KENYA ❄ Si on s’en sort, fais moi penser à te dire merci.

Je lui donnais une petite pichenette sur la joue lorsqu'il me disait d'attendre. Je n'allais pas le faire, je suis pas du genre à demander l'autorisation en même temps. J'ai toujours de meilleure option, l'intelligence que veux-tu  je levais légèrement le menton, fière et légèrement hautaine avec ce petit sourire qui pouvait être désagréable ou mignon. Avant de partir, je regardais mon père avec ma fille. Je souriais, ça me faisait plaisir. Bien sûr une part de moi était blessé, mais je sais bien que lorsque j'étais enfant, mon père agissait ainsi avec moi, c'est lorsque j'avais commencé à grandir que les problèmes étaient arrivés, que nous nous étions éloignés et que notre relation était devenue froide, si je puis dire. J'espérais en tout cas, qu'il ne fasse pas pareil à notre fille, qu'il ne la lâche pas parce qu'elle grandissait. Parce qu'elle allait grandir, c'est indéniable. Dis tout de suite que ce pyjama ne me va pas dis-je en tournant sur moi même. Alors certes, ce n'était qu'une pièce, mais il m'allait comme un gant, épousant mes formes à la perfection. Oh bébé, c'est dégueulasse ce que tu viens de dire, ne me sort plus jamais un truc dans le genre, pour le bien de notre vie sexuelle, je te l'assure déjà que j'avais une relation assez compliqué avec mon paternel, s'il se mettait à se prendre pour mon père ... non, je préfère pas imaginer. Non c'st tranquille, il y aura seulement les personnes qu'il y avait dans le bureau de mon père ... Une fois dans la chambre, je retirais cette combinaison. J'avais tellement chaud que ma peau était légèrement rouge. Je me sentais complètement revivre, je pouvais sentir un petit vent venir caresser ma peau et dieu seul sait à quel point ça me faisait du bien, mais ma sensation de liberté fut bien rapidement coupé dans l'élan de mon mari qui me prenait dans ses bras pour m'embrasser. J'enroulais tout de même mes jambes autour de sa taille pour ne pas tomber et répondre à son baiser. J'espère bien te perturber toute ta vie mon bébé puis... je m'approchais de son oreille, pour chuchoter Je te l'ai jamais dis mais en fait ... je suis la déesse de l'amour, c'est pour ça que t'es tellement attiré tous le temps je mordillais son oreille pour déposer un baiser en dessous et là, je n'arrivais plus à m'arrêter. Mes lèvres descendaient dans son cou, remontaient sur son visage , ma langue laissait sa trace, je riais un peu mais lorsqu'il me disait qu'il me restait un cadeau, je descendais bien rapidement pour aller chercher dans la poche de la combinaison. c'est quoi ? demandais-je en secouant le paquet avant de l'ouvrir.

Tranquille donc pas de cravate, dieu merci, j'avais juste envie de mettre une simple chemise noire et hop j'étais prêt parce que moi je détestais être habillé en pingouin je trouvais ça oppressant, je me sentais prisonnier dans une image de moi qui ne reflétait pas ma personnalité. "Bon tant mieux, j'avais pas trop envie de mettre la cravate." Désormais dans la chambre, je participais au spectacle, Anya était libre mais quand je dis libre, c'est genre vraiment, elle se sentait bien à moitié nue et pour être honnête moi aussi j'appréciais la vue. En fait j'étais perturbé, je veux par la que je n'étais pas dans la capacité de réfléchir convenablement, je l'embrassais même quand je la voyais abandonnant toutes mes occupations du moment juste pour un câlin. Un énorme baiser même, elle marchait à fond passant ses jambes autour de moi, ses bras contre mon cou, je me mordais la lèvre juste après notre détachement, deux ans, deux ans plus tard j'avais l'impression que rien ne changeait. "On est bien parti pour." Chuchotais-je en caressant sa tête, rieur un peu, je l'écoutais d'une oreille amusé par le nombre de conneries qu'elle pouvait me dire, faut pas croire j'avais pas contaminé Anya, elle était déjà comme ça, elle avait cette esprit moqueur, un peu rêveur aussi après tout qui se prenait pour la déesse de l'amour. "Ah donc en fait je suis juste une proie, je t'aime plus trop tu vois." Car à ce que j'avais compris de la mythologie c'était bien ça, j'étais une proie, la déesse séduisait puis oubliait. Faussement boudeur, je me laissais quand même faire. "Continue, je boude toujours." Lâchais-je en reniflant un peu triste même si mon sourire avait tendance à me griller. "Ah ouais en plus normal tu me délaisses pour un cadeau, non mais…" Je levais les yeux au ciel. "Ouvre, je suis sur que ça va te plaire, tu vas pouvoir avoir ce que tu veux sans que je dise rien… Quoiqu'en même temps ça ne change pas trop de d'habitude." A l'intérieur des bons pour des bisous, des massages, des câlins et autres beaucoup plus coquins, y avait que moi pour faire ça, je pouvais paraitre comme l'obsédé de service mais en même temps je trouvais qu'au bout de deux ans se creuser la tête pour pimenter notre vie de couple n'était pas si mal que ça. "Après j'ai autre chose à te dire mais plus tard." Dis-je en mettant mon pantalon. "Sache juste que je t'aime."

Qu'une proie avec qui je n'ai pas fini de m'amuser et que j'ai envie d'user encore et encore dis-je dans son oreille. Il me boudait, je déposais mes lèvres partout dans son cou, contre son oreille, son visage ... Mais c'est que tu serais exigeant dis-je en le regardant un instant dans les yeux avant de déposer tout un tas de baiser contre son cou, descendant sur son torse, dans la limite du possible était donné ma position. Cependant, lorsqu'il me parlait de cadeau, j'abandonnais rapidement ses bras pour aller voir. C'était plat, je me demandais bien ce que cela pouvait être. Il me disait d'ouvrir, que cela allait me permettre d'avoir ce que je veux sans qu'il ne dise rien ... cependant, il ne me disait jamais rien, chose qu'il confirmait. J'étais assez curieuse, alors rapidement j'enlevais le papier cadeau pour voir un chéquier , la couverture était en fourrure rouge avec des menottes qui le fermait et lorsque j'ouvrais, mon sourire se fit plus grand. Intéressant dis-je en lui faisant un clin d'oeil je le feuilletais, un peu surprise par quelque ticket assez osé. Je me mordillais la lèvre pour en détacher un avec un petit sourire. J'use mon premier chèque maintenant c'était un simple baiser, cependant, lorsqu'il me disait qu'il avait quelque chose à me dire, puis qu'il ajoutait qu'il m'aimait ensuite, je le laissais tomber au sol. Surprise. Dis moi maintenant ..

J'adorais quant elle abusait de moi de cette manière, quand elle embrassait mon corps de partout, quand je voyais ses yeux dans les miens, que je lisais son désir, je fermais un peu les yeux, je frissonnais, passant ma main dans ses cheveux, je pourrais m'habituer à ce genre de contact encore et encore. Les yeux clos, je fis la grossière erreur que de lui avouer à haute voix que j'avais un cadeau pour elle, elle m'abandonnait pour se jeter dessus. Amusé, je regardais sa réaction, ok elle avait pas l'air de me prendre pour un pervers, elle avait l'air d'aimer en plus. "A tout moment tu peux." Dis-je en la regardant, ça épiçait un peu plus la situation après tout je pouvais me demander quand elle le ferait, j'avais un peu une épée de Damoclès au dessus de la tête savoir si elle ferait des gros défis ou des plus petits. Elle retirait un ticket du chéquier. "Déjà? Attention y en a pas énormément." riais-je en tendant la main. Je profitais de ce moment pour lui annoncer un truc enfin lui dire que je devais lui parler, ça passait mieux sauf qu'Anya était sur les nerfs enfin elle laissait tomber le ticket et sa voix, j'avais l'impression qu'elle s'inquiétait pourtant le je t'aime et le petit sourire laissait présagé que c'était positif. "Bon ok ma mère veux qu'on passe le nouvel an avec elle et j'ai dis oui." Dis-je d'un coup très rapidement, je me baissais pour prendre le ticket, un simple baiser que j'allais lui faire en avançant vers elle, espérons que ça passe sans souci, je la connaissais, je savais qu'elle allait le prendre très mal, qu'elle voulait rester ici plus longtemps alors dire que ma mère m'attendait pour qu'on prenne l'avion afin de lui faire une surprise en réalité, ce n'était pas le bon plan par contre Igor et Irina était dans le coup, ils étaient très heureux de garder Alessia.

Je déchirais un ticket pour aller vers mon mari, je voulais qu'il m'embrasse, je voulais qu'il se laisse aller, cependant sa phrase ne laissait présager rien de bon, surtout ses derniers mots " n'oublis pas que je t'aime " ça veut dire quoi ? Qu'il allait me dire quelque chose qui allait me déplaire. Il avait fauté ? Je me renfrognai un peu, je croisais même les bras contre ma poitrine, jusqu'à ce que la sentence tombe. Sa mère voulait fêter la nouvelle année avec nous et il avait dit oui, sans même me demander. Je faisais les gros yeux, je ne disais rien mais mon corps se tendait. J'allais vers ma valise pour mettre un jeans taille haute et un petit haut blanc, laissant mes cheveux lâche et tout en m'habillant, je me lâchais enfin T'aurais pu me demander Kenny ! Je veux pas passer le jour de l'an à ta mère, j'ai déjà fait assez d'effort ces derniers temps et NON ! NON NON NON je ne veux pas dis-je en me retournant vers lui, un peu furieuse en tenant mon haut dans mes mains, avant de le mettre. Bien entendu, je me trompais de sens, c'était l'énervement. Le bras dans le trou de la tête, je m'énervais avant de le mettre correctement et d'aller vers la porte elle a qu'à se trouver dans amis ou prendre un chien ! Depuis quand on fait le nouvel an avec sa famille et puis merde, j'en ai marre que tu me demandes pas et qu'elle s'incruste de partout et sur ces mots, je claquais la porte pour aller en bas , prendre place à table, le visage fermé.

Je ne répondais pas sauf quand elle mettait son pull à l'envers. "Attend." Elle faisait des grands gestes, je préférais rester à l'écart et quand Anya partait, je mettais ma main sur ma bouche pour ne pas rire. Non ne rigole pas ça allait empirer la situation surtout si elle m'entendait, dire que je comptais fêter le nouvel an avec elle au Brésil, j'avais compris que notre pays lui manquait, qu'elle avait besoin de soleil, faut pas croire que je ne l'écoute pas. Descendant en bas, je reprenais mon sérieux, j'étais bon acteur quand je le voulais. Olga me regardait, je lui faisais un clin d'œil, elle comprenait parfaitement, elle était dans la confidence comme les parents de la russe. Au début, Igor n'avait pas compris pourquoi on voulait aller là-bas mais c'était une sorte de cadeau de noël, ça nous rappelait nous, j'avais besoin de l'avoir à moi parce qu'à la rentrée avec mon boulot et les études, je sais pas si j'aurais autant de temps et il avait compris ça. "Anya…" dis-je en la regardant. "S'il te plait." Murmurais-je comme si notre conversation était secrète. Si elle savait. Franchement fêter le nouvel an avec ma mère? Non, j'allais pas faire 10h d'avion pour faire l'allée-retour comme ça dans la journée puis elle avait des amis sauf que mon épouse ne le savait pas. L'entrée arrivait. Je prenais ma fourchette, silencieux, je voulais tout lui avouer mais non je ne le ferais pas, je voulais voir son visage s'illuminer quand elle allait voir le soleil, la chaleur en descendant de notre jet.

Non sérieusement, je n'avais pas envie de passer la nouvelle année avec ma belle mère. Mais le fait qu'il accepte sans même m'en parler, prendre la peine de me dire " Anya, ma mère propose de passer la nouvelle année avec elle, ça te dis ? " Oui. Il savait que j'avais du mal et il m'embarquait là-dedans, sans me laisser le droit de réponse. Je descendais rapidement en bas, sans prendre la peine de l'attendre. Oui, lui ne prenait pas la peine de me consulter. Je m'installais à table, sans dire un mot, le visage complètement fermé. Je n'avais plus envie de lui parler pour la journée alors lorsqu'il m'adressait la parole, je relevais mon regard vers le sien, un regards assez froid. Le côté paternel qui prend le dessus Toi me parles pas, t'as qu'à téléphoner à ta mère dis-je doucement, pour que lui seul n'entende. Je sais pas pourquoi, mais ça m'énervait tellement. Je n'avais pas envie de passer une soirée comme celle de Noël. On avait passé notre soirée chez la mère de Kenny et qui plus est sa chose de soeur était là. Autant dire que j'avais fait un incroyable effort, si Kenny lui n'avait pas autant de mal avec ce que sa soeur avait pu faire, moi je n'arrivais pas à passer au dessus. Personne ne me menace et encore moins ma fille. Le brunch était anglais, j'attrapais un pancake pour le découper avec hargne dans mon assiette. Ma mère me regardait faire amuser, elle savait ce qu'il se tramait et elle connaissait mon caractère aussi. Alors Anastasiya, vous allez faire quoi avec Kenny pour le jour de l'an je levais mon regard vers mon père qui enfonçait le clou
Je me faire chier ..  oups c'est sorti tout seul
Enfin nous allons nous morfondre avec belle maman à regarder le décompte à la télévision surement je faisais un faux grand sourire à Kenny, mordant dans mon pancake l'instant d'après

"Ta raison elle sera surement plus gentille que toi." Dis-je avec un sourire forcé. Je prenais une aspiration, Irina avait l'air amusé de voir Anya couper son pancake avec une certaine violence, moi aussi mais je tenais mon rôle, on était en froid, on le resterait même si au fond j'avais peur qu'elle prononce des mots malheureux qui me blesse. Prenant un pancake à mon tour, je prenais aussi le pot de chocolat pour en faire une tartine avec mon chocolat chaud et comme si ça ne suffisait pas tout le monde avait décidé de m'enfoncer un peu plus dans la merde en demandant nos projets du nouvel an. "Sympa." Dis-je en la regardant dire ça, là je simulais pas. "J'ai plus faim, excusez-moi." Olga avait envie de rire moi aussi finalement je pouvais comprendre qu'elle n'aimait pas ma mère et franchement du moment qu'elle n'aimait que moi, je m'en moquais. Partant dans la cuisine, j'ouvrais le frigo, Olga me rejoignait après avoir dit à Anya qu'elle avait manqué de respect à la mère de son mari et que ça ne se faisait pas. "T'es pas vexé?" demanda t'elle en me lançant un clin d'œil complice. "Si, ça ne se fait pas, je sais qu'elle ne l'aime pas mais quand même." On savait si Anya était derrière la porte dans le doute, je continuais de jouer le jeu. "Je suis en insuffisance." Dis-je en regardant le petit appareil qui contrôlait ma glycémie. Je soupirais un peu, Olga me faisait m'assoir et s'occupait de la seringue pour me piquer, j'avais les fameux comprimés mais là j'avais besoin de sucre immédiatement dans mes veines. "Je peux le faire." Dis-je en la regardant. "Mais non je m'en occupe." J'avais un peu peur, une personne qui piquait pour la première fois pouvait faire très mal mais je ne sentais presque rien. "Je vais faire un tour dans le palais." Olga hochait la tête, elle repartait à table elle finir son repas en regardant Anya.

Kenny partait après ce que j'avais dit en m'lançant un sympa ... Je vois pas le mal, c'est la vérité. On allait se faire chier avec sa mère, alors qu'on aurait pu être avec nos amis. Qu'on aurait pu faire la fête comme on avait pu le faire lorsque nous n'étions pas ensemble. Olga me disait que j'avais manqué de respect. Je levais les yeux au ciel. Anya ! disait mon père pour me réprimander. Je lâchais mes couverts, j'étais juste écoeuré. Joyeux Noël à tous, c'est toujours un plaisir de venir ici dis-je en sortant de table. Je partais dans le bureau de mon père rapidement, comme je le faisais à chaque fois d'ailleurs, j'allais m'asseoir en dessous du bureau. Olga qui prenait toujours la défense de Kenny puis en passant devant la cuisine je l'avais entendu. Même si on m'offrait des câlins ici, personne me traitait comme on traitait mon mari et ma fille. Je n'avais pas le droit à tant d'attention, ils n'avaient jamais été comme ça , avec moi, tout autant qu'ils sont et Kenny qui faisait sa victime à partir faussement vexé par ce que j'avais dit. Oui on allait s'ennuyer et ça aussi il le savait alors pourquoi le prendre mal. Il ne m'en avait même pas parlé. J'étais juste heureuse d'être là ce matin et pourtant là, je n'avais qu'une hâte, rentrer chez moi, à Cambridge. Je tapais mon pied contre le bois du bureau tellement j'étais énervé et c'est surement 30 minutes après avoir été seule, que je descendais à nouveau en bas. Je prenais Alessia sans rien dire, je remontais pour lui mettre une grosse veste, je changeais mes escarpin pour des bottes, je prenais moi aussi une grosse veste et je partais dans le jardin. Celui qui était sous la neige, celui ou se trouvait un énorme sol pleureur près de la rivière gelée. C'était beau, j'avais toujours aimé ce paysage et pourtant, je rêvais d'être sur une plage en cet instant.

Je faisais le tour du palais, regardant le jardin dehors, j'avais envie de faire un bonhomme de neige seulement ce n'était plus de mon âge, j'étais adulte et papa, je pouvais pas. Je refoulais tout, Anya m'en voulait en plus, si elle savait, si elle savait que tout ce que je faisais là c'était pour faire une super surprise, fallait tenir entre 4 jours ça allait être dur, je suis sur que je craquerais avant. Je marchais encore allant dans les salles de réunions, je regardais un peu tout quand Olga m'interpellait en me disant qu'Anya était dehors avec Alessia. La bonne excuse, je fonçais directement prendre mon manteau, des chaussures chaude et mes gants pour les rejoindre. Une fois dehors, je prenais une petite boule de neige dans la main que je lançais dans le dos d'Anya. "Râleuse." Dis-je en avançant vers elle. Alessia avait envie de s'amuser, elle riait, je commençais à prendre de la neige pour la mettre dans un coin. "On lui fait son premier bonhomme de neige?" demandais-je en regardant Anya. Elle m'en voulait surement encore, elle allait me dire non et faire la tête mais j'essayais, je testais le terrain comme je pouvais, amusé et joueur. J'étais un peu plus de bonne humeur, ça contrastait énormément avec ma sortie de table tout à l'heure et au fond j'espérais qu'Anya soit aveuglé par la colère pour ne pas voir ce changement si brutal de situation car elle savait qu'une rechute était possible, que ma tumeur pouvait apparaitre de nouveau et j'espérais sincèrement qu'elle n'y pense pas en me voyant si content.