KENYA ❄ Si on s’en sort, fais moi penser à te dire merci.

Nous étions à présent en Russie. Après un long voyage assez périlleux à cause de la neige, mais nous étions enfin dans mon pays, notre pays. Long manteau en fourrure blanche, ainsi qu'un de même nature pour notre fille, la voiture s'arrêtait devant le palais. Nous étions déjà prêt pour la soirée étant donné que nous étions passé chez nous. Viens là dis-je en me tournant vers Kenny. Je le regardais avec un grand sourire, il avait encore un peu de neige sur ses épaules. Je les époussetais, remontant ma main vers sa barbe pour la caresser un instant et déposer un rapide baiser sur ses lèvres. Ta cravate .... tu l'a mal mise dis-je avec un petit sourire. Je me tournais vers mon mari pour arranger sa tenue avant que nous n'entrions dans le palais. Tout vas bien se passer ce soir, j'en suis certaine. Soit aussi charmant que d'ordinaire je tapotais sa joue avant de m'occuper un peu d'Alessia. J'arrangeai un peu ses cheveux avant que nous n'arrivions. Un valet venait nous ouvrir la porte, je sortais avec la petite, la protégeant du froid et de la neige. Je courais presque à l'intérieur pour ne pas que nous prenions froid. T'as de la neige de partout dis-je en regardant Kenny qui lui n'avait pas de capuche comme nous. Je la lui enlevait de nouveau avant qu'un autre domestique ne vienne nous enlever nos manteaux. Kenny pouvait enfin voir ma robe banche, que j'avais pris soin de ne pas lui montrer même chez nous. Tadaaaaam lui dis-je en souriant avant que ma famille n'arrive. Ma mère, ma grand mère me prenaient dans ses bras, mon père me tendait la main, je lui faisais la révérence avant que lui n'embrasse le sommet de mon crâne. Ma famille venait dire bonjour également à mon mari et rapidement, ma mère venait prendre Alessia. Me l'arrachait presque des bras pour être plus précise.

Nerveux. J'étais tellement nerveux que je crois que mes ongles ne survivrait pas d'ici… bien deux minutes, fallait que j'arrête sinon j'aurais des tonnes de pansements pleins les doigts seulement quand j'avais entendu Anya me dire de mettre un costume, de me peigner et de me raser un peu, je peux vous dire que ça vous mettait une de ses pressions. Non parce que d'habitude, je pouvais y aller en jean normal et en chemise sauf que là c'était une sorte de réception, ça ne rigolait absolument pas. Je tapais des pieds au sol, je prenais une aspiration quand la voiture se garait. "C'était pour que tu le fasses toi c'est toujours mieux mis quand c'est toi." J'étais nerveux, Alessia non pas du tout, elle riait s'amusant avec le nœud du smoking que j'avais mis à Floppy comme pour faire un pied de nez à mon beau-père. "hé ! Hé !" dis-je en courant un peu derrière elle. "Tu viens de me faire un compliment et tu me laisse même pas apprécier." M'amusais-je à dire puis nous sortions, la neige s'abattait sur nous, je courais avec les filles, les demoiselles étaient protégés sauf moi. "Pas grave ça ira bien avec mes poils blancs." Oui j'étais encore buté sur ça, fallait pas m'en vouloir, c'était dur de se voir vieillir. Alessia retirait son manteau avec l'aide de maman, enfin c'était plutôt le contraire mais bon oublions puis se fut à Anya. "Oh !" poussais-je en voyant sa robe blanche. Pas le temps de réaliser, tout le monde débarquait, j'étais encore dans les nuages alors que je faisais la bise à la grand-mère de ma femme et aussi à sa mère, son père? Une poignée de main bien viril, on appuyait tellement fort que je peux vous dire que l'on pouvait briser des os. Alessia se retrouvait dans les bras de sa grand-mère assez vite, très vite, trop vite. "Mince." Chuchotais-je à Anya. "Je voulais tester la technique du bouclier avec ta famille." Je faisais référence à mon épouse qui tenait Alessia souvent pour détourner l'attention, ça marchait bien la plupart du temps avec les miens. "Tu crois que du coup je peux te kidnapper? Ta robe c'est un appel à la débauch…" Pas le temps de finir, Igor me regardait. Non il avait pas pu entendre il était devant à regarder sa petite fille et moi je chuchotais. Vu ses yeux, je crois que j'étais grillé. "Une corde et une chaise." Demandais-je à un domestique.

Comme si je t'en faisais pas assez  criais-je avant de me mettre à courir avec ma fille pour nous protéger de la neige qui tombait. Avant même d'entrer à l'intérieur, j'arrangeai à nouveau Kenny avant qu'on nous ouvre la porte. Moi je les aime tes poils blancs alors arrêtes un peu avec ça  je levais les yeux au ciel, la porte s'ouvrait sur une armada de valets On nous enlevait nos manteau à Alessia, Kenny et moi et bien rapidement, je tournais sur moi même pour que Kenny puisse enfin voir ma tenue que j'avais tant mis de mal à cacher. Tous le monde était apprêté à la cours, ce soir était un grand soir, c'était le soir de Noël et notre famille était réunie ici, vêtue de leur plus beaux vêtements. Je riais lorsque Kenny aurait aimé prendre Alessia comme bouclier. Je comprenais que trop bien ce qu'il voulait dire par là, parce qu'il savait que je faisais de même avec notre fille lorsque nous étions dans sa famille à lui. Cependant, ma mère, après la séance d'embrassade, avait pris Alessia, rapidement avec elle. Cela faisait un moment qu'elle ne l'avait pas eu pour elle et je pouvais comprendre son engouement était donné que notre princesse avait bien grandie et que dire, elle était jolie comme un coeur, aussi belle que le jour et quiconque avait la chance de l'apercevoir en tombait rapidement gaga. Je crois que ça serait mal vue que tu le fasses si tôt dis-je en riant légèrement avant de voir moi aussi le regard de mon père, j'avais envie de rire d'autant plus. Je donnais pourtant un coup à Kenny lorsqu'il demandait une corde et une chaise à un domestique, je passais mon bras autour du sien pour rejoindre le monde. Champagne, caviar, foie gras et tout un tas d'autre chose était disposé sur de l'argenterie d'un gout raffiné. L'apéritif se ferait dans la salle de réception apparemment. Un groupe jouait du jazz, je souriais, laissant ma main prendre celle de Kenny. Le père Noël a déjà déposé les cadeaux dans notre suite, j'ai hâte que tu les ouvres

"Très mal vu apparemment." Oui au vu des yeux de beau-père, je crois que s'il avait pu me tuer, je serais mort à l'instant même ou j'avais ouvert la bouche. Igor m'appréciait enfin il essayait de m'apprécier pour notre famille, notre bien, maintenant je savais que si Anya était triste par ma faute, si je venais à la quitter pour une raison que je ne connaissais pas et que je savais impossible, il me tuerait, m'enterrant dans le terrain vague ou alors il me brulerait aucunes traces. "Quoi !" riais-je un peu quand j'avais demandé une corde et un tabouret. "Je prépare le terrain au cas où." Je lui proposais mon bras, avançant vers la grande réception, c'était beau, trop beau, loin de l'image que j'avais de Noel mais en même temps ça me plaisait de voir une autre culture. "Y a pas de hotte?" Face à la grande cheminée et vers le sapin aucunes traces de hôtes, je regardais partout, je voulais un vrai Noel pour Alessia et ça passait par les cochonneries qu'on mangeait sans compter que j'avais un cadeau à mettre dans la hôtes de ma femme, sans jeu de mot pervers bien sur. Bon ok, je crois que je lui ressortirais durant la soirée si je m'étais pas jeté dans le feu devant tant de manière. Je connaissais certaines personnes, j'avais vu au mariage mais sans plus. "En fait, je vais peut-être m'immoler tout de suite… Ah non rectification de programme direction les petits fours !" dis-je en riant un peu pour prendre un petit canapé pour le donner à Anya, ça me rappeler des soirées qu'on avait passé ensemble, moi à m'empiffrer et à faire des conneries et elle à participer activement à la situation. "Vu que j'ai pas Alessia, je me sers de toi comme bouclier." Je la glissais devant moi, enroulant mes bras autour de sa taille et déposant mon menton sur son épaule. Erreur, erreur. Ce n'était pas une position pour une future tzarine au vu des gestes de son père. "Il a une bibliothèque coincé là ou je pense même pas un balais." Pestais-je en la lâchant. "Venez vous, vous serez mes alliés." Dis-je au petits fours.

Non, mais j'ai pris celles que tu avais mises à la maison dans ma valise, si tu veux les accrocher à la cheminée de notre suite  je savais bien que Kenny aimait cette période, peut être un peu trop à mon goût. Il devait se douter, que ce n'était pas un Noël aussi chaleureux qu'il l'aurait cru. Pourtant c'est lui qui avait demandé à ce qu'on vienne ici. Mes parents, avaient tout de même fait l'effort de mettre un immense sapin dans la salle de réception. Plus grand que celui de notre maison. Je levais les yeux au ciel lorsqu'il me parler d'immolation.  Kenny commences pas !  lui dis-je en tournant mon visage vers mon époux. Il partait vers les petits fours pour revenir rapidement. Je regardais autour de moi, quelques personnes nous épiés avec un sourire. Ce n'était pas un sourire d'adoration mais bien de moquerie, après tout, ici, ce n'était pas de petits gens, plus petits que moi, certes mais je n'aimais pas ça  Tu ne veux pas rester tranquille un instant Kenny, ramène touts les petits fours que t'as mis dans tes poches, on est pas chez toi ici  oui, chez lui tout était bien plus familier, ce soir était une soirée importante, des photographes étaient ici. Jamais je n'avais vécu un vrai Noël, du moins, je l'avais après, bien après. Mes cadeaux étaient toujours déposé dans le bureau de mon père, ou il avait un autre sapin. Finalement, Kenny venait se mettre contre moi. Je souriais un peu, alors que les conversations commençaient à se faire, que les coupes se vidaient toutes les unes plus vites que les autres.  Il fait juste attention aux apparences et c'est un peu trop familier  il savait comment c'était ici, je m'étonnais qu'il fasse l'homme surpris. Il connaissait ma famille, mes coutumes, surtout lors des fêtes. Je regardais Kenny parler aux petits fours, par moment, il arrivait à me faire honte. Les yeux de nouveau au ciel, j'allais me prendre une coupe pour engager une conversation avec un cousin lointain jusqu'à ce que les danses commencent. Mon père me tendait la main, je souriais en lui faisant à nouveau une petite révérence avant de partager cette danse avec lui. Je regardais Kenny, j'espérais qu'il vienne rapidement, me prendre la main afin de me faire tournoyer à son tour.

Oula elle prenait la mouche, vite aux abris. Je voulais fuir, partir en courant et heureusement pour moi le buffet me sauvait enfin je le pensais car rapidement l'envie de me tuer lui traversait l'esprit. "Pardon?" je ne comprenais pas qu'elle parle de mes poches au début. "Mais j'ai rien mis." Non sérieusement, elle savait mon adoration pour mes costumes, mettre des petits fours dans mes poches seraient les condamnés définitivement. "On est pas chez moi, ok." Je le prenais mal, oui on était pas vraiment chez moi mais j'avais envie de faire parti de la famille et je sais pas, le fait qu'elle le dise aussi fort, me faisait encore plus la lâcher, moi qui avait voulu apaiser les tensions en la prenant dans mes bras. Je partais vers le buffet, prenant deux petits fours puis un verre de jus d'orange, je conduisais ce soir, bon ok non j'avais envie de boire mais j'avais peur du mélange avec mes médicaments, l'excuse de la conduite passerait. Assit sur un des fauteuils, je discutais avec mamie Kataieva, amusé, je riais un peu quant elle s'agaçait sur ma manière de prononcer certains mots en russe, elle riait aussi, on s'entendait bien et quand une cousine d'Anya venait c'était l'occasion de parfaire mon russe. J'essayais de parler, je tenais bien la conversation seulement des mots m'échappaient faisant rire les femmes à mes cotés, j'amusais bien, en fait si tout ceci pouvait paraitre un peu coincé au début, je voyais que non à la fin. Les danses commençaient, Igor dansait avec Anastasiya et moi je prêtais mon bras à la grand-mère, je voyais bien qu'elle voulait danser. "Je vous promets de ne pas vous écrasez les pieds." M'amusais-je à dire. On riait, partant danser, Anya? Je lui en voulais un peu, la manière dont elle me parlait, dont elle essayait de contrôler la personne que j'étais bien non j'y arrivais pas sur le coup, moi je lui avais pas dis de ne pas être coincé avec ma famille, de ne pas être si distante.

Il n'avait retenu que cette phrase. Je le regardais un instant, je voyais bien qu'il le prenait mal , mais après tout, c'était la réalité. Il me faisait honte. Nous étions à une réception de Noël, dans ma famille et il savait ce qu'elle était. Lui ? Il se goinfrait de petit fours, parlait de corde et de chaise, d'immolation alors que cela faisait à peine 15 minutes que nous étions ici. Alors oui, je le prenais mal. Il ne faisait pas d'effort comme j'avais su en faire. J'avais été digne le soir de Noël dans sa famille, auprès de l'autre et de sa mère. Il savait que j'avais du mal et pourtant, je n'avais pas été là à parler de me tuer. Mon père me tendait le bras, me demandant une danse. C'était un peu une tradition ici. Je le pris avec un grand sourire, je dansais avec mon père. J'étais heureuse et pourtant j'espérais que Kenny vienne me tendre la main. Vienne me faire danser au milieu de tous. Je le regardais, essayant de lui faire comprendre, mais son regard à lui, ne s'arrêtait pas dans le mien. Il me snobait ? Apparemment. Il venait avec ma grand mère sur la piste de danse. Je me pinçais un peu les lèvres, baissant la tête pour finalement la relever vers mon père. Qui y-a-t-il ? me demandait mon paternel.  Rien, juste une divergence d'opinion dis-je en regardant par dessus l'épaule de mon père, ne voulant m'étaler sur le sujet. Je terminai rapidement la danse finalement, pour partir voir Alessia. Je lui donnais un toast avec un petit sourire, me posant sur le trône de mon père qui serait le mien.  Bientôt tu vas pouvoir ouvrir les cadeaux que le père Noël à déposer en Russie ... t'as vu ça un peu. Il pense à toi partout dis-je en déposant un baiser sur la tête d'Alessia. Kenny voulait m'ignorer, j'allais le faire aussi. Je me levais pour aller changer Alessia dans ma suite, je comptais dormir là ce soir c'est bien pour cela que nos affaires avaient été amené ici.

Faut pas croire, j'avais regardé Anya pendant la danse, je ne savais pas qu'elle me réclamait elle parlait à son paternel et naïf comme j'étais bien je pensais que c'était juste de l'indifférence le temps d'une danse. Justement en parlant de cette dernière, elle se terminait bien tôt à mes yeux, amusés, la grand-mère d'Anya me remerciait quand justement mon épouse partait, je la suivais montant jusqu'à la suite pour fermer la porte. "Tu veux pas danser avec moi?" Je lui en voulais un peu par sa phrase mais je reconnaissais que j'avais pas été très gentil, j'étais plutôt désagréable dans ma manière d'être et je voulais faire comprendre que j'étais prêt à me racheter encore faut il qu'elle passe à travers ce que j'avais pu faire. Déjà le point positif c'est que je n'avais pas râlé à cause de tous les cadeaux au pied du sapin, je les avaient vu avec les petites étiquettes au nom de notre fille, je râlais d'habitude sauf là, je me taisais. "Ah c'était une urgence apparemment." Dis-je en fronçant le nez. "Laisse je vais le faire avec ta robe tu vas risquer de la tacher." Je m'occupais de la changer rapidement, j'étais habitué puis en plus Anya était trop belle pour risquer un accident de couche. "Et voilà !" dis-je en prenant ma puce dans mes bras. "Mamie veux voir Alessia apparemment, je crois qu'elle veut l'adopter, ça va se battre dans notre famille un jour à cause de ton petit visage d'ange." Je lui caressais la joue doucement et très délicatement.

Alors que j'avais Alessia dans les bras pour monter rapidement à l'étage, dans notre suite, pour la changer, Kenny m'arrêtait pour me parler de danse ? Je le regardais avant de lever les yeux au ciel et de continuer mon chemin. C'est une blague ? Depuis tout à l'heure je n'attendais que ça. J'avais tenté de capté son regard, mais il m'avait juste ignorer. D'ailleurs sa façon de faire depuis que nous étions arrivés m'énervé. Il n'arrêtait pas de critiquer sans faire le moindre effort. C'était sa décision d'être ici et non la mienne. Une fois en haut, je m'apprêtai à changer Alessia lorsque Kenny venait prendre ma place. Il ne voulait pas que je me tâche. Je fus un peu surprise de son attention étant donné qu'il m'avait battu à froid. Je suis ravie de voir que tu fais enfin attention à moi  dis-je en regardant Kenny en croisant les bras contre ma poitrine, comme pour lui faire comprendre que je n'avais pas apprécié ses mots et sa façon de faire. Puis j'avais besoin de le dire. Je n'aimais pas garder les choses pour moi. Il parlait à Alessia, j'étais de nouveau devenue transparente. Je levais les yeux au ciel à sa façon de faire.  Je vais retourner en bas avec ma famille de bibliothécaire dis-je avec un grand sourire sur le visage faisant référence à ce qu'il avait pu dire sur la bibliothèque qui serait apparemment coincé dans les fesses de mon père.

C'est fou Anya avait toujours eu tendance à remarquer quand je ne faisais pas attention à elle, je veux dire que limite je devais toujours être au petit soin pour sa personne et qu'elle était furieuse quand ce n'était pas le cas. Il suffisait de la regarder en cet instant, son petit visage et ses bras croisés alors que je changeais Alessia. Contrairement à ce que je pouvais laisser penser au vu de mon silence, ça me faisait plaisir, au moins à travers ça je voyais que je n'étais pas trop étouffant, trop derrière elle, c'était sincère ce genre de réaction. "Pardon? J'ai pas entendu." M'amusais-je à dire avant de rire. "Je plaisante mon amour, je fais attention à toi, juste que le coup de tu n'es pas chez toi c'est dur à digérer, j'essaye de bien m'intégrer, de m'amuser un peu comme on faisait à l'époque et toi tu me dis ça, ça m'a rendu un peu triste." Avouais-je en prenant Alessia, je lui parlais quelques secondes après, je voulais tellement me servir d'elle en tant que bouclier mais je sais qu'en bas, elle était attendue comme Dieu, c'était limite si elle n'éclipsait pas Anastasiya. "Attend on arrive, on a des livres à rendre." Dis-je avant de froncer les sourcils. "En fait, ça n'a pas de sens ma phrase." Je riais un peu, passant ma main libre derrière la tête d'Anya pour lui voler un baiser avant de regarder sa poitrine alors là pour le coup j'étais déconnecté totalement, plus d'électricité passait dans ma tête, juste des yeux gourmands sur une belle poitrine. Je poussais un soupir rêveur, Alessia me tirait les cheveux en riant. "Roh !" râlais-je en la regardant. "T'es pas une gentille petite fille par moment toi." Tout le temps oui, elle avait tendance à faire des caprices, regarder la fois ou elle dormait dans notre lit lors de nos retrouvailles. Désormais revenu à la réception, Irina attrapait Alessia. "Voleuse." Marmonnais-je tout bas. "Tu veux danser? A ce qu'il parait j'ai pas écrasé les pieds de ta grand-mère." Je faisais une révérence à Anya comme le ferait les gens d'habitude, c'était de coutume et bien que c'était la première fois que je la faisais, elle était maladroite certes mais assez réussis et apprécier par Igor.