look up in the sky it's a bird it's a plane # ALESKA

« Parce que je suis parfait et que tu peux pas tuer la perfection. Le monde entier t'en voudra pour ça et ils te tueront. C'est ça qu'tu veux ? » J'me mis alors à rire en écoutant ses propos. Lui il était tranquillement posé sur mon cul en train de boire sa bière après m'avoir léché le dos. « Non, mais je rêve là ! J'ai pas envie de faire le remake de Romeo et Juliette avec toi Strudwick ! » dis-je en pouffant de rire avant de lui avouer que je préférais clairement quand il passait sa langue sur ma peau plutôt que quand il me massait simplement avec ses mains. En même temps, ça donnait pas les mêmes sensations hein. Je planais un peu, -beaucoup- à cause de la drogue, de l'alcool et de ce qu'il me faisait. Il me faisait planer et même si la fatigue commencer à me gagner, je ne pourrais pas m'endormir. « Ah oui ? Mh... » Surtout plus maintenant. Le mather attrapa la canette avant de verser à nouveau de la bière sur mon dos pour répéter ses gestes encore. « Comme ça c'est mieux ? » Avait-il besoin de savoir la réponse ? Cela se voyait à la façon dont ma peau frissonnait et mon corps se tendait. « Comment je suis censée faire pour arrêter de coucher avec toi ? Aloooors que là, j'ai juste envie que tu me fasses l'amour encore une fois... » affirmais-je d'une voix douce.

Totalement déconnecté de la réalité, je disais un peu n'importe quoi à la jeune femme. Elle voulait me tuer ? Elle ne pouvait pas, juste non, elle ne pouvait pas. J'étais trop indispensable à l'humanité pour ça. « Pourtant... Aimeeeeer c'est c'qui a d'plus beauuuuuuuu, aimer, c'est monter si haaaaauuuuuut » Quoiqu'il en soit, on finissait par revenir aux bases, c'est à dire bière sur la peau et ma langue qui vient l'enlever presque aussitôt. Autant dire tout de suite, j'aimais bien ça, ce que je faisais mais aussi la sensation que ça lui procurait puisqu'elle kiffait ça. Comment elle pouvait arrêter de coucher avec moi ? Elle pouvait pas, tout simplement. Une fois que j'avais fini, je venais glisser mon visage dans son cou, l'embrassant à plusieurs reprises. « Tes désirs sont des ordres » Je glissais ma main sur son ventre, l'obligeant alors à se redresser un peu pour que je puisse venir la glisser entre ses jambes pour la caresser. Elle pouvait alors sentir l'effet qu'elle me faisait, grandir contre elle.