TOPIC DE GROUPE ✱ Prise d'otages #2

Cette histoire était tellement flippante. Je me souvenais du gars de la bombe, ce qu’il avait dit dans l’interphone. Pourquoi? Pourquoi juste? On avait bien été dans une conference sur le terrorisme et le pourquoi du comment ça arrivait. Il avait vraiment bien choisi son moment ce mec pour faire son grand cinema. Je sais pas du tout ce qu’il voulait et je voulais pas spécialement le savoir. Les gens dérangés, j’en avais déjà clairement vu assez pour un long moment. Le mec était devenu un peu fou. Un des garcon (Graham) avait propose de venir rejoindre le centre de la pièce et on le suivait. Je voyais Briony qui essayait de protéger Keyla. Je restais également a ses cotes, devant elle. Je refusais qu’il la touche. “Briony, tu devrais pas rester aussi près du mec.” Dis-je a la student, en la poussant un peu en arrière. Je voulais pas trop qu’elle se fasse toucher ou quoi. La jeune mather me murmurait d’ailleurs quelque chose. Je me retournais pour lui répondre. “Ne dis pas ça. On va s’en sortir!” Je disais ça, mais le gars (Augustus) tirait a présent sur les gens. Il était fou. “Tu sais, tu peux nous raconter ton histoire sans gueuler. On va t’écouter de toute façon!” Non mais parce que moi, ça me faisait mal a la tête.

hs ; desolee je peux pas tout resumer, y a trop

JE venais de reprendre le contrôle de mes émotions pour rejoindre Amen et elle perdais son sang froid. Je mettais mes mains sur les blessurs de Maxime. Je regardais Amen en lui chuchautant
"Regarde moi,sa va bien se passé tant que tu reste derrière moi et que tu te tais d'accord, parle lui qu'elle reste eveiller, de chose legère, faut pas qu'elle panique d'accord?" Je voulais que les deux sois calme je compressais la blessures mes deux main était prise. Je voulais que tout sa finisse enfin, que sa n'était qu'un mauvais rêve

Je soupirais en voyant deux meufs débiles venir soit disant soigner les blessés. Y'en a une d'entre elle (Amen) qui m'insupportait depuis le début et en plus de ça, elle me cherchait. Je l'avais à l'oeil, si elle ouvrait encore sa bouche j'allais l'écraser. Je viole les filles, mais je ne tire pas dessus. Peut être que ça changera. C'est ça, soignez les, ça ne sert à rien, vous allez mourir un par un dans quelques secondes. Je revenais au centre et je les observais tous. Vous avez l'air en forme, je crois que j'ai une petite idée. ON VA JOUER A UN JEU. je riais comme une pirate puis je braquais mon arme vers la droite. C'est le hasard qui décidera de votre sort hahahha! Je me raclais la gorge comme si j'allais dire quelqu'un chose d'intéressant. Pique-nique-douille-C'est-toi-l'andouille. je visais la personne sur laquelle j'étais arrivée, son regard paniqué sur moi. (Dinah) recevait une balle dans le genou. Et ouais, j'avais visé une fille, finalement. C'était pas moi, juste le hasard.
blessés:
Lou, touchée dans la cuisse
Alek, touché dans l'épaule
Maxime, touché dans le bas du dos
Dinah, touchée dans le genou

Dinah espérait qu'il n'allait pas lui tirer une balle vu que Augustus a dit qu'il allait choisir quelqu'un au hasard. Malheureusement quelques minutes plus tard, la blondinette avait l'arme pointé sur elle. Fermant les yeux en essayant de se détendre, la jeune femme a reçu une balle dans son genou. Au début, elle a essayé d'étouffer son cri mais la douleur était plus forte. Serrant ces dents, elle dit entre ces dernières. - Espèce de connard. Un gros filet de sang commençait à couler dans la partie du corps où s'est logée la balle, mais aussi à travers le collant et le sol vu que l'étudiante en droit ne portait qu'une robe.

Mia, la demoi qui vient de me rejoindre semble calme, ce qui est plutôt bon signe étant donné que je perds le controle de moi-même. Elle pose ses mains sur les blessures de Maxime, j'en profite pour me frotter les yeux, laissant des traces de sang sur mon visage. Elle me suggère de parler à Lou, mais je crois qu'il est trop tard pour elle et je ne veux pas laisser Maxime seul, principalement vis-à-vis de Isaac. Je crois que.. ma voix tremble. Max, parle moi, pitié... Le cinglé s'avance mais dieu merci, ne me tire pas dessus. Il parle, encore et toujours, mais ce qu'il dit me glisse dessus. Je suis concentrée sur Maxime. La seule chose qui attire mon attention est un nouveau coup de feu. On est foutu.

Je tente un contact plus civilisé avec le tireur. (Augstus) est complètement perché et il risque d’être compliqué de lui faire entendre raison. Nous ne connaissons finalement pas grand-chose de ses motivations et il ne semble pas vraiment intéressé à l’idée de m’écouter. Mon portable vibre dans ma poche de jean et je recule donc prudemment, l’air de rien, me retournant pour jeter un petit coup d’œil discret à mon vieux téléphone datant de l’antiquité, le seul que j’ai pu m’offrir avec le très peu de moyens que j’ai. Dixie me prévient qu’elle est coincée dans la bibliothèque avec un cinglé qui les a pris en otage. Putain, j’ai peur, je ne veux pas qu’il lui arrive quelque chose, je ne pourrais pas m’en remettre… Elle porte mon bébé putain, je flippe et une montée d’adrénaline me fait complètement perdre la tête puisque je me retourne au son d’un nouveau coup de feu et me jette sur les bras du tireur. Avec tout mon poids je le déséquilibre et l’emporte avec moi en arrière, il tir dans le sol par réflexe et j’en profite pour tenter de le désarmer. Je ne sais pas ce qui me prend, l’adrénaline ? La folie ? L’inconscience ? Un mélange des trois je dirais. Je ne pense plus à rien, plus aux risques, il fallait que quelqu’un agisse avant qu’on ne se fasse tous tirer dessus. « FUYEZ ! » J’hurle aux autres en tentant de maintenir l’arme du tireur en direction du sol, il est fort ce fils de pute !

On s’est foutu derrière des sièges histoire de se cacher après les coups de feux. Moi j’suis au bout de ma vie, littéralement tétanisé. J’ai déjà survécu à un accident et il faut quelques jours après je me retrouve dans une putain de prise d’otage avec un fou qui tire sur tout le monde ? J’en peux plus ! J’ai regardé le portable de Olive genre blasé jusqu’au bout. C’est sérieux là ? Elle veut nous faire buter putain de merde. Oriana la replacée à son tour, ce qui m’amuse au fond, enfin, la c’est vrai que niveau amusement on repassera. Olive à pris ma main en me demandant si ca va. Et donc je suis censé répondre quoi ? Nonon je pète la forme, j’suis sorti de l’hôpital pour me faire buter encore une fois. Youpi, j’suis content, c’est la fête dans ma vie. Ouais ca va super là, super, vraiment. Ca sonne tellement ironique en même temps. J’ai relevé le regard sur le devant de la salle en voyant tous les gens par terre. Y’a ce mec (Graham) la qui à sauté sur l’agresseur. Moi j’bouge pas, c’est mort ! En même temps, bouger c’est signer sa mort là !

MERDE encore un coup de feu qui me fi sursauté, mais en tout cas il nous lachait un peu et laissait soigné Maxime. Parcontre quand je me retournais pour voir si c'étai grave je vi un jeune homme jouer les heros. Non il n'étais pas arrivé a le desarmé totalment,je lachais la pression sur la blessure de la jeune fille. Je prenais Amen dans mes bras et repossitionnais ses mains sur la blessur de Maxime, je ne laisserais pas les deux se faire tiré dessus. JE voulais que se délire s'arrete. Je ferais rempart si une balle devais encore être tiré.

Putain mais ta soeur, ce boulet ! Tu lances un regard froid à Oriana. Parce que tu crois que j'avais vraiment prévu d'me faire prendre en otage Romanelli ? pestes-tu après avoir reffouré ton portable dans ton sac, échangeant rapidement quelques textos avec Konrad qui semblait se trouver à l'extérieur. Mine de rien, tu préférais ne pas trop t'attarder de peur de te faire chopper. Quant à Jorden... Ouais ca va super là, super, vraiment. Tu t'étais jamais sentie aussi inutile qu'à ce moment pour ton frère. Premièrement parce qu'il ne se souvenait pas de toi, deuxièmement parce que vous étiez dans une situation assez difficile là tout de suite. Tu soupires et resserres tes doigts autour des siens, lui promettant silencieusement que tout se passera bien. Augustus avait annoncé qu'il allait faire un jeu et laisser le hasard décidé de sa prochaine "victime". Tu parles d'un jeu toi, c'était pas très drôle. Ca ne te fait qu'un peu plus flipper et tu te découvres un don de contorsions impressionnant derrière ce siège. FUYEZ ! Un gars (Graham) venait de sauter sur Augustus. Il lui tenait le bras mais tu doutais combien d'temps il allait tenir et tu pensais ne pas avoir le temps de sortir. Même si tu aurais eu le temps, tu sais même pas si t'aurais tenté, de peur de te retrouvé avec une balle dans le dos, la jambe, le bras, ou même la tête. Jorden ! Putain j'crois que j'ai une bombe poivrée dans mon sac ! souffles-tu doucement en ouvrant lentement la zipette à la recherche du petit aérosol que Warren t'avais offert lorsqu'on avait ressencé plusieurs agressions dans le coin.

Nous étions tous choqué et si j'avais voulu l'ouvrir pour aider la demoiselle, on n'avait pas vraiment fait attention à moi ce que je comprenais complètement alors je regardais Lou sans vraiment d'émotion avant de pester de petits bruits étranges quand il (augustus) poursuivit ses cris, nous demandant de suivre ces ordres tirant sur Alek alors que je fondais vers le sol précipitamment et bruyamment n'ayant pas le temps d'aider Maxine qui était bien plus loin et se prit, je crois bien une balle. Inquiet, mal comme tous, je me foutais en communion avec Wyatt la tete collé au sol tourné et je plantais mes yeux dans les siens en portant ma main à son bras comme pour qu'on se donne de la force et là, l'homme déconna décidant de jouer avec nos vies comme dans un jeu. Je quittais Wyatt des yeux, lui adressant une émotion d'effroi et protecteur envers mon jeune ami : Ne regarde pas ! chuchotais-je levant mes yeux pour le voir "jouer". Ça tomba sur Dinah que je regardais souffrir avec un visage à présent beaucoup plus marqué par la peur. Je ne pus m’empêcher de dire alors à notre ravisseur (Augustus) ; S'il vous plait, ne jouez pas avec nos vies, nous ne sommes pas des numéros ... Nous ne sommes pour rien dans ces histoires ! Je n'avais pas crier, j'avais juste dit ça comme ça, juste naturellement sans meme penser aux conséquences, sans le supplier, juste comme ça ouais.