Jake (+) J'aime les jeux de boules XD.

J'étais assez défaitiste en ce qui concerne les relations, je n'étais pas fait pour ça apparemment puisque sa foirait à tous les coups et qu'on ne voulait juste une nuit voir plusieurs avec moi mais sans jamais aller plus loin donc à force j'avais un peu l'impression d'avoir prit un abonnement pour les relations foireuses mais là tout de suite j'avais plus envie de rire de tout ça et les remarques de Jake m'aidait à me faire rire parce que je n'y croyais plus du tout. "Non mais le soucis c'est que je tombe que sur des cons qui ne veulent que mon cul rien d'autre." Je grimaça en repensant à tout mes exs ou relation et je me demandais qu'elle mouche m'avait piquer pour que je sois aussi naïve, moi qui d'habitude était forte pour cerner les gens là j'étais tomber en plein dedans, une fois prêt de lui on parlait rapidement et je me rabaissais avant qu'il me fasse un compliment mais bon encore une fois je n'y croyais pas. "Non.. tu ne m'a pas garder longtemps dans ta vie pourtant." Je le voyais boire et je savais ce que c'était j'avais bu et je m'étais même droguée quand j'étais dans ma phase déprime total et je ne voulais pas passer la soirée avec un Jake ivre, je lui proposa donc de rentrer pour qu'il rattrapes ces heures de sommeil et sa réponse me fit sourire. "Aiie dégueu on a couché ensemble je te rappel alors m'appelle pas maman c'est malsain." Une vraie gamine je rentrais dans son jeu en souriant avant qu'on quitte les lieux.

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« Les hommes ne sont pas tous des cons ... » Dis-je d'une manière de lui faire comprendre les choses. C'est comme ci j'essayais de plaider non coupable devant un juge. Alors, que je l'étais haut la main. J'avais été con de l'avoir quitté de cette manière. De l'avoir abandonné pour la simple raison que je n'arrivais pas à m'ouvrir à elle. Pourtant, je ne voulais pas la faire souffrir davantage surtout qu'elle voulait toujours plus de ma part. Et, que j'étais dans l'impossibilité de lui offrir ce qu'elle désirait tant. Puis, arrive un autre sujet de conversation. Sauf, que cette fois-ci on allait couper court pour éviter une dispute inutile dans ce lieu. Même si elle m'avait coupé l'herbe sous le pied, Sally avait parfaitement raison dans ses propos. Mais, je refusais d'accepter ses mots. Elle me blessait sans le vouloir ... mais, je ne pouvais pas lui en vouloir. « Merci de remettre le couteau dans la plaie Sally. Je t'en remercie grandement. » Lançai-je presque énervé. Je n'ai jamais voulu cette situation avec Sally, loin de là. Je suis le premier touché de mon comportement, seulement elle ne voulait pas le voir. C'est un vrai handicap d'être ainsi et, j'en subis les conséquences chaque jour de mon existence malheureusement ... « Tu ne disais pas toujours ça à l'époque ! » Rétorque-je en rigolant après lui avoir mis une petite tape à l'épaule. Je changeais d'humeur à la seconde, j'en avais conscience. Mais, je n'allais pas rester toute la soirée en train de tirer la gueule. Cela ne servirait à rien justement. Ensuite, je viens à quitter les lieux en compagnie de Sally et, on marchait tranquillement dans les rues de Cambridge pour rejoindre mon appartement qui était non loin du bowling.

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"La plupart où alors j'attire les cons." J'avais pas encore trouvé l'homme de ma vie et j'avais l'impression que les mecs ce foutait de moi mais d'une façon, parfois j'étais fatigué de tout ça, de l'amour et des relations qui pourraient durer toute une vie parce que pour le moment j'avais pas trouver la perle rare. Il me fit une remarque et j'avais rien trouvé de mieux que lui démontrer qu'il disait n'importe quoi puisqu'il m'avait donner un bon exemple du contraire. "Non mais c'est vrai Jake si tu aurait vraiment tenu à moi tu ne m'aurait pas laisser partir la preuve que je ne suis pas si super que ça." Je le regarda dans les yeux en lui faisant comprendre que je ne disais pas ça en mal mais surtout pour prouver que j'étais pas assez bien pour qu'on s'intéresse à moi où qu'on reste avec moi plus longtemps qu'une nuit. "Non parce que je prenais beaucoup de plaisir je ne m'en cache pas." Je me mordilla la lèvre en souriant puis on sortit pour marcher dans les rues et rejoindre son appartement, appartement où on termina par arriver après une petite marche de quelques minutes.

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« Arrête de déblatérer des sottises pareils. Tu seras mignonne. » Ce n'est pas parce qu'elle n'avait pas encore trouvé l'amour de sa vie. Qu'elle n'attirait que les cons sur terre. Faut arrêter de dramatiser la chose. Faut laisser le temps faire les choses, tout ira mieux d'ici quelques temps. C'était ma philosophie de la vie. Rien ne se sert de courir, il faut partir à point. Sally devrait réfléchir sur cette citation. Elle lui ouvrir bien des portes, j'en suis persuadé. Le pire ? C'est que j'essaye de l'aider dans cette mauvaise passe. Et, ce qu'elle trouvait de mieux c'était de me remballé aussi sec avec ses pics. « Arrête, c'est fatiguant à force Sally. Je suis parti parce que je n'arrive pas à m'ouvrir. Ce n'est pas qu'avec toi que je suis ainsi. Mais, avec tout le monde. Et, crois-moi que cela m'handicap vachement dans la vie de tous les jours ... Ce n'est pas, pour rien que je sois encore le connard célibataire à l'heure actuelle. » Elle n'était pas toute seule à souffrir du manque d'amour. D'une moitié qui fera de votre vie un conte de fée. Moi aussi je me retrouve complètement seul dans mon lit quand je décide de me coucher le soir. De me réveiller le matin et, de voir un lit totalement vide. D'avoir un appartement extrêmement vide. « J'en étais sûr ... la preuve qu'il avait malgré tout de très bon côté avec moi. » Je ne me lançais pas de fleurs. Mais, cela prouvait aussi qu'elle n'était pas totalement triste lorsqu'elle sortait avec moi. J'arrivais malgré tout à lui obtenir une petite satisfaction. Même si ce n'était pas la satisfaction qu'une femme rêverait d'avoir dans un couple. Nous avons quitté le bowling pour rejoindre mon appartement. C'est quelques minutes plus tard, qu'on arrive à l'endroit qui était destiné à notre soirée. Je la laisse pénétrer à l'intérieur pour ensuite y rentrer avant de refermer la porte derrière nous. Je m'approche ensuite de Sally en lui souriant pour lui demander. « Tu veux boire quelque chose ? »

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"Et pourquoi sa serait des sottises??" J'étais comment dire assez sure de moi quand je parlais de moi de façon négative et puis après tout avec les remarques que j'avais pris dans la gueule plus la façon dont certains mecs m'ont traiter après m'avoir sauter difficile de penser positivement de soit même. "Mais quoi peut être que tu l'es avec tous le monde mais je pense vraiment que tu ne m'aimait vraiment pas assez pour rester avec moi je le pense ce n'est pas pour te faire chier." J'avais jamais dis qu'il ne savait pas si prendre au lit et je le dirais pas parce que si mes souvenirs étaient bons on avait passé de très bon moment sous la couette et cette pensée me fit d'ailleurs sourire. "Oui enfin sa tu le savait déjà." Je lui fis un petit sourire alors qu'on marchait jusqu'à son appartement, une fois arrivé on entra et je me dirigea avec lui vers le salon pour y poser ma veste et mon sac à main sur une chaise libre puis je me tourna pour le regarder en souriant. "Oui un verre de soda si tu a et si tu m'accompagne."

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« Laisse tomber, c'est la meilleure solution. » Je n'avais pas envie de me prendre la tête avec elle ce soir. J'avais déjà suffisamment de problème à régler. Donc autant éviter d'en rajouter un nouveau maintenant. Puis, elle ne semblait pas vouloir penser autrement de sa petite personne. Alors, je n'allais pas gaspiller ma salive pour rien au final. J'en avais marre de toujours devoir faire la morale aux autres. « Bizarrement, on penserait tout le contraire en t'écoutant. Mais, oublions ce sujet de conversation. » Dis-je pour éviter d'envenimer la situation actuelle. Elle n'était déjà pas bien glorieuse, alors en rajoutons pas une couche. Puis, viens une autre conversation sur mes exploits sexuelles. Je pouvais être fière sur ce terrain-là. Mais, pas trop non plus parce que ce n'est pas uniquement le sexe qui permet de rester un couple avec une femme. « C'est quand même bon de te l'entendre dire. » Sujet clos ! On marche ensuite tranquillement dans les rues de Cambridge avant de rejoindre mon appartement à Harvard Square. Une fois à l'intérieur au chaud, je m'étais approché de Sally pour lui demander si elle voulait boire quelque chose. « Je te ramène le soda. » Je me dirige vers la cuisine où je prends une canette de soda pour Sally et, une bière pour moi. Je n'avais clairement pas envie de boire du soda, surtout pas présentement. Je retourne dans le salon près de Sally avec les boissons en main. Je lui tends sa canette pour ensuite ouvrir ma bière et, boire quelques gorgées tout en regardant la jeune femme dans les yeux.

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"J'ai l'habitude de tout laisser tomber." Ces derniers temps on m'avait souvent demander de laisser tomber alors je sais ce que c'était de laisser tomber et passer à autre chose et puis avec Jake surtout j'étais devenue une experte puisque même quand on a été en couple sa avait été comme ça du coup je ne voulais pas chercher plus loin. J'étais en train d'hausser les épaules à sa seconde remarque et je ne répondis rien, après tout qu'est ce que je pouvais répondre sans qu'on s'engueule sur ce sujet là. Par la suite on parlait de chose moins contraignante pour nous et plutôt amusante et sa réponse me fit sourire. "Je ne dois pas être la première à le dire." Je lui adressa un clin d'oeil puis on arriva chez lui, on alla dans le salon et je regarda autour de moi avant d'accepter sa proposition pour un verre mais j'étais sure qu'il allait en profiter pour boire encore, je m'approcha de a fenêtre pour regarder la vue et très vite il revenait vers moi avec un soda et une bière, je le remercia en prenant le soda et je bus une gorgée en soutenant son regard avant de lui dire. "Tu perd pas une occasion pour boire toi, pourtant je suis là pour toi ce soir j'aurais pensée que tu aurait eu moins envie de boire." Je lui avais dis ceci en souriant.

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Je ne prends pas la peine de répondre à sa réplique, cela ne sert à rien. À par agrémenter une dispute. Et j'avais envie de tout sauf, qu'une énième dispute avec elle. Surtout qu'avec moi elle avait eu l'habitude de devoir tout laisser tomber. J'étais le roi de ce fameux jeu et, sans exagération. Même en couple avec la jeune femme, je me comportais exactement de la même manière que présentement. Ça n'avait pas dû être une mince affaire pour elle, d'être en couple avec moi. Je ne l'avais pas mérité et, la mérite vraiment pas. Sally mérite tellement d'être heureuse, d'être épanouie dans une relation amoureuse qui serait à double sens. Sauf, qui n'avait pas été avec moi. Puisque c'était elle qui donnait tout pour que cela fonctionne entre nous. Alors, que de mon côté je ne donnais absolument rien. Même pas une once de sentiment à son égard. J'ai été extrêmement cruel avec elle. Je me demande encore aujourd'hui, comment elle fait pour supporter un homme tel que moi. « Tu penses mal Mendoza. J'ai couché avec aucune femme depuis notre rupture. Je ne suis pas le genre d'homme à aller butiner à droite à gauche pour assouvir mes pulsions. » Au moins, ma réponse était claire et précise. Même si elle n'allait pas me croire. Je savais ce que je faisais dans ma vie et, je n'allais pas tremper mon mini Jake n'importe où à Harvard. Malgré mon incapacité d'émettre une émotion sur quelqu'un, je restais néanmoins un homme intègre. Je pouvais au moins être fier de cette facette de ma personnalité. On était dans mon appartement et, je lui avais ramené la canette de soda qu'elle m'avait réclamée. Tout en lui donnant, je viens à boire quelques gorgées de ma bière. « On va dire que je bois exhaustivement en ce moment. Étant donné que je suis dans une mauvaise passe. Généralement je ne suis pas ainsi. » Si elle veut réellement me faire passer l'envie de picoler de l'alcool ce soir, elle va devoir redoubler d'effort pour y arriver. Ce n'était pas gagné d'avance.

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J'avais souffert de notre relation parce que oui j'étais le genre de nana à trop en demander quand j'étais en couple, j'étais une jeune femme douce qui était très tactile et qui adorait les câlins, je demandais déjà beaucoup en amitié alors sentimentalement je pouvais être horrible parfois. Maintenant je ne voulais pas en tenir rigueur à Jake parce que même si parfois je lui avais demander si il me faisait cocue je savais qu'il ne l'avais pas fait et qu'il avait juste un problème à s'ouvrir et je ne lui en voulais pas pour ça parce que j'avais compris qu'il en souffrait autant, je lui en voulais quand même un peu au fond de moi parce que j'avais été amoureuse et que j'avais été malheureuse parfois mais on avait aussi eu des moments heureux. Bref on parlait un peu de tout et de rien mais sa remarque m'étonna et je fronça les sourcils. "Putain tu doit être totalement en manque." J'étais surprise du coup mes mots avaient échappes mes pensées, je ne voulais pas dire ça à voix haute, c'était sorti tout seul du coup je mordilla sur ma lèvre inférieur. Quand il me ramena le soda je restais près de la fenêtre en souriant surtout après sa remarque, je bus une gorgée de mon soda en le regardant dans les yeux. "Je sais mais j'aurais pensée que ma compagnie t'aurait donner moins envie de boire, je sais que je suis chiante mais quand même." Je disais ça pour le faire sourire un peu pas en tant que reproche.

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Je ne comprends pas ce qu'il m'arrive. Pourquoi je suis toujours ainsi avec les femmes. Surtout avec les femmes que j'aime. J'ai toujours ce don de devoir toujours tout foutre en l'air. De me rendre malade. De faire souffrir toutes ses femmes alors, qu'elle demande simplement d'être aimé comme il se doit. Je n'avais pas envie de m'éterniser à ce sujet de conversation, c'est pour cette raison qu'on avait dérivée sur un autre sujet un peu moins contrariant. Cependant, une discussion qui ne plaisait guère. « Je n'aurais pas dit ça de cette manière. » Ce n'est pas le genre de choses que j'aime entendre dire de la bouche d'une femme. Même si ce n'est pas faux au fond. Je buvais ma bière comme à mon habitude sous les yeux de Sally. Elle ne semblait pas être d'accord sur le fait que j'enchaîne l'alcool ce soir. Mais, j'en avais rien à secouer. Je faisais ce que je voulais et, quand je le désirais. « Tu es une très belle compagnie je ne vais pas le nier. Mais, cela n'empêcherait pas que je picole. » Je voulais mettre les choses aux clairs avec Sally. Même si ce n'était pas un reproche qu'elle me faisait. Mais, je me dois le faire.

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