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Un mélange d’incompréhension et de déception se mêlait en moi, sourcils froncés, je secouais la tête alors qu’elle riait. Quant à ses paroles, je préférais les ignorer, essayant même de me convaincre qu’elle ne croyait pas ce qu’elle disait. Ma conception des choses étaient la suivante, la cabot était ma famille. Celle que j’avais perdu, celle qui s’était émiettée au fil des années. Alors bien entendu, même si Skyler et moi ne faisions que nous croiser chez les Roses, je la considérais comme ça sœur. Et je comprenais mal pourquoi elle défendait tant cette fille qui n’avait pas tellement besoin eu d’aide pour le faire. J’écartais ses mains alors qu’elle voulait me pousser, ma main gauche tenait le petit sac de glace de toutes mes forces. Je me retenais de ne pas imiter la femme de Warren et ne pas le lui envoyer en pleine figure.
Ne me touche pas, l’avais-je prévenu d’un ton menaçant.
J’écoutai Warren qui semblait si bien décrire Skyler, et cette dernière qui clamait que tout était ma faute. J’avais beau me repasser la conversation en boucle, je ne voyais pas à quel moment ma langue avait fourché. J’avais certes dit à la jeune femme de bouger ses fesses si elle ne voulait pas perdre son enchère. J’avais certes dit qu’il me faudrait une journée pour mettre son homme dans mon lit. Mais en quoi ces paroles étaient mal ? Warren les avait-il entendus ?
Je ne cherchais pas à me défendre et dans un sens il ne devrait pas non plus. Comme il le disait, Skyler se mêler des affaires qui ne la concernait en rien. Hochant la tête à la proposition de Warren, j’avançais dans la direction qui indiqua d’un mouvement de tête l’écoutant sortir ses derniers mots à Skyler.
Je m’éloignais ensuite avec lui et je sortis l’unique feuille de mon chéquier que j’avais plié et glissé dans mon soutien gorge. Le nom « Winthrop House » et ma signature y figurait déjà.
Je suis désolée... commençais avec un soupire La pouf va donner ça à Royce et après je vais rentrer. expliquais-je d’un ton amer.
Un mélange d’incompréhension et de déception se mêlait en moi, sourcils froncés, je secouais la tête alors qu’elle riait. Quant à ses paroles, je préférais les ignorer, essayant même de me convaincre qu’elle ne croyait pas ce qu’elle disait. Ma conception des choses étaient la suivante, la cabot était ma famille. Celle que j’avais perdu, celle qui s’était émiettée au fil des années. Alors bien entendu, même si Skyler et moi ne faisions que nous croiser chez les Roses, je la considérais comme ça sœur. Et je comprenais mal pourquoi elle défendait tant cette fille qui n’avait pas tellement besoin eu d’aide pour le faire. J’écartais ses mains alors qu’elle voulait me pousser, ma main gauche tenait le petit sac de glace de toutes mes forces. Je me retenais de ne pas imiter la femme de Warren et ne pas le lui envoyer en pleine figure.
Ne me touche pas, l’avais-je prévenu d’un ton menaçant.
J’écoutai Warren qui semblait si bien décrire Skyler, et cette dernière qui clamait que tout était ma faute. J’avais beau me repasser la conversation en boucle, je ne voyais pas à quel moment ma langue avait fourché. J’avais certes dit à la jeune femme de bouger ses fesses si elle ne voulait pas perdre son enchère. J’avais certes dit qu’il me faudrait une journée pour mettre son homme dans mon lit. Mais en quoi ces paroles étaient mal ? Warren les avait-il entendus ?
Je ne cherchais pas à me défendre et dans un sens il ne devrait pas non plus. Comme il le disait, Skyler se mêler des affaires qui ne la concernait en rien. Hochant la tête à la proposition de Warren, j’avançais dans la direction qui indiqua d’un mouvement de tête l’écoutant sortir ses derniers mots à Skyler.
Je m’éloignais ensuite avec lui et je sortis l’unique feuille de mon chéquier que j’avais plié et glissé dans mon soutien gorge. Le nom « Winthrop House » et ma signature y figurait déjà.
Je suis désolée... commençais avec un soupire La pouf va donner ça à Royce et après je vais rentrer. expliquais-je d’un ton amer.
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