Loganne Confession nocturne

Quand je lui annonçais que je devais retourné en Australie elle me disait que j'était fort. A cette instant elle était bien la seul a le pensé... Pour tout se qui conçernais l'australie ou mon passé je n'étais pas fort loin de la.
"Non pas en ce qui concerne, L'Australie ou mon passé... J'enfouie tout sa et je ne le regarde plus, j'aime pas en entendre parlé j'aime pas en parlé, parce que j'ai peur. J'ai passé une année entière a retourné le pays entier pour trouvé mes parents et mon frère. Je me vois encore les chercher sans cesse..." Je revenais capturé ces lèvres parce que c'est de sa que j'avais besoin. J'aimais se contact avec elle. Je sais pas trop se qui se passait mais je ne voulais pas rompre cette instant. Elle me disait qu'elle pourrait passé des heures a resté parlé avec moi. J'avais envie de quelque chose de plus leger. Je me rapprochais d'elel. Je venais mettre mes mains sur ses cotes, je...

Je me mettais a la chatouillé. Non j'allais pas couché avec elle maintenant.

(Invité)

Tu es fort, moi je sais que tu l'es ... tu sais, les personnes qui ont des cicatrices aussi bien dans l’âme que sur le corps sont les personnes les plus courageuse tu sais pourquoi ? Je me rapprochai de lui m’asseyant de nouveau sur lui Parce que ... les gens forts guérissent de leur blessures et ont des cicatrices, ceux qui sont plus faible et bien ... ils meurent de leurs blessures.Je lui chuchotai ses quelques mots, il m'embrassait à nouveau et je resserrais mes doigts, j'emprisonnais ses cheveux et partageait notre baiser. Il finit pas se détacher et posa ses mains sur mes cotes. Je sursautais, j'étais de nature sensible au touché, je le regardais, interrogative et là ... il commençait à me chatouiller. Oh ... j'étais super sensible au chatouille et je commençais d'abord à me tortiller avant de gesticuler et de me laisser tomber en arrière en essayant d’arrêter ses mains. J'articulai difficilement en rigolant Matt, Matt arrêtes, j'en peux plus.

(Invité)

Elle me disait que j'étais fort, j'avais envie de la croire, mais sa me faisait vraiment flippé. Je me rendais pas vraiment compte que j'étais entrain de me livré a elle... J'ouvrais mon coeur comme jamais je l'avais ouvert. Sienna n'avais jamais sue tout sa.Vu que j'avais envie de changé de sujet et passé sur des truc un peu plus marrant. Je me mi a la chatouillé. Elle explosait de rire se qui me faisait aussi beaucoup rire. Elle me supliait. D'arrêté, je la lâchais pour venir déposé un bisous sur son nez.
"Petit joueuse" Disais je avec un sourire narquois/

(Invité)

Le supplice s’arrêtait enfin, je rigolais tellement que j'arrivais presque plus à respirer. Lorsqu'il arrêta, je repris doucement mon souffle, hé oui, c'est que ça essouffle de lutter contre les chatouille. Je le regardais en souriant alors qu'il venait déposer un bisou sur mon nez. Je plissais légèrement le nez et fit remonter mes jambes sur son dos, avant de les croiser pour l'emprisonner. Voilà et tu ne vas nul part maintenant. Je souriais, amusée avant d'attirer son visage vers le mien et d'attirer ses lèvres vers les miennes. Je l'embrassai doucement avant de lui sourire Tu es emprisonné dans une prison hyper solide, faites avec des jambes de guerrières Je tapotais sa joue du doigt avant d'ajouter et au cas ou tu en douterais, c'est moi qui ais des jambes de guerrières. J'approchai encore mon visage du sien et lui parlait si bien que nos lèvres se touchaient Ne me dis pas que tu en doutais hein ?. je lui souris franchement en attendant sa réponse.

(Invité)

J'avais cessé de la chatouillé j'étais mort de rire. Je venais déposé un baiser sur son nez elle plissait le nez au même moment, je la trouvais tellement mignionne comme ça, elle me faisait craqué. Je sentais ses jambes monté jusqu'à mon cou. Elle m'encerclais. Elle me rapprochais de son visage et disais que j'étais coincé. Elle me demandais si je doutais de ses jambes de guerrière. Nos lèvres se touchaient.
"Je ne doute pas une seul seconde de toi." Mes mains descendais doucement le long des ses jambes de guerrière tant dit que je venait l'embrassé langoureusement, bien plus appuyé que la dernière fois. Je continuais de carressé doucement ces jambes. Je continuais d'appuyé se baisé.

(Invité)

Il me disait qu'il ne doutait pas de mes jambes, je hochai doucement la tête en souriant, joueuse, l'air satisfaite de sa réponse J'espère bien monsieur De La Torre. A peine ma phrase terminé, il s'approchait de moi pour m'embrasser langoureusement alors que ses mains descendaient le long de mes jambes. Il m'arrachait quelques frissons se faisant, dire que ces gestes ne me faisaient aucun effet serait mentir. Il continuait de caresser mes jambes et ma main venait se poser sur sa tête, mes doigts emprisonnaient ses cheveux et nos lèvres éprises l'une de l'autre ne se lâchaient pas. Je n'avais aucune envie que ce moment ce termine, aucune envie que ça s’arrête. J'étais dans une petite bulle avec lui et je ne voulais pas la quitter. Ma langue vint de glisser entre ses lèvres pour chercher la sienne, l'effleurer, la cajoler et jouer avec. Ma main appuyait très légèrement sur sa tête, un geste qui ne servait pas à grand chose puisque notre baisé était déjà bien appuyé. Mon autre main passait sur le bas de son dos et remontait le long de sa colonne vertébrale que je caressais du bout des ongles jusqu'à sa nuque.

(Invité)

Je venais appuyé notre baisé langoureux. Je n'avais pas envie de décroché ses lèvres pendant que ces mains venait jouer sur mon dos. J'aimais vraiment sa je sentais des frissons sur toute ma colonne. Ce n'était pas le but de la main d'oeuvre mais j'aimais bien trop sa pour arreté je santais sa main de mes cheveux. Mes lèvres s'ouvraient ppur laissé passé sa langue. Nos langue se rejoignais pour jouer ensemble. C'étais si bon le but c'était pas sa. Je glissais mes main sous ses jambes et me defessais de son emprise avant de cesser notre baisé pour crié victoire.
"AAAh aaah! Je t'ai eu " disais je en rigolant. Je m'étais defais de son emprise.

(Invité)

Il glissait ensuite ses mains sous mes jambes et ... et je le laissai faire en continuant de l'embrasser. Nos langues ne se défaisaient pas l'une de l'autre et ma main était toujours sur sa tête, emprisonnant sa chevelure entre mes doigts. Il préparait quelque chose, mais quoi ? Et puis, après avoir passé ses mains sous mes jambes, il les tira pour s'en défaire avant de crier victoire. Hey ! Je lui donnais un léger coup sur son bras t'es qu'un tricheur ! Je me redressai pour l'inciter à ce mettre sur le dos et me mettre au dessus de lui Ça compte pas ! J'ai quand même gagné puisque tu as triché ! . Une fois au dessus de lui je l'embrassai le front, puis les joues, puis le nez puis les lèvres et le menton tout en répétant Tricheur à chaque baiser. J'espérais qu'il craigne les chatouilles puisque je commençais à le chatouiller au niveau de la base du cou avant de descendre sur son ventre.

(Invité)

J'étais mort de rire de mettre libéré de son emprise. Je l'avais bien eu. Elle me plaquait contre le lit elle venait sur moi. J'aimais quand elle était comme ça. Elle disait que j'étais un tricheur.
"Qui a dit qui avait des règles?" Je sentais ses baisé sa me faisait rire. Après je sentais ses mains. Elle commençais a venir me chatouillé. Elle n'avait pas trouvé le coin ou je crain. Oh my god si elle descendais et j'explosais de rire. Je venais mettre mes mains sur ses cote pour la chatouillé . On s'amusais bien tous les deux.

(Invité)

Comment ça qui a dit qu'il y avait des règles ? Je continuais de le chatouiller en parlant Moi, moi j'ai dis qu'il y avait des règles et comme c'est moi qui décide ... donc tu as triché. Je rigolais tout en le chatouillant jusqu'à ce qu'il vienne mettre ses mains sur mes cotes pour me chatouiller à son tour. J'essayais de résister, puis je commençais à me tortiller mais je résisterais ! Et puis merde, je n'en pouvais et arrêtai de le chatouiller pour me tordre dans tous les sens en rigolant, j'essayais d'attraper ses mains, sans succès mes mouvements étant trop peu précis et trop précités. D'accord, d'accord tu as gagné !!, je lui dis rapidement ces mots en rigolant tout en continuant à me tortiller. je n'en pouvais plus et je commençais à devenir rouge, tellement je rigolais. Le lit n'avait d'ailleurs bientôt plus draps dessus, tant nous avions bougé.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)