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finally, it's happening ☼ olirren.

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Il n'y avait pas meilleur sensation que le corps de Warren contre le tien, dans le tient. Vous ne formiez plus qu'un le temps de quelques minutes, le temps d'une danse effrénée, celle de l'amour. Il ne t'avais pas fallu bien longtemps avant d'éclater en un millier de petits morceaux, en un milliers de papillons qui s'envolaient tout autour de vous. Warren te suivit dans le même élan, le même entrain, celui qui montait tout droit vers le septième ciel et s'abandonna à toi comme tu t'étais abandonnée à lui. Vous flottiez, aussi bien d'un sens imagé que littéraire. C'que t'es belle.. C'était magique. Tu souris, heureuse. Tu ne pouvais être plus heureuse que là, maintenant. Le contradiction, celle de ne pas tomber amoureuse d'un homme, t'allait à merveille. Je t'aime. souffles-tu contre ses lèvres avant de les embrasse, à ton tour. Tu prends la pilule, n'est-ce pas? T'arquas un sourcil, te reculant légèrement pour mieux le regarder. T'avais un sourire au coin des lèvres, mi amusé, mi attendri. Bien évidemment Warren. réponds-tu comme pour lui ôter une épine du pied. Et si on sortait de l'eau, monsieur Cooper ? J'ai un peu peur, mais je crois que j'ai une surprise qui m'attends là haut, pas vrai ? Tu laisses tes doigts glisser le long de sa joue avant de sortir de l'eau, nue, complètement nue. Tu souris malicieusement à Warren en attrapant ton maillot de bain que tu enfiles doucement, tout doucement. C'que t'étais mesquine.
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Je t'aime. Toi aussi, tu l'aimes. Comme un fou qui ne se contrôle plus. C'est vrai que tu ne contrôlais plus ton coeur, depuis qu'elle t'inspirait tout cet amour. Mais ton coeur cesse de battre dès le moment où tu crois avoir fait une bêtise. Pour une fois que vous pouviez vous montrer votre amour d'une façon différente, pour la première fois, aussi, tu n'avais pas envie de vivre avec le stress qu'elle tombe enceinte, hein! Bien évidemment Warren. Ouf. Tu éclatas de rire, un rire nerveux et rassuré. "Merci!" Tu aimais bien les enfants, mais... Vaut mieux ne pas t'imaginer avec un bébé dans les bras, c'en était presque une phobie. Et si on sortait de l'eau, monsieur Cooper ? J'ai un peu peur, mais je crois que j'ai une surprise qui m'attends là haut, pas vrai ? Un peu peur? Peur de quoi? Tu ne comprendras jamais, ça, pourquoi ça l'effraies tant, l'amour. Faudra que tu lui demandes, un jour. Quand ce sera plus stable, plus solide, votre relation. "Je suis d'accord! Tiens, ton maillot.", dis-tu en lui tendant les deux pièces de son maillot, pour la recouvrir, un peu. Tu attrapes également le tien pour l'enfiler rapidement, le passant par les deux jambes. Tu sors de la piscine rapidement en attrapant deux serviettes, dont l'une que tu lances à Olive. Tu t'éponges les cheveux en t'essuyant le corps avec, puis tu dis : "C'est déjà dans ta chambre... Veux-tu y aller seule, ou je peux venir?" Tu n'avais pas spécialement envie qu'une Olive en colère face à trop de romantisme t'attaques, non plus. Ou t'engueules, pire.
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Olive, en couple, c'était déjà beaucoup. Mais alors Olive, maman, c'était pas imaginable du tout. Pas tout de suite, pas dans 9 mois. Tu n'dirais pas jamais parce que tu avais appris qu'il ne fallait jamais dire jamais - Warren en était la preuve - mais tu n'avais pas planifié dans les dix prochaines années d'être maman. Oh putain, non. Tu voulais même pas imaginer. Je suis d'accord! Tiens, ton maillot. Tu l'attrapas à la volée, l'enfilant doucement. Quelle ne fut pas ta déception en remarquant qu'il n'avait même pas tilté à ce que ton corps reste si longtemps exposé à quiconque entrerait dans la piscine. Mais elle s'estompa bien vite, cette déception, pour laisser place à un ridicule sentiment de stress. Un petit truc romantique qu'il avait dit. Mais tu savais que Warren voyait toujours les choses en grand. Y'avait qu'à regarder ce jour où il était arrivé à Harvard, pour te retrouver.. Ce break, rempli de coussins et de couverture, c'était grandiose. Romantique, et pourtant tu avais apprécié. T'avais vraiment besoin de paniquer alors ? Oui. C'est déjà dans ta chambre... Veux-tu y aller seule, ou je peux venir? Tu t'enroules dans l'immense drap de bain et t’essores rapidement les cheveux que tu attaches en un chignon loose, comme toujours. On avisera là haut. dis-tu après un court instant de réflexion. Tu l'attrapas par la main pour vous diriger vers les ascenseurs afin d'accéder à l'étage de ta chambre, le troisième. Ca t'laissait un peu plus de temps pour réfléchir. T'avais l'impression de trop réfléchir avec Warren, toujours. J'vais rentrer toute seule. dis-tu finalement une fois arrivée devant la porte de ta chambre. Tu glisses un rapide baiser sur ses lèvres avant de composer le code pour entrer dans la chambre et refermer la porte, sur Warren. Tu savais que tu allais détester, on n'faisait pas livrer des coussins et des couvertures dans un break dans les hôtel. Tu avances de quelques pas dans la chambre et là.. un immense bouquet de roses rouges - tu étais incapable de savoir combien y'en avait exactement - et une grosse boîte de chocolat, posée sur le lit. Et attention, s'il vous plait : deux cygnes fait dans de jolies serviettes blanches. Sérieux ? Même Ken n'avait jamais fait ça à Barbie quoi. Et là, c'était trop. T'étais pas fleurs pour un sous, les chocolats en revanches tu disais pas non. Mais vallais-tu vraiment la peine de temps d'efforts de sa part ? S'il ne c'était pas passé tout ça dans cette piscine, comment aurais-tu réagit face à ça ? Mal, certainement très mal. Tu lui aurais peut-être même jeté les roses à la figure. Tu files dans la salle de bain, rapidement, et laisses tomber ta serviette et ton maillot de bain pour enfiler des sous-vêtements propres et une petite robe blanche que ne sors pratiquement jamais. Tu te regardes dans le miroir, et tu souris. On dirait une autre femme. Celle que tu vois dans le miroir n'est pas toi. C'est une autre Olive, une Olive plus adulte, plus femme, plus vivante, plus épanouie. L'amour t'allais à merveille. Juste une aurait suffit. déclares-tu après avoir ouvert la porte, agitant sous son nez une seule et unique rose que tu avais prise du bouquet. C'était une manière beaucoup plus délicate de lui dire que tu n'étais pas plus que ça. Que tu détestais en fait, ces fleurs. Avec Warren, t'avais appris à faire dans la délicatesse pour ne pas le froisser, ça aussi c'était nouveau. En revanche, les chocolats... J'ADORE ! Caractère de merde ou pas, toutes les femmes aimaient le chocolat.
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On avisera là haut. Tu stresses. Tu n’aurais jamais dû lui offrir ces fleurs. Elle va détester, tu le sais, tu le sens. Putain, mais t’es con, Warren. Trop con. Tu te serais bien précipité devant elle pour cacher les fleurs, pour manger les chocolats d’un trait, mais tu n’avais pas les clés de sa chambre. Tant pis, tu défoncerais. Vous arrivez au troisième étage, l’étage de la chambre de ta copine et… Merde, tu paniquais intérieurement, tellement. J'vais rentrer toute seule. Tu baisses la tête en attendant qu’elle fasse c’qu’elle venait de dire et qu’elle rentre, qu’elle te jette ces fleurs à la figure et qu’elle te dise qu’elle ne veut plus jamais te parler, car t’es trop romantique. Elle n’aime pas ça, point. Pourquoi t’entêtes-tu à vouloir lui faire plaisir de la sorte? C’qu’elle aime c’est… Avoir raison, son orque, l’eau et le sexe. Elle n’est pas fleurs et gnagnan. Ce baiser qu’elle dépose sur tes lèvres ne te rassure pas, bien au contraire. Tu stresses bien trop pour rien et pourtant… il y a de quoi. Tu attends, adossé au mur, tentant d’écouter au travers du mur pour savoir quelle est sa réaction – si elle est forte ou pas. Si elle est en train de briser quelque chose ou pas. Mais rien. Silence radio. Et ça t’énerve encore plus, jusqu’à ce que… tu la vois apparaître dans le cadre de porte de sa chambre. Putain, elle est belle. Faut qu’elle arrête d’avoir cet effet sur toi, c’est dingue et pas possible comment elle peut te faire perdre tes moyens rien que d’un regard, rien que par un sourire. Rien qu’avec cette robe qui lui va comme un gant. Et pourtant, tu te sors de ton nuage lorsque tu sens le parfum de cette rose qu’elle tient sous ton nez. Juste une aurait suffit. Tu soupires, réalisant qu’elle détestait. Et tu aurais dû le savoir. Évidemment, ça te frustre. Ça t’enrage non pas parce qu’elle n’aime pas ton cadeau, mais parce que tu réalises que t’es trop con et que tu ne sais pas ce qu’elle veut, ce qu’elle aime vraiment. En revanche, les chocolats... J'ADORE ! Mais tu ne réagis pas à son sourire, à sa réaction. C’que tu fais, tu ne savais pas trop. Tu la pousses légèrement sur le côté d’la porte pour pénétrer dans sa chambre, puis sans un mot, puisque tu ne parlais pas depuis de longues minutes déjà, tu pris les fleurs dans tes mains. Le bouquet au complet. Tu le pris, et tu le serras, écrasant au passage quelques roses. Puis, d’une main, tu pris les deux cygnes en serviettes et tu les déroulas pour qu’ils ne soient plus que simple serviettes de bain. Des fleurs, ce que tu en fis? Oh, tu ouvris la fenêtre de la chambre, et par-dessus le balcon, tu les jetas dans le vide. Oké, vous n’étiez qu’au troisième étage, mais c’tait tout de même haut, et puis elle n’aurait plus à les voir, à les avoir. Tu daignas enfin parler. ‘’Désolé. C’tait nul. Vraiment, j’suis con. ‘’ Et vraiment, tu étais très, mais très déçu de toi…
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Tu avais pourtant veillé à ne pas être trop sèche. Tu n'aimais pas, mais tu ne détestais pas pour autant. Peut-être qu'un jour tu t'y habituerais. Peut-être même qu'un jour tu adoreras les fleurs, t'en demanderais encore et encore et tu en aurais plein chez toi à ne plus savoir qu'en faire. Oh putain, c'était pas près d'arriver c'jour là. Sa réaction ? Tu ne t'y attendais pas. Du moins, pas à ce point. Tu le regardais faire, adossée dans l'ouverture de la porte, ruiner chacune des fleurs du bouquet, déplier les serviettes qui formaient deux magnifiques cygnes.. Puis finalement jeter les fleurs par la fenêtre. Il ne restait que cette rose que tu avais dans les mains avec laquelle tu jouais alors qu'il venait finalement vers toi. Désolé. C’tait nul. Vraiment, j’suis con. Il semblait en colère, contre lui. Tu le connaissais ce regard, cette flamme qui dansait dans ses yeux quand la colère montait. Un peu, ouais. Pas d'avoir mis autant de romantisme dans la chose, mais d'avoir tout détruit, comme ça. C'était trop, mais c'était beau. Tu poses délicatement la rose sur la petite table à l'entrée de la chambre d'hôtel et avance doucement vers lui. Tu attrapes son visage de tes deux petites mains et agrippes amoureusement ses lèvres, te collant tout contre lui. Warren, je t'aime. Tu te surprenais de prononcer ces mot avec une telle facilité, mais tu savais que ça le calmerait.
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