KENYA ❄ Si on s’en sort, fais moi penser à te dire merci.

Je me demandais bien pourquoi mon père était venu une seconde fois toquer à notre porte. C'est pour cela que j'allais demander à Kenny. Il me disait qu'il savait, il me disait que les domestiques nous avait vendus et je peux vous dire que mon sang ne fit qu'un tour. Je n'étais pas certaine que mon père, si un jour était amené à savoir ce qu'il s'était passé dans son bureau. J'agrippais bien rapidement son bras, j'étais paniqué. Kenny va falloir que je trouve quelque chose dis-je en faisant rapidement les 100 pas. Je devais trouver quelque chose, un stratagème, des menaces, je devais aussi faire virer tous les domestiques qui nous aurait trahi. Mon cerveau fourmillé rapidement d'idée jusqu'à ce que Kenny me dise que ce n'était pas vrai. Il dû s'y prendre à deux fois pour que je comprenne. Je le regardais en tentant de reprendre une certaine contenance. T'es con, j'ai eu peur Kenny, tu sais que si mon père venait à le savoir, je suis certaine qu'il va me déshérité un truc du genre peut être qu'il mettrait l'un de mes cousins, ou l'une de mes cousines à ma place pour prendre la relève, ou alors me dire que tout était de la faute de Kenny. Que c'était une mauvaise fréquentation et qu'il ne veuille plus de notre mariage. J'irais le voir après dans ce cas, je vais prendre ma douche et c'est là que mon époux passait ses mains sur mes bras pour me demander de faire une bonne action, c'est à dire de prendre une douche avec lui. Je souriais en faisant naviguer ma tête de droite à gauche, comme hésitante. Tu crois qu'elle va être rapide ? Parce que pour économiser de l'eau je pense que c'est nécessaire ... mais si elle s'éternise .. je l'entrainai pourtant avec moi dans cette immense de douche italienne à la mosaïques noir et argent. T'as bien de la chance que je te préfère à la planête, égoïste que je suis je posais ma serviette sur le lavabo, je prenais la main de Kenny pour l'amener avec moi et ouvrir bien rapidement l'eau. massage ? dis-je en appuyant sur les jets de la douche.

"Une blague Anya, je déconnais." Dis-je encore une fois. Faut croire que j'avais tellement bien mené le jeu qu'elle ne me croyait pas, elle avait beau me fixer, j'avais beau rire, elle mit du temps à comprendre. "Te déshérité mais non voyons t'es sa fille." Seulement j'avais l'impression que c'était possible et si c'était possible alors est-ce que cela signifierait qu'il pouvait encore s'interposer à notre mariage, je voulais pas y penser, ça me faisait peur un peu parce qu'au fond même si je savais qu'Anya m'aimait plus que tout, je me demandais qui elle choisirait, sa condition ou moi, la question ne devait pas se poser d'habitude mais j'étais jamais sur de moi. Mes mains sur elle, je lui caressais sa peau, petit sourire dans le coin des lèvres, les yeux brillants amoureux, y avait rien de très sexuelle derrière ma phrase, j'avais envie de profiter du après, je reconnais que j'adorais être en sa compagnie, lui faire des bisous, la tenir contre moi, sentir son souffle contre ma peau, ses yeux aussi. "On peux essayer, comme ça on évitera de nous dire qu'on est de mauvaise foie." Sifflotais-je en la suivant avec hâte sous la douche, je retirais mes vêtements assez vite. "Je sais, je suis très chanceux, je vais frotter d'ailleurs mon porte bonheur pour qu'il continue de me porter chance." Et sur ces mots, je frottais son fessier, amusé, comme si je frottais la lampe du génie d'Aladin. "Massage." Dis-je sous la douche seulement cette histoire d'héritage me revenait en tête, je devais poser la question, c'était nécessaire. "Il peut encore s'opposer à notre mariage?" demandais-je en la regardant. "Je veux dire à celui de Russie et s'il le faisait, il se passera pour nous?" C'était important, vraiment, j'étais un peu inquiet car Igor le genre de personne très fermé dans ses sentiments, on ne le voyait pas sourire ou très peu, il avait souvent la même tête même sur les photos, je savais pas du coup si je pouvais être sur la sellette ou non.

Une fois tout deux dans la douche, je me demandais ce qu'il entendait par là,en me disant qu'il voulait frotter son porte bonheur et là, je sentis ses mains sur mes fesses, fesses qu'il se mettait à frotter d'ailleurs. Je poussais un petit cri, surprise d'ailleurs, fort heureusement, les murs du palais était bien épais. Je n'aurais jamais dû te donner l'autorisation d'en faire ce que tu veux dis-je en riant. J'appuyais sur certains boutons pour que les jets de la douche se mettent en route, histoire que les jets nous masse mais Kenny se posait une question. Une question à laquelle je n'avais pas de réponse. Je le regardais, en passant ma langue sur mes lèvres, pour me la mordre légèrement. Je ne savais pas, je me doutais de ce qui pourrait se passer, mais je n'en étais pas certaine. Kenny ... ne soit pas triste comme ça, je le vois dans tes yeux... Je ne sais pas, je pense que c'est possible, mais je ne veux pas l'imaginer, je veux pas. Je sais que tu seras mon seul et unique amour, mon mari jusqu'à la fin, parce que c'est ce que je ressens. dis-je en prenant sa main pour qu'il la pose sur ma joue. J'appuyais ma tête contre avec un petit sourire. Oublis ce que j'ai dis, c'est n'importe quoi dis-je en caressant ses cheveux mouillé et en venant poser mon visage dans son cou, pour le serrer juste dans mes bras.

"Trop tard, tu as dis que je pouvais faire ce que je voulais, voilà !" dis-je tout fier. Je souriais de toutes mes dents très heureux de lui frotter les fesses seulement les questions revenaient c'est ça quand on était adulte, on se posait toujours des tonnes de questions, j'étais toujours dans le flou à cause de la famille d'Anya parce que je ne connaissais pas les coutumes de ce pays. En plus Anya avait l'air de ne pas savoir ou pire de ne pas vouloir me le dire, elle se mordait la lèvre, je la regardais, je devenais de plus en plus triste. Je crois que ça pouvait pas être pire, si Igor s'opposait à notre mariage je serais déchiré parce qu'Anya voulait être héritière du trône de Russie, elle voulait ce statut et je savais que je ferais tâche si nous n'étions pas mariés devant tout le pays alors notre relation deviendrait quoi? Elle prenait ma main, je lui caressais la joue en faisait un sourire très mélancolique. Ses paroles étaient belles, pas réconfortante parce que je voulais juste entendre qu'elle resterait avec moi, qu'elle me choisirait. "Non j'oublie pas." Chuchotais-je en la prenant dans mes bras. Je la serrais bien fort, ça m'avait refroidit cette histoire, je me disais qu'en fait notre relation tiendrait si personne ne se mettait en travers notre chemin, j'étais triste, déçu, ça me faisait déjà mal au cœur. "Bon allez." Je souriais, je faisais bonne figure alors qu'au fond mon cœur se découpait en petits morceaux. "On fait pas d'économie sinon." Je prenais le shampoing pour entreprendre un petit nettoyage de cheveux de moi, j'étais complètement parti ailleurs.

Kenny se posait tout un tas de question maintenant. Je ne savais pas réellement ce qu'il se passerait dans ce cas là. Je ne sais pas ce que mes parents feraient. Je tentais de réconforter Kenny comme je le pouvais, en lui disant que je l'aimais, que je le voulais avec moi, jusqu'au bout mais il avait l'air si triste. J'avais appris à reconnaître chacune de ses expressions. Je le prenais dans mes bras, après avoir caresser ses cheveux pour le serrer contre moi. Je lui demandais d'oublier, mais lui ne le voulais pas. Je soupirais un peu, je le serrais d'autant plus jusqu'à ce qu'il ne se détache. Je le regardais faire, subitement, il faisais comme ci je n'étais plus là, il ne me donnait plus d'affection, alors que d'ordinaire, il aurait déposer un baiser dans le creux de mon cou, sur ma joue ou bien sur mon épaule ... Je le regardais, je ne bougeais pas, l'eau ruisselé sur mon visage, je clignais des yeux plus lentement que d'habitude à cause des gouttes d'eau. Je t'ai déjà choisis une fois contre l'avis de mon père, je lui ai fait changé d'avis ... tu penses que je ne tenterais pas une seconde fois ? Bien entendu, je ferais tous pour rester avec lui, puis ce n'était pas si simple. Nous étions déjà marié, nous avions un enfant ensemble et .... la Russie nous connaissais déjà comme telle. Je ne savais pas réellement si j'étais prête à abandonner mon rang. J'étais née pour cela, c'était mon avenir, que ferais-je si je n'avais plus ça ? Cependant, je savais aussi que je ne pouvais vivre sans l'amour de ma vie. Kenny. Rapidement, je me rinçais après m'être frotté pour sortir de la douche sans lui laisser réellement le temps de répondre.

J'étais si perdu, Anya me parlait, je la regardais, elle n'avait pas tord, elle m'avait déjà choisi pourquoi est-ce qu'elle ne le referait pas cependant avant même que je n'ai pu parler, elle partait. Je la regardais faire avant de la suivre une fois que je m'étais rincé. "Je te veux pas triste c'est tout." Dis-je simplement. "Je sais que tu le sera, la Russie c'est tout pour toi, ce pays, ce futur métier, en fait c'est même pas un métier, tu le veux tellement je sais pas comment l'appeler enfin je me pose pas de questions je me dis juste que si ton père changeait d'avis, je le prendrais très mal mais entre nous ça changerait rien." M'approchant d'elle, je la prenais dans mes bras, la regardant droit dans les yeux, passant mes mains dans ses cheveux pour lui voler un baiser. "La question se pose pas toute manière on va se marier en janvier." Chuchotais-je totalement amoureux d'elle. Les yeux dans les yeux, je déposais des tonnes de petits bisous sur son visage. "Allez file toi, tu dois voir ton père, il va dire après que j'ai pas passé le message, je vais en prendre plein la tête." Riais-je en la serrant bien fortement. "J'attends et après ça te dis qu'on aille faire ce fameux bonhomme de neige avec Alessia?" Je me doutais pas une seule et unique seconde qu'Igor pensait que j'avais fouillé et même volé dans son bureau car évidement il avait remarqué l'absence des chocolats.

Je m'enroulais dans une grande serviette en coton blanc en sortant de la douche, je n'avais pas attendu que Kenny me réponde. Je ne savais pas quoi dire de plus Ma destinée dis-je en mettant le doigt sur le mot qu'il voulait probablement dire. Si mon père changeait d'avis, entre nous rien ne changerait ... t'entend quoi par là ? lui demandais-je un peu surprise mais ravie Oui la question ne se pose pas, je ne veux pas qu'elle se pose et je ferais tout pour qu'elle ne se pose jamais mais garde à l'esprit que j'ai déjà renoncé à un mariage arrangé pour toi et que mon père en était l'initiateur et pourtant aujourd'hui, nous sommes là tous les deux, nous sommes déjà marié, nous avons une magnifique petite fille, nous allons officialiser ça en Russie en janvier et tu seras mon tzar ça, par contre, je n'étais pas certaine qu'il est compris qu'il était duc lui aussi maintenant , que lorsque je prendrais la succession, il sera lui aussi, à la tête de la maison impériale à mes côté et qu'il sera tzar de Russie. Je plongeais mon regard dans le sien mais rapidement, je fermais les yeux en sentant ses baisers sur mon visage. J'y vais ... et oui,je veux qu'on aille faire ce bonhomme de neige avec Alessia je déposais un baiser sur son menton pour me retourner et aller dans la chambre, je faisais tomber ma serviette au sol, le menton contre mon épaule en lui envoyant un baiser, avec un petit clin d'oeil pour rapidement m'habiller. J'optais pour un jeans taille haute étant donné que nous allons allé dehors, exit les robes. Je mettais aussi rapidement un haut à manche trois quart avec un décolleté arrondis qui ne couvrait pas mes épaules, enfilant une veste en cuir au passage. J'allais voir mon père, il me comptait ce qu'il pensait et je riais. Ce n'est pas Kenny, nous étions tous les deux collés l'un à l'autre cet après midi, fiévreux à cause du repas ... d'ailleurs c'était passager, une petite intoxication alimentaire. Pour vos chocolats, j'ai vu oncle Vladimir, ce matin, vous les subtilisez en cachette pendant que nous ouvrions nos cadeaux, vous devriez faire attention à Vlad, un vrai goinfre mon père était rassuré, je déposais un baiser sur sa joue avant de rejoindre Kenny dans la chambre en courant. Je fermais la porte en riant, je rejoignais Kenny qui était allongé sur le lit avec son téléphone, je lui montais dessus, posant son téléphone sur le côté et en laissant tomber mon front contre son torse en riant. Mon père, pensait que tu avais dérobés des papiers dans son bureau et que tu lui avais pris ses chocolats français, s'est-il appliqué à me dire, mais soit tranquille, apparemment, j'aurais vu oncle Vladimir les mangé en cachette ce matin

"Rien ne changerait dans le sens ou je resterais. Je partirais pas, si tu veux que je partage ta vie et qu'on ne soit pas un couple officiel bien tant pis, j'ai appris avec le temps que le mariage était important mais qu'il ne faisait pas tout, je veux pas être loin de toi, je veux rester à tes cotés même si je dois me planquer sous le lit pour te voir." Je riais un peu d'ailleurs, dans mes bras, je commençais à voir les choses autrement, Anya m'aimait, le vrai du fond souci c'était éventuellement Igor. "Dis pas ce mot, ça me fait peur." Avouais-je avec une petite moue. J'avais peur, je veux dire je savais pas ma condition, j'en avais pas réellement conscience déjà que j'avais du mal à m'occuper de moi et de ma famille par moment alors en plus si je devais gérer avec Anya un pays, non mais oubliez. En plus je n'avais aucuns cours, personne, je ne savais pas comment me comporter, je pense que j'irais voir Irina pour lui demander des conseils car quelque part, je serais la première dame, ce qui me faisait rire. "Je t'aime toi." Dis-je en lui volant plusieurs baisers. "Dis tu sais…" Je m'apprêtais à rajouter un truc quand sa serviette tombait. "Fais la femme comme ça à m'aguicher quand tu vas connaitre le Kenny en colère tu vas voir toi." Je rigolais légèrement avant de reprendre le cours de ma phrase du début. "Je disais donc madame… Euh… Pff t'es chiante je m'en souviens plus !" Je pestais, elle me déstabilisait de trop avec sa tenue, elle était divine, j'adorais la voir en blanc en plus à mes yeux c'était très beau. Anya partait, je m'habillais à mon tour, t-shirt noir, gilet noir et un peu gris avec un pantalon foncé et hop j'allais dans le lit avec mon téléphone. Je regardais mes mails, l'actualité, mes sms aussi sans compter les réseaux sociaux avant qu'Anya arrive comme une folle en sautant sur moi. Son sourire était communicatif tout comme son rire quelques secondes plus tard. "Qu'est-ce qui a?" rigolais-je en passant ma main dans ses cheveux délaissant mon téléphone, je l'écoutais et je riais en plus. "Ah bah c'est beau ça, tu mens depuis quand toi." Riais-je avant de penser aux papiers. Igor allait les retrouver, ils étaient juste mal classés. "Fou quand même il ose m'accuser que je vole ses papiers, attend c'est écrit en russe, ta vu mon niveau." Riais-je encore. "J'ai trop cru qu'il allait te sortir qu'il avait installé des caméras dans son bureau et qu'il nous avaient vu, on aurait été dans la merde mais jusqu'au fond." Caressant toujours ses cheveux, j'attirais son visage pour l'embrasser délicatement. "Petite délinquante."

[b Tu serais capable de te cacher pour rester avec moi ? ][/b] c'était juste la plus belle déclaration au monde. Certes, nous nous étions cachés au départ, mais notre relation avait bien évoluée depuis ce temps et le fait de savoir qu'il serait capable de se cacher sous le lit pour qu'on se retrouve chaque soir. C'est beau. Moi je serais incapable de me cacher, je te veux toujours à mes côtés, à 8h, 9h, 10h, 12h [...] 00h dis-je en énumérant toutes les heures. Je sais ça que tu m'aimes lui dis-je avec un clin d'oeil avant de m'habiller bien rapidement pour aller voir mon père. C'est une quinzaine de minute plus tard que je revenais dans notre suite. Je sautais sur Kenny en riant, cachant mon visage contre son torse, sous son tee-shirt pour me cacher un peu plus d'ailleurs. Je vous ai déjà avoué ma passion pour son torse ? Je sortais la tête de sous son tee-shirt, cependant, histoire de pouvoir voir sa réaction. T'aurais préféré que je lui fasse part du petit fantasme de mon cher et tendre époux ? lui demandais-je en arquant un sourcil, tandis que je posais mon menton contre le haut de son buste. Au moins, tu l'aurais eu ta video dis-je en sifflotant avant de rire Non y'a pas de caméra, elles sont à l'extérieur , il a peut être pensé que tu voulais t'améliorer un peu je me mettais en mode torte sur lui pour me protéger d'éventuelles représailles, pour finalement le regarder un peu hésitante avant de le faire complètement. Ouai, je suis une rebelle de la société, une délinquante, une mauvaise influence et ... je retirais mon haut sous mon tee-shirt pour ensuite, faire glisser la fermeture éclair de ma veste en cuir, dévoilant mon soutient gorge en dentelle noir, push up avant de remonter rapidement la fermeture pour me lever j'ai envie de faire un bonhomme de neige . L'activité préférée des délinquants, c'est certain. Je retirais la veste en cuir pour enfiler un pull , celui de Kenny, le bleu, il savait que je l'aimais et qui plus est, il y avait son odeur dessus. Je pense qu'on pourrait aller dans l'un des sous terrain du palais, y'a des caves et y'a une tonne de vêtement, histoire qu'on puisse habiller nos bonhommes de neige, ça serait indécent qu'ils restent tout nus

Bien sur que je serais capable de revivre ce qu'on avait eu au début de notre relation rien que pour elle, pour nous. Je sais que personnellement j'aurais du mal a ne pas être en sa compagnie déjà deux semaines loin d'elle j'avais eu l'impression que c'était une éternité alors la si je savais en plus que notre relation serait incertaine il est clair que je passerais ma vie cacher sous le lit rien que pour passer même 2 minutes en sa compagnie. Sur le lit je pensais d'ailleurs a nous, au tout début de notre relation c'était pour le moins drôle que de nous voir maintenant parce qu'Anya était a l'opposer de ce qu'elle avait pu imaginer pour elle et moi aussi. J'aurais du être en Angleterre désormais, j'aurais arrêté les études et je pense que j'aurais invité de temps en temps Anya a me rejoindre au nom de l'amitié. Bon ok je sais que malgré les années, les événements, elle serait resté gravé dans ma mémoire. On oublie jamais son premier amour et d'ailleurs ce dernier déboulait comme une fille dans ma chambre passant sa tête sous mon t-shirt pour se cacher au début. Je rigolais, c'était communicatif parce que je ne savais même pas ce qui avait eu dans ce bureau. "Bien.. Non non tu l'aurais choqué parce que tout a l'heure il m'a dit une blague énorme sur toi, comme quoi tu étais totalement pure. Toi pure !" Je rigolais en caressant ses cheveux sauf que mon rire se coupait net. Une vidéo. Mes yeux devenaient de plus en plus ronds. "Quoi?" Criais-je avant de soupirer. "T'es nulle j'ai trop cru." Soupirais-je très soulagé. "En plus tu oses confirmer que je suis nul, alors la c'est la fête Kovalevski. Et vas-y qu'on fait des petites blagues qui peuvent me tuer sur place et vas-y qu'on dise que je suis nul. Ouais cache-toi." Je m'approchais d'elle pour la chatouiller quelques secondes l'insultant de délinquante pour déconner. "Génial." Dis-je en me frottant les mains quant elle se déshabillait. C'était sexy. Son cuir, la dentelle noire. Un look très rock qui me plaisait, je passais même ma langue sur ma lèvre très discrètement. "Fais chaud non..." Je poussais un peu ma veste en laine sur moi, m'éventant avec ma main jusqu'au fou rire. "Nul ta tout gâché, c'était sexy tout ça et tout ce que tu dis c'est je veux faire un bonhomme de neige nan mais ta tué notre moment, limite je t'imaginais sur ta moto là. Game over !" Ma tête tombait sur l'oreiller, en regardant le plafond, bon sans mentir, j'avais envie de faire se bonhomme de neige, je voulais qu'Alessia nous aide maintenant qu'elle était en âge de pouvoir prendre des trucs dans ses mains sans rien lâcher, profitons. "C'est vrai que c'est indécent mais je savais pas qui avait des sous-terrains." Dis-je en me levant du lit. "Montre-moi." Je comptais lui faire peur, bah quoi, je serais pas moi sinon. "Evite juste de me rendre sourd si tu gueules dans mon oreille, merci."