I want you to die bitch || Silvia

En observant ses affaires tomber dans un sac, mon cœur ou plutôt ce qu’il en restait se fissura littéralement en deux… Je ne voulais pas la voir partir car Macaroni se ferait une joie de l’accueillir et… je soupirais doucement en baissant les yeux. Il fallait que je m’en aille avant de devenir définitivement dingue. Et voilà qu’elle me balançait une saloperie dans la gueule mais ça ne m’affectait pas… Après tout elle avait raison ! J’étais un assassin et je m’en prenais souvent à des innocents c’était évident. Je soupirais juste dans un simple haussement d’épaules alors que je fixais le sol, dos contre la porte et bras croisés contre mon torse. Je la détestais… de moins en moins… Disons que je n’arrivais pas à me résoudre à la haïr viscéralement et pourtant il fallait bien admettre que ce qu’elle m’avait fait était juste d’une horreur sans nom… Même à son pire ennemi on ne le faisait pas… Elle m’avait mentit et m’avait trahie… Et elle pensait que j’allais croire qu’elle m’aimait ? Non… Elle aimait Macaroni, j’en avais eu la preuve… J’étais fatigué… fatigué de lui courir après et en entendant sa phrase je compris qu’on avait rien à se dire… Je partis pour chercher la clé que je ramassais avant de revenir vers la porte. Je glissais la clé dans la serrure et je soupirais doucement en déverrouillant la porte que j’ouvris ensuite pour sortir de la chambre. Je me stoppais dans l’embrasure de la porte et me tournait vers elle alors qu’elle prenait une nouvelle pile de fringues.

Je… je vais rentrer à San Diego demain… je…

Je serrais les dents en baissant les yeux. Je lui tournais le dos pour ne pas avoir à affronter son visage sinon je risquais de flancher… Elle voulait quitter cette villa ? J’avais besoin de quitter la ville pour l’oublier…

Je te souhaite tout le bonheur du monde… t’es une fille bien, tu le mérites…

Je quittais la chambre sans un regard en arrière.

Il ne répondait pas, pourtant je sentais clairement son regard sur moi, du moins j'en avais le sentiment. J'voyais l'armoire se vider et autant dire que ce vide matériel se formait tout autant en moi, c'était difficile à expliquer, j'comprenais rien. C'est alors qu'il partit ramasser la clé afin de déverrouiller la porte et face à ma valise, je posais mes mains dessus pour tenter de me calmer mais je n'y parvenais pas et tandis qu'il prenait la parole, je tournais la tête vers lui, faisant ainsi face à son dos. « Une fille bien ? je crois que t'as pas encore pigé la définition de ce mot Stefan.. » j'suis blasée qu'après tout ça il pense encore que je suis quelqu'un de bien. Je ne le suis pas putain. « Ne.. ne pars pas.. » soupirant je me reprenais. « Ne rentre pas à San Diego.. et tu ne devrais pas sortir tout court dans ton état actuel.. » lâchais finalement en baissant les yeux.

(c) toxic heart.

Mon petit cœur ne supportait plus cette situation… je baissais les yeux dans un long soupire en allant pour quitter la pièce, alors que sa voix résonnait dans la pièce et je m’arrêtais un moment en l’écoutant… La définition d’une fille bien ? Je la connaissais très bien et je me contentais doucement de me tourner vers elle pour l’observer alors qu’elle était face à sa valise. Je la dévorais du regard, ses courbes m’excitant toujours autant. C’était insupportable cette faiblesse et ça m’exaspérait définitivement. Parce que je souffrais toujours un peu plus à chaque instant et elle baissait toujours un peu plus dans mon estime. Mais je n’en étais pas ravi bien au contraire. Je me contentais de hausser les épaules sans chercher à croiser son regard.

Tu es une jeune femme perdue… tu es aussi très conne… mais tu es quelqu’un de bien.

Conne car elle m’avait perdu alors que je lui aurais donné le ciel, la lune et les étoiles et qu’elle aurait été traité comme une petite reine… Mais elle avait tout gâché pour un mec qui ne pensait qu’à lui fourrer son spaghetti… C’était dommage mais c’était son choix. Quand j’allais pour reprendre ma route, je m’arrêtais car elle reprit la parole et je soupirais doucement.

Pourquoi est-ce que je voudrais rester ici ? Te regarder roucouler avec Macaroni ? Tu as vraiment envie que je tente de le tuer un jour ? Cette ville de merde j’en ai plein le cul… je n’ai plus aucun bon souvenir ici… Et pour ce soir… c’est un boulot comme un autre.

Je croisais son regard à travers le miroir… et j’ouvrais la bouche pour rajouter que je ne pourrais pas vivre sans elle dans cette immense villa mais… je refermais ma bouche en sortant de la pièce.

Conne hein ? ça je le sais à la limite il n'a même pas besoin de me le préciser pour que ce soit gravée dans ma mémoire. Ressentir des choses c'est encore tout neuf pour moi et le ressentir de deux façons différentes pour deux personnes très différentes l'une de l'autre c'est particulièrement paumant pour moi. J'avais eu une attitude terrible avec Stefan et au fond je me disais que Umberto allait lui aussi finir par se rendre compte du cas désespéré que je suis. « Merci pour ta franchise.. » dans un sourire amer je détourne les yeux un moment. « Arrête avec ton Macaroni tu veux c'est agaçant à la fin. » croisant les bras, je secouais vaguement la tête avant de hausser les épaules, je sais très bien qu'il allait voir ça comme une prise de défense mais ça n'en n'étais absolument pas une. « Pour roucouler il faudrait encore qu'on soit ensemble alors s'il te plait arrête, j'ai la tête dans un étau, je ne sais suffisamment pas ou j'en suis comme ça pour que tu en remette une couche. » en le voyant s'éloigner à nouveau, je ne sais pas ce qui me poussa à dire ça, mais la phrase quitta simplement ma bouche. « Dans ce cas je viens avec toi. » passant à côté de lui, je commençais à descendre les escaliers. Soit il n'allait pas se dégonfler et je pourrais protéger le môme, soit il refuserait que je l'accompagne et il se verrait dans l'obligation de ne pas bouger. Quoiqu'il en soit il me connait et s'il y a bien une chose dont il peut être certain c'est que je ne vais pas lâcher l'affaire.

(c) toxic heart.

Je ne répondais rien à sa phrase sur Macaroni et le fait qu’elle pourrait roucouler avec lui simplement parce que je ne voulais pas rentrer dans ce débat ou elle essaierait de sauver notre relation ou ce qu’il en restait en me jurant qu’elle n’était pas avec et qu’il ne se passerait rien… Sauf que je la retrouverais encore avec la queue de Macaroni dans son petit trou humide… Je n’avais plus besoin de belles paroles, j’avais juste besoin de m’éloigner le plus possible d’elle. Je la détestais pour ce qu’elle m’avait fait et pourtant je l’aimais encore de tout mon cœur… Mais soit elle avait choisi et elle n’osait pas me le dire pour préserver je ne sais pas quoi qu’il pourrait subsister entre nous… Ou alors elle était perdue et dans ce cas-là je la connaissais trop bien pour savoir qu’elle ne choisirait jamais. Simplement parce que choisir signifiait perdre l’autre et elle ne pourrait pas s’y résoudre… Mais au final elle m’avait perdue par sa connerie. Aussi je ne voulais pas répondre… Ça m’exaspérait parce que je savais pertinemment qu’au fond d’elle, dans son petit cœur il y avait un prénom qui dominait son être… Peut-être le mien, peut-être celui de Macaroni… Mais il y avait forcément un nom… Et quoiqu’il arrive, quel que soit ce nom, il fallait qu’elle trouve la force de l’avouer et de profiter pour enfin être un petit peu heureuse. Je savais bien que la jeune femme n’oserait jamais prononcer ce nom et se l’avouer… Elle trouvait ça plus simple de ne rien faire, de ne rien dire, de taire ses sentiments… Sauf qu’elle perdait tout le monde ainsi. Moi le premier. Je n’arrivais même pas à bander pour elle comme d’habitude. Elle me suivit et me devança dans l’escalier… Je voulu dire quelque chose quand j’eus une violente douleur dans le thorax et dans les veines… J’étais en manque de drogue… Je me laissais tomber sur les fesses sur les marches de l’escalier et je la fixais sans un mot. Pourquoi se soucier d’un gamin qu’elle ne connaissait pas.

Si seulement tu t’étais souciée de moi autant que tu te soucie de Macaroni et de ce morveux !

Je baissais les yeux en prenant conscience que je ne devais pas compter pour elle si elle avait pu me faire une telle chose… Je soupirais doucement et je haussais les épaules…

Tu sais y’a toujours un personne qu’on aime plus que l’autre dans un triangle… Je pense juste que tu as peur et que c’est plus simple de ne rien dire et de ne pas choisir, de rester seule… Je me demande si tu avais fait toutes ces promesses à Macaroni, est-ce que tu aurais baisé avec moi dans l’amphi… j’ai un doute.

Je soupirais doucement et j’écartais les bras. Voilà ou nous en étions…

Je pense que si tu m’aimais vraiment comme tu le disais… Tu ne m’aurais jamais fais ça…

Je le sens s'arrêter derrière moi et quand je me tourne, je remarque qu'il s'est assis. Pour quelle raison, je n'en sais trop rien et à vrai dire je ne cherche pas spécialement à essayer de comprendre quoique ce soit tant plus rien n'a de logique entre nous. « Tu m'as collée une baffe, tu m'as détruis le bas du dos au point de m'en faire un hématome, tu m'as menacée d'un couteau et ensuite de ton flingue et tu me sors que je ne me soucis pas de toi ? Mais si c'était le cas, je serais déjà barrée depuis un bail bordel ! Ce n'est pas parce que j'agis mal que ça retire ce que je ressens pour toi et ça sans forcément parler sentiment, c'est général, mais tu refuse de le comprendre ! » je le fixe droit dans les yeux, je m'en fous de ce qu'il peut penser, toute manière on arrive à un point de non retour, je le sens. « Il se serait passé exactement la même chose si les rôles avaient été inversé Stefan. J'suis une toxico alcoolique qui a failli mourir d'une overdose et qui après ça c'est dit "oh tient allé faisons comme si rien ne clochait chez moi" ! Je ne suis pas stable, et je ne sais pas si je saurais l'être un jour.. » avalant difficilement ma salive, ma gorge se noue à ses paroles à la simple idée qu'il puisse penser que je ne l'ai jamais vraiment aimer. Putain si je l'ai aimé.. je l'aime.. je n'en sais rien, ça m'rend dingue. « Il y a un nom oui, seulement.. vu ou j'en suis rendue je me dis que j'ai tout simplement bien fait de le garder pour moi, à quoi bon s'encombrer de sentiments quand ça fout autant la merde hein ? » je ne me lamente et je ne cherche pas à me faire plaindre, j'suis juste réaliste. Une dépressive réaliste avec une vision des choses bien noire et peu colorées.

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Je tente de faire une bonne figure devant la jeune femme parce que j’étais très mal en point. Je n’avais pas pris le moindre gramme de coke ou d’héro depuis la vieille et comme ces derniers temps j’avais sniffé plus que toutes les dernières années réunies et il me fallait ma dose ou je serais bien vite mal… Mais je faisais comme si de rien était et cette guerre avec Silvia était quelque chose de terrible et terrifiant. Soit je la perdais, soit… je l’avais déjà perdue en fait donc le choix n’était plus qu’une question de temps… Je serrais les dents en la regardant doucement. Il y avait des tas de choses qu’elle ne semblait pas comprendre… sur moi, mais aussi sur elle et surtout sur nous… J’étais un psychopathe et elle était sentimentalement fragile… Je la regardais doucement et je frissonnais de douleur en pensant à de la coke. Bon sang, il fallait que j’abrège cette discussion pour pouvoir aller sniffer un rail au moins… Je baissais les yeux alors que je me tournais et retournais ses paroles dans mon esprit et je soupirais doucement.

Je ne refuse pas de le croire Silvia… tu ne me le montre pas… tu ne le montre que quand tu as fait une connerie et que je t’en veux. Et au final ça me donne le sentiment que tu te fous de ma gueule !

Je soutiens son regard alors que je commence à transpirer… elle va roder mon état de manque direct car elle connaissait ça bien… J’eus un petit sourire amer en l’entendant parler du nom… Elle en avait bien un et je soupirais doucement. Et elle précisait qu’elle l’avait gardé pour elle… or vu la discussion que nous avions eu elle et moi dans mon lit avant le bal… elle m’avait dit m’aimer et être prête à essayer… Donc comme elle m’avait dit mon nom et que maintenant elle disait avoir gardé le nom pour elle… Je baissais les yeux alors que même si je le savais le coup de massue était violent et visible… Je relevais les yeux vers elle, des yeux tristes… dévastés… Je tentais d’occulter sa phrase sur le nom et je me focalisais sur tout le reste… On se ressemblait tellement… Je relevais les yeux sur elle dans un constat douloureux.

Je…

J’ouvris la bouche pour dire quelque chose mais je la refermais… non il faut que je me taise sinon je lui offrais encore une chance de me briser…

C’est qui le nom ? J’ai besoin de savoir…

Je vois bien que ça ne va pas il n'a pas besoin de tenter de se cacher, j'connais tout ces signes et ça ne trompe pas, il est en train de faire une crise de manque. Je détestais ces moments. Tu perds le contrôle, ton corps te brûle.. bref, ça ne me manquait pas du tout. Seulement je savais très bien l'état dans lequel ça pouvait mettre. Le scrutant le plus calmement du monde même si en moi c'était un bordel monstrueux, à ses paroles, je baissais la tête en serrant les dents. Certes. « Je ne vois pas pourquoi je me foutrais de ta gueule alors que c'est moi qui est revenu vers toi, j'suis maso mais pas à ce point là non plus, du moins il me semble.. » j'avoue que ces derniers temps je n'étais plus certaine de rien et ça me pesait sur la conscience. J'vois bien que cette conversation empire son moral et entre nous ce n'est vraiment pas ce que je voulais, j'comprend rien à ce qui se passe, c'est tellement compliqué. Silencieuse, je l'écoute alors qu'il se renfrogne en allant pour prendre la parole tandis qu'il fini par me demander quel était ce nom. Dans une moue, je me met à le fixer sans un mot. « Tu quoi ? tu allais dire quoi avant ta question ? » je n'élude pas ce qu'il m'a demandée, ou peut-être que si je n'en sais rien, seulement qu'est-ce que ça changera si je lui disais hein ? On en serait toujours au même point avec des frustrations et des envies de meurtre en plus. « La camomille.. » soupirant, j'vois à son regard qu'il se demande de quoi je parle. « Ca aide à supporter les crises.. » concluais-je en croisant les bras doucement.

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Un long soupire jaillit de mes lèvres alors que j’avais la terrible sensation que ma tête allait exploser et que j’allais me retrouver avec la cervelle éparpiller sur les murs. Je connaissais bien le passé de ma belle Silvia et je savais pertinemment qu’elle m’avait rôdé à des kilomètres à la ronde. Je soupirais doucement en espérant vraiment savoir quel nom elle avait à la bouche pour ce petit cœur qui battait dans sa poitrine. J’aurais bien envie de le consoler et le bichonner. Je soupirais à nouveau en me massant la tempe… Je savais pertinemment que son absence de réponse ne m’indiquait rien de bon… au contraire, elle ne voulait sans doute pas me briser un peu plus en m’avouant que c’était Macaroni ce nom… Je soupirais à nouveau et je haussais les épaules quand elle me demanda ce que je voulais dire… A quoi bon lui répondre, elle balayerait mes mots en allant se taper Macaroni… Je serrais doucement les dents. Je voulais me blottir dans ses bras pour calmer mon état de manque. Mais je ne pouvais pas faire une chose pareille… pas après ce qu’elle m’avait fait et encore moins après ce que je lui avais fait.

J’allais dire… que je te connais bien… trop bien même. Toi et moi nous sommes pareils ! Tout ce que l’on ressent, on le ressent à fond. On aime à fond, on hait à fond… Si tu ne m’avais pas fuis il y a un an, j’aurais été là… Tu es ce que tu es car tu es seule et fragile, que tu es tombée sur des hommes mauvais… des hommes comme moi… Si tu avais eu un homme bon tu ne serais pas… fin…

Je me levais en m’aidant de la rambarde et je fixais la jeune femme calmement. J’avais envie de descendre les marches qui me restaient à descendre et la serrer dans mes bras, sentir la chaleur de son corps contre le mien mais je ne pouvais pas faire une chose pareille… Je baissais doucement les yeux dans un soupire.

Tu sais, tu devrais… fin… je n’ai pas de conseil à te donner mais… tu devrais t’essayer à une relation sérieuse, peu importe avec qui. Tu… feras souffrir… ce mec te fera souffrir mais… si malgré le mal que tu lui fera il t’ouvre malgré tous ses bras et si malgré le mal qu’il te fera, l’étreinte de ses bras autour de toi te soulage… tu sauras que c’est la bonne personne…

Mon regard la parcourut lentement et je baissais les yeux avant de soupirer et de remonter à ma chambre… Au moins, elle avait sauvé une vie.

Je l'écoute, j'essaye de rester calme. Quand on ne s'engueule pas, nos conversations se ressemblent et reviennent à peu près toujours au même stade : si je n'avais pas fui. Dans l'immédiat, ce qui attirait sans remord mon attention était sa mine pâle qui n'annonçait rien de bon pour la suite, sauf s'il allait se faire rapidement un rail et dans ce genre de moment je sais à quel point c'est dur de résister à la facilité. « Je ne serais pas quoi hein ? Une pute ? Tu peux finir ta phrase tu sais, je suis blindée à ce niveau maintenant.. » serrant les dents, je soupire, j'sais très bien que ce qu'il tente de me dire c'est qu'à ne vouloir laisser personne entrer au final c'est à moi que j'fais le plus de mal car je termine toujours par retourner dans ce foutu cercle vicieux. C'est horrible et même si je veux en sortir j'y replonge toujours tête la première bien malgré moi. L'observant ainsi se lever, mes yeux le suivent tandis que je termine par les baisser à nouveau, bras croisés. « Parfois je me dis que je dois être dingue tu sais. Je crois que je suis la fille la moins équilibrée de tout Cambridge qui même lorsqu'elle peut avoir du bonheur, court dans le sens contraire du vent.. » il me tourne le dos pour monter quelques marches, j'sais qu'il ne va pas fort. « .. mais c'est comme ça », j'ai fixé un point dans le vide quelques secondes alors que mon ventre se met méchamment à gargouiller. C'est malin.. cette bonne pizza.. de toute façon je n'en n'aurais pas profité. « Tu ferais bien d'allé te reposer et pas de te faire un rail... » haussant les épaules, je finissais pour ma part de descendre les escaliers jusqu'au rez-de-chaussée.

(c) toxic heart.