TOPIC DE GROUPE ✱ Prise d'otages #4

Le plus impressionnant était sûrement le fait qu'elle n'avait pas hésitée une seule seconde avant de tirer. Elle n'avait pas cherchée à la tuer mais au moins, le message était passé. Elle n'hésiterait pas à tuer s'il le fallait et les gens présents ici ferait mieux de se faire tout petit. Sauf que non, bien sûr, entre ceux qui s'improvisait héros et ceux qui trouvait amusant d'ouvrir leur bouche, il semblait que la jeune femme allait devoir vider son chargeur plus rapidement que prévu. Une blonde (Ella) croyait malin d'ouvrir la bouche et Avalon dirigeait immédiatement son arme sur elle la regardant d'un air mauvais. Elle voulait prendre une balle elle aussi ? Et puis comme si ça ne suffisait pas, une brune (Manu) s'y mettait aussi. « Je me ferais certainement interner et toi, tu te retrouveras si pied sous terre si tu continue à faire la belle. » Non mais les gens étaient idiots. Complètement attardés même. Comment pouvait-il autant se faire remarquer dans une situation comme celle-ci ? Heureusement qu'il y en avait quelques uns qui prenaient les choses aux sérieux en obtempérant. God, tous des suicidaires en fait. Descendant de la table ou elle se trouvait, la jeune femme attrapait par le bras une brune Poppy qui semblait penser qu'elle pouvait trouver refuge derrière une table. « Toi, tu restes là pétasse. » L'arme était désormais pointée sur l'arrière de sa tête et la blonde regardait autour d'elle sans éprouver la moindre once de peur. Cette fois, un mec (Charlie) hurlait à travers la pièce et Ava roulait des yeux déviant l'arme de la tête de la jeune fille jusqu'au corps de celui-ci. BAM. Nouveau coup de feu. Et elle se fichait bien de savoir ou la balle s'était logée cette fois-ci. « La ferme Maëlys. TU LA FERME. » D'toute manière, jamais les deux n'avait été amies ou quoi que ce soit d'autre. Fallait pas qu'elle fasse semblant de se sentir concernée. Et finalement, un homme (Samuel), certainement le plus âgés de tous prenait la parole. La métisse, elle, gardait une main ferme sur la p'tite brune qu'elle avait choppée juste avant. En somme, tous autant qu'ils étaient avaient sa vie dans leurs mains. « Y a déjà des blessés et j'suis déjà foutu alors tu m'épargnes tes discours à la con et tu fais comme tout le monde. Tu t'fous par terre et tu la ferme. Compris ? »

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Avec Tout le monde
Citation ou titre du rp

mise en page par .Stay Away

Doucement Noé lève les yeux afin de voir ce qu'il se passait. Une balle était partie dans le bras de Maxym et quelques minutes plus tard Avalon tire une autre balle. C'était une scène assez surréaliste digne d'un film. Sauf qu'ils étaient pas dans un film, mais la réalité. Espérant de tout son coeur que son portable n'allait pas sonner ou encore vibrer. Malheureusement ses prières ne s’exaucent pas. Au contraire son téléphone se mit à vibrer. Elle grimace en essayant de faire comme si rien n'était.  

Je ne comprends plus rien, je crois que fais une crise de panique. Mes oreilles sont chaudes et je n'arrive plus à respirer, j'ai envie de vomir et je me sens épuisée... Max essaye de remettre l'ordre dans les rangs, il n'était pas si naze que ça ce mec au finale. Vanille était complètement paumer, pire que moi, elle se mis à pleurer, comme hier soir au Dunster House, mais sans retenue cette fois-ci. La brunette (Maxym) était au sol, j'eus un haut-le-cœur lorsque je l'ai vue en sang, j'avais envie de l'aider, mais d'autre se précipiter déjà vers elle, dont Charlie. Il essayait de l'aider, mais la seule personne capable de l'aider en ce moment, c'est un médecin ou un chirurgien, même un vétérinaire qui saurait fermer la plaie. Vanille me rappel le bébé. « Il est dans la salle des employés... Il faut le sauver, Max, il faut le sauver.» dis-je ne m'adressant au couple. Je remarque Poppy de l'autre côté, elle est sous une table et elle semble trembler de tous les côtés. J'ai envie de la prendre dans mes bras, comme quand elle fait des cauchemars. Je ne suis pas la seule à la remarquer, la métisse la remarque aussi et lui adresse même une phrase : « Toi, tu restes là pétasse.  » Poppy est apeuré, ça se voit, ça se sent, j'ai peur pour elle, je ne veux pas qu'elle fasse des cauchemars, je déteste la voir faire des cauchemars. Ça m'a pris un moment avant de remarquer la présente de Mr Jones, il était ancien flic et savait gérer ce genre de situation, mais la métisse, Avalon d'après ce qu'il cité, n'avait pas envie qu'on gère sa situation. Elle tirait de plus belle, une balle dans le vent. Je ne peux m'empêcher d'avoir peur, mais je ne veux pas laisser Poppy seule. Malgré les recommandations de Max, je me faufiler à quatre pattes entres les tables, jusqu'à arriver à la hauteur de Poppy, et donc pas très loin d'Avalon. Je pris la main de Poppy dans la mienne et pénétré mon regard dans le sien. « Regarde-moi, regarde-moi, n'est pas peur, ça va aller, Poppy garde ton calme, respire. » Ses règles s'appliquer aussi sur ma personne. Je devais garder mon calme, respirer malgré tout ça.

Je fais mon petit discours qui ne sert absolument à rien vu qu’elle se focalise sur les gens qui lui hurle dessus. Je dois rester calme même si je tremble de partout. J’ai l’impression de vivre la fin du monde et savoir qu’en plus mon frère et là ça me rassure pas du tout. Alors que j’essaie de convaincre Avalon de me laisser soigner Maxym bléssée à cause d’une balle elle tire dans le petit groupe qui essaye de l’aider c’est à dire Charlie ma petite bizut et Charlie un garçon que je ne connais pas. C’est lui qu’elle vise au même moment il y’a une autre personne qui essaye de lui parler, c’est le moment ou jamais pour moi elle a l’air focalisée sur lui. Je fonce vers Charlie qui se trouve seule avec les deux personnes bléssés maintenant Maxym et consciente en tout cas et je crois pouvoir affirmer que le farçon aussi l’est. «  Charlie tu continues d’appuyer sur la blessure ok tu vas prendre ta veste et tu vas l’enrouler autour de sa blesse doucement » Moi il faut que je m’occupe de Charlie le garçon. J’espère qu’elle n’a pas remarqué que j’avais filé vers eux sinon je suis bon pour avoir une balle dans le crâne à mon tour « Hey regarde moi ça va ? Tu m’entends ? Ça va aller je vais t’aider » Dis-je en direction de Charlie le garçon je lui parle pour voir si il est conscient ou totalement dans les vapes, moi j’enlève ma veste également et j’essaye de déchirer les manches pour faire un garot afin d’éviter qu’il ne se vide de son sang

Faire ce qu'elle dit ? Oui, ça parait raisonnable et moins stupide, elle est totalement d'accord avec certains mais rester là, sans rien faire ne va qu'allonger la durée de cette prise d'otage... Avec le caractère qu'elle a, difficile d'écouter les propos d'une folle. L'arme se pointe sur elle et voilà qu'elle pense à son fils. Elle finit par céder et se remettre dans le coin où elle était alors que Dorian tente d'aider pour sauver la jeune brune (Maxym), blessée à l'épaule. Son regard parcourt la salle, reconnaissant quelques visages mais Avalon prit une innocente (Poppy). Bordel va-t-on assister à ça encore longtemps ? Il faut réagir, faire quelque chose mais quoi ? Comment arrêter une psychopathe ? Dans le passé, Ella a eu plus de chance et il n'y avait pas autant de monde. Ella n'est pas une héroïne, n'est pas invincible, elle ne peut pas faire quelque chose de stupide sans mettre en danger beaucoup de personne. Pourtant, malgré tout, malgré qu'elle garde son calme, la peur prend rapidement le dessus..

A son grand soulagement, Maëlys l'écouta, se mettant à terre à son tour alors que la tireuse, qu'elle connaissait apparemment, lui disait de la fermer. Qu'importe ce qu'elle lui dise, l'important était juste qu'elle reste saine et sauve... si ils ne se faisaient pas tous tirer dessus. Les images des attentats récents s'étant déroulés en France envahissait son esprit alors qu'il avait peur que quelque chose arrive à Maëlys, ou même à lui.. Elle le rejoignit et instinctivement, il lui attrapa la main, la serrant fort dans la sienne en la regardant dans les yeux. Pourquoi avait-il fallu qu'elle entre à ce moment ? Si il lui arrivait quelque chose.. Et puis tout d'un coup, Samuel qu'il n'avait pas vu juste que là vint les rejoindre discrètement. Qu'est-ce qu'il foutait putain ?   Qu'est-ce que vous fichez ici tous les deux ? WTF ? Il était sérieux là ? On prend le thé tranquillou, ça se voit pas ? répondit Wade entre ses dents, encore plus sur les nerfs avec l'arrivée de ce con. C'est vrai quoi, question débile, réponse débile, c'tait plus fort que lui. Il lui sorti alors un speech comme quoi fallait pas qu'il joue les héros, qu'il reste derrière lui.. parce qu'il pensait pouvoir faire quelque chose lui peut-être ? A part lui faire péter un boulon ? Parce qu'il était bien parti là. Juste, ta gueule. C'tait presque une supplication à ce stade, parce qu'il était tellement nerveux là qu'il était pas sûr de pouvoir garder son sang froid face à ce... Bref. Qu'il reste loin de lui, ça sera mieux. Samuel se leva alors pour faire face à la tireuse, et commença à lui sortir la carte du grand jeu "je suis prof je peux t'aider blabla.." Il se croyait dans un film ou quoi ? Il pensait vraiment qu'il pouvait convaincre une fille pareille qu'il pourrait la sortir de là après ce qu'elle avait fait ? Et à quoi il jouait là à la chercher en lui demandant de tirer ? Ivy et son bébé, il y pensait ? Et si ce gamin n'avait pas de père, parce que celui-ci était trop con pour fermer sa gueule ? La tarée (Avalon) avait choppé une fille, la menaçant avec son flingue et là, il priait juste pour qu'on vienne les tirer de là.

Maxym, visiblement consciente me remercia. Elle était toute pâle, évidemment, et pourtant elle trouvait encore la force pour plaisanter. J’esquissais un léger sourire en remarquant la complicité entre elle et Charlie. Mes mains tremblaient moins, mes larmes cessaient de couler jusqu'à ce qu'un nouveau coup de feu ne retentisse dans ma direction. Je sursautais et tournais aussitôt la tête vers Charlie qui s'écroula à son tour. Le voir dans cet état me fis pleurer de plus belle. Dire que j'avais grandis avec lui et que maintenant, je le voyais se vider de son sang, juste à coté de moi.. J’appuyais toujours ma veste contre la blessure de Maxym sans quitter des yeux le corps de Charlie. J'étais en panique totale, je ne pouvais pas être de partout. C'est à ce moment là que Dorian arriva enfin. Il avait profité que Avalon regarde ailleurs pour venir nous aider. Les mains tremblantes je suivais les conseilles de mon ancien bizuteur, qui lui semblait garder son sang froid. C'était tout con, je savais le faire, mais la panique me paralysait. Je retirais lentement ma veste de son épaule avant de l'enrouler autour de sa blessure, serrant doucement en espérant que ça suffise. On  ne pouvait rien faire de plus ici, si ce n'est attendre les secours.

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Si Thomas était entré dans ce Mc Do c'était à cause de sa vessie. Beaucoup trop petite. Il était très pressé et ne voyait que les toilettes. Il ne pouvait pas risquer de se faire retarder par un ami qui voulait bavarder, alors quand il vit Alaska dans un coin, il fila ventre à terre, certain qu'elle ne l'avait pas vu. Il avait aussi entraperçu Marley, mais il n'en jurerais pas.

Avec un soupir de soulagement, il pouvait enfin se lâcher. Lorsqu'il finit, en se lavant les mains il préparait déjà sa technique pour ressortir sans être vu quand il entendit un coup de feu (enfin ça y ressemblait fortement) et beaucoup de cris. Il ouvrit la porte et en voyant le désastre la referma aussi vite... et alla vomir dans l'évier. Chacun évacuait sa peur comme il pouvait hein. Il se rinça la bouche rapidement et réfléchit à toute vitesse. La folle qui était sur la table ne semblait pas l'avoir vu, et elle ne savait pas qu'il était là. Il était donc le seul en mesure d'appeler la police. Il composa le 911 et en chuchotant, expliqua la situation.

Puis il se rappela qu'Alaska était là-dehors, cible potentiel de la jeune femme. Il fut aussitôt empli d'adrénaline : s'il lui arrivait quelque chose, il allait le regretter toute sa vie. Il sortit donc d'un pas décidé, avant de se coucher sur le sol. Rester debout n'était pas une bonne idée. Il croisa le regard d'Alaska qui était avec sa coloc, Poppy et lui fit un signe de la main, avec un sourire crispé.