Maxille ಇ ça pue la testostérone ici.

Comment est ce que tu avais pu devenir aussi dépendante de lui en si peu de temps ? Parce que franchement, c'était dingue tout ça. Limite t'en pouvais plus. Tu pensais Max, tu respirais Max, c'était toujours et uniquement Max. Comme si plus rien n'avait d'importance à part lui. Et tu savais que quelque part, c'était pas le bon comportement à adopter. Que tu devais pas être aussi accrochée à lui alors que vous étiez ensemble depuis si peu de temps mais.. T'y arrivais pas. Tu jouais avec ses lèvres ayant l'envie furieuse de le posséder. T'étais dingue de lui. T'étais amoureuse de lui et t'arrivais juste pas à lui résister.« J'crois que les pizzas seront froides... » Et juste après ces paroles, il te poussais vers le lit te faisant tomber dessus. Oui bah effectivement, elles allaient être plus que froide. T'avais pas envie de manger pour le coup, tu le voulais juste lui. « On s'en fous » T'enroulais tes jambes autour de sa taille collant son bassin contre le tien avant de reprendre tes baisers qui était toujours de plus en plus passionnée. Il était clair que pour le coup, tu n'avais rien de la petite fille innocente. Bien au contraire même. L'effet Max fallait croire.

J'étais peut-être amoureux d'elle.. sûrement. J'étais juste pas prêt à lui dire les mots qu'elle voulait entendre. Je voulais être juste.. certain que quand je les lui dirai, ce sera vraiment le cas. Mais vu que le doute subsiste - bien qu'il était indéniable que je sois accro à elle, à sa personne, à son corps - j'attendais qu'il s'évapore aussi vite que les particules d'eau sous la chaleur du soleil. J'avais envie d'elle là.. genre vraiment et je ne me faisais pas prier pour le lui dire, au contraire. Elle le comprenait assez vite par mes agissements loin d'être chaste et sans arrière pensées. Son corps se retrouvant sous le mien quand on basculait sur le lit, ses jambes venaient s'enrouler autour de ma taille et je comprenais qu'elle était bien plus qu'encline à me suivre dans cette démarche de couple. « On s'en fous » Souriant, les baisers reprenaient de plus belle alors que mes mains venaient se glisser sur sa peau, trouvant alors qu'elle était bouillante. Etait-ce l'envie qui la consummait comme ça ? J'esprais bien, parce que je me trouvais tout simplement dans le même état qu'elle. « Parait que c'est toujours meilleur réchauffé... » ... wtf? Mais on s'en fout Max! Taggle et continue de l'embrasser.. tiens, enlève lui son haut pendant que t'y es. Okay, je lui enlève son manteau et tout ce qu'elle portait sur elle au niveau de son haut afin d'être complètement libre de toucher sa peau délicate et chaude comme la braise.

Ses mains sur ta peau, c'était sûrement la meilleure chose au monde. Et tu ne pouvais pas t'empêcher de frémir complètement enivrée par la sensation. Ton souffle s'accélerait prenant un rythme saccadée signe que tu étais totalement encline à aller plus loin. De toute manière, tu l'avais bien fais comprendre puisque tu étais plus que réceptive à ses baisers et ses caresses. « Parait que c'est toujours meilleur réchauffé... » Euh... T'allais pas tenir compte de ça là. Ouais. C'était juste un peu bizarre mais t'allais pas en tenir compte. A la place, tu te comptais de dire un truc un peu plus weird pour signaler que vous étiez sûrement le couple le plus étrange de l'année. « En attendant, t'es censé me réchauffer moi. » Tu souriais amusée alors qu'il prenait comme mission de te virer ton manteau, ton gilet ainsi que ton tee shirt ne te laissant plus que ton soutien gorge pour couvrir le haut de ton corps. Et cette fois, tu n'étais même pas gênée. Tu plaçais tes mains dans son dos pour lui retirer à son tour sa veste et son tee shirt avant de finalement les mettres dans ses cheveux. T'avais l'impression de brûler entièrement à l'intérieur, de te consumer tant tu avais envie de lui à cet instant précis et tes baisers ce faisait plus fiévreux à chaque seconde. Doucement, tu venais gagner une nouvelle fois ses lèvres laissant ta langue se frayer un passage pour jouer avec la sienne donnant un baiser des plus torrides. Gosh, t'étais complètement sous son emprise.

Ouais bon, j'étais loin d'avoir les meilleures répliques du monde, moi le simple sportif qui veut percer en NBA. Non, j'avais des idées simples que je mettais en application. Là l'idée, c'était de faire l'amour à ma copine parce que bordel, j'avais juste envie d'elle quoi. Et j'allais le faire, on se mettait en route pour le faire, déshabillage et tout le tralala. Sauf que bon, quand elle me dit « En attendant, t'es censé me réchauffer moi. » forcément, moi je me mets à penser un truc du genre « Eh, t'as cu j'étais un micro-ondes ? » ... et ça me stoppait dans mon élan puisque je m'étais mis à rire comme un con. Mais avec son regard, je me mis à reprendre le contrôle puisque je venais retirer une grosse partie des couches de vêtements qu'elle avait sur le dos pour ne lui laisser que son soutien-gorge. Ca, je le gardais pour plus tard, si jamais elle était dans l'optique de l'enlever. Enfin, en même temps c'est idéal pour que je puisse lui donner le plaisir nécessaire à nos ébats. A son tour, elle me retirait une partie de mes vêtements, me retrouvant à présent torse nu sur elle. Son toucher me rendait juste fou et quand elle fit en sorte que sa langue rejoingne la mienne, j'avais juste envie d'accélérer les choses. Mais avant, je prenais soin de l'embrasser comme il fallait, y mettant toute la volonté que j'avais pour faire passer l'envie que j'avais d'elle, en ce moment précis. Mes mains se trouvaient sur ses cuisses et de quelques mouvements habiles, je faisais en sorte qu'on se retrouve bien tous les deux sur le lit, après avoir pris soin de retirer mes chaussures avec mes pieds.

« Eh, t'as cu j'étais un micro-ondes ? » Ok alors là, il partait vraiment loin. Et le pire dans tout ça, c'est qu'il avait un putain de fou rire. Limite il était trop fier de sa blague pas drôle. Il cherchait à péter le moment en fait ? Parce que t'avais l'impression qu'il allait finir par se rouler par terre pris dans sa crise de rire. Sauf que non, d'un coup il se remettait dans le move retournant t'embrasser et tout et tout. Ok. Il était bipolaire. Max était bipolaire. Tout le monde était bipolaire. Asekouuuuuur. Tu préférais même pas répondre à sa blague. De toute manière, t'étais pas sûre de dire un truc aussi pourri que ça alors valait mieux laisser tomber. Tu succombais à ses caresses et ses baisers une nouvelle fois alors qu'à ton tour, tu tentais de virer tes chaussures. Chose qui te demandait beaucoup d'effort mais que t'arrivais à faire. Et soudain, comme si t'étais prise d'une confiance énorme, tu mettais toute ta force possible en oeuvre pour le faire basculer prenant ainsi place sur lui. Genre, t'étais une dominatrice. Et tu faisais doucement glisser tes mains jusqu'à son jean le déboutonnant avant de le faire glisser pour le lui retirer. Bah c'était tout de suite mieux comme ça. Puis t'avais pas envie d'attendre. T'étais en train de bouillir intérieurement là. Tes lèvres venaient gagner sa peau cette fois partant de son torse et remontant progressivement au fur et à mesure. Ouais, même toi tu te reconnaissais plus.

J'avais un humour assez particulier pour ne pas dire à chier et j'en étais cependant assez fier. Ouais, j'étais pas un micro-ondes et ça m'avait fait rire. Seulement, je voyais bien que je cassais le truc en rigolant donc je m'étais calmé bien assez vite, me remettant dans le move. Ouais ouais, je me chauffais avec Vanille et on allait encore une fois passer à l'étape supérieure de notre relation. Putain je kiffais ça quand même. C'était notre troisième fois là ? Ou quatrième ? Je préférais pas compter parce que je savais qu'au bout d'un moment, je n'arriverai plus à tenir le compte. Seulement, là, on était encore au début et c'était facile. Bref, vêtements du haut retirés, aussi bien pour elle que pour moi, on venait à échanger un baiser bien plus fougueux qu'aucun autre et autant dire, ça avait l'effet escompté. Putain j'étais bien là, avec ma meuf dans mes bras, prêt - ou presque - à lui donner le plaisir qu'elle méritait. Et puis sans que ne sache d'où elle tirait cette force, elle avait réussi à nous faire basculer, prenant donc la position de dominatrice dans notre échange. Autant dire, le sourire apparaissait immédiatement sur mes lèvres, la voyant prendre en charge ces pré-préliminaires assez rapides. Ne pipant mot, je la laissais faire pour s'occuper de mon jean qui était assez simple en soi : une ceinture, un bouton, un zip. Voilà, il fallait réussir ces trois épreuves pour que mon vêtement puisse être retiré. C'était pas compliqué, elle était Dunster elle saurait trouver une réponse à cette énigme. Puis voilà elle avait réussi. Le pantalon que je portais se retrouvait au sol et maintenant ses lèvres parcouraient ma peau le long de mon torse. Mon dieu je craquais, cette fille était mon pêché mignon et j'avais juste envie de la prendre et de nous faire prendre du plaisir mutuellement. Lâchant comme un grognement, je venais prendre en main son pantalon pour la libérer à son tour, histoire qu'on soit au même niveau elle et moi, et dès que ce fut fait, je nous fis basculer à nouveau pour le lui retirer. Mon dieu qu'elle était belle.. putain, j'étais vraiment le plus chanceux des mecs là.

Genre d'où tu prenais des initiatives ? C'était tellement pas toi ça. Mais.. Quelque part, sans trop savoir pourquoi, t'avais eu envie de prendre un peu les devants. De pas être l'éternelle coincée qui attendait que les choses se fassent. Après, fallait pas non plus s'attendre à des miracles hein ? T'allais pas devenir une bête de sexe trop à l'aise en un claquement de doigt mais ça, c'était déjà un bon début. Tes lèvres continuaient à parcourir son corps alors que tu finissais par arriver à sa bouche. Endroit ou tu t'attardais beaucoup plus puisque c'était toujours un plaisir de pouvoir l'embrasser de la sorte. Et lui, il faisait glisser ses mains jusqu'à ton jean le déboutonnant avant d'inverser à nouveau les positions pour te le retirer. C'était étrange que tu ne te sentes pas gênée à cet instant précis. Parce que du coup, t'étais en sous vêtement et il pouvait te regarder tranquillement. Du coup, c'était un peu débile que tu ais fais autant la difficile pour une histoire de douche vu comment les choses tournaient. Une nouvelle fois t'enroulais des jambes autour de lui l'obligeant à se coller contre toi même si au fond, c'était pas vraiment un supplice pour lui. « Dans ton sac les capotes ? » Tu voulais pas trop précipiter les choses mais là, t'avais vraiment envie de lui. Puissance mille quoi.

La sentir si.. entreprenante, c'était loin d'être désagréable, au contraire. J'veux dire par là que j'avais l'habitude de ce genre d'échanges et savoir que Vanille pouvait avoir ce côté déchainée, ça m'excitait au plus haut point. Je crois cependant que le plus notable était le fait qu'elle ne ressentait aucune gêne, comparé à la dernière fois où j'avais à peine pris le temps de la regarder pour éviter qu'elle devienne rouge tomate. Là, c'était clairement différent et j'aimais ça. En même temps, quel homme n'aimerait pas que sa copine soit comme Vanille en ce moment précis ? Je crois bien qu'aucun n'aurait le cran de le dire. Elle était parfaite et je ne la lâcherai sous aucun prétexte. A moi, okay ? A MOI. Nous retournant, j'avais pris soin de retirer son pantalon afin qu'elle soit elle aussi libérée de ce point de vue là et je venais reprendre ses lèvres, les capturant dans un baiser sans aucune retenue. Je sentais ses jambes s'enrouler autour de ma taille, me collant encore un peu plus contre son corps et j'étais loin de détester ce rapprochement. « Dans ton sac les capotes ? » finissait-elle par demander et je secouais simplement la tête négativement. J'avais pas de capotes assignées qu'au sac, non. Il m'en fallait en toute circonstance et donc un moment comme celui qu'on avait se déroulait dans la chambre, sur mon lit et donc le lieu le plus propice pour trouver des capotes c'était.. « Dans le tiroir, de la table de chevet » lui confiais-je entre deux baisers avant de laisser mon esprit divaguer le temps de quelques instants « Faudra que j'en achète une boite.. pour dans ta chambre » Bah ouais, si on reproduit le genre de scène de la dernière fois, je préfère qu'on soit déjà préparé à avoir ce qu'il faut sous le coude quoi.

Et merde, à coup sûr que demain, tu te reconnaîtrais pas. Non mais parce que là, t'avais pris un peu trop de confiance et tu savais pas trop pourquoi. Peut être que c'était le froid qui avait gêlé ton cerveau ou une connerie dans le genre mais, limite, t'avais l'impression que tu pouvais lui faire un strip tease. Ou pas. Fallait pas pousser mémé dans les orties non plus. Tu voulais bien te montrer un peu plus entreprenante mais il était pas venu le jour ou tu serais déguisée en soubrette l'attendant bien sagement. D'ailleurs, cette pensée te faisais rire. Et fallait pas que tu te mettes à rire sinon il allait poser des questions et à coup sûr, tu passerais pour une conne d'avoir des pensées dans ce genre. Ok, relaaaaax. « Dans le tiroir, de la table de chevet » Oh. Plus pratique en effet puisque pour le coup, personne n'avait besoin de se lever. Tu tendais le bras ouvrant le fâmeux tiroir et cherchant à tâtons ce qui pouvait ressembler à une boîte, ou une capote, ou peu importe, un truc quoi. Et finalement, tu mettais la main dessus. Perfect. « Faudra que j'en achète une boite.. pour dans ta chambre » Euh.. Ok. Certes, ça pouvait être pratique du coup pour des moments comme celui là. Faudrait juste que tu la planques bien parce que tes colocataires avaient la mauvaise manie de fouiller un peu partout et elle risquait de te chambrer jusqu'à la fin de ta vie si elles venaient à tomber dessus. Bref, t'avais le préservatif, objet capital pour le coup et après un énième baiser, tu reprenais la parole. « Dis, tu préfèrerais que je prenne la pilule ? » Ça éviterait de devoir mettre les morceaux de plastiques et paraissait-il qu'on avait plus de sensation sans alors tu préférais avoir son avis.

Tous les deux en sous-vêtements, j'pouvais l'admirer comme je voulais. Bon, je le faisais pas parce que j'étais bien trop occupé à l'embrasser en ce moment précis, mais si je voulais, et bien je pouvais le faire. Et c'était tout ce qui comptait en fait, non ? Quoiqu'il en soit, je lui avais indiqué que les capotes se trouvaient dans la table de chevet - à leur endroit quoi, pour une disposition optimale - et elle se mit à chercher sans rechigner. Mon dieu, où était passée ma petite amie ? Enfin non, je n'allais pas criser, au contraire. J'aimais cette façon qu'elle avait de prendre des initiatives comme ça et de prendre de l'assurance. Non pas que j'aimais pas quand elle doutait d'elle même mais je dois bien avouer que des fois, je m'en passerai bien. « Dis, tu préfèrerais que je prenne la pilule ? » finissait-elle par dire entre deux baisers. Bon, okay.. c'était hors de propos non ? Enfin oui, il me semble quoi. J'savais pas vraiment quoi lui répondre alors je reprenais les baisers avant de finir par lui dire « Si tu veux.. j'dois juste.. tu sais, vérifier que je suis clean » Ugh. J'espère juste qu'elle va pas mal le prendre. C'est juste que ça remet de plein fouet le fait que j'ai de l'expérience... et pas elle. Putaing j'aurais du la fermer. Pour noyer le poisson, je me remettais à l'embrasser, laissant mes mains glisser sur sa peau.