KENYA ▬ All my hidden desires Finally came alive

"Je pense la reprendre en otage oui mais pas ici malheureusement." Le couple de vieux trainait pas loin, je sais qu'ils allaient nous signaler au country club, personnellement je m'en moquais parce que nos noms nous ouvraient les portes et on passerait l'éponge facilement seulement j'avais quelques regrets de ne rien faire ici, c'était si tentant. Mes mains à l'arrière de ses cuisses, je plantais mes yeux dans les siens, déposant des baisers sur son menton, frottant mon nez contre le sien comme elle le faisait. "Tu viens de gâcher ma demande de pardon en disant ça." Compte commun ou pas j'aimais bien dire que je l'invitais, ça sonnait comme un rencard un peu bien qu'on avait dépassé ce stade depuis longtemps. "Tu pourrais cesser de les martyriser?" dis-je en me frottant la fesse prétextant une fausse douleur alors qu'on allait vers la voiturette. "Elles se sentent mal aimés." J'haussais les épaules alors que je me mettais au volant pour conduire jusqu'au chemin ou un employé déchargerait nos clubs et les mettraient dans notre voiture pendant qu'on irait manger. Main dans la main, on s'installait tous les deux ensemble, rapidement un serveur venait nous servir en mangeant des yeux ma femme, je souriais pas, il était parti en vacance mais l'homme était assez respectueux pour ne pas regarder la poitrine d'Anya encore ça passait seulement poser mon bras sur le dossier de sa chaise était un geste que je faisais souvent, encore plus quand je voulais dire elle m'appartient.

T'as le droit d'en trouver une autre du coup je lui faisais un clin d'oeil, lui pinçant les fesses la seconde d'après pour ensuite, me diriger vers la voiturette, laissant les commandes à Kenny Non j'en ai pas envie, j'ai des années à rattraper, parce que monsieur a commencé à me toucher les fesses dès notre première rencontre je te rappelle oh oui, je me souviens très bien de ce jour, de son anniversaire d'ailleurs. oh je suis persuadé que c'est tout le contraire, elles aiment ça que je les touche je posais ma main sur sa cuisse pendant le petit trajet, un automatisme, puis lorsque nous arrivions devant le restaurant, un voiturier venait garer la voiturette et décharger les clubs pour les mettre dans notre voiture ensuite. Au restaurant, Kenny venait s'asseoir à côté de moi, chose qui était plutôt rare. Je me laissais aller en arrière sur le dossier de ma chaise et lui passer son bras dessus. J'adorais ça, surtout quand il touchait mes cheveux en même temps. Je commandais nos plats après que nous nous soyons mis d'accord, avec du vin, je ne remarquais pas le manège du serveur bien trop absorber par les caresses de mon mari et par lui tout simplement, je m'amusais en touchant sa barbe, je lui mordais la joue aussi pour rapidement y déposer un baiser dessus Va falloir que tu tondes un peu, ça me pique regardes dis-je en lui montrant mes lèvres rouges en faisant la moue. Dès qu'on rentre je te le fais je lui mordais le nez cette fois ci me remettant ensuite droite pour prendre mon verre de vin que le serveur nous avait servi. Tu veux qu'on se fasse une autre partie après ?

Mes mains glissaient dans sa chevelure blonde, j'adorais lui faire ça car c'était si doux, si léger, j'avais l'impression de mettre les doigts dans du coton, en plus ça me faisait frissonner sans compter que je montrais aussi mon territoire. Le serveur souriait à Anya en prenait les plats en note ainsi que le vin, je crois même que si je n'avais pas été présent il aurait tenté sa chance, je pouvais pas lui en vouloir, mise à part un sourire il n'avait rien fait de plus donc pas assez pour lui rentrer dedans en plus comme je me disais un peu plus tôt, lui en vouloir était impossible, elle était belle ma femme, normal qu'elle attirait les regards. "Le plat arrive, évite de me manger." Riais-je en déposant un baiser sur son front. "Oh oui c'est vrai elles sont rouge." Je lui faisais sa moue. "Bisou magique." Je lui en donnais un amusé et attendrit. "D'accord si tu veux mon petit cannibale." Mon nez ne souffrait pas, mon cœur lui par contre il battait si fort que j'ai bien cru qu'il allait exploser d'un coup sec, tant d'amour pour moi, de petits bisous me rendait chèvre. "Pour que je te réduise en miette? Non je pense pas." Je la cherchais, c'est vrai que tout à l'heure notre petit défi m'avait bien plu, que ça avait mit de la bonne humeur dans notre journée par contre je savais que si on rentrait en compétition, on risquait de se fâcher, on en avait fait à de nombreuses fois l'expérience car ni elle, ni moi, avions la victoire modeste. "Plus sérieusement, je compte te prendre en otage." Murmurais-je à son oreille avant de lui mordre discrètement. "Le reste de l'après-midi." Je buvais un peu de vin alors que mes doigts étaient toujours dans sa longue chevelure blonde.

Sa barbe me picotait légèrement les lèvres, d'ailleurs, elles s'étaient teinté d'une légère couleur rouge que je m'empressais de faire remarquer à Kenny. Il déposait un baiser magique sur mes lèvres, je souriais en attrapant son menton pour le lui mordre doucement avant d'y déposer un baiser à mon tour Cannibale ? Si j'étais toi, je réfléchirais à deux fois avant de fermer les yeux ce soir sifflotais-je doucement alors que la seconde d'après c'est son nez qui passait sous mes dents. Me réduire en miette ? Il me semble que j'ai gagné la manche de tout à l'heure victorieuse, je portais mon verre de vin en bouche, pour en boire une petite gorgée et le reposer sur la table C'est fou ce que tu peux être mauvais perdant et l'inverse était de mise, je détestais perdre moi aussi. Me prendre en otage ? Où ça ? je tournais un peu la tête pour le regarder mais monsieur s'amusait avec mon oreille chose qui me fit frissonner, comme ses caresses dans mes cheveux qui me valut quelques tressaillements et en plus tous le reste de l'après midi ? Je dois avoir peur ? Envoyer un SOS pour qu'on vienne me chercher ? Activer mon GPS si jamais tu me relâchais pas ?

"A la maison." Vu qu'on ne pouvait rien faire ici. J'aurais adoré sous le saule pleureur, elle contre moi, mes mains sur son corps, je frissonnais face à mes pensées totalement salaces. Ma bouche se posait contre son oreille, ça aussi j'aimais le faire, lui mordre son lob d'oreille puis le suçoter doucement, elle réagissait si bien sous mes gestes que mes pensées de tout à l'heure refaisait surface le temps que le silence soit rompu. "Tu vas supplier que je te relâche pas, pas besoin." Je me gonflais un peu, prétentieux à souhait mais je connaissais ma femme, je savais ce qui lui plaisait alors elle apprécierait être mon otage pour quelques heures comme moi j'adorais être son bourreau. Alors que je buvais mon verre de vin, nos plats arrivaient, Anya avait choisi pour moi pour une fois alors quand je regardais mon plat je me demandais si j'étais bien puni. "J'ai fais un truc mal?" demandais-je sans rigolé, je voyais tellement de légume que j'étais au bord du malaise, ok il y avait une magnifique cote de bœuf mais là mes yeux étaient braqués sur les légumes.

J'étais surprise, je le regardais avec un petit sourire, me demandant encore ce qu'il allait me sortir et bien entendu, il savait y faire avec moi. Je l'écoutais me ire que j'allais le supplier de ne jamais me relâcher et je voulais bien le croire à vrai dire, cependant, je n'allais pas lui donner cette satisfaction tout de même, je ne voulais pas paraître si faible face à lui, face à ses lèvres, ses mains, son corps , ses yeux ... On verra ça, c'est à moi d'en juger je lui faisait un clin d'oeil, avant de faire un petit mouvement de tête pour qu'il cesse de me rendre toute chose contre mon oreille. Nos plat arrivait, jusqu'à ce qu'il me demande s'il avait fait quelque chose de mal. Je fus surprise, me demandant de quoi il s'agissait jusqu'à ce que mon regard ne se pose sur le sien. Il parlait des légumes. Je riais doucement en échangeant nos plat. ça c'est pour moi, ça c'est pour toi .. dans mon assiette qui était la sienne, il y' avait des frittes et un peu de salade, histoire de dire, qu'il y'a de la verdure Je suis pas complètement suicidaire, je veux un bourreau en pleine forme qu'il puisse me cacher pendant un certain temps je riais doucement en déposant un baiser, rapide, sur sa joue pour commencer mon assiettes. Les aubergines étaient délicieuses, cuitent à la plancha. Goûtes, fais moi confiance, c'est super bon dis-je en lui tendant une rondelle, enfourché aux dents de ma fourchette

Ah mon assiette n'était pas la mienne. Anya l'échangeait sous mon regard soulagé. "Tu as fais le bon choix." J'avais faim désormais quand je voyais les frittes même la petite salade avec des tomates cerises me plaisait bien et alors que j'attaquais, ma femme décidait de me mettre des batons dans les roues, elle savait que je ne refuserais pas de gouter sous ses petits yeux de chatons alors je fermais les yeux espérant que ça passe. "Mais j'aime pas, tu m'auras pas." Dis-je en gardant les yeux fermés comme un gamin. Je voulais pas manger l'aubergine, je me sentais puni quand je mangeais des légumes seulement je me voyais dans quelques années à faire l'enfant face à nos propres enfants et c'était l'élément déclencheur qui me faisait ouvrir les yeux. "Ok je vais le faire après tout je devrais bien forcer nos enfants à le faire." Je disais nos enfants, ça me faisait bizarre de parler au pluriel, ça me déplaisait pas d'ailleurs. "C'est gros comme bout…" Bien quoi? J'ai dis que j'allais gouter pas me tuer avec ou manger tout le plat qu'elle avait. "Je prend pas tout." Je croquais un petit bout, l'aubergine était bonne, je l'avoue, il y avait un petit gout que je ne connaissais pas mais que j'appréciais. "Hum j'aime bien mais ça veux pas dire que je suis prêt à manger, je te vois venir à essayer de m'en servir le soir." Je plissais un peu les yeux, Anya se mettait à la cuisine de temps en temps, quand elle la faisait c'était souvent très sain, elle avait raison sur toute la ligne, je reconnais que grâce à elle j'étais en meilleure forme mais j'étais aussi frustré par la non présence de chocolat à la maison.

J'ai l'impression d'entendre un gamin dis-je en levant les yeux au ciel. Avant que je ne sois avec Kenny, il mangeait tout et n'importe quoi, parfois il mangeait des légumes certes, mais avec tout un tas de cochonnerie à côté. Heureusement qu'il a toujours fait du sport pour palier à ce côté, parce que sinon bonjour le mari de 200 kilos que j'aurais aujourd'hui. Lorsqu'il disait nos enfants, je souriais. Oui, nous allions avoir des enfants ensemble. Nous avions déjà une magnifique petite fille, mais je sais que nous allions avoir une belle famille, je me sentais prête avec lui et j'avais envie de lui donner, de faire vivre son rêve, bon par contre si son rêve était d'avoir 8 gosses qu'il aille se trouver une autre nana. Deux ça me convenait, 3, si j'ai encore la force mais pas plus. Allez dépêches toi Kenny, je vais pas rester comme ça des heures dis-je en lui fourrant la fourchette dans la bouche finalement puis il mangeait et ... il aimait. L'aubergine cuite de cette façon me rappelait le goût de la pomme de terre, alors forcément, il allait aimer si lui aussi avait la même sensation dans la bouche. Trop tard, t'as dis que t'aimer ça, ce soir on se fait un barbec et on ira acheter des aubergines , des tomates, des poivrons, des courgette pour les faire à la plancha je déposais un baiser sur sa joue, puis je lui piquais une frite au passage pour la manger. tu sais, ça m'a rendue heureuse quand t'as dis nos enfants .. j'haussais une épaule en lui confiant cela, d'ailleurs, je sais pas pourquoi je le lui disais.

Je savais que j'aurais du dire beurk mais Anya me connaissait si bien qu'elle aurait su que j'avais menti donc quelque part dire la vérité n'était pas plus mal. "Je peux rien te cacher toute manière. Tu as des pouvoir, tu sais lire en moi." Je pestais un peu pour le coup, poussant un peu mon assiette vers ma femme pour qu'elle pique dedans, dire qu'à une époque je détestais ça limite j'étais capable de ne plus manger après ce genre de geste, pas que j'étais égoïste j'avais juste peur des microbes, j'avais tellement donné avec ma tumeur, que le moindre microbe m'avait fait peur seulement je m'étais rendu compte que ça ne servait à rien quand j'avais rechuté puis Anya n'avait pas la gale, les autres par contre… "Moi ça m'a fait un peu bizarre." Avouais-je en tournant mes yeux vers elle quelques secondes avec un sourire dans le coin. "J'ai souvent pensé que tu n'aurais pas voulu me donner un autre bébé. La grossesse a été dure pour toi, mise à part ce que je t'ai fais pendant, j'ai bien vu que le regard des autres qui te voyaient pas comme la reine des glaces te posaient souci." Je me souviens de cette époque, les gens avaient eu beaucoup moins peur de mon épouse parce qu'à partir du moment où on se met à pouponner, à penser à quelqu'un d'autres que soit, on change. "Alors j'avais fais un peu un trait dessus surtout quand tu as accouché, je vais m'inquiété en fait je m'inquiète déjà."

Kenny m'avouait que dire " nos enfants " lui avait fait bizarre. Je tournais mon regard vers lui, tout en lui piquant une autre frite, avant de pousser son assiette vers lui, je n'en voulais plus, je voulais juste piquer dans son assiette à vrai dire. Puis je l'écoutais me parler de la grossesse que j'avais vécue. J'haussais les épaules, c'est vrai que sur l'instant, durant ma grossesse, ça m'avait fait bizarre, mais maintenant, je m'en moquais. C'est vrai que ça m'avait fait quelque chose, mais à vrai dire, maintenant, je m'en fou. Parce que ces gens là, même si j'aime encore les martyrisés, je sais que c'est qu'une étape de ma vie, c'est pas avec eux que je vais construire mon futur mais avec toi. Alors, on peut dire ce qu'on veut de moi, que je suis la reine des glaces ou que je suis devenue un bisounours, dans une certaine mesure tout de même, le plus important c'est toi et Alessia et nos futurs enfants j'avais appris à grandir à ce niveau là, à me foutre de ce qu'on peut dire de moi. Kenny m'avait changé et bien que ma période de règne sur Harvard me manquait -plus tard je règnerais sur la Russie tout entière mwahahaha, - j'apprenais à aimer cette personne que j'étais devenue grâce à lui, être cette Anastasiya là, à ses côtés est beaucoup plus facile. J'avais appris le pardon, le partage, la confiance, l'amour, la tendresse et une multitude de chose à ses côtés et ça m plaisait énormément. Je posais ma tête contre son torse en soupirant un peu, heureuse. Je sais que ça va bien se passer cette fois, j'en suis certaine puis tu m'enlèvera pas de l'idée que je veux mon petit Kenny à moi. Oui, j'étais bien heureuse d'avoir eu une fille en premier, mais je voulais un petit garçon maintenant alors on arrêtera pas tant que j'en aurais pas un je riais en me redressant, afin de m'attaquer réellement à mon assiette, mangeant les légumes cuit à la plancha et ma viande