let's be perfect together (trung)

Non en effet on ne pouvait pas dire que je connaissais bien ce qu’était la dépendance à la drogue. Mais beaucoup de mes proches avaient plongés bien trop rapidement là-dedans, et j’en connaissais quand même quelque chose. J’ai juste fumé quelques joints de temps en temps. Mais tu parles de dépendance comme-ci c’était le cas. Je croyais que tu y avais juste « retouché » ? Je fis les guillemets avec mes doigts alors que je souriais amusé, penchant la tête sur le côté. Malgré toute la volonté du monde. Je ne suis pas trop du genre collante, je ne viendrais pas t’harceler tous les jours. Je lâchais un rire amusé, au cas où il se demandait si j’étais une psychopathe ou quelque chose dans le genre. Puis j’haussais les épaules suite à sa question. Ce n’est pas que j’ai la phobie. J’ai déjà pris plusieurs fois l’avion, mais on ne peut pas dire que je suis très à l’aise. Je souriais légèrement, repensant à la plupart de mes vols en avion. Certes la plupart je les faisais en première classe, mais pour moi, il n’y avait pas vraiment de différence. Tu viens d’Europe ? Je souriais doucement alors que je bu une gorgée de ma boisson encore brûlante.

Copyright Clochette

Il fallait savoir qu’un ancien dépendant qui retouche à la drogue, à plus de chance de devenir accro rapidement. Je ne pensais pas être ce genre de personne, mais il y a tout de même un risque. Je suis un ancien dépendant, j’ai plus de chance de redevenir accro rapidement. dis-je en haussant les épaules alors que je continuais de manger tranquillement. Il ne valait mieux pas que j’aille vite, mon estomac ne me le permettra sûrement pas dans l’avion, il n’a tellement pas été bien nourris. J’arque un sourcil quand elle me dit qu’elle ne viendra pas m’harceler tous les jours, elle n’était pas collante. Eh bien si tu ne l’es pas… dis-je avec un léger sourire. Je finis finalement mon donuts alors que la conversation se tourne vers les avions. C’est vrai que le décollage et l’atterrissage est le plus difficile, mais on s’y fait bien quand on prend l’avion régulièrement. dis-je en haussant les épaules. Ma mère adoptive avait peur de l’avion, donc c’était assez amusant à voir quand elle paniquait. J’approuve de la tête à sa question buvant également de ma boisson. Je suis écossais de nationalité mais d’origine, je suis français et australien enfin pakistanais je crois. J’ai été adopté, et je viens à peine de le savoir. dis-je avec un léger sourire alors que je m’amusais avec le gobelet. Tu es américaine toi, n’est ce pas ? Cela se voyait à sa manière d’être et à l’accent aussi.

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J’observais alors Trung, un léger sourire sur les lèvres alors qu’il était déjà entrain de me parler de dépendance, chose pour laquelle j’avais du mal à y croire. Mais il me disait qu’il était ancien dépendant, et c’est vrai que dans cette optique, ça ne devait pas être facile. C’est pessimiste tout ça. Je mordis ma lèvre inférieure, alors que je finissais mon donuts et que je buvais plusieurs gorgées de mon chocolat chaud, alors que je riais finalement amusé. Je pense que je ne m’y ferais jamais, en ce qui me concerne. Je continuais de rire avec amusement, alors que je me rappelais de mon retour de Paris en avion, après mon kidnapping, ça avait un véritable calvaire, et dire que j’avais failli y passer. Et là il me balançait qu’il venait à peine de savoir qu’il avait été adopté, je grimaçais alors, en reposant ma tasse dans sa coupelle. Que de beaux endroits. J’avais toujours rêvé voyagé, mais la seule fois où je l’avais fait, les évènements s’étaient retournés vers moi, du coup, je ne voyageais plus vraiment. Ca se voit tant que ça ? Je riais amusé une nouvelle fois. Est-ce que je ressemblais au stéréotype de la petite américaine blonde ?

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J’eus un léger sourire quand elle me dit que j’étais pessimiste dans mes paroles, je ne peux pas dire le contraire. Mais là tout de suite, j’avais si peu confiance en mes capacités que je me disais que je pouvais très bien retomber dedans. J’eus un rire quand elle me dit qu’elle ne se fera jamais à l’avion. C’est aussi très pessimiste comme parole, tu ne penses pas ? dis-je en arquant un sourcil. Je me moquais bien sûr d’elle, on n’était pas du tout dans la même situation tous les deux. Je lui explique que je suis de plusieurs origines, je lui ai aussi dis que j’étais adopté mais j’imagine qu’elle préfère ne pas en parler pour éviter un sujet sensible sûrement. Je n’ai pas encore été en Australie, mais c’est un de mes projets avenir. dis-je avec un sourire aux lèvres. Il fallait que je découvre le pays de mon père biologique même si je ne l’ai encore jamais vu. Est-ce que cela se voyait qu’elle était américaine ? Oui, totalement mais c’était ce qui était bien avec les anglophones, on arrive à nous différencier rapidement. Tu as l’accent américain et cela se voit dans ta façon d’être, une vrai américaine. dis-je en rigolant. Moi, on ne voit pas que je suis écossais et que j’ai vécu quelques années à Londres, mais c’est parce que je ne suis pas vraiment de ces deux pays j’imagine.

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Je souriais légèrement, en mettant en avant ses paroles pessimistes. En réalité, ça me faisait rire quand même, il était comme moi y’a quelques temps, il n’avait pas confiance en lui, et je trouvais ça dommage. Je suppose. Je souriais en coin alors que je finissais finalement mon chocolat chaud, un large sourire sur les lèvres. En effet, il avait dit le mot « adoption » et je n’étais pas très douée pour parler de ce genre de sujet, surtout que je ne le connaissais probablement pas assez pour être de bons conseils à son égard. Je mords alors ma lèvre inférieure, préférant ne pas soulever ce point, histoire de lui retirer des discussions houleuses à cause de ça. J’y suis allée cet été. Avec un inconnu. C’est vraiment magnifique. J’espère vraiment que tu arriveras à y aller. Je passais une main dans mes cheveux, afin de les remettre rapidement en place, puis je penchais la tête sur le côté, lorsqu’il m’avoua que j’avais l’accent américain. En réalité, on ne m’avait jamais fait la remarque jusqu’à aujourd’hui. J’espère que c’est pas une insulte. Je pris une mine faussement choqué, posant ma main face à ma bouche grande ouverte, afin de montrer ce faux « étonnement ».

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On était tous les deux des pessimistes, mais si ce n’était pas dans le même domaine. J’eus un sourire en voyant son visage et ne pus m’empêcher penser intérieurement que je l’avais eu cette fois. Le sujet dériva finalement sur l’Australie. Elle y a déjà été mais avec un inconnu, ce qui est plutôt étrange car on a rarement envie de voyager avec quelqu’un qu’on ne connaît pas, mais je préfère ne pas en parler. Cela pouvait très bien être un sujet houleux également. Je n’en doute pas, j’irai sûrement cet été je pense, il faut que je vois encore. dis-je avec un léger sourire. J’irai que si je réussissais mes examens de fin d’année, il va falloir pour cela que je révise beaucoup. J’eus un léger rire en la voyant avec son air choqué. Ce n’est pas une insulte promis. Tu viens de quel coin des Etats-Unis au juste ? Car c’est assez vaste tout de même. dis-je en la questionnant une nouvelle fois du regard. Oui, cela m’intéressais d’en apprendre un peu plus sur elle, cela me changeais les idées.

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On ne pouvait pas vraiment dire que j’étais pessimiste. Quoi que si, je l’étais carrément ? Ou du moins, l’ancienne moi, l’avait longtemps été. Mais je voulais changer, je voulais sourire de nouveau sans avoir à me préoccuper des malheurs de la vie. Et oui, j’étais allée en Australie avec un parfait inconnu, mais c’était d’excellentes vacances, dont je gardais de bons souvenirs. Fait des safaris dans le désert. Oh et du surf ! Je souriais grandement, repensant à tout ce genre de moments que j’avais pu faire, et qui resteront à jamais gravé dans ma mémoire. Je riais alors amusé lorsqu’il mit en avant le fait que ce n’était pas insulte. Oh rien de bien extraordinaire. Je suis de New York. Je souriais alors amusé, en haussant nonchalamment les épaules comme pour appuyer mes dires. Mine de rien, on commençait à faire connaissance tout les deux, et je trouvais ça bien, étant donné que je ne lui avais jamais réellement parlé.

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J’avoue que cela me donnait clairement envie d’y aller, je pensais très honnêtement y aller cet été. Je finirai bien par trouver quelqu’un pour y aller. Peut-être ma sœur, Skyler ou mes frères, je verrais cela plus tard. Il y a aussi beaucoup de gros animaux comme des araignées énormes. dis-je avec un sourire au coin. Je n’ai pas spécialement peur des araignées mais de petite taille est tout de même préférable. J’eus un grand sourire quand elle me dit qu’elle était New-Yorkaise, j’avais donc raison. Je la voyais bien venir de là-haut et l’accent reste tout de même très New-York, ils parlent super vite et ont un certain patois. Je m’en doutais un peu, les New-Yorkais ont un accent très spécial, vous parlez très vite. dis-je en accentuant sur le très parce que c’était le cas. Je suis pourtant anglophone mais la première fois que j’ai été à New-York, je n’ai pas compris un seul mot… Mais mon oreille s’y est finalement mise. Devine de quelle ville d’Ecosse je viens, si tu connais les grandes villes cela risque d’être facile. dis-je en continuant de savourer mon mokaccino.

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Je souriais grandement, repensant à mon séjour en Australie. Hiii, m’en parle pas ! Je grimaçais, je détestais ces petites bestioles, je trouvais que ça avait un air vicieux et désagréable. Puis je secouais négativement la tête comme ne plus y penser, observant Trung pour voir s’il avait fini sa consommation. Puis là, je riais amusé alors qu’il me disait que les New-Yorkais avait un accent très spécial et qu’il parlait vite, je plissais le nez, tout en passant mon index dessus, comme un tic. Ah oui ? Je ne m’en rends pas compte. Je mordais ma lèvre inférieure, néanmoins avec amusement, puis je pose mes coudes sur la table, et mon visage dans le creux de mes mains, alors qu’il me demande de deviner de quelle ville il venait. Grande ville ? Hum… Je laissais mon regard chocolat parcourir les environs. Glasgow ? Edimbourg ? Je souriais amusé, alors que j’étais amusé de cette situation.

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Les femmes ont généralement peur des araignées, c’est psychologique. Les hommes ont également peur mais ils essayent plutôt de le cacher pour éviter de passer pour une fillette devant ses proches. Mhh j’avoue que je n’ai pas spécialement hâte de voir ces bêtes énormes. dis-je en penchant légèrement la tête sur le côté avant de se pincer la lèvre. On finit par discuter des New-Yorkais et il était normal qu’elle ne s’en rend pas compte, cela me fit tout de même rire sa réaction. Tu es dans ton pays c’est normal, tu devrais venir au Royaume-Uni, tu verrais tout de suite la différence d’anglais. dis-je avec un grand sourire. On parlait assez calmement sans que cela soit comme les suisses, il y a des limites. Je lui pose alors une énigme, elle devait devinée dans quelle ville d’Ecosse j’avais grandi. J’avoue l’avoir un peu aidé en lui disant que c’était une grande ville. Je ne pus m’empêcher de la trouver mignonne à réfléchir ainsi, on dirait une vrai petite fille. Alors tu choisirais laquelle des deux ? Elle devait deviné après tout, ce n’était pas le moment de lui dire totalement la réponse. Le mystère doit être de mise.

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