Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityKENYA ❄ Si on s’en sort, fais moi penser à te dire merci. - Page 7
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KENYA ❄ Si on s’en sort, fais moi penser à te dire merci.

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Je me sentais étouffé. Tous le monde me jugeait, surtout Olga. J'avais juste l'impression d'avoir aucune considération dans cette famille par moment. M'a-t-on juste faite pour la succession ? Juste pour assurer notre lignée ? Avais-je été au moins désiré ? Je soupirais en prenant Alessia pour aller nous changer et affronter le froid. Deux écharpes, deux bonnets, deux paires deux gants, deux manteaux et deux paires de bottes furent rapidement enfilé pour que nous puissions sortir. Je serrais Alessia contre moi, lui montrant le décors, je la posais au sol jusqu'à recevoir une boule de neige dans le dos. Kenny, je ne me retournais même pas à vrai dire. Je détestais ça, qu'il revienne vers moi comme ci de rien était. Comme ci rien ne s'était passé. J'avais voulu être seule, il était venu. Tu penses que tout va s'envoler comme par magie ? Que je vais tout oublié ? Tu me sors ça comme ci de rien était et en plus à cause de toi ma grand mère me juge Je le poussais pour le faire tomber dans la neige et lui faisant manger un peu de neige Tu m'énerves ! dis-je en laissant mes fesses tomber dans la neige à mon tour T'as si peu de considération pour moi que tu prends même pas la peine de me demander mon avis ? Tu peux appeler ta mère et lui dire que je viendrais pas et si ça veut dire qu'on ne fêtera pas le nouvel an ensemble, tant pis !
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Elle avançait, je la regardais en fronçant un peu les sourcils puis bam je tombais au sol, bon ok elle avait pas non plus pousser énormément, j'avais glissé aussi avec mes chaussures. "Mais elle te juge pas, elle a pas appréciée que tu parles de ma mère comme ça c'est tout." Dis-je en la regardant, les fesses au sol, Anya me rejoignait avec Alessia, elle était si contente, elle n'osait pas trop toucher au début puis après elle s'amusait bien. "Tu viendras Anya même s'il faut te tirer dans le jet, tu viendras crois moi." Je la regardais sérieusement pour le coup, j'étais bien décidé à la mettre dans cet avion, je n'avais pas tout organisé, convaincu Igor et Irina pour rien quand même puis en plus je suis sur qu'elle sera trop contente, elle aimait la neige mais moins que le soleil. Les yeux posés sur elle, je touchais la neige en lançant un peu à Alessia qui rigolait. "On le fêtera ce nouvel an tous les deux." Je me relevais, je retirais un peu de neige sur moi, on était en froid pas vraiment de mon coté, j'étais juste déterminé, elle pouvait le voir, je n'en démordrais pas et je pouvais aller très loin pour qu'elle vienne avec moi, je ne demandais pas non plus la lune juste fêter le nouvel an avec ma mère et ma petite sœur officiellement.
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A quel heure j'ai mal parlé de ta mère ? Non parce qu'il me semble pas l'avoir ciblé, j'ai juste dit qu'on allait se morfondre en regardant la télé.... Tu m'excuseras mais c'est bien le genre de ta mère à regarder le décompte à la télé dis-je en roulant des yeux. Je n'avais pas prononcer d'insulter à son encontre non ? Je n'avais rien insinué sur ma belle mère non plus mais sur la situation qu'on allait vivre. Kenny était à genoux, je le poussais pour le faire tomber dans la neige et lui mettre plein de neige sur le visage lorsqu'il me disait que j'allais entrer dans le jet que je le veuille ou non. T'es en train de faire quoi ? De me forcer ? Y'a pas un chèque qui dis que tu me laisses faire ce que je veux par hasard ? dis-je en croisant les bras contre ma poitrine. Non Kenny c'est pas la peine, je viendrais pas, t'avais qu'à me demander mon avis avant de dire oui et de te prononcer à ma place, en plus je te connais tu lui as surement dis que j'étais ravie blablabla Je n'avais pas envie et j'étais décidé. Il m'aurait demandé, je n'aurais certainement pas agis comme ça, sérieusement ça m'énervait qu'il se prononce pour moi J'irais rejoindre, Suzy, Athénaïs et Teddy et je fêterais Noël avec elle, au Canada ! Ou alors je verrais avec des amis ici ! oui j'étais décidé, je ne partirai pas.
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"T'es chiante ! A ce stade je sais même pas si je peux encore dire ça, tu m'énerves tellement !!!" dis-je en la regardant. "C'est lourd Anya sérieux je peux concevoir que tu n'es pas d'accord que j'aurais du te demander mais…" Tait toi, ne dis rien, je ne voulais pas tout gâcher seulement ça m'énervait tellement en cet instant que je me sentais plus, j'avais tellement envie de tout balancer, de dire la vérité. "Fais ce que tu veux, de toute manière tu le fais toujours. Va fêter ton nouvel an au Canada ou ici vu qu'apparemment le plus important c'est même pas d'être avec moi." Je me redressais puis je partais claquant la porte. Je préférais partir sinon j'allais craquer, tout dire et quand je rentrais Olga et Irina essayait de me ralentir pour qu'on discute sauf que je ne voulais rien entendre, je voulais juste sortir et depuis tout à l'heure j'avais les clés de ma nouvelle voiture dans ma poche, je montais dedans, faisant ronronner le moteur à fond plusieurs reprises, y avait que ça qui me plaisait, ça me prenait pas du tout la tête au moins, une voiture était largement mieux qu'une femme par moment. Après avoir fait un sacré dérapage contrôlé sur la neige, je partais dans les rues de St Petersburg pour m'aérer la tête au bijou de mon nouveau jouet. Elle roulait bien avec ses pneus neige j'étais à fond, y avait peu de voiture dans les rues, c'était Noel aujourd'hui, je l'avais presque oublié.
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C'était moi la chiante maintenant ? Alors oui, peut être que je radotais mais j'attendais qu'il me dise, oui, c'est vrai j'aurais dû te demander ... mais non, il ne prenait même pas la peine de le faire. J'avais juste l'impression d'être une chose qu'on trimbale, qu'on mène avec soit pour faire jolie.   Alors pourquoi tu t'excuses pas pourquoi tu me dis pas, t'as raison Anya, j'aurais dû te demandé, mais ça me ferait plaisir, LA KENNY LA, j'aurais arrêté dis-je en jetant un peu de neige plus loin, puis là, il s'énervait encore. Je baissais la tête, je n'avais pas envie de m'excuser parce que le fautif dans l'histoire c'était lui. En me disant, faut que je te parle, mais souviens toi que je t'aime, il savait que cela allait me déranger, que j'allais m'énerver, alors pourquoi le faisait-il ? Il se levait, je ne bronchais pas, non je jouais avec Alessia. Noël merdique ! Je soufflais, de la fumée sortait d'entre mes lèvres. Alessia semblait avoir froid, ses lèvres étaient légèrement violette. Je la serrais contre moi, j'entendais le moteur de la toute nouvelle voiture de Kenny gronder. Alors que j'allais pour rentrer, je le voyais partir en faisant un dérapage dans l'allée. Je levais les yeux au ciel. Quel abruti. Ma grand mère voulait me parlait, je levais ma main, lui faisant signe que je n'avais pas envie. Elle n'avait qu'à suivre Kenny était donné qu'elle se sentait plus proche de monsieur que de sa propre petite fille. Je montais Alessia dans sa chambre, elle me regardait avec des petits yeux, je la posais dans son petit lit avant d'aller dans ma chambre à moi pour me reposer un peu.
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"Oh arrête, tu aurais râlé quand même ça n'aurait rien changé, tu aurais encore trouvé le moyen de me reprocher un truc en pleine tête." Je partais. La voiture faisait un sacré bruit dans les rues de Russie, je m'amusais un peu puis une heure plus tard après avoir visité quelques petits magasins locaux je décidais de rentrer. Irina me souriait un peu quant elle passait dans le grand hall pour aller voir Alessia, bien sur que je lui rendais son sourire, ce n'était pas de sa faute, elle avait fait une fille chiante mais je l'aimais cette fille même si elle m'en faisait voir de toutes les couleurs, qu'elle me rendait affreusement dingue. Mon manteau prit par un domestique, je montais dans ma chambre, Anya se reposait sur le lit, je prenais mon ordinateur dans ma valise ainsi que mon casque avant de sortir de la chambre pour aller dans la grande salle d'hier et me poser sur une chaise. Je commençais à jouer à un jeu vidéo, seul, j'avais besoin parfois de ce genre de moment pour me calmer, pour aussi repenser à notre dispute, je ne savais pas quoi dire, elle était agacée mais pour rien finalement. Irina après avoir vu sa petite fille, tapait à la porte de sa plus grande fille, Anastasiya, personne ne vendrait la mèche, je pense, j'espère en tout cas une chose est sure moi j'étais toujours agacé tellement que même mon jeu ne suffisait pas à me faire penser à autre chose alors j'allais jouer avec des vrais boutons sur mon flipper.
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 Oh c'est vrai que tu me connais mieux que je ne me connais c'est vrai, t'es magicien tu lis aussi dans mes pensées ? En cet instant,je le détestai. Sérieusement, j'en avais marre. C'est lui faisait des choses derrières mon dos et je devais pas m'énerver, je devais dire amen. Mais oui bien sûre Kenny, tout ce que tu veux.  Mes fesses ! Il partait avec sa voiture, moi j'avais Alessia dans les bras. Je montais à l'étage en ignorant les femmes de la famille qui voulait me parler. Moi je n'avais pas envie. Vraiment pas. Pas après avoir pris la défense de Kenny, alors que j'étais de leur sang . Je dormais pas, je lisais un livre lorsqu'une heure plus tard j'entendais la porte s'ouvrir, je faisais mine de dormir. Kenny le retour. Il m'ignorait, d'ordinaire, il serait venu me voir, mais pas en ce jour de Noël. Je fermais les yeux, j'attendais qu'il parte pour ouvrir les yeux et souffler. Irina, ma mère, frappait à ma porte.  Entrée .. dis-je en me redressant un peu pour voir qui était là. Ma mère avec Alessia. Je tournais la tête, soupirante à nouveau  J'ai pas besoin de leçon de morale !  Tu devrais aller voir ton gendre et rester avec lui étant donné que t'as l'air de l'apprécier bien plus que ta propre fille. Ca aussi je le prenais mal. Ma mère se posait sur le côté de mon lit en souriant. Elle posait sa main sur ma jambe pour me la caresser.   Ma chérie, tu sais bien que tu comptes plus que quiconque pour tous le monde ici, mais t'es allé trop loin, tu devrais pas réagir comme ça avec lui, un jour il va te glisser entre les doigts à cause de ton fichu caractère je tournais la tête sur le côté, ramenant mes genoux contre ma poitrine pour ne plus la regarder. Joue contre mon genoux, je fermais les yeux, touchais par ce qu'elle me disait  C'est lui ! Tout à l'heure, avant de me le dire, il me disait " Oh j'ai quelque chose à te dire, n'oublis pas que je t'aime blabla " Il savait que ça me mettrait en colère. Je m'entend pas avec sa mère, ni avec une de ses sœurs et je fais des efforts surhumains pour lui. T'imagines sa mère qui vient me traiter de conne sous mon propre toit, me dire que son fils mérite mieux que moi et j'en passe ... alors oui, elle tente de se racheter mais ça coince, sa soeur qui me menace quand je suis enceinte de me jeter au sol pour tuer Alessia ... Hey je crois que je fais assez d'effort pour lui alors je demande juste à ce qu'il me prenne un peu en considération et qu'il me demande avant de m'inclure dans un de ses projets ma mère me caressait les cheveux, elle ne disait rien, mise à part de me calmer.   Puis vous êtes tous derrière lui avec de grands yeux comme si c'était dieu, vous le chouchoutez à longueur de temps alors que vous n'avez jamais était si prévoyant et attentionné avec moi , j'ai dû me débrouiller seule, vous m'avez envoyez en suisse dans un pensionna durant une année, puis à Harvard comme pour  vous débarrassez de moi je regardai ma mère avec des yeux assez froid   Je ferais tout pour ne pas vous ressemblez avec Alessia, parce que je veux qu'elle se sente aimé, je veux qu'elle puisse se dire, mes parents ils sont merveilleux, ils m'ont désiré et je suis tout pour eux ... oh non, je vous remercie d'avoir fait de moi la reine des glaces, cette fille que rien ne touche ma mère se levait, elle ne disait rien et partait de ma chambre. Je n'avais pas pleuré, je m'étais juste lâché. ma mère quant à elle, était tout autant dans la retenue, elle allait dans le bureau de mon père, pour laisser couler les larmes, ne se rendant pas compte que Kenny était là.
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Je m'amusais avec le flipper jusqu'à ce que la porte s'ouvre sur une Irina qui pleurait? Je me retournais, elle essayait de se cacher. "Non c'est pas la peine." Dis-je en allant vers la porte. "Je vous jugerais pas." Elle essayait de cacher ses yeux seulement Irina était comme Anastasiya et comme tout le monde, parfois une épaule sur laquelle pleurer faisait du bien et pour le coup j'enfreignais toutes les règles en la prenant dans mes bras. Je ne savais pas ce qui c'était passé, je savais qu'Anya devait être dans le coup par contre car Irina était très forte mais y avait une seule personne qui pouvait la blesser est c'était sa fille. Je n'imaginais rien d'autres qu'une blessure, sinon elle ne serait jamais venue aussi tranquillement dans le bureau. Sanglotante, je lui frottais le dos comme je pouvais faire à Alessia, comme je le ferais avec une amie, c'était ma belle-mère mais avant tout une personne que j'appréciais. Elle me confiait les paroles malheureuse d'Anya et je pouvais pas dire que tout ceci n'était pas vrai, je connaissais Anya blessée par la relation avec ses parents seulement le truc que je n'appréciais pas c'était le fait de la faire pleurer. On avait qu'une maman, on la protégeait même si elle avait fait des erreurs sur le coup elle pensait surement bien faire. "Ça va aller, elle est agacée par ma faute, elle s'en prend à tout le monde vu qu'elle peut pas me crier dessus." Irina se décollait, les yeux rougis, elle reniflait un peu en me demandant de la laisser. "D'accord." Igor ne devait pas savoir quelque chose me disait qu'il serait en colère très en colère s'il apprenait ce que sa fille avait fait à sa mère. "Bah bravo !" dis-je en rentrant dans la chambre d'Anya. "Ta mère pleure dans le bureau de ton père, elle s'attendait surement pas à avoir ce genre de cadeau de ta part enfin..." Je prenais mon téléphone, mon chargeur, petit bisou à Alessia et je repartais en claquant la porte pensant une fraction de seconde que son caractère pourrait être la raison d'une éventuelle rupture dans le passé, c'était triste mais je ne sais pas si je ne serais pas énervé dans les années à venir à cause de ça même si pour le moment je l'aimais comme pas possible.
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 J'étais tranquillement dans la chambre avec Alessia quand Kenny arrivait. Je levais mon regard vers lui lorsqu'il me disait bravo. Bravo de quoi, je n'avais rien fait. Ma mère pleurait dans le bureau de mon père. Il me parait de cadeau. J'avais envie de rire. Ma mère ne pleure jamais alors arrêtes puis ça veut dire quoi elle s'attendait pas à ce genre de cadeau ? Moi je m'attendais à ça tu crois ? dis-je en le désignant du bras. Moi je ne m'attendais pas non plus à un noël comme ça avec mon époux. Il partait à nouveau, j'étais surprise bien surprise. Je n'avais rien fait, je voulais juste pas passer le réveillon de nouvelle année avec sa mère et je me prenais tout ça dans les dents ? Je prenais sur moi encore, je ne pleurais pas, c'était facile de le faire. Je n'avais qu'une envie, c'était partir d'ici. Je ne comprenais plus rien. Puis finalement, je me levais. Moi aussi je pouvais partir. Je prenais ma fille avec moi et j'appelais une voiture pour aller dans St Peterboug pour montrer ma ville natale à ma fille, sans mon mari, sans mes parents, sans personnes. J'avais rangé mes affaires ainsi que celle d'Alessia, sait-on jamais, peut être bien que j'irais dans mon appartement dans le centre, faisant amené mes affaires si cette soudaine liberté me faisait me sentir mieux. L'ambiance au palais était intenable.
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Je ne sais pas pourquoi je partais dans le fond je n'étais pas vraiment fâché avec Anastasiya, la relation qu'elle avait avec Irina ne me regardait pas non plus, c'était surement à cause de ma vision de la famille qui ne correspondait pas du tout à ce que j'avais face à moi, tout était si différent ici, je ne me voyais pas blesser ma mère, la faire pleurer encore moins, le pire c'est qu'Anya ne me croyait pas quand je lui avais dis. Silencieux, je restais dans le couloir, tout ceci allait trop loin, c'était ma faute et je le savais cependant, je ne pouvais pas rattraper ce que j'avais causé mise à part tout lui dire. Oui allez courage seulement le temps de faire un tour rapide en bas et jusqu'à ma chambre il n'y avait plus personne dans la chambre, plus d'Alessia, d'Anya. Elles étaient parties. Mon cœur se déchirait totalement, j'avais peur, peur qu'on me retire mes femmes, peur de ne plus les revoir finalement. Je sortais rapidement, je dévalais les escaliers rapidement pour ouvrir la grande porte du palais ou je vis la silhouette d'Anya. Je sortais, sans manteau avec presque -6 dehors je m'en moquais, je voulais pas qu'elle parte c'était ridicule comme situation. "ANYA !" criais-je en courant encore. "Mais vous faites quoi, tu t'en va? Pourquoi?" On lisait la panique, Alessia secouait ses mains vers moi, je croisais les bras, je crevais de froid dehors. "Je peux pas te laisser partir." Oui elle, je parlais juste à elle, ma femme, pas notre fille, je m'en rendais pas compte, preuve au fond que j'étais très sincère dans ma démarche que j'avais plus peur de la perdre elle, qu'Alessia, oui je sais que c'était horrible.
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