KENYA ❄ Si on s’en sort, fais moi penser à te dire merci.

J'esquivais rapidement le sujet sur ma mère, je n'avais pas envie d'en parler, alors, je lui proposais un bain pour qu'il puisse se réchauffer encore plus et totalement. Il n'avait pas l'air contre l'idée, je me levais bien vite pour ne pas devoir répondre à ses questions. Je n'en avais pas envie, je voulais juste qu'on ne revienne pas sur ma dispute. C'était arrangé avec ma mère, du moins, j'en avais l'impression quand bien même je savais que je l'avais blessé. Je m'en voulais, mais pas totalement à vrai dire, c'était une réalité. J'avais dis ce que j'avais au fond de mon coeur depuis tant d'année. Je n'avais pas eu une enfance comme Kenny, je n'avais pas ressentie l'amour de mes parents et cela m'avait rendue bien trop froide. Alors oui, grâce à Kenny j'apprenais à aimer à l'aimer. J'aimais mon éducation, j'aimais la femme que j'étais, mais par moment, j'aurais aimé pouvoir poser ma tête sur l'épaule de ma mère, lui raconter mes peines de coeur .. J'allumais l'eau, pour faire couleur l'eau chaude afin de remplir l'immense baignoire que nous avions. C'était une belle baignoire, le soleil tombé peu à peu et l'immense baie vitrée à côté de la baignoire nous donnait un magnifique panorama. Un couché de soleil rosé sur la neige d'un blanc immaculé. Un lac glacé et aussi des arbres gelé par l'hiver. Je sais Kenny mais j'ai pas envie d'en parler... tu devrais rapidement rentré dans le bain, je vais allumer des bougies

Je n'aurais pas de réponse. C'est pas grave, Anya avait toujours été fermé, ses parents c'était un sujet très sensible et je pouvais le comprendre, j'allais apprendre à m'y faire en fait j'avais commencé à m'y faire, elle souffrait et même moi je n'arrivais pas à cicatriser ses blessures, j'échouais. Hochant la tête, je rentrais dans le bain tout chaud, je me sentais bien dedans, j'avais de moins en moins froid et mes pensées par contre étaient bien trop loin, j'avais beau essayé de réfléchir à une autre sujet, je n'y parvenais pas. Je ne savais pas ce qu'elle pouvait ressentir, j'avais eu des soucis avec mon père, des gros problèmes mais au fond je me disais qu'il m'aimait, je sais pas si Anya avait conscience de ça, que ses parents l'aimaient qu'ils avaient simplement fait par moment des mauvais choix comme nous on pourrait faire avec Alessia dans une vie future quand elle sera grande. Mon épouse installait les bougies, je la regardais de loin distrait. "Y en a assez." Dis-je en lui tendant la main, je voulais qu'elle vienne contre moi, je serais là pour elle, c'était un amour différent que je lui donnais mais c'était de l'amour quand même. Mes yeux rivés sur sa peau, ses longs cheveux blonds mais surtout sur ses yeux, je la laissais se glisser contre moi, je l'enfermais dans mes bras, posant mon menton sur le sommet de son crâne, embrassant sa chevelure en chuchotant doucement. "Je t'en veux pas." Elle devait s'en douter vu mes gestes, vu la manière dont je la regardais, je lui en voulais absolument pas mais rien ne m'empêchais de l'embêter. "En plus à cause de toute cette histoire tu as perdu ton premier ticket, dommage."

Je n'avais pas envie de parler de mes parents, je n'avais pas envie de parler de ma mère et encore moins à Kenny. C'était simple, elle m'avait dit que j'allais le perdre à cause de mon caractère. Je ne voulais pas qu'on me dise ça, je ne voulais pas qu'on insinue qu'un jour, mon mari allait me laisser. Je n'en avais pas envie. C'était lui et pas un autre et que serais-je sans mon Kenny ? Je fermais les robinets après avoir fait couler le bain de Kenny et afin de m'extraire de cette situation, j'allais allumer des bougies un peu partout dans la pièce donnant ainsi une certaine intimité et douceur à la situation. Lorsque Kenny me disait qu'il y en avait assez, je laissais trainer mon regard autour de moi. En effet, il y en avait déjà pas mal. Cependant, c'était agréable et chaleureux. Sensuel et romantique. J'entrais dans la baignoire en attrapant sa main, plongeant la pointe de mes pieds en premier, l'eau était chaude, j'adorais cette sensation. C'était divin. Kenny me mettait entre ses jambes, je me laissais faire, glisser contre son torse afin qu'il pose son menton contre mon crâne. Son menton me faisait légèrement mal, alors je poussais un peu son visage d'un geste délicat pour qu'il puisse le mettre, de préférence, contre mon épaule. Je sais et j'en ai bien de la chance je m'en rendais compte bien entendu. J'avais un sale caractère et il me supportait quotidiennement, quel courage ! Tu crois que je peux avoir droit à un service après vente ? lui demandais-je en tournant mon visage vers lui, avec une petite moue sur le visage.

Je positionnais mieux mon menton, j'avais vu que ça la dérangeait et j'essayais de me mettre mieux. On parlait pas trop, le silence n'était pas pesant au contraire, j'adorais profiter d'elle. "De la chance?" Je fronçais les sourcils pour la regarder. "Je sais pas si on peut appeler ça de la chance, tu fais toujours fondre avec tes petits yeux là, regarde toi." Dis-je en mettant mon index sur le bout de son nez. Je souriais, déposant un baiser sur son front tout amoureux. Je n'avais pas conscience d'être un bon mari honnêtement je sais que je n'étais pas du tout facile à vivre non plus, ma maladie avait bouffé notre vie à une époque, c'était pire, j'avais vu mon épouse se décomposer, être triste et moi ça me marquait énormément, je repensais par moment quand j'avais mal à la tête, j'avais toujours peur, je montrais rien, j'essayais de vivre mais au fond la nuit il m'arrivait de me demander si une rechute ne viendrait pas un jour. "Je sais pas." Dis-je en souriant un peu. Voilà pourquoi je la supportais quand elle était chiante parce que je savais que c'était que temporaire, je savais qu'on se retrouverait tous les deux. "Qu'est-ce que tu demanderais au service après vente? L'utilisation du ticket maintenant? Non parce que c'est faisable dans ce cas, je crois que je peux accepter cette requête." Riais-je en passant ma main sur sa joue pour déposer finalement mes lèvres contre les siennes et l'embrasser avec une extrême douceur. Je le prolongeais délicatement, c'était tellement tendre que je pouvais pas m'empêcher de lui mordre doucement sa lèvre inférieure. "Le service après vente s'excuse de la défaillance à la fin du baiser et si vous le souhaitez vous pouvoir en avoir un autre pour le dédommagement." Haussant les épaules, je la serrais de nouveau dans mes bras, c'est que le baiser m'avait bien donné chaud, fou j'avais plus froid du tout j'étais bien chaud limite.

Kenny me parlait du ticket, c'est vrai que je ne l'avais pas utilisé. Je lui demandais si j'avais le droit au service après vente. Il me répondais ne pas savoir, je bombais un peu les lèvres, j'avais envie qu'il m'embrasse Normalement, il y a toujours un service après ventre ... oui c'est tout à fait ce que je demande lui dis-je avec un grand sourire, levant mon regard dans le sien, en remettant mes cheveux blond derrière mes oreilles. Je fermais les yeux sous l'assaut de ses lèvres. Je profitais de la douceur de mon époux, de ses lèvres. Je lui volais quelques baiser, je caressais ses lèvres des miennes, attrapant sa lèvre inférieur pour la tirer doucement avant qu'il ne morde la mienne. Ma main contre sa joue, je la caressais avant d'ouvrir les yeux à ses paroles. J'hochais la tête en me retournant un peu plus cette fois ci, j'avais envie qu'il m'embrasse, je ne voulais plus quitter ses lèvres, plus jamais. Dehors, il neigé encore, il faisait froid. J'adorais le contraste. S'avoir que dans notre salle de bain, nous avions un panorama sur la froideur de Russie, sous ce paysage enneigé alors que dans notre salle de bain, il faisait chaud. L'eau dans laquelle nous étions était divine, les bougies venait réchauffer d'autant plus la pièce, même nous joues étaient rouge de chaleur à moins que se soit l'amour qui nous fasse rougir ainsi. Je dirais un peu des deux.

Anya était divine, dans sa manière de se tenir avec moi, elle ne parlait pas, elle m'embrassait et c'était tout ce que je demandais. Elle. Mes lèvres contre les siennes pour notre deuxième baiser, je passais mes mains derrière son dos, je souriais à travers j'y pouvais rien mais ça me procurait un drôle de sentiment, j'étais à la fois amoureux et fébrile ainsi qu'aux anges, totalement content. En ce matin de Noel, j'avais la chance de pouvoir profiter de ma famille, de ma femme et d'un petit bébé qui dormait encore fatigué par le voyage et le décalage horaire. Je poussais un petit soupir de contentement quand nos lèvres se quittèrent, je la regardais droit dans les yeux, un des regards qu'elle détestait souvent parce que je la mangeais carrément sur place, parce que je laissais toutes mes barrières tomber pour lui montrer à tel point je pouvais l'aimer. Chacune de mes mains repoussaient ses cheveux derrière ses oreilles, je continuais ce va et vient silencieux attendrit par les petites joues roses qu'elle affichait, savoir que je lui faisais autant d'effet flattait mon égo et remplissait mon cœur de joie. C'est dans ces moments là que d'habitude j'aurais cherché à avoir plus qu'un baiser d'habitude, j'aurais pu dire qu'elle pouvait jouer avec ses jouets que le père noël lui avait offert ce matin cependant je trouvais le moment tellement tendre, tellement spécial que je n'avais pas envie de lancer de blague, ni même de parler si ça se faisait bien on le ferait sinon tant pis, j'étais aussi très bien comme ça. Mes doigts glissaient encore dans ses cheveux jusqu'à ce que j'attire ses lèvres contre les miennes de nouveau, l'effet bougies marchait du tonnerre.

Après notre baiser, plus aucun mot ne sortait de nos bouches. Nos regards parlaient pour nous. Je me mordillais un peu la lèvre inférieur, baissant les yeux un instant alors que je caressais ses épaules, puis ses bras. Arrêtes de me regarder comme ça riais-je doucement, alors que mes bras avaient finalement trouvé refuges autour de son cou, que mes ongles faisaient des petits ronds contre sa nuque. Quant à lui, il ramenait mes cheveux derrières mes oreilles encore et encore. Je fermais un peu les yeux, j'étais bien là en cet instant avec lui. J'aimais cet homme, plus que je ne m'aimais moi même et c'est pour dire à quel point je pouvais l'aimer. Je sais bien que je lui en faisais vivre de toutes les couleurs mais que voulez vous, la passion peut être le meilleur de nos alliés comme le meilleur de nos ennemis, prions pour qu'elle ne fasse pas de moi une criminelle. Tandis que j'allais enfin ouvrir la bouche, pour parler, il ramenait mes lèvres contre les siennes à nouveau. Cette fois ci, ma langue fut de sortie. Je la passais dans sa bouche pour caresser la sienne, pour jouer avec la sienne avec une certaine sensualité, alors que peu à peu je me redressais sur lui, que je le faisais doucement basculer pour venir poser mes deux mains contre les rebords de la baignoire. Je me penchais pour continuer ce baiser qui me rendait totalement chèvre, chèvre de lui. La tête de Kenny plus basse que la mienne, finalement, je l'aidais à se remonter, T'as de la mousse partout père Noël dis-je en voyant de nouveau ses joues immaculées de mousse, je riais, je la lui enlevais, pour en mettre sur ses cheveux, lui faisant une coiffure d'enfer avant de faire un coeur de mousse sur son torse et c'est en riant que je venais en mettre sur ses tétons. C'est un petit avant gout du Brésil, je suis certaine que je le jour de l'an là-bas, se fête avec autant de vêtement que lors du carnaval Kenny était à présent affublé de bijoux pour tétons, en mousse. Je riais un peu en les regardant Tu crois que t'arriverais à les faire tourner ? lui demandais-je en explosant de rire.

Je souriais. Ah la coquine c'est tout ce que je pensais en cet instant alors qu'on échangeait un baiser des plus langoureux, mes mains étaient dans le creux de ses reins longeant son fessier ou elles s'arrêtaient, je souriais, je riais un peu sur le coup en sentant que j'approchais peu à peu de l'eau pour finalement me retrouver avec de la mousse partout sur le visage. "La faute à qui? On se le demande." Dis-je en souriant doucement, je laissais la mousse, j'étais encore dans le rôle de ce matin après tout. "Fais une coiffure comme j'avais fais à Alessia, style requin." Sauf qu'en la voyant rire et jouer avec la mousse, je devinais que ma virilité allait en prendre un coup, regardez la me faire des petits trucs autour et sur mes tétons. "J'espère, comme ça une fois sur l'île tu devras te mettre en condition et secouer tes fesses royales pour me divertir femme." Je penchais la tête en rigolant une fois que j'avais vu les caches tétons en mousse. "D’où tu poses la question? Bien sur que je peux! Prépare-toi à voir la nouvelle Shakira version mec. Attention démonstration." Dis-je en me redressant, je sortais mes pectoraux puis j'essayais de faire des petits ronds sauf que rien ne bougeait, je rigolais en plus alors la mousse ne faisait pas long feu sur moi. "Alors hein ! Je suis plus fort cherche pas, tu peux être fier de moi et maintenant que j'ai réussi à toi, je sais que ça va être dur d'atteindre mon niveau mais bon je serais indulgent sur ta prestation." Dis-je en la regardant sauf que moi pour me venger tout ce que je trouvais à faire c'était de l'embêter, je savais qu'Anya était très réactive à mes avances, à mes regards mais aussi à mes lèvres contre la petite zone toute rose que j'attrapais entre mes lèvres, je l'aspirais, je passais ma langue dessus puis j'arrêtais. "Zone finie d'être préparée maintenant je pose le premier bijou en mousse." Je le faisais délicatement, n'y allant pas de main morte je lui en mettant beaucoup plus qu'elle avant de réitérer les mêmes gestes de tout à l'heure pour le deuxième téton. "Attend, attend." Je me calais, dos contre la baignoire, moi j'étais totalement aux anges qu'elle fasse cette expérience devant mes yeux en même temps quel mec normalement constitué n'aimerait pas voir sa femme agité sa poitrine devant ses yeux.

A tes lèvres aguicheuses dis-je en lui faisant un clin d'oeil. J'avais tellement envie de les manger encore une fois, mais je passais à autre chose, juste pour ne pas me laisser aller. Trop aller. Si je m'écoutais, j'aurais certainement franchis le pas et je lui aurais fait l'amour dans cette baignoire. Je prenais la mousse de la baignoire afin de le coiffer. Je riais un peu, en regardant ce que je faisais. J'essaye, j'essaye dis-je en fronçant un peu les sourcils et en me mordillant la lèvre inférieur, concentrée. et voilà !! dis-je toute fière avant de laisser glisser mes mains sur son torse. Mon dieu, ce que je pouvais aimer son torse, ses muscles, ses pectoraux. J'attrapais un peu de mousse pour en mettre autour et sur ses tétons, lui faisant ainsi des bijoux. Secouer mes fesses pour te divertir ? Dis donc, y'a que ça qui t'intéresse ?   lui demandais-je en riant alors que je mettais le point final à ma création. Kenny se prenait pour la shakira des tétons. Je riais  je me reculais un peu pour le regarder faire. Rien ne bougeait. J'suis désolé de te dire que ... rien a bougé, c'est juste ...tombé je tentais de lui remettre, qu'il puisse tenter à nouveau mais rien, sauf que la seconde d'après monsieur Kovalevksi-Kataïeva posait ses lèvres contre mes seins.  Je le regardais faire en caressant sa nuque, je me mordais fort la lèvre, alors que je serrais les jambes sans m'en rendre compte. Disons qu'il me faisait de l'effet et que je le sentais jusqu'au creux de mon bas ventre.
Continus encore un peu soufflais-je doucement, d'ailleurs, c'était plus une supplication qu'autre chose. Quelques minutes après, se fut à moi d'avoir des bijoux de tétons et disons qu'après le passage de Kenny ils étaient bien droits. T'attends pas à un exploit, je sais pas comment elles font, je me suis toujours dit qu'il y' avait un petit bouton on sur le côté, ou une télécommande okay, je baissais la tête pour regarder ma poitrine, je me concentrais, j'essayais puis finalement, je posais mes mains sur mes seins, laissant mes tétons entre mes doigts pour les faire tourner, sans me faire mal puisque je n'avais pas de soutiens et je riais en m'agitant.

"J'espère que c'est réussis, je me vois pas." Je posais mes mains sur ma tête, j'avais bien mes cheveux droit sur la tête, je dirais qu'elle ne m'avait pas raté et sous mon rire après lui avoir dit que j'espérais qu'au Brésil elle me ferait la danse des fesses royales, Anya me balançait en pleine tête qu'il n'y avait que ça qui m'intéresse. "Non y a pas que ça." Dis-je avec un ton très faux. "Y aussi la culture. J'aime la culture des vêtements là-bas, très petit, style minimaliste, c'est très… pas besoin de développer trop l'imagination c'est bien quand on a la flemme." Bien sur je parlais des strings, des autres vêtements très petits que les brésiliennes avaient pour habitude de porter, une culture spéciale quand même, très axé sur le culte du corps disons que là-bas on voyait pas vraiment de gros. Désormais avec de la mousse sur les tétons, je m'étais agité mais contrairement à ce que j'osais penser rien avait bougé. "T'es juste jalouse ma puce, je comprend tu as pas mon groove et tu te sens pas bien." Dis-je en haussant les épaules souriant, j'essayais de ne pas rire. "Ok remet, je vais te montrer peut-être que cette fois tu accepteras la réalité." Elle m'en remettait, je rebougais en vain, c'était ridicule mais aussi très drôle sur l'instant franchement un homme qui arrivait à faire bouger ses tétons c'était impossible par contre Anya, oui je pense. Je la préparais, mes lèvres contre son sein, je m'amusais doucement, je pensais pas qu'elle serait si rapidement réceptive, elle me suppliait même de continuer et franchement j'adorais l'entendre me dire ça, preuve que je pouvais la rendre folle. Quelques longues minutes plus tard après la pose de chaque bijou sur les deux zones, je me calais bien pour voir le spectacle. "On va voir essaye." Dis-je en la regardant faire, je mettais ma main devant ma bouche pour ne pas rire, il se passait rien jusqu'à ce qu'elle prenait les choses en main là j'éclatais de rire avec elle. "Mon amour." Dis-je tendrement avec un rire juste après. Moi non plus je ne savais pas comment certaines femmes arrivaient à faire ça, elles étaient comme les ventilateurs, elle les faisait bougé normal, nous non. Calme plat. "Disons que dans ce spectacle la seule chose positive c'est que tes deux tétons me désignent." Je riais légèrement, j'étais content de mon petit truc que je lui avais fait tout à l'heure. "Ta besoin d'une deuxième chance." Dis-je avec des yeux très coquins. Je refaisais la même préparation après m'être débarrassé de la mousse seulement cette fois mes lèvres montaient vers son cou, mon pouce roulait sur son téton et ma bouche déposait des baisers partout sur sa peau jusqu'à terminer sur ses lèvres.