TOPIC DE GROUPE ✱ Prise d'otages #3

Je suis fou bordel de Dieu ! Je venais certainement de signer mon arrêt de mort mais il était temps que tout ça s'arrête ! C'était à cause de ce type et certainement de complices que nous avions perdu nos confréries mais surtout j'en voulais personnellement à ces mecs pour APPLE et c'était de leur faute s'il y avait eu cette manif où j'avais perdu ma copine... Alors oui il me laissait partir ? NON j'allais me battre alors oui je me suis jeté sur le connard et alors que je lui flanquais une rafale de coups de poings on vint me prêter main forte. TATE et Ric... On le desarma enfin tandis que Ric récupérait l'arme et pointait le connard avec mon meilleur ami on le maintenait bien fermement... " Les flics sont prévenus depuis quelques minutes "

• Tout avait été encore plus vite, cet enculé menaçait de tirer sur la gamine, il est complètement malade lui. Sans rien comprendre, on m'avait emmené vers un groupe de survivant si on peu appeler ça comme ça, et, un gars (Eugène) m'avait rapidement soigné. C'était un Mather, mais, au final, j'avais rien contre eux. "Merci mec, c'est cool..." Avais-je lâché. Au final, je m'étais juste prit une balle dans le bras, rien de très très grave. Et, sans rien comprendre, j'entendis d'autres coup de feu, sauf que cette fois ci, c'était sur le père de la gamine. Fils de pute, tu tires pas sur un gars devant sa gosse. Au final, il la laisse sortir, et, Ricardo commença à se prendre la tête avec le fou, j'eu rien le temps de voir que le gars venait de se faire désarmer, qu'il était tenu et que quelqu'un d'autre appelait les flics. Putain, on va enfin sortir de cette merde. Sauf que... Étrangement, une idée me passa par la tête. Il va avoir quoi lui ? Les flics vont l'emmener et tchao ? Pff, mon cul ouais, du coup, j'me pointe vers Ricardo et je lui prends l'arme des mains. "Désolé mec... Mais on peu pas le laisser nous tirer dessus sans rien faire..." Alors, je la pointe sur Nathan et je lui tire une balle dans le genoux. C'est la première fois de ma vie que j'fais ça... Et, je reste... Choqué en fait. J'comprends pas, j'pige pas ce qui m'a prit... Sauf que maintenant, j'vais devoir assumer. "Alors, ça te fait quoi de te prendre une balle toi aussi ? Tu kiff petite merde ?" Ouais, pour le coup, j'me sent puissant, vraiment puissant... •

Nathan - Balle dans le genoux

J’ai plus la force de bouger au final Kenny essaie de me retenir et j’abandonne j’arrête de bouger de toute manière je vais mourir je le sens, même si la balle n’a touché que ma jambe la douleur est juste trop insuportable pour le moment. C’est donc comme ça que ça doit se finir ? Dans une bliothèque ? On vient me donner un médicament je ne sais même pas ce que c’est mais je le prend, ça ne soulage pas forcément la douleur mais me rend juste encore plus perdu et malheureuse. Il a tiré sur Alex mais il semble encore vivant, j’espère qu’il le restera et j’espère qu’ils resteront tous vivants. Je vais surement rejoindre mes parents, ils me manquent j’aurai aimé qu’ils soient là avec moi « Kenny.. je » J’ai du mal à parler mes yeux se ferment mais faut que je lutte je veux lui dire ce que j’ai à lui dire « Anya tu lui diras que je.. et Alessia aussi je les aimes je vous aimes tous comme ma famille, prends soin d’elles, prends soin de toi il faut que tu t’en ailles Kenny maintenant va les rejoindre » Il a une chance de pouvoir partir le tireur à l’air en mauvaise posture si il court il peut s’enfuir « Gabriel.. tu lui diras que je l’ai.. » Mais je n’ai pas le temps de terminer ma phrase je n’y arrive pas alors je ferme les yeux et je me laisse sombrer

Tu n'arrivais toujours pas à comprendre tout ce qui se passait, c'était complètement dingue. La situation partait complètement en cacahuète. Andrew qui aurait du prendre la petite avait commencé à foutre des poings à Nathan. Du coin de l'oeil tu repéras Swan et Maxine qui s'en allait en courant avec la gosse dans les bras. Pétrifié tu ne savais pas du tout quoi faire, ayant surtout peur des répercussions. Tu avais peur que ton cousin soit touché, ou pire que des balles perdues touchent des personnes n'ayant rien demandé. Ton coeur battait à la chamade, et heureusement qu'Eleonora juste à coté de toi tentait de te rassurer parce que là tu tremblais comme une feuille.Tu la remerciais d'un regard, cette fille était une perle. Au fond tu étais soulagé de voir que ta bizutrice était saine et sauve.

Camille ne savait plus où donner de la tête. En plus, il ne pouvait pas bouger, ses doigts dans le corps d’Alexander. Ce n’était pas bien compliqué, s’il bougeait, le président était mort. Camille réfléchissait rapidement pour faire autre chose, pour sauver la vie qu’il avait entre les mains. Malheureusement, il ne pouvait plus rien faire hormis attendre les urgences. Il n’entendait plus rien, se concentrant exclusivement sur le jeune homme. Heureusement qu’Eugene était à ses côtés. Il écoutait chacun de ses ordres et les appliquait à merveille. Au loin, il entendit Alexia. Comme une bouée de sauvetage, il la regarda, ne se rendant même pas compte qu’il était rempli de sang, sur le visage, ses vêtements, ses cheveux, son pantalon. Il ne pu lui répondre, faisant simplement non de la tête pour la remercier. Il devait gérer. Eugene proposa de la morphine. Il ne fit même pas attention à sa provenance. J’te laisse faire, j’peux pas bouger. Camille ne fit pas attention à ce qu’il se passait autour de lui, ne se rendant pas vraiment compte de ce qu’il se passait. Il fallait vraiment qu’il aille à l’hôpital.

Plus rien ne serait comme avant, j’en avais la certitude. Je ne savais pas trop ce qu’il se passait avec les autres, je ne faisais plus attention à rien tant les douleurs étaient trop fortes et que je prenais sur moi pour rester conscience mais j’avais de plus en plus de mal. Par chance, Jackie n’avait rien et elle avait pu téléphoner à la police. J’étais plutôt satisfaite de cela, mon effort n’aurait pas été vain. Je m’allongeai alors sur le dos, complètement épuisée et j’avais cette impression que mes paupières étaient de plus en plus lourdes. Je ne pensais vraiment pas que ça faisais aussi mal et que j’aurai été dans un tel état. Je me demandais en même temps ce que j’avais fais pour mériter ça, mais je ne trouvais aucune réponse ; ma mère, grande croyante, dirait probablement que le Seigneur imposait parfois des épreuves et qu’il fallait les affronter. Ouais, mais celle-ci, j’aurai préférée ne jamais la vivre. « Tu es dingue. » Lâchai-je à Jackie qui se baissait vers moi. Courageuse, mais dingue. J’avais envie de lui sourire, mais je ne le pouvais pas. Je me sentais encore plus faible. « Je suis comme… crevée. Vraiment. » Déclarai-je finalement après sa question. Ouais, c’était ça. Malgré les douleurs, j’avais comme une grosse envie de fermer les yeux.

Encore sous le choc de l'intervention sur Alexander, Eugene n'avait pas du tout compris ce qu'il se tramait derrière lui. Il entendit des coups, un bruit de lutte et quand il se retourna pour constater de quoi il en retournait, il trouva Ricardo, en position de victorieux. Un sentiment de soulagement s'échappa d'Eugene et il sauta dans les bras de Ricardo. Il tenait le flingue mais même pas peur. « J'le savais que c'était toi qui lui ferait sa misère ! » le remercia-t-il en lui tapant l'épaule. Le sourire aux lèvres, il se retourna vers les filles, Dixie et Swan, et fut soulager de les voir partir en courant. Aux côtés de Ricardo, il mata celui qui avait fait tant de mal autour de lui aujourd'hui. « Tu vas enfin nous dire ce qu'il t'arrivait ? » lui demanda alors calmement l'allemand, le ton grave. Il n'était pas du genre à pardonner ses amis qui lui mettaient des lapins alors un psychopathe qui tirait selon son envie, encore moins. Il espérait une réponse quand il entendit un nouveau coup de feu. Le genoux du tortionnaire s'éclata et du sang, encore, s'étala sur le sol. De nouveau, il fut pris par l'envie de vomir et ne se priva pas pour le faire derrière le tortionnaire, histoire de ne pas toucher ni Misha ni Ricardo. S'essuyant avec sa manche, il revint vers Alexander, Alexia et Camille. Il prit sa morphine et avala un cachet. « On va être deux à planer là » fit-il, en s'asseyant sur une chaise à côté du Président Mather.

OUT

Je sort avec la petite dans les bras, je comprends pas grand chose de ce qui se passe. Un mec des secours vient vers moi et nous emmène plus loin dans des espèces de tentes aménagées pour nous. Je leur explique que ses parents et sa famille la plus proche sont là-dedans. Ils veulent me la prendre des bras mais la petite me cramponne, je crois qu'elle est au bout, on en peut plus toutes les deux. Je ne veux pas la lâcher comme ça alors on nous assoit à l'abri et je les laisse enfin me la prendre des bras. Je suis à bout de force et complètement apeuré, traumatisée. Journée de merde, vie de merde.

Je commençais à ne plus sentir quelques parties de mon corps et j'avais peur, très peur. Je tremblais et un mec avait foutu ses doigts dans mon corps. Wtf ? J'tiltais cependant pas et je commençais même à perdre conscience. Attrapant la main du gars qui s'occupait de moi (Camille), je réussissais à sortir « Billie... prévenir Billie.. » J'avais besoin que ma femme - enfin ex-femme - soit au courant de mon état, qu'elle sache que j'avais besoin d'elle à mon chevet et que j'en avais plus rien à foutre de tout ce qui se passait. Je l'aimais, j'en avais marre de me cacher. Et puis je sombrais, sentant que ma dernière heure était arrivée.

Alexia m'avait dit de ne pas bouger, chose que je fis sans trop de mal, de toute manière j'crois que j'étais trop broyée pour ne serait-ce que songer à me lever. Hochant la tête je l'avais ainsi regardé se lever avant que tout ne dérape à une vitesse hallucinante. Tate, Andrew et Ric prenant la situation en main afin de calmer le jeu, je vis finalement un autre mec (Misha) que je ne connaissais pas, prendre l'arme et tirer dans le genoux de Nathan, c'était bien fait pour lui tient.. mais il ne fallait pas descendre aussi bas que notre agresseur. J'étais passablement fatiguée et j'avais froid, la douleur étant irradiante. Est-ce que c'était vraiment fini ? j'attendais de sortir di'ic pour crier victoire..