Loganne Confession nocturne

Loganne était completement paniqué, je pouvais pas la laissé comme sa. Mon coeur avais accéléré de la voir dans cette état la. Elle arrivait même pas a parlé comme il faut. Elle me disait de pas m'en faire qu'elle allait géré.
"Lo viens la" Je lui ouvrait mes bras, je venais la serré contre moi.
"Tout vas bien Lo, je suis la..." Je frottais doucement mes mains contre son dos. Elle voulait géré sa seul. J'étais jamais vraiment arrivé géré ses cauchemars, j'en est toujours de temps a autres mais je sais que j'arrive a les dissimulé, même Sienna ne l'a jamais sue. Elle me disait de pas m'en faire.
"Lo', je vais nul part, je vais annulé l'entrainement, je te laisse pas toute seul dans cette état, il n'y a pas de mais ou quoi que se soit qui tienne. Je veux que tu te reposse vraiment et si pour ça il faut que je reste je resterais!"

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Matt me regardais et m'ouvrait ses bras, je n'eus aucune hésitation à venir m'y réfugier, je cachai mon visage dans son cou et m'accrochai fort à lui. Il me disait qu'il était là, que tout irait bien. Ces mots me rassuraient mais c'était égoïste de ma part de l'accaparer, je savais qu'il avait entrainement et que c'était important pour lui, il préparait les J.O et je ne devrais pas être un poids pour lui, surtout, je ne le voulais pas. Mon visage caché dans son cou j'essayais de lui murmurer quelques mots T'en fais pas Matt, je me sens déjà mieux, merci d’être là mais ... tu dois aller t'entrainer, tu ne peux pas juste sauter ton entrainement parce que j'ai fait un mauvais rêve. Puis j'éloignai mon visage de son cou pour le regarder, mon visage près du sien, je passai un doigt sur son nez puis sur sa joue Je suis une grande fille ne t'en fait pas Je m'efforçais de lui sourire pour le rassurer, la situation n'était pas facile pour moi mais il trempait aussi dedans maintenant et je ne voulais pas l'inquiéter. Puis je pris le draps pour le découvrir et me mit sur mes genoux, le regardant toujours Et maintenant tu vas t'entrainer Je lui montrai la porte du doigt en parlant.

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Je la serais contre moi, je devais y allé mais j'avais aucune envie de la laissé comme sa. J'ai pas envie qu'elle panique; je veux pas la laissé dans un telle état. Elle n'esite pas a se réfugier dans mes bras, je la sert fort contre moi. Je ne ceux pas qu'elle est peur. Je veux veillé sur elle. Elle me disait qu'elle était grande pour sa. JE réfléchissais quelque seconde.
"On coupe la poire en deux, je décalle l'entrainement d'une heure! Comme sa je peut encore être avec toi.Tu sais c'est juste de la muscu, je peu la faire tout seul et comme sa je reste la!" Oui je voulais resté avec elle. Elle me disait que sa allait mais je voyais la peur dans ses yeux. Je posais mes mains sur son visage.
"Et on a dit la vérité, je vois très bien que tu es térrorisé! Tu veux parlé de ton rêve" J'allais au moins décallé l'entrainement d'une heure. Mn entraineur savait que j'avais une fille il comprendrais c'était la seul fois en 6 mois depuis que j'ai repris. J'envoyais un texto rapide.

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Il me proposait de décaler son entrainement d'une heure, je n'étais pas contre tant que ça ne lui nuirait pas D'accord, si tu veux mais je ne veux pas que ça t’empêche de t'entrainer que tu le dois. Je suis là pour t'épauler aussi, pas pour t'enfoncer. Il m'assurait que c'était juste de la muscu et que ça ne changerait pas grand chose qu'il s'entraine la bas ou ici. Je hochai légèrement la tête, ça m'allait, puisque ça n'affectait pas son entrainement. Il avait bien vu que j'essayais de cacher ma peur, que j'essayais de la rassurer pour qu'il puisse s'entrainer sans s'inquiéter. Il me demandai si je voulais parler de mon cauchemar ... en fait je ne savais pas par ou commencer. Je me laissai tomber en arrière sur le lit, pour m'allonger complètement sur le dos. Ma tête pendait dans le vide, mes cheveux effleuraient le sol et je regardais le plafond, je ne savais pas vraiment pas ou commencer. Je ne sais pas trop Matt, c'était le gros bordel. Tout était mélangé. J'ai rêvé de mon père ... de .. de ce qu'il avait l'habitude de faire et j'ai aussi rêvé du suicide de ma sœur. J'avais pour habitude de rêver de ma soeur, Joyce, mais ce n'était jamais positif, je crois qu'au fond, je m'en voulais de n'avoir rien vu.

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elle me disait qu'elle était la pour m'épaulé et pas pour m'enfoncé. Je venais posé ma main sur sa joue.
"Tu ne m'enfonceras jamais Loganne." Je lui demandais pour son cauchemars, elle était perdu. Je voyais qu'elle était pas bien, je voulais absolument l'aidé. C'est une fille tellement bien elle mérite que la vie lui sourie un peu. Je la laissais s'allongé comme elle voulais. Je m'asseyais en tailleur sur le lit. Je la regardais. Elle disait qu'elle avait rêvé de son père qui la tabassais comme d'habitude et de sa soeur qui c'était suicidé.
"Tu as le droit de pas répondre a ma question, mais t'avais qu'elle âge déjà, et surtout: Tu t'en veux de pas avoir réagie?" J'e nétait presque sur parce que c'est se que beaucoup de personne pense face a tout sa.

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Ma posture était un peu enfantine, comme quand les enfants jouent à être la tête à l'envers pour faire monter le sang à la tête. Je cherchais Matt avec le bout de mes pieds et je m'amusais à effleurer ses jambes ou ses bras avec pour l’embêter. Il me posait des questions sur la mort de ma sœur, sur ce que je ressentais par apport à ça. Il ne voulait pas me contraindre à répondre, mais Joyce était mort il y avait 13 ans, j'avais eu le temps de m'en remettre même si ce n'est jamais agréable d'y penser. T'en fais pas, ça fait longtemps maintenant, j'ai eu le temps de gérer tout ça. Ma sœur est morte j'avais dix ans, elle s'est pendue alors qu'elle en avait 15. Déjà que la situation à la maison n'était pas joyeuse, ça a été pire après ça mort. Mon père est devenu de plus en plus violent et ma mère, de plus en plus muette ... je pense qu'ils m'en veulent.Parler de tout ça n'était pas facile, je n'en parlait pas souvent, le suicide de ma sœur était un sujet à ne pas aborder chez moi. Personne n'aurait pu prévoir qu'elle ferait ça, qu'elle m'abandonnerait avec eux. Je m'en veux un peu oui ... j'étais plutôt proche de ma sœur et ... je n'ai rien vu venir. C'était mon plus grand regret de ne rien avoir pu l'aider, de ne pas avoir eu le temps de l'écouter, de ne pas avoir été là pour la prendre dans mes bras quand elle voulait pleurer. J'étais peut être jeune, mais j'étais sa sœur.

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Elle me parlait de la mort de sa soeur. Elle c'était pendue, ces parents lui en voulait. WTF son père la frappais et sa sera la faute de sa fille? Ou vas le monde? Elle m'avouait qu'elle s'en voulait, c'est bien se que je pensait mais elle me disait qu'elle n'avait que 10 ans a l'époque. Je crois qu'elle a jamais pu parlé de tout sa n'aide pas vraiment quoi...
"Lo' tu avais 10 ans, c'est pas de ta faute, le seul fautif c'est ton père c'est lui qui frappais pas toi. La culpabilité ronge, je veux que tu te sortes sa de la tête. Elle a fait sa parce qu'elle n'avais pas t'as force et ton courage. Je sais que tu es une battante, maintenant je suis la pour t'aidé, pour te soutenir. Tu dois resisté en l'honneur de t'as soeur, elle n'aurait jamais voulu que tu fasse la même chose qu'elle. J'en suis persuadé. Je suis avec toi maintenant et je veux que tu continue a te battre."

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Il me disait que ce n'était pas de ma faute, que je devais me débarrasser de ma culpabilité qu'elle ne ferait que mon ronger. D'ailleurs, c'était le cas, depuis ça mort j'avais le même poids dans la poitrine, la même honte, la même culpabilité et petit à petit ce sentiment m'enfonçait sans que je puisse faire quoi que ce soit. Je me sentais à la fois, coupable et en colère, en colère contre elle, parce qu'elle m'avait laisser toute seule, elle savait ce que j'allais vivre et elle avait choisit de me laisser seule. Je ne sais pas pourquoi, je trouve encore des excuses à mon père ... je ne sais pas pourquoi je tente encore de le comprendre, de savoir pourquoi il nous faisait et pourquoi il a continuer avec moi.Je me redressai brusquement pour lui faire face, je m'approchai de lui en souriant jusqu'à arriver tout prés de son visage, jusqu'à ce que mon nez frôle le sien. Je savais que je jouais un jeu dangereux, je savais que c'était un arrangement et que nous n'étions pas un vrai couple mais je ne sais pour quelles raisons je ne pouvais pas m'en empêcher. Je le regardai comme ça un moment, mes yeux dans les siens, mon nez frôlant le sien. Je finis par lui sourire doucement, je voulais changer de sujet Maintenant ... monsieur De La Torre ... vous devriez aller vous entrainer.

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J'essayais de lui remonté le moral. Elle me disait qu'ellle cherchait toujours des exuse a so père.
"Lo' je sais que c'est ton père, j'ai aucune idée de comment je réagirais si mon père n'est pas mort et que je l'avais en face de moi. Je sais que c'est compliqué que sa reste ton père mais faut absolument que tu te décolle. Faut que tu t'émensipe tu n'es plus une enfant." Je sais que c'est très facile a dire mais pas a faire. Je le sais parfaitement bien mais je suis sur qu'elle en est capable. Elle se rapprochait de moi, beaucoup bien trop, nos nez se frôlais et j'aimais sa. Je, mon cerveau ne contrôlais pas mes gestes. Je venais posé mes lèvres contre les siennes la tentation était bien trop fort pour que je resiste.

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Il me dit qu'il fallait que je me détache de mon père, ce n'était pas faux, mais il y avait ce lien étrange qu'on avait. Comme une dépendance, je cherchais encore son affection, j'avais espoir qu'il s'excuse, qu'il me montre un peu d'amour. C'est ce que j'attendais, j'attendais son amour, celui que je n'avais jamais eu.
Quand je rapprochai mon visage du sien, il approcha ses lèvres jusqu'à les poser sur les miennes. J’appréciais son contact, je ne pensais plus à mon père, je ne pensais plus aux précautions que nous devions prendre pour nous protéger mutuellement. Je ne pensais pas au futur et aux conséquences de nos actes, non, j'étais dans le présent et j'adorais ce présent. Ce baiser était doux et sucré et alors qu'il éloignait légèrement ses lèvres, je me rapprochai rapidement de lui pour prolonger notre baiser. J'emprisonnai ses lèvres entre les miennes et vins poser mes mains sur sa nuque. Ma langue vint doucement se glisser entre ses lèvres pour effleurer la sienne et partager avec lui un baiser plus langoureux et passionné.

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