se soir?" Je ne voulais pas être seul et Eden était pas la. J'avais peur, c'est bien les garde du corps mais sa rassure pas, j'avais besoin d'une présence, de quelqu'un que je connais quoi.

Je voulais qu’elle sache que j’étais là. Elle était mon amie, si elle ne pouvait pas se confier à son chéri pour ne pas l’inquiéter davantage, moi j’étais présent pour l’écouter. Mais d’un autre côté, je ne voulais pas non plus la forcer à la confidence. Elle savait désormais, ma lien liée à la sienne, que j’étais disponible pour elle. Elle ne me demanda qu’une seule chose : si je bossais ce soir. « Je travaille pas non. J’avais prévu d’aller voir Talya, mais je peux lui passer un message et lui dire que je n'irai la voir que demain matin. » Depuis son hospitalisation, je passais beaucoup de temps avec mon ex, craignant toujours pour elle et pour le bébé. Mais je pouvais malgré tout me libérer une soirée pour Abby, surtout après ce que la blondinette avait vécu. « Il est où Eden au fait ? » demandai-je, malgré tout intrigué par son absence. Mon amie avait l’air très attaché à ce garçon avec qui je n’avais pas encore eu l’occasion de faire véritablement la connaissance.

Je savais que je ne voulais pas être seul se soir. Il me disait qu'il allait voir Talya mais qu'il allait lui laissé un message pour ne pas me laissé seul se soir. JE venais me blottir dans ses bras. J'était en manque de câlin. Esuite il me demandais ou étais Eden.
"Eden, la il est en Norvège il devait resoudre ses soucis de famille qui pouvais pas se faire a distance." je réfléchissais quelque seconde...
"Tu sais j'aurais tellement aimé ne pas naître princesse... Je crois que tout aurais été bien plus simple. En tout cas personne prendrais l'envie de me tuer. J'ai peur Pri', je sais que quelqu'un veut ma peau, je crois que se qui me fait le plus peur c'est de savoir que Eden est mélé a tout sa ..."

Je serrai doucement la jeune femme contre moi. Je la savais amoureuse de ce Eden, alors j’espérais que ça allait marcher entre eux, mais mon scepticisme légendaire me forçait à m’interroger sur lui, sur ses intentions, et surtout sur son absence : où était-il alors que sa petite amie avait tant besoin de lui. Mon amie me répondit qu’il était en Norvège, pour des raisons familiales qui ne pouvaient pas être géré depuis les states. « Ha parce que tes soucis à toi ils peuvent être géré à distance ? » demandai-je avec une pointe d’agacement à l’encontre du garçon avant de me reprendre : « J’suis désolé, il est peut être très bien ton prince, mais regarde Abby : il est pas là… » D’ailleurs la jeune femme me confia qu’elle aurait presque voulu ne pas naitre avec du sang royal dans les veines. Forcément, c’était une pression monstrueuse pour une jeune femme de 20 ans : ne pas pouvoir sortir, être sans cesse sous surveillance, ce n’était pas une vie –normale-. Et même si de mon côté, je vivais avec les moyens du bord, galérant certaines fins de mois et avec un compte plus souvent en débit qu’en crédit, je n’enviais pas la blondinette le moins du monde. « Je comprends, ça doit pas être facile ce que tu traverses… Tu vas faire quoi pour ton oncle ? » Parce que c’était un membre de sa famille au final, et c’était peut être encore pire de se sentir ainsi menacé par ses propres proches.