KENYA ❄ Si on s’en sort, fais moi penser à te dire merci.

Son baiser était divin. Sa question me laissait un peu perplexe et aussi sa réaction. Pourquoi niquel ? Il revenait prendre mes lèvres, sa main contre ma nuque, l'autre qui glissait le long de mon corps pour aller se loger dans ma hotte à moi. Sa langue était exigeante, je tentais de répondre moi aussi mais avec ce qu'il faisait c'était éprouvant. je soupirais contre ses lèvres en tentant de suivre ce baiser, en appuyant un peu plus sa main. Je susurrait son prénom en serrant un peu les jambes comme pour l'emprisonner et je pus enfin reprendre ma respiration lorsqu'il coupait court au baiser. Okay Keny je crois que j'ai saisie dis-je contre ses lèvres, bien qu'il continuait à parler. J'hochais la tête, avec un sourire sur les lèvres en l'entendant C'est certain, c'est contre l'esprit de Noël il me pressait pour aller dans le bureau de mon père c'est alors que je me souvenais de ce qu'il avait pu me dire sur ce lieu. J'ai toujours aimé les cloches de Noël, j'ai toujours aimer les secouer et jouer avec, elles sont tellement harmonieuses j'entrais dans son jeu, j'avais pu sentir qu'il avait aimé tout à l'heure même si je me surprenais moi même à faire ce genre de chose. Je me levais du bain, j'attrapais un seul peignoir pour le mettre à Kenny lorsqu'il sortait, puis finalement, je collais bien mon dos contre son torse, je passais mes bras dans les grandes manches, avec celles de Kenny pour fermer ensuite le peignoir. C'était drôle et assez compliqué pour marché, mais je ne voulais pas perdre la chaleur de son corps, sauf que lorsque nous avancions le peignoir s'ouvrait. Finalement, je le faisais tomber pour me retourner vers Kenny, attrapant son bras pour le tirer vers moi, tout en marchant en arrière Je serais pas contre le retour du père Noël tout compte fait dis-je en me mordillant la lèvre

Mon dieu de l'air. Elle entrait dans mon jeu, elle maniait les mots avec une telle… Je n'avais même pas les mots mes yeux la dévoraient totalement parce que je l'imaginais jouer avec les cloches, parce que j'avais envie qu'elle les prenne, je… Mes pensées s'embrouillaient de plus en plus. "Je pense que tu vas les adorer celles-là." J'avalais une nouvelle fois ma salive, j'avais chaud sortant rapidement du bain, je remarquais que mon esprit n'était pas le seul à être bouillant, une autre partie de mon corps aussi. "Tu crois vraiment que c'est une bonne idée?" demandais-je en la sentant contre moi. Elle et moi dans le même peignoir? Sérieux? Je marchais avec elle, je rigolais un peu jusqu'à ce qu'il s'ouvre dieu merci on était dans la chambre quand il avait décidé de faire ça. Elle faisait tomber le peignoir se tournant vers moi avec un regard de tigresse. "Tu sais que quand tu te mords la lèvre ça à tendance à… recharger les piles de tes jouets?" dis-je sérieusement. J'étais dans le thème Noel, les cadeaux, le père noël. Mes bras l'encerclaient, mes mains caressaient son dos lentement jusqu'à la pousser au pied du lit pour qu'elle s'asseye. "Attend ici et sois sage." Sensuel, chaud, je la dévorais, je l'embrassais avec la même passion, la même exigence que tout à l'heure, c'était sauvage à la limite. Partant avec hâte dans la salle de bain, j'enfilais mon caleçon père noël, la veste du costume du même personnage ainsi que mon bonnet rouge. Cette fois pas de barbe c'était le père noël sexy et tatoué qui faisait une très belle entrée sur la chanson jingle bels qui sortait de mon téléphone. "Anastasiya Kovalevski est sur la liste des enfants très sage, tout à l'heure nous n'avons pas eu le temps de tester vos deux jouets je suis très à cheval sur ça alors pour me faire pardonner je vais vous donnez une grande canne à sucre, j'espère que ça comblera ta tristesse." Dis-je avec un air coquin et sensuel. Adieu. On était tous les deux irrécupérable.

J'étais assez surprise de la réaction de Kenny. Je ne faisais que l'imiter, entrer dans son jeu mais lui avait l'air d'y prendre goût. J'avais envie de rire, car c'était d'une coquinerie humoristique J'en suis certaine bébé lui dis-je dans un clin d'oeil qui cachait bien des choses. J'attrapais un peignoir, un seul et unique peignoir pour deux. Je riais en l'enfilant à mon époux pour me mettre devant lui et l'enfiler à mon tour. Je fus surprise de sentir Kenny dans une forme aussi ... magique, l'ambiance de Noël surement. Non, je pense que c'est une terrible erreur mais je trouve ça drôle dis-je en avançant la jambe droite, puis la gauche, attendant que Kenny suive mes mouvements. Le peignoir terminait par s'ouvrir, fort heureusement nous étions encore dans la chambre et non dans le couloir. Finalement, j'enlevais le peignoir à Kenny, voulant plutôt qu'il remette son caleçon et sa petite veste spécial Noël Ah oui ? Comme ça ? demandais-je en le refaisant, avec un petit sourire au coin des lèvres pour finalement hausser une épaule C'est vachement économique comme pile, ça marche comment ? énergie économique ? Electricité ? Testostérone peut être ? j'arquais un seul sourcil, alors que monsieur me pousser au pied du lit en me faisant m'asseoir. Je devais attendre. Je croisais les jambes, posant ms coudes sur le sommet de mes genoux et mon visage dans le creux de mes mains. J'attendais quelques minutes, me laissant tomber en arrière finalement en m'étirant un peu puis une musique venait se faire entendre cinq minutes après. Je me relevais bien assez vite pour moi mon mari vêtu en père Noël sexy marchant au rythme d'un chant de fin d'année. Je posais ma main contre mes lèvres en l'entendant, je riais dedans. Mon dieu, c'était juste invraisemblable et tellement drôle, j'aimais notre complicité. Ca dépend grande comment dis-je en me relevant pour toucher le manteau rouge et blanc de mon époux, ma main glissé pour tâté la canne à sucre Elle m'a l'air parfaite je me mordillais la lèvre sait-on jamais si ça lui permet de grandir un peu plus On va le voir ce sapin, c'est pour le respect des traditions ... on a de la chance, la mère Noël est connue pour son sens du partage et sa générosité un clin d'oeil et je pinçais le tissus du caleçon de mon mari pour l'entrainer avec moi dans le couloir, faisant tout de même attention que personne n'y soit, parce que c'est bien beau mais Kenny était déguisé en père noël et j'étais en petite tenue, oui parce que j'avais profité lorsque Kenny se changeait pour enfiler un body rouge, toujours dans l'esprit de noël. Je n'avais pas enfilé celui qu'il avait déjà vu avec les ficelles, parce que je le lui réservais pour plus tard. J'ouvrais la porte du bureau, le feu de cheminé était toujours flamboyant, le sapin toujours allumé, la neige tombait toujours dehors et ... nous étions seuls

Pile de mon jouet, on avait encore pleins de bêtises à dire je peux vous le dire moi. "Non du tout, ça marche par stimulation visuelle !" dis-je en haussant les épaules. "Suffit que mes yeux voient ma femme pour tout déclenché c'est de la haute technologie." Je la poussais au pied du lit, amusé, j'allais lui faire le retour du père noël, son père noël, le seul et unique. Dans la salle de bain, je me dépêchais, j'enfilais même un nœud autour de mon jouet, bon ok j'avais hésité, je savais pas trop si elle n'allait pas rigolé comme une folle car moi j'étais parti dans un fou rire tellement incontrôlable que je mis 5 bonnes minutes à sortir de la salle de bain sur la musique de noël la plus connue. Dès mon entrée, elle riait, je la perdais déjà sous mes phrases, on n'allait pas aller loin tous les deux si ça continuait surtout vu le petit body rouge très sexy qu'elle portait. "Bien grande, très grande." Dis-je le plus simple du monde, elle venait à moi, je la regardais souriant un peu, je voulais l'embrasser seulement je sursautais quant elle me touchait de la sorte, je m'attendais pas à ça genre tout de suite. "Tu vois, crois moi la prochaine fois en plus, elle a revêtis son plus bel habit pour l'occasion." Le pire dans l'histoire c'était que je la regardais se mordre les lèvres dans sa tenue et il me fallait tellement de contrôle sur moi pour essayer de ne pas l'embrasser tout de suite, la prendre contre moi et la faire mienne. "Aie." Riais-je après ses mots. "Oui bien la mère noël à fait bobo à son cadeau." Je passais ma main à travers le bout de tissus pour frotter essayant de dissiper la douleur car ça faisait mal ses petits doigts même en marchant vers le couloir, on se mettait même à courir tous les deux, je rigolais un peu, deux gamins qui allaient faire des bêtises dans un lieu interdit. "Han mais qu'est-ce que vous me faites faire madame Kataieva !" dis-je en fermant la porte du bureau du paternel de la russe. Je lui prenais la main pour l'attirer contre moi. "T'es sur que tu as été très sage cette année?" demandais-je avec des petits yeux brillants. "Parce que déjà rien que ce matin, je peux dire que non et je pense que ça mérite une… punition." Je glissais ma main sur son fessier, mes lèvres dans son cou, je ne faisais pas peur, pas du tout même surtout que la seconde d'après je la déposais sur le bureau d'Igor pour l'embrasser langoureusement.

J'avais juste tellement envie de rire, ce n'était pas compatible avec la situation mais ça l'était avec Kenny. Cet homme me ferait certainement mourir de rire un jour. J'attrapais l'élastique du caleçon de Kenny pour le tirer en dehors de notre suite. Nous regardions dans le couloir, voir si le périmètre était libre. RAS. Nous nous mîmes à courir comme des dératés dans le couloir entre deux rires et c'est essoufflés que nous arrivions dans le bureau de mon paternel. C'est pas bien de rejeter la faute sur moi, père Noël je riais un peu , Kenny fermait la porte pour revenir rapidement vers moi. Il me demandait si j'avais été sage, ce matin je ne l'avais pas été. J'avais été assez blessante et je le savais au fond, mais j'avais l'impression aussi que c'était justifié, que sans sa surprise et sans sa ténacité je ne me saurais pas mise autant en colère J'ai eu des moments avec mais aussi sans, mais je peux me rattraper dis-je en haussant la tête, petite moue sur les lèvres et alors que j'allais pour l'embrasser, monsieur glissait sa main contre mon fessier , ses lèvres dans mon cou pour finalement me porter et me déposer sur le bureau de mon père. Alors ça fait quoi de réaliser son rêve ? dis-je en remontant mes jambes contre son bassin, je regardais le bureau, je riais en voyant une photo de mon père et moi, je la montais à côté de mon visage avec un sourire sur les lèvres, attendant la réaction de Kenny. Oui , j'étais certaine que ça allait lui donner encore plus d'envie, il avait cette rancoeur contre mon père qui avait besoin de s'extériorisé, une rancoeur qui datait de sa première visite au palais, moment où nous avions annoncé nos fiançailles.

Je rigolais en fermant la porte. A coup sur on allait se faire repérer si on ne se calmait pas très rapidement tous les deux, j'avais presque 30 ans, elle avoisinait les 25 ans et regardez nous, on se comportait comme des ados de 16 ans, on était mariés, on avait une fille et on était ensemble depuis deux ans, je peux vous dire que j'avais l'impression que rien ne changerait on serait toujours aussi fou ensemble. "C'est vrai, je suis pas un gentil père noel mais je vais me montrer bon avec vous." Je lui tirais la main pour l'attirer contre moi, glissant ensuite mes doigts sur son fessier. "Va falloir bien vous rachetez." Murmurais-je en laissant mes lèvres aller dans son cou et sans crier garde je la déposais sur le bureau. J'étais aux anges et encore le mot était faible c'était mon fantasme que de faire l'amour à mon épouse sur ce bureau. "Je l'ai pas encore réalisé, t'es habillé." Chuchotais-je avant de voir la photo. Se fut le drame si au début j'étais excité comme une puce, que j'avais envie de la faire mienne tout de suite, le fait de voir Anastasiya tout petite à coté de son paternel me rappelait ma fille, notre fille. Je prenais même le cadre, regardant Anya puis la photo, je peux vous dire que la douche froide je la sentais me frôler. "Putain comment elle te ressemble Alessia." Lâchais spontanément. "Ta tout gâché mère noël." Dis-je en prenant mon bonnet pour lui mettre sur le sommet de sa tête à elle en tenant le cadre. "En fait notre fille a rien de moi, regarde c'est elle." Dis-je en tapant mon index sur la vitre. J'étais dégouté, je reniflais un peu, tout ce qu'Alessia avait de moi c'était son rapport avec la nourriture, joie.

Ravie de voir que t'es tellement excité que t'as même pas vu que j'étais habillé et en rouge en plus.. j'me suis dit, rendons un peu plus fou le taureau dis-je en secouant le haut de mon buste en riant, comme pouvait le faire les corridors. Cependant, après, je montrais une photo de mon père et moi, je m'étais trompé, j'avais prise celle ou j'étais enfant et non celle qui datait de l'année dernière. La loose. Kenny se détachait de moi pour prendre la photo. Je ne sentais plus la chaleur de ses mains contre mon fessier. J'avais soudainement froid. Il me parlait d'Alessia, je tentais de lui enlever la photo, de déposer des baiser contre la peau de ses bras qui m'était offerte. Tu m'as déjà vu enfant ... Kenny allait ... mes jouets dis-je en levant les yeux au ciel. J'avais le droit au bonnet du père noël, si j'avais su que c'était ça mon jouet, j'aurais pas autant fantasmé. Je croisais les jambes, en appuyant une main devant moi, c'était reparti pour la thérapie. C'est exactement ça, elle a tout de moi, elle a rien de toi mais si tu te mets enfin en route, peut être bien qu'on aura un second enfant qui ne te ressemblera qu'à toi, un petit garçon mais pour ça, il va falloir que ton énergie visuel se remette en route rapidement

Je rigolais quand elle s'agitait, j'y répondais même en faisant le même geste. "Olé !" m'écriais-je avant de passer mes mains dans ses cheveux, je l'aimais de trop on était si complice, parfois ce n'était pas de l'amour entre nous une vraie amitié par contre oui, elle a la fois ma meilleure amie et ma femme, la mère de ma fille et aussi ma copine des 400 coups, la preuve, elle ne rechignait même pas à le faire ici. "Puis j'ai vu, c'est en parti pour ça que ta canne à sucre de consolation s'agrandit." Cependant tout prenait un peu fin prématurément, Anya me montrait une photo et quand je la regardais bien tout ce que je voyais c'était Alessia. Je faisais des gros yeux, je regardais Anya puis le cliché, je lâchais même tout emprise sur elle jusqu'à ses baisers, je me laissais faire, honnêtement ça me dérangeait pas, je veux dire la douche froide n'était pas au dessus de ma tête mais je pensais à notre fille, elle avait rien de moi. "Oui tes jouets." Dis-je en regardant le cliché, je lui mettais le bonnet du père noel jusqu'à ce qu'elle croise les jambes. Oups. La porte de ma grotte venait de se fermer à double tour, j'avais raté le coche. "Anya dis pas ça d'accord?" dis-je sans rire. "Tu veux pas d'enfant maintenant, ta juste envie de faire l'amour encore ça je le comprend j'ai envie mais me met pas la carotte sous le nez en disant un deuxième enfant, de toute manière on sait qu'on est pas prêt, regarde nous." Je posais mes mains sur ses hanches, défaisant ses jambes pour qu'elle les repasse autour de moi. "On est deux gosses à faire des bêtises chez ton père." M'amusais-je à dire en frottant mon nez contre le sien. "Le père noël te donne la permission de jouer avec ses jouets maintenant." Terminais-je en l'embrassant langoureusement, mes mains glissant sur son corps, sa silhouette, ses hanches son fessier, tout.

J'étais démasqué, je levais mon regard vers Kenny qui ne riait plus, qui me demandait de ne pas dire ce genre de chose là. Je me mordillais la lèvre inférieur instinctivement, parce que c'était une absurdité. Je savais que nous n'étions pas encore prêt pour un second enfant et je n'en voulais pas un tout de suite d'ailleurs, je voulais qu'Alessia puisse grandir, elle n'avait pas encore un an. Lui aussi me confirmait que nous n'étions pas prêt, j'étais heureuse qu'il le pense aussi, ses mains se reposaient sur moi. Voyez ce que ça veut dire, l'abstinence plus une dispute. J'étais capable de bien des choses juste pour qu'il me fasse l'amour. Je voulais ma réconciliation sur l'oreiller. Il repassait mes jambes autour de sa taille, je m'avançais un peu je souriais à son bisous esquimaux avant qu'il ne me donne l'autorisation d'ouvrir mes cadeaux.Alors que je glissais mes mains contre da taille, je longeais son "v" pour aller titiller l'élastique de son caleçon avant qu'il ne m'embrasse. mes jambes pliées, remontaient d'autant plus contre lui partageant ce baiser qui me remettait totalement dans l'ambiance, de mes mains, je poussais un peu les affaires de mon père sans vraiment le vouloir, les faisant tomber au sol. Kenny dis-je en souriant, rompant notre baiser tout en le regardant alors que je lui retirais son caleçon. Je baissais les yeux vers ma canne et mes boules de noël que je caressais avant de voir le noeud. Je me reculais un peu en plaquant ma main contre mes lèvres pour rire. T'es allé jusque là ? T'es complètement fou, j'espère que tu n'apas eu l'aide de tes petits lutins dis-je en riant encore , lui volant un baiser sur les lèvres avant de poser mes mains sur la canna à sucre pour faire glisser doucement mais surement le noeud sans le défaire.

Je voulais pas qu'elle dise ça, parler d'un second enfant non, elle pouvait me faire du chantage, crier tout ce qu'elle voulait mais y avait des sujets comme celui-là que j'avais pas envie de plaisanter parce que le jour ou on déciderait éventuellement d'en avoir un second, je voulais que l'on soit sur que l'autre ne blague pas comme la dernière fois. Oui car moi je gardais encore un gout amer d'une blague, d'une soirée ou on avait soit disant essayé de faire un autre bébé alors que chacun de nous n'osait pas dire à l'autre que c'était juste une connerie, que l'on en voulait qu'un car pour être honnête, j'étais égoiste. Alessia mangeait le temps de ma femme alors imaginez si y en avait un autre, déjà y avait le temps de la grossesse puis la petite à gérer, moi je passerais en dernier et en rigolais tellement tous les deux, on était tellement complice, on avait un amour trop fort que du coup c'était impossible d'avoir des tonnes d'enfants, soyons honnête. Je l'embrassais même là je sentais que nous étions en osmose, la passion nous consumait et le rire n'était pas très loin quand elle longeait de ses fines mains mon corps, elle regardait même ce qu'elle faisait juste à retirer mon caleçon de père noel. Tadam ! J'avais envie de le dire mais je ne le faisais pas surtout qu'elle se mise de nouveau à rire en voyant le nœud. "Bien c'est un cadeau, je me devais de mettre du ruban." J'étais sérieux malgré mon sourire sauf que la seconde d'après je rigolais. Petits lutins, non mais je regardais mes doigts. "Bah bien sur qu'ils m'ont aidés d'ailleurs tu sais avant que tu puisses jouer avec tout ça, ils vont devoir vérifier si tu es vraiment sage et du coup, explorer, toucher et tout sauf si tu es impatiente dans ce cas là…" sifflotais-je coquin en laissant mes petits doigts glissés le long de son corps pour faire tomber les ficelles et qu'elle se retrouve complètement nue.